......Une écriture .....mystérieuse.

[Esculape]

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Bonjour,
Il s'agit de l'écriture pascuane des Kohau rongorongo (Île de Pâques) et celle de la civilisation de Mohenjo Daro dans la vallée de l'Indus au Pakistan.

https://www.inmysteriam.fr/archives/analogie-entre-les-signes-de-lindus-et-ceux-de-lile-de-paques.html

[Marie-Pauline de Crécy]

Ah ! Vous voyez bien que ça vous intéresse ?!

[Marie-Pauline de Crécy]

Qu'est-ce qui l'embête, son bon Esculape, dans le fait que l'Indus soit "si éloigné" de la Mésopotamie ?
Que ça ne colle pas avec l'invention de l'Arche ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Et puis vous savez, une fois qu'on a inventé le bateau, on n'est jamais loin de l'invention du naufrage !

[Esculape]

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Ignorons comme toujours cette pauvre imbécile.
La Mésopotamie me rappelle un message secret émis par radio Londres pendant la guerre à destination de la Résistance.
Le message :
"Pourquoi les poules ne pondent-elles pas d'oeufs en Mésopotamie ?
La suite le lendemain :
"Parce qu'elles voient le Tigre et l'Euphrate."

[Marie-Pauline de Crécy]

Et alors, vous n'avez toujours pas compris et vous voulez une traduction ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Vous ne voulez pas plutôt savoir pourquoi le Tigre et l'Euphrate ne font pas de grandes rivières dans un poulailler ?

[Marie-Pauline de Crécy]

C'est à ça qu'on reconnait qu'on est rendu dans un poulailler, je vous informe !

[Esculape]

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Je dois préciser que quelques mois plus tard après ce message (rarement humoristique)
 c'est avec une émotion intacte que je me souviens de la joie immense que nous avons ressentie au maquis du Mont Mouchet en entendant ce message :
"Les sanglots longs des violons de l'automne", message compris par notre chef le colonel Gaspard (Emile Coulaudon) qui nous a annoncé : Le Débarquement est imminent.
Puis la suite du poème de Verlaine le lendemain :
"Blessent mon coeur d'une langueur monotone".
C'était l'annonce du débarquement le jour même.
A cette époque on ne se doutait pas que cette liberté annoncée, au prix de tant de héros tombés sur les chants de bataille contre l'ignominie nazie et qui ne mériteraient pas tant de descendants indignes de leur ultime sacrifice.
Car enfin, qu'en font-ils de cette liberté si chèrement payée tous ces pauvres crétins qui ne se complaisent que dans l'agression, la provocation stupide, leur immense bêtise leur interdisant de pouvoir faire mieux.
A vomir !

[Marie-Pauline de Crécy]

Et alors donc, on a su pourquoi le débarquement n'avait pas eu lieu, au final ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Non parce que si vous voulez, nous, on avait pas la radio là où on était !

On ne nous a, pour ainsi dire, pas passé le mot !

Vous comprenez la logique ou ça vous fait trop ?

[Esculape]

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Je constate sans surprise qu'une fois de plus un message sérieux et qui pose un problème passionnant : la ressemblance entre deus écritures séparées de milliers de kilomètres et d'un millier d'années paraît-il, a été immédiatement saboté par une créature dont la bêtise pathologique est flagrante.
La place de cette démente est dans un asile d'aliénés ! Pas ici. Ou alors ...

[Marie-Pauline de Crécy]

ça lui fait trop ...

[Marie-Pauline de Crécy]

C'est dommage parce qu'on aurait commencer à parler de réalités parallèles !

C'est intéressant comme sujet les réalités parallèles ça, ôssi !

[Marie-Pauline de Crécy]

Ou accrétion : on aurait pu parler de petits astéroïdes qui deviennent planète par accrétion, par exemple !

Vous n'avez pas l'esprit curieux, vous alors, pour un scientifique !

[Cedille]

Mais je ne suis pas étonné de cela, je l'ai déjà dit, et je le répète :
l'homme est un animal qui ne peut pas s'empêcher de faire des bêtises.
Et c'est pourquoi il faut toujours être très prudent avec lui.

[Marie-Pauline de Crécy]

Si ça se trouve, c'est parce qu'il a peur que mes apaches ne s'entendent pas avec ses schleus !

[Marie-Pauline de Crécy]

Alors que pantoute !
On en connait ôssi !

[Cedille]

Je comprends pas du tout leur réaction, le mien a dévoré deux chiens errants dans la semaine (deux des chats de ma soeur, une pauvre petite toute frêle).

[Marie-Pauline de Crécy]

Les nôtres sont quand même clac-clac !

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