Le grand âge de Mélenchon est incompatible avec l’exercice de la fonction de Premier ministre, qu’il convoite

[Jean-Louis de Toqueville]

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Mélenchon a plus de 70 ans. Alors qu’il veut faire passer la retraite à 60 ans, il projette, lui, de continuer à avoir une vie très active après 70 ans en « étant candidat » à la fonction de Premier ministre. C’est sa liberté d’être candidat, sauf que le Président nommera qui il voudra et pour ce poste, il n’est pas d’usage de postuler, il faut être « choisi ».

Il va de soi que son éventuelle nomination par le Président ne pourrait s'envisager qu'à la condition expresse que son groupe politique obtienne la majorité à l'Assemblée.

En outre, mélenchon porte un passif judiciaire conséquent, dont une peine de prison, peine infamante qui semble totalement incompatible avec l’exercice apaisé d’un poste ministériel, outre sa mise en examen pour diverses infractions pénales.

Se projeter à cet âge avancé pour un l’exercice de la fonction de Premier ministre, tâche lourde s’il en est  (on parle de « l’enfer de Matignon »), paraît plus qu'aventureux. Ayant exercé toute sa vie une fonction politique, il forme le dessein de la terminer en beauté, mais de manière égoïste, ne pensant encore qu’à lui (« La République, c’est moi ») comme il l’a fait tout au long de sa carrière.

Il est en effet ni sage ni prudent d’envisager de confier un tel poste à un homme âgé, fût-il en bonne santé, ce que l’on ignore par ailleurs, outre sa surdité bien connue. Le lourd exercice de la fonction de Premier ministre exige disponibilité permanente, vivacité d’esprit, capacité d’adaptation, outre l’obligation d’effectuer de nombreux et lointains déplacements intercontinentaux et d’accompagner, sur son ordre, le Président de la République.

L’inévitable déclin cognitif lié à l’âge ne permettrait pas à Mélenchon d’exercer la fonction dans la plénitude de ses moyens, outre le risque plus élevé que la moyenne, d’être affecté d’un important et invalidant accident de santé. Un chef de gouvernement malade ou empêché entraîne une forme d’invalidité du pays.

Il est bien connu qu’a contrario les titulaires de ce poste exercent leur mandat à plein temps, jour et nuit, dimanches et fériés et ne s’accordent que des repos très limités, dormant seulement 4 ou 5 heures par nuit. Cette vie trépidante ne semble pas à la portée d’un individu de son âge.  

C’est bien sûr le Président qui choisira, mais il doit être conscient qu’en portant un vieillard décrié et clivant au pouvoir, l’exercice de la fonction de Premier ministre en sera amoindri et le pays handicapé. L'intérêt de l'État et le bon fonctionnement des institutions semble commander à M. Macron de ne pas nommer cet individu qui a de plus le culot de se porter candidat à ce poste, en violation de tous les usages républicains.


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[Jean-Louis de Toqueville]

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Au fait, il a 70 ou 71 ans le merluchon ?

[Jean-Louis de Toqueville]

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Un Président qui a 44 ans et son Premier ministre qui en a 71, c'est assez succulent ! Il y a une génération d'écart...

Macron pourrait être le fils à mélenchon, pas le fils spirituel en tout cas...

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[Edouard de Montmonrency]

Avec des jouvenceaux et jouvencelles, c'est encore pire ... c'est empiriquement démontré (ils sont beaucoup plus belliqueux , il suffit de se référer à la grande Histoire de l'humanité)

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