Le Président MACRON tacle l'opposant stalinien mélenchon.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Le chef de l'État a estimé qu'"il est rare de gagner une élection à laquelle on ne se présente pas", en référence à la non-candidature du mélenchon aux élections législatives.

Je souhaite que, dans la continuité de l’élection présidentielle, les Français fassent le choix de la solidité: d’une majorité stable et sérieuse pour les protéger face aux crises et pour agir pour l’avenir", a expliqué le président dans un entretien accordé à la presse régionale dont le Parisien.

Le projet de mélenchon ou de Marine Le Pen, c’est le désordre et la soumission", a également déclaré le président pour décrire ses adversaires politiques.

Une manière de renvoyer dos à dos les deux extrémistes de la politique française

https://www.bfmtv.com/politique/melenchon-premier-ministre-macron-assure-qu-aucun-parti-ne-peut-imposer-un-nom_AN-202206030604.html#xtor=AL-68


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[Plaristes Evariste]

Kokofkof vous nous diffamez, nous n'avons rien à voir avec ce glandu vociférant pour soutenir un pauvre parti bourgeois.

[Marie-Pauline de Crécy]

Oh oui mais en ce moment, il s'en passe des trucs rares : on en a même des très cons qui se débarrassent d'opposants qui n'en sont pas, alors !
ça doit être à force de côtoyer exclusivement les cicciolinettes du parti vert dollar et autres verres à pied "so fragile", ça les a fâché avec la réflexion !

[Marie-Pauline de Crécy]

Ils ont "lâché prise", ils ont "renoué avec la nature" : ce sont devenus de gros joncs !

[Marie-Pauline de Crécy]

D'où l'expression : se retrouver gros joncs comme des cons !

[Henri-Gatien Bertrand]

Mélanchon, Lepen, c'est la même chose, ils sont là pour donner une certaine légitimité à Macron et lui sont particulièrement utiles.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Lors de sa conférence de presse régionale Macron en a remis une couche sur mélenchon:

"Le projet de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen, c’est le désordre et la soumission. Ils expliquent qu’il faut sortir de nos alliances, de l’Europe, et bâtir des alliances stratégiques avec la Russie. C’est la soumission à la Russie."

"J’ai lu le programme de la Nupes. Ils y citent 20 fois le mot taxation et 30 fois le mot interdiction, ce qui donne une idée assez claire de l’esprit du programme. C’est un projet de liberté sans doute ? Cela ne va pas rendre les gens fous ça ?"


"Il est rare de gagner une élection à laquelle on ne se présente pas. Le président choisit la personne qu’il nomme premier ministre en regardant le Parlement. Aucun parti politique ne peut imposer un nom au Président."

Et vlan', dans les dents au merluchon.... z'avez pas trop mal au cul les gôchards et autre fieux en culottes courtes ???

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[Henri-Gatien Bertrand]

Faut arrêter de donner du crédit à ces petites phrases assassines, y'a rien de vrai là dedans, c'est de la comédie, c'est un peu comme ces catcheurs qui s'insultent abondement avant leurs combats pour mieux se rentrer dans le lard sur le ring mais tout ça, c'est de l'esbrouffe destiné à faire parler et le pire c'est que ça marche, les gens en parlent et c'est d'ailleurs ce que nous faisons.
En réalité, tout est scénarisé, ils sont potes, ils mangent dans la même gamelle, ils jouent dans la même cour et ont sûrement les mêmes objectifs.
Bref, je le redis, tout ça, c'est une grand pièce de théâtre et nous ne sommes que de simples spectateurs et critiques et nous avons le droit de critiquer car nous payons les places de la pièce drôlement cher.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Oui, bien sûr, nous savons tous ce qu'il en est ou à peu près.

Sauf qu'au cas particulier des présentes législatives et au-delà des polémiques et petites phrases, il y a en gros clairement deux principaux projets qui s'affrontent avec, dans chaque camp, des politiciens et leurs conseils qui s'activent pour tenter de séduire les électeurs.

Chacun espère que son camp l'emportera et jette à la figure de ses adversaires et concurrents tout ce qu'il a sous la main, avec plus ou moins de bonheur et de réussite, le tout étant arbitré, ou pas, par les électeurs.

Il en va ainsi à chaque élection et quasiment dans tous les pays démocratiques, avec des adaptations tenant compte de la tradition et des us et coutumes de chaque nation.


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[Henri-Gatien Bertrand]

Et oui, comme dans un match de boxe, chacun prend les paris. La politique, la boxe, même combat. On pourrait vraiment faire un parallèle.

[Plaristes Evariste]

Après il y a les boxeurs qui sont dans le showbuiness et ceux qui sont dans le savatage de gueule.

[Sagesse Libérale]

E. Macron parle de « soumission » mais de soumission à quoi.

Je vois par contre un président soumis aux marchés financiers (auxquels il ne faut pas déplaire sinon la dette, blablabla) et aux entreprises étrangères (la France doit être attractive, blablabla)

[Jean-Louis de Toqueville]

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Quand Macron évoque la soumission, il veut parler de la soumission à l'islamisme et à la Russie pour les LFI et de la soumission également à la Russie de Poutine pour le RN.

Sinon, à mon sens, Macron n'est pas soumis aux marchés financiers, sauf qu'en régime libéral et frontières ouvertes, les marchés influent sur la marche des entreprises et vice versa, c'est une évidence pour tous les pays développés.

Il est illusoire d'estimer que l'on peut se passer des marchés de nos jours pour un pays développé, sauf à accepter de retourner au temps des gaulois. Dans l'opinion, ceux qui sont contre les marchés et pour l'étatisation communiste de l'économie doivent peser moins de 10%, donc, on se tape de leur opinion...

Ceux qui trouvent que le marché règle tout et ne supportent pas ces principes, qui sont admis partout ailleurs, peuvent toujours émigrer en pays collectiviste s'ils pensent que c'est mieux, si tant est qu'on les laisse y entrer.

Les gauches ont été au pouvoir en France durant plus d'une dizaines d'années, y compris avec des ministres communistes, on n'a jamais entendu un seul de ses élus et dirigeants revendiquer pareille ânerie.


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[Plaristes Evariste]

Je suppose que vous avez une solidarité avec les nazis d'Azov aussi?

https://youtu.be/riYq1O3Y7RE






Le personnage c'est Hans Ulrich Rudel, d'où la Jambe en moins.
Fondateur du Kameradenwerk, en gros c'est des restos du coeur pour criminels de guerer nazis.

En 1948, Rudel émigre en Argentine où il fonde, à Buenos Aires, le « Kameradenwerk », une organisation qui de facto fournit une aide aux criminels de guerre. Le « Kameradenwerk » a compté dans ses rangs d’anciens nazis et des criminels de guerre tels que l'ancien SS Ludwig Lienhardt, l'ancien membre de la Gestapo Kurt Christmann (de) ou encore le criminel de guerre autrichien Fridolin Guth. Cette organisation a aussi aidé, en plus des criminels qui avaient trouvé refuge en Argentine, d’anciens nazis emprisonnés en Europe, comme Rudolf Hess et Karl Dönitz, en leur envoyant des colis de nourriture et en payant leurs frais d'avocat³. Rudel, en compagnie de Willem Sassen (en), a également assuré la protection de Josef Mengele, l'ancien médecin du camp d'extermination d'Auschwitz⁴.

[Jean-Louis de Toqueville]

Je suppose que vous avez une solidarité avec les nazis d'Azov aussi?

https://youtu.be/riYq1O3Y7RE




Le personnage c'est Hans Ulrich Rudel, d'où la Jambe en moins.
Fondateur du Kameradenwerk, en gros c'est des restos du coeur pour criminels de guerer nazis.

En 1948, Rudel émigre en Argentine où il fonde, à Buenos Aires, le « Kameradenwerk », une organisation qui de facto fournit une aide aux criminels de guerre. Le « Kameradenwerk » a compté dans ses rangs d’anciens nazis et des criminels de guerre tels que l'ancien SS Ludwig Lienhardt, l'ancien membre de la Gestapo Kurt Christmann (de) ou encore le criminel de guerre autrichien Fridolin Guth. Cette organisation a aussi aidé, en plus des criminels qui avaient trouvé refuge en Argentine, d’anciens nazis emprisonnés en Europe, comme Rudolf Hess et Karl Dönitz, en leur envoyant des colis de nourriture et en payant leurs frais d'avocat³. Rudel, en compagnie de Willem Sassen (en), a également assuré la protection de Josef Mengele, l'ancien médecin du camp d'extermination d'Auschwitz⁴.

Ça n'a strictement rien à voir gros blaireau, les nazes n'étaient pas des libéraux, mais des étatistes quasi communistes. D'ailleurs, souviens-toi, vous vous êtes associés entre vous (les communistes qui "épousaient" des nazis allemands) en 1339-1940 !!! Bel attelage en effet !

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[Jean-Louis de Toqueville]

Kokofkof vous nous diffamez, nous n'avons rien à voir avec ce glandu vociférant pour soutenir un pauvre parti bourgeois.

Bah, si.... vous vous dites tous deux communistes et vous avez pour but de "construire" (mot galvaudé en la circonstance, parce qu'il s'agit d'abord de destruction) une société socialiste dans l'espoir de parvenir un jour (en l'an 5060....) à la fameuse et célèbre société communiste, encore jamais atteinte sur cette planète....

Vous êtes bien au moins dans le même dream !


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