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Délocalisations et Mondialisation
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Délocalisations et Mondialisation
La mondialisation libérale consiste principalement en la suppression de toute entrave à la circulation des marchandises et des capitaux, rendant possible les délocalisations, les chantages à l'emploi, et les profits sans précédent des multinationales. Au risque de causer la désindustrialisation et le déclin géopolitique des pays occidentaux...
Faire baisser le "coût du travail"
Pour maximiser le profit des entreprises, la solution la plus facile et la plus efficace est de faire baisser le "coût du travail". Il existe d'autres moyens pour accroître les profits (l'innovation, la recherche et développement...), mais leurs résultats sont incertains et ne peuvent être obtenus qu'à long-terme, alors que la réduction du "coût du travail" permet de générer une augmentation des profits de façon certaine et immédiate.
La baisse du "coût du travail" est obtenue en réduisant les salaires et les charges sociales, et en augmentant le temps de travail.
Et pour que les salariés acceptent des conditions moins avantageuses, il est nécessaire d'augmenter la concurrence sur le marché du travail.
Le but central de la mondialisation: augmenter la concurrence sur le marché du travail
Les délocalisations et les chantages à l'emploi ont révélé l'objectif principal de la "mondialisation": instituer un nouvel esclavage en mettant en concurrence directe les salariés de tous les pays, grâce à la suppression des barrières douanières et des restrictions à la circulation des capitaux.
A travers une série d'accords internationaux (établis depuis 1995 dans le cadre de l'OMC), cette déréglementation a permis aux multinationales de dissocier totalement le lieu de production du lieu de vente, en délocalisant les usines en Chine pour vendre les produits en Amérique du Nord ou en Europe, là où se trouvaient les consommateurs et le pouvoir d'achat.
Au début, les délocalisations ne concernaient que les emplois industriels. Aujourd'hui, elles touchent tous les secteurs, y compris le tertiaire (comptabilité, services informatiques, call-centers...) la haute technologie, ou la recherche et développement.
Faire baisser le "coût du travail"
Pour maximiser le profit des entreprises, la solution la plus facile et la plus efficace est de faire baisser le "coût du travail". Il existe d'autres moyens pour accroître les profits (l'innovation, la recherche et développement...), mais leurs résultats sont incertains et ne peuvent être obtenus qu'à long-terme, alors que la réduction du "coût du travail" permet de générer une augmentation des profits de façon certaine et immédiate.
La baisse du "coût du travail" est obtenue en réduisant les salaires et les charges sociales, et en augmentant le temps de travail.
Et pour que les salariés acceptent des conditions moins avantageuses, il est nécessaire d'augmenter la concurrence sur le marché du travail.
Le but central de la mondialisation: augmenter la concurrence sur le marché du travail
Les délocalisations et les chantages à l'emploi ont révélé l'objectif principal de la "mondialisation": instituer un nouvel esclavage en mettant en concurrence directe les salariés de tous les pays, grâce à la suppression des barrières douanières et des restrictions à la circulation des capitaux.
A travers une série d'accords internationaux (établis depuis 1995 dans le cadre de l'OMC), cette déréglementation a permis aux multinationales de dissocier totalement le lieu de production du lieu de vente, en délocalisant les usines en Chine pour vendre les produits en Amérique du Nord ou en Europe, là où se trouvaient les consommateurs et le pouvoir d'achat.
Au début, les délocalisations ne concernaient que les emplois industriels. Aujourd'hui, elles touchent tous les secteurs, y compris le tertiaire (comptabilité, services informatiques, call-centers...) la haute technologie, ou la recherche et développement.
Invité- Invité
Re: Délocalisations et Mondialisation
.../... suite
Les délocalisations continueront tant que les entreprises auront le moindre profit à y gagner, c'est à dire tant que le salarié européen ou nord-américain n'aura pas accepté les mêmes conditions que le salarié chinois, en travaillant 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, avec une semaine de vacances par an, sans protection sociale, le tout pour un salaire de moins de 150 euros par mois.
Certains espèrent qu'avec le temps, les salaires des "pays émergents" rejoindront ceux des pays occidentaux. Mais cet espoir est illusoire tant que l'absence de démocratie dans les pays émergents empêche toute revendication sociale pour l'amélioration des salaires et des conditions de travail. De même, tant que la surpopulation assure une surabondance de main d'oeuvre disponible, l'égalisation des conditions de travail et des salaires ne peut se faire que par le bas.
Cette baisse massive et durable du coût du travail pour les entreprises rend moins utiles les investissements dans la robotisation des moyens de production, les esclaves coûtant encore moins cher que les robots. Ainsi, les usines délocalisées en Europe de l'Est ou en Chine ressemblent aux usines des années 70, avec un retour au travail à la chaine des ouvriers.
https://www.syti.net/Delocalisations.html
Les délocalisations continueront tant que les entreprises auront le moindre profit à y gagner, c'est à dire tant que le salarié européen ou nord-américain n'aura pas accepté les mêmes conditions que le salarié chinois, en travaillant 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, avec une semaine de vacances par an, sans protection sociale, le tout pour un salaire de moins de 150 euros par mois.
Certains espèrent qu'avec le temps, les salaires des "pays émergents" rejoindront ceux des pays occidentaux. Mais cet espoir est illusoire tant que l'absence de démocratie dans les pays émergents empêche toute revendication sociale pour l'amélioration des salaires et des conditions de travail. De même, tant que la surpopulation assure une surabondance de main d'oeuvre disponible, l'égalisation des conditions de travail et des salaires ne peut se faire que par le bas.
Cette baisse massive et durable du coût du travail pour les entreprises rend moins utiles les investissements dans la robotisation des moyens de production, les esclaves coûtant encore moins cher que les robots. Ainsi, les usines délocalisées en Europe de l'Est ou en Chine ressemblent aux usines des années 70, avec un retour au travail à la chaine des ouvriers.
https://www.syti.net/Delocalisations.html
Invité- Invité
Re: Délocalisations et Mondialisation
OMC Gatts AMI, €urope...
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
L'AMI est un accord économique international négocié dans le plus grand secret depuis 1995 sous l'égide de l'OCDE, et dont les conséquences constituent une menace sans précédent pour la démocratie.
Les médias, qui appartiennent pour la plupart à des multinationales favorables à l'AMI, ont été d'une extraordinaire discrétion sur l'existence et le contenu de ce traité, malgré sa portée historique.
Le principe central de l'AMI est de créer tout un ensemble de droits nouveaux pour les multinationales, au détriment des états et des populations, et sans aucune obligation en contrepartie.
Les dispositions de l'AMI permettraient notamment à une multinationale de traîner un Etat en justice (devant une nouvelle juridiction internationale prévue par le traité) dès lors que des réglementations de cet état créent des différences de traitement entre les investisseurs nationaux et étrangers, ou encore si ils créent des conditions de concurrence déloyale.
Ces dispositions semblent anodines, mais leur portée touche presque tous les domaines de l'intervention des Etats. Ainsi, les lois en matière de protection de l'environnement pourront être annulées si elles sont plus sévères que dans d'autres pays où l'investisseur est établi. De même, les subventions versées par les états au secteur culturel, ou à l'éducation publique, sont autant de conditions de concurrence déloyale par rapport à des pays où ces secteurs ne sont pas subventionnés par l'état.
Avec l'AMI, les "investisseurs" pourront exiger l'annulation des lois nationales, et obtenir des états une indemnisation financière du préjudice subi.
Concrètement, l'AMI signifie l'abdication des Etats en faveur des multinationales, et la fin de tout pouvoir réel des gouvernements élus. Il signifierait la fin de la démocratie, en vidant le bulletin de vote de tout contenu réel.
La France, l'Europe, et l'AMI
En 1998, après trois ans de négociations que les gouvernements et les médias avaient tenues secrètes, un vaste mouvement d'intellectuels, d'artistes, et d'associations citoyennes comme Attac a contraint nos responsables politiques à avouer l'existence des négociations sur l'AMI et à ouvrir un débat public.
Le 14 Octobre 1998, à l'occasion d'une question posée à l'Assemblée Nationale, Lionel Jospin a annoncé que la France ne participerait plus aux négociations de l'AMI. (voir le texte intégral de la déclaration du Premier Ministre qui définissait officiellement la position française sur l'AMI). Le refus de la France avait alors encouragé les réticences d'autres pays, et provoqué l'arrêt des négociations de l'AMI. Mais au début de l'année 2000, le gouvernement Jospin était revenu à une attitude beaucoup plus conciliante vis à vis du processus de mondialisation.
En Novembre 2000, lors du sommet européen de Biarritz, le gouvernement français avait donné son accord à une modification de l'article 133 du Traité d'Amsterdam, en vue de permettre à la Commission Européenne de négocier les futurs accords multilatéraux à la place des états. Si cette mesure est adoptée, les états n'auront plus aucun moyen de s'opposer aux futurs accords de type AMI. Bientôt, les états européens se trouveront engagés par des accords qu'ils n'auront pas signés, et pour lesquels ni les parlementaires ni les citoyens n'auront été consultés.
Entre temps, l'AMI est redevenu d'actualité: les négociations ont repris fin 2002, cette fois dans le cadre de l'OMC au lieu de l'OCDE.
En plus de l'AMI, des nouveaux projets de traités multilatéraux similaires ont vu le jour, notamment le traité "NTM" (Nouveau Marché Transatlantique), conduit par le commissaire européen Leon Brittan, et surtout l'AGCS (Accord Général sur le Commerce des Services).
Comme l'AMI, le NTM et l'AGCS visent à réduire le pouvoir économique des états, et à démanteler méthodiquement et l'ensemble des réglementations sociales et environnementales.
Les médias, qui appartiennent pour la plupart à des multinationales favorables à l'AMI, ont été d'une extraordinaire discrétion sur l'existence et le contenu de ce traité, malgré sa portée historique.
Le principe central de l'AMI est de créer tout un ensemble de droits nouveaux pour les multinationales, au détriment des états et des populations, et sans aucune obligation en contrepartie.
Les dispositions de l'AMI permettraient notamment à une multinationale de traîner un Etat en justice (devant une nouvelle juridiction internationale prévue par le traité) dès lors que des réglementations de cet état créent des différences de traitement entre les investisseurs nationaux et étrangers, ou encore si ils créent des conditions de concurrence déloyale.
Ces dispositions semblent anodines, mais leur portée touche presque tous les domaines de l'intervention des Etats. Ainsi, les lois en matière de protection de l'environnement pourront être annulées si elles sont plus sévères que dans d'autres pays où l'investisseur est établi. De même, les subventions versées par les états au secteur culturel, ou à l'éducation publique, sont autant de conditions de concurrence déloyale par rapport à des pays où ces secteurs ne sont pas subventionnés par l'état.
Avec l'AMI, les "investisseurs" pourront exiger l'annulation des lois nationales, et obtenir des états une indemnisation financière du préjudice subi.
Concrètement, l'AMI signifie l'abdication des Etats en faveur des multinationales, et la fin de tout pouvoir réel des gouvernements élus. Il signifierait la fin de la démocratie, en vidant le bulletin de vote de tout contenu réel.
La France, l'Europe, et l'AMI
En 1998, après trois ans de négociations que les gouvernements et les médias avaient tenues secrètes, un vaste mouvement d'intellectuels, d'artistes, et d'associations citoyennes comme Attac a contraint nos responsables politiques à avouer l'existence des négociations sur l'AMI et à ouvrir un débat public.
Le 14 Octobre 1998, à l'occasion d'une question posée à l'Assemblée Nationale, Lionel Jospin a annoncé que la France ne participerait plus aux négociations de l'AMI. (voir le texte intégral de la déclaration du Premier Ministre qui définissait officiellement la position française sur l'AMI). Le refus de la France avait alors encouragé les réticences d'autres pays, et provoqué l'arrêt des négociations de l'AMI. Mais au début de l'année 2000, le gouvernement Jospin était revenu à une attitude beaucoup plus conciliante vis à vis du processus de mondialisation.
En Novembre 2000, lors du sommet européen de Biarritz, le gouvernement français avait donné son accord à une modification de l'article 133 du Traité d'Amsterdam, en vue de permettre à la Commission Européenne de négocier les futurs accords multilatéraux à la place des états. Si cette mesure est adoptée, les états n'auront plus aucun moyen de s'opposer aux futurs accords de type AMI. Bientôt, les états européens se trouveront engagés par des accords qu'ils n'auront pas signés, et pour lesquels ni les parlementaires ni les citoyens n'auront été consultés.
Entre temps, l'AMI est redevenu d'actualité: les négociations ont repris fin 2002, cette fois dans le cadre de l'OMC au lieu de l'OCDE.
En plus de l'AMI, des nouveaux projets de traités multilatéraux similaires ont vu le jour, notamment le traité "NTM" (Nouveau Marché Transatlantique), conduit par le commissaire européen Leon Brittan, et surtout l'AGCS (Accord Général sur le Commerce des Services).
Comme l'AMI, le NTM et l'AGCS visent à réduire le pouvoir économique des états, et à démanteler méthodiquement et l'ensemble des réglementations sociales et environnementales.
https://www.syti.net/Images/PascalLamy_OMC5.jpg
https://www.syti.net/Images/MDM/MMBrittan2.jpg
https://www.syti.net/Images/MDM/MMBrittan2.jpg
Pascal Lamy et Leon Brittan, Commissaires Européens, et fervents partisans de la mondialisation économique. Inconnus du public, ils oeuvrent à l'adoption de l'AMI, du NTM, et de la modification de l'article 133.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
A lire absolument, les excellents textes publiés par Le Monde Diplomatique sur l'AMI et la globalisation de l'économie:
AMI: Le nouveau manifeste du capitalisme mondial, par L.M.Wallach
Désarmer les marchés, par Ignacio Ramonet, rédacteur en chef du Monde Diplomatique. L'article qui a été à l'origine de la fondation d'ATTAC
Pour en savoir plus sur le ZLEA et ses conséquences sur la justice sociale et l'environnement, en particulier au Canada
Un article sur les nouveaux accords multilatéraux en préparation, et sur la collusion entre les multinationales et la Commission Européenne.
Le site de l'organisation ATTAC , et son dossier sur l'AMI
Le dossier d'Attac Canada sur le ZLEA
AMI: Le nouveau manifeste du capitalisme mondial, par L.M.Wallach
Désarmer les marchés, par Ignacio Ramonet, rédacteur en chef du Monde Diplomatique. L'article qui a été à l'origine de la fondation d'ATTAC
Pour en savoir plus sur le ZLEA et ses conséquences sur la justice sociale et l'environnement, en particulier au Canada
Un article sur les nouveaux accords multilatéraux en préparation, et sur la collusion entre les multinationales et la Commission Européenne.
Le site de l'organisation ATTAC , et son dossier sur l'AMI
Le dossier d'Attac Canada sur le ZLEA
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
Je me souviens dans des conférences et des news de l'UPR il était souvent questiond 'état trainés en justice par des multis-nationales.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
Petit Bonus démocratie :
https://www.syti.net/AMI.html
A la finde l'article il aprle des éuqivalent nord américains et des manifestations au Québec répprimmées dans la violence.
Et lien vers sur les répression des manifestations anti-mondialisation :
https://www.syti.net/FTAArepression.html
Prochains étape OMC et accord du GATTS.
On gardera l'immonde merde qu'est l'€urope et sa constitution foireuse pour la fin.
https://www.syti.net/AMI.html
A la finde l'article il aprle des éuqivalent nord américains et des manifestations au Québec répprimmées dans la violence.
Les manifestations qui ont quand même eu lieu à Québec contre le FTAA ont fait l'objet d'une répression incroyablement violente. De jeunes manifestants ont été mutilés à vie par des grenades ou les balles en caoutchouc tirées délibérément à faible distance par les policiers, au mépris des règles légales prévues pour l'utilisation de ces armes.
Tout cela en dit long sur le caractère "démocratique" de ces accords.
Et lien vers sur les répression des manifestations anti-mondialisation :
https://www.syti.net/FTAArepression.html
Prochains étape OMC et accord du GATTS.
On gardera l'immonde merde qu'est l'€urope et sa constitution foireuse pour la fin.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
Sergei a écrit:.../... suite
Les délocalisations continueront tant que les entreprises auront le moindre profit à y gagner, c'est à dire tant que le salarié européen ou nord-américain n'aura pas accepté les mêmes conditions que le salarié chinois, en travaillant 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, avec une semaine de vacances par an, sans protection sociale, le tout pour un salaire de moins de 150 euros par mois.
Certains espèrent qu'avec le temps, les salaires des "pays émergents" rejoindront ceux des pays occidentaux. Mais cet espoir est illusoire tant que l'absence de démocratie dans les pays émergents empêche toute revendication sociale pour l'amélioration des salaires et des conditions de travail. De même, tant que la surpopulation assure une surabondance de main d'oeuvre disponible, l'égalisation des conditions de travail et des salaires ne peut se faire que par le bas.
Cette baisse massive et durable du coût du travail pour les entreprises rend moins utiles les investissements dans la robotisation des moyens de production, les esclaves coûtant encore moins cher que les robots. Ainsi, les usines délocalisées en Europe de l'Est ou en Chine ressemblent aux usines des années 70, avec un retour au travail à la chaine des ouvriers.
https://www.syti.net/Delocalisations.html
Ce que tu dis est vrai et fort intéressant... mais as-tu une solution alternative, hormis les poncifs communo-gauchistes habituels, qui sont inapplicables et dont on ne veut pas.
.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11688
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Délocalisations et Mondialisation
Mes poncifs, c'est la seule issue à l'injsutice. Et puis quand on compare votre démocrature :
https://www.syti.net/FTAArepression.html
Qui carburait autrefois à la mitraille au fusil baillonette et canon. maintenant à la Gumcoin, GLI, lacrymo LBD et matraque combiné à des accords signés dans notre dos...
Corruption, propagande par des merdias privés, désinformation... Etc etc etc...
Comment les défenseur d'une telle gabeurie peuvent à la fois défendre ça, et triater le système de conseil soviétique de dictature? Que le système de conseil soviétique ne fusse pas parfait je veux bien, mais soyez cohérent.
Pareille pour les crimes d'état.
Les U.S.A et la CIA qui font des reprohes à l'URSS c’est à se tordre de rire.
Et gauchiste... Je ne suis pas gauchiste. excusez-vous pour ça.
Le gaullisme serait une alternative viable pour maximum 10 piges.
C'est si vous êtes des tapettes que le communisme c'est pas pour vous mais vous avez assez d'honneur et de courage pour vous opposer à ça.
https://www.syti.net/FTAArepression.html
Qui carburait autrefois à la mitraille au fusil baillonette et canon. maintenant à la Gumcoin, GLI, lacrymo LBD et matraque combiné à des accords signés dans notre dos...
Corruption, propagande par des merdias privés, désinformation... Etc etc etc...
Comment les défenseur d'une telle gabeurie peuvent à la fois défendre ça, et triater le système de conseil soviétique de dictature? Que le système de conseil soviétique ne fusse pas parfait je veux bien, mais soyez cohérent.
Pareille pour les crimes d'état.
Les U.S.A et la CIA qui font des reprohes à l'URSS c’est à se tordre de rire.
Et gauchiste... Je ne suis pas gauchiste. excusez-vous pour ça.
Le gaullisme serait une alternative viable pour maximum 10 piges.
C'est si vous êtes des tapettes que le communisme c'est pas pour vous mais vous avez assez d'honneur et de courage pour vous opposer à ça.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Délocalisations et Mondialisation
Jeanlouis12 a écrit:... qui sont inapplicables et dont on ne veut pas.
... Et vous êtes combien dans ton "on" ?
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20684
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Délocalisations et Mondialisation
Une minorité qui fait chier la terre entière.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Edouard de Montmonrency aime ce message
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