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La défaite numérique de mélenchon
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La défaite numérique de mélenchon
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La presse semble relativement unanime pour reconnaître à mélenchon d'avoir eu la capacité de rassembler les gauches (PS, EELV) et les extrêmes gauches (LFI, PCF, NPA).
Mais dans les négos qui se sont tenues juste après la présidentielle, avec les bas scores que l'on sait pour les partis autres que LFI, melenchon en a profité pour humilier ses futurs associés en brandissant leur piteux scores de la présidentielle, notamment pour le PS, qu'il exècre. L'objectif -atteint- était de faire accepter à ses alliés obligés un maximum d'investitures de candidats LFI, ce qui fut fait. Ainsi, 360 candidats LFI furent investis, contre 70 pour le PS.
Or, le forcing mélenchonnien a fait sélectionner dans beaucoup de circos des candidats LFI pas très connus, pas très bons, souvent mauvais, au détriment d'autres candidatures potentielles du PS, du PC et d'EELV qui étaient bien meilleurs.
L'égocentisme méluchien et sa volonté de dominer et de diriger de fait la nupes en se moquant de ses associés à fait que de bons candidats des trois autres partis associés ont été écartés, y compris parfois des sortants. Ainsi de piètres candidats LFI ont perdu ou vont perdre, alors que si mélenchon avait accepté le bon candidat d'un autre parti associé, la nupes aurait gagné des élus.
Appliquée à la France entière, la technique égoïste mélenchonienne a fait perdre au groupe nupes des dizaines d'élus. Il est très vraisemblable que s'il y avait eu une négo franche, consistant à examiner objectivement dans chaque circo quel était le meilleur candidat, aujourd'hui la nupes serait majoritaire non seulement en voix, mais en sièges projetés. Le slogan mélenchonnien de sa "nomination comme Premier ministre" aurait pris du lustre.
Au lieu de ça, par son égoïsme, son melon démesuré et sa volonté d'écraser ses propres partenaires, mélenchon a fait le forcing pour imposer partout où il a pu ses mauvais candidats, y compris ceux dont il anticipait la défaite. C'est pour cette raison que la nupe perd et c'est bien fait pour la grande gueule mélenchon.
Ses associés malheureux ont bien vu le stratagème, mais ils ont cédé sous la pression de l'ogre politique rugissant. Ils vont prendre leur revanche en quittant progressivement la nupes, comme d'ailleurs Jadot l'a annoncé pour les européennes de 2024.
Les gens de droite ne s'en plaindront pas !
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La presse semble relativement unanime pour reconnaître à mélenchon d'avoir eu la capacité de rassembler les gauches (PS, EELV) et les extrêmes gauches (LFI, PCF, NPA).
Mais dans les négos qui se sont tenues juste après la présidentielle, avec les bas scores que l'on sait pour les partis autres que LFI, melenchon en a profité pour humilier ses futurs associés en brandissant leur piteux scores de la présidentielle, notamment pour le PS, qu'il exècre. L'objectif -atteint- était de faire accepter à ses alliés obligés un maximum d'investitures de candidats LFI, ce qui fut fait. Ainsi, 360 candidats LFI furent investis, contre 70 pour le PS.
Or, le forcing mélenchonnien a fait sélectionner dans beaucoup de circos des candidats LFI pas très connus, pas très bons, souvent mauvais, au détriment d'autres candidatures potentielles du PS, du PC et d'EELV qui étaient bien meilleurs.
L'égocentisme méluchien et sa volonté de dominer et de diriger de fait la nupes en se moquant de ses associés à fait que de bons candidats des trois autres partis associés ont été écartés, y compris parfois des sortants. Ainsi de piètres candidats LFI ont perdu ou vont perdre, alors que si mélenchon avait accepté le bon candidat d'un autre parti associé, la nupes aurait gagné des élus.
Appliquée à la France entière, la technique égoïste mélenchonienne a fait perdre au groupe nupes des dizaines d'élus. Il est très vraisemblable que s'il y avait eu une négo franche, consistant à examiner objectivement dans chaque circo quel était le meilleur candidat, aujourd'hui la nupes serait majoritaire non seulement en voix, mais en sièges projetés. Le slogan mélenchonnien de sa "nomination comme Premier ministre" aurait pris du lustre.
Au lieu de ça, par son égoïsme, son melon démesuré et sa volonté d'écraser ses propres partenaires, mélenchon a fait le forcing pour imposer partout où il a pu ses mauvais candidats, y compris ceux dont il anticipait la défaite. C'est pour cette raison que la nupe perd et c'est bien fait pour la grande gueule mélenchon.
Ses associés malheureux ont bien vu le stratagème, mais ils ont cédé sous la pression de l'ogre politique rugissant. Ils vont prendre leur revanche en quittant progressivement la nupes, comme d'ailleurs Jadot l'a annoncé pour les européennes de 2024.
Les gens de droite ne s'en plaindront pas !
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: La défaite numérique de mélenchon
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Ça devrait faire réagir les PS/PC/EELV... qui se sont faits rouler dans la farine par le rougeot repris de justice !
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Ça devrait faire réagir les PS/PC/EELV... qui se sont faits rouler dans la farine par le rougeot repris de justice !
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
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