Indignations patronales

[Vladimir de Volog]

"Et en plus ils voudraient être mieux payés, travailler moins, pourquoi pas être déclarés tant qu'ils y sont" ?

C'est un florilège dans la presse quotidienne régionale diffusant sur les zones touristiques. Le lobby patronal déverse ses poubelles de haines de classe contre "ces feignants qui refusent de bosser" sous les ordres de ceux qui condescendent à parfois les payer au lance pierre, éreintant au passage ceux des restaurateurs -moins souvent des hôteliers- qui tentent de se remettre dans les clous de pratiques sociales plus dans les normes. "Vous rendez vous compte ? Pas encore assez d'Ukrainiennes pour prendre la relève, ces salauds vont nous gâcher la saison"

Mais quand un-e journaliste fait bien son taf - il y en a, on en apprend (en fait se confirme) de belles : violences verbales, voire physiques, heures sups non déclarées et souvent non payées, chantage à la carte de séjour pour les sans papiers surexploités, retenues illégales en matière d'avantages en nature... la liste reste ouverte.

Arguments de nos esclavagistes contemporains : "Si on devaient les payer comme ils le demandent, il ne nous resterait rien ou presque". Démonstration s'il le fallait que c'est bien les salarié-e-s qui créent la richesse et pas celles qui tient le tiroir caisse ou celui qui hurle à coté du passe plat.

[Vladimir de Volog]

Cette colère est réjouissante. Elle indique qu'enfin les salarié-e-s tapent du point sur la table en matière de salaires tout comme les personels commerciaux navigants de Ryanair pour ne citer que ces deux branches parmi les plus vulnérables aux pressions patronales. Ils participent à l'onde montante des gaziers électriciens, agents des TU, les cheminots, métallos, agro-industriels, commerce, chimie, fonctionnaires etc. montrant ainsi que la convergence de luttes n'est pas un rendez-vous calendaire mais le rassemblement autour de revendications qui fédèrent les actions.

Au passage cela montre la dichotomie entre débat politique et luttes sociales. Si l'alternative indispensable pour sortir du capitalisme demande d'occuper les deux espaces et sur des bases de classe affirmées, l'une ne peux avoir mission de se substituer à l'autre et ne peut prétendre exercer de tutelles sur l'autre.

Là en ce début d'été 2022 est la vraie peur du connétable du MEDEF logé à nos frais Faubourg St Honoré.

[Edouard de Montmonrency]

Les indignations patronales c'est aussi tactique, se victimiser constamment et pleurnicher, ça rapporte (des fois) même quand ce n'est pas légitime. Le chouchou nantis du pouvoir est souvent écouté.

[Minos de Rhadamanthe]

#VOLOG MENT, comme toujours !!

Le pb des petits commerces c'est JUSEMENT de trouver des gens prêt à travailler DECLARES ! La majorité des gens qui veulent bien bosser ne veulent pas être déclarés car sinon ils perdraient leur rente de l'Etat !!

C'est ça la différence entre ceux qui vivent la réalité et ceux qui la lisent dans les torchons communistes !!

[Vladimir de Volog]

#VOLOG MENT, comme toujours !!Le pb des petits commerces c'est JUSEMENT de trouver des gens prêt à travailler DECLARES ! La majorité des gens qui veulent bien bosser ne veulent pas être déclarés car sinon ils perdraient leur rente de l'Etat !!C'est ça la différence entre ceux qui vivent la réalité et ceux qui la lisent dans les torchons communistes !!

JE NE MENTS pas, toi tu fabules, tu insultes, tu manipules. C'est normal, un bas du front ne dit jamais la vérité.

[Vladimir de Volog]

Les indignations patronales c'est aussi tactique, se victimiser constamment et pleurnicher, ça rapporte (des fois) même quand ce n'est pas légitime. Le chouchou nantis du pouvoir est souvent écouté.

Le travail non déclaré est illégal.

Si l'on découvre qu'un employeur a employé des salariés non déclarés (par exemple lors d'une inspection du travail), alors il encoure des sanctions financières et pénales. Un employeur encours jusqu'à 45 000€ d'amende, et 3 ans de prison s'il fait travailler un salarié non déclaré.

C'est ainsi que tous les ans des milliards de fraude aux cotisations sociales disparaissent , mais comme il manque d'inspecteurs du travail, bien peu sont sanctionnés. 14 milliards d'euros de fraude faites par la Cour des comptes

[Jean-Louis de Toqueville]

#VOLOG MENT, comme toujours !!Le pb des petits commerces c'est JUSEMENT de trouver des gens prêt à travailler DECLARES ! La majorité des gens qui veulent bien bosser ne veulent pas être déclarés car sinon ils perdraient leur rente de l'Etat !!C'est ça la différence entre ceux qui vivent la réalité et ceux qui la lisent dans les torchons communistes !!

JE NE MENTS pas, toi tu fabules, tu insultes, tu manipules.  C'est normal, un bas du front ne dit jamais la vérité.

Non, il a raison, tu mens, tu triches, tu tronques, comme tous les communards. Dans tous les débats (copiés/collés chez toi), tu es en permanence d'un partisanat imbécile et grotesque, doublé d'une mauvaise foi insigne.

Tu dois avoir une bien mauvaise vie pour hainer en permanence autour de toi !


.

[Monsieur Trololo]

sinon ils perdraient leur rente de l'Etat !!

Si ils ont besoin d'une rente de l'état c'est manifestement que l'employeur ne les paie pas assez ...

[Edouard de Montmonrency]

Les indignations patronales c'est aussi tactique, se victimiser constamment et pleurnicher, ça rapporte (des fois) même quand ce n'est pas légitime. Le chouchou nantis du pouvoir est souvent écouté.

Le travail non déclaré est illégal.

Si l'on découvre qu'un employeur a employé des salariés non déclarés (par exemple lors d'une inspection du travail), alors il encoure des sanctions financières et pénales. Un employeur encours jusqu'à 45 000€ d'amende, et 3 ans de prison s'il fait travailler un salarié non déclaré.

C'est ainsi que tous les ans des milliards de fraude aux cotisations sociales disparaissent , mais comme il manque d'inspecteurs du travail, bien peu sont sanctionnés.    14 milliards d'euros de fraude faites par la Cour des comptes

C'est comme pour le sanitaire (pizza, lait, and Co), les inspections sont faites au compte-goute (le patronat est content). Mais c'est une volonté politique (pour réduire soit disant, les frais de fonctionnement et des intermédiaires pour etre plus compétitif avec les autres pays membre UE).

[Minos de Rhadamanthe]

sinon ils perdraient leur rente de l'Etat !!

Si ils ont besoin d'une rente de l'état c'est manifestement que l'employeur ne les paie pas assez ...

Il y a surtout que s'ils déclarent leur revenus, ils perdront cette rente !!
Et entre gagner peu mais sans rien faire et gagner plus mais en bossant, le français moyen à vite fait son choix!!
La rente !!

[Vladimir de Volog]

Les indignations patronales c'est aussi tactique, se victimiser constamment et pleurnicher, ça rapporte (des fois) même quand ce n'est pas légitime. Le chouchou nantis du pouvoir est souvent écouté.

Le travail non déclaré est illégal.

Si l'on découvre qu'un employeur a employé des salariés non déclarés (par exemple lors d'une inspection du travail), alors il encoure des sanctions financières et pénales. Un employeur encours jusqu'à 45 000€ d'amende, et 3 ans de prison s'il fait travailler un salarié non déclaré.

C'est ainsi que tous les ans des milliards de fraude aux cotisations sociales disparaissent , mais comme il manque d'inspecteurs du travail, bien peu sont sanctionnés.    14 milliards d'euros de fraude faites par la Cour des comptes

C'est comme pour le sanitaire (pizza, lait, and Co), les inspections sont faites au compte-goute (le patronat est content). Mais c'est une volonté politique (pour réduire soit disant, les frais de fonctionnement et des intermédiaires pour etre plus compétitif avec les autres pays membre UE).

Il n'y a pas assez de contrôleurs, le patronat s'y retrouve, le gouvernement complice.

[Minos de Rhadamanthe]

Il n'y a pas assez de contrôleurs, le patronat s'y retrouve, le gouvernement complice.

Autant de conneries en une seule phrase...
On sent bien que vous êtes entrainé...

[Vladimir de Volog]

[Jean-Louis de Toqueville]

"Et en plus ils voudraient être mieux payés, travailler moins, pourquoi pas être déclarés tant qu'ils y sont" ?

C'est un florilège dans la presse quotidienne régionale diffusant sur les zones touristiques. Le lobby patronal déverse ses poubelles de haines de classe contre "ces feignants qui refusent de bosser" sous les ordres de ceux qui condescendent à parfois les payer au lance pierre,  éreintant au passage ceux des restaurateurs -moins souvent des hôteliers- qui tentent de se remettre dans les clous de pratiques sociales plus dans les normes. "Vous rendez vous compte ? Pas encore assez d'Ukrainiennes pour prendre la relève, ces salauds vont nous gâcher la saison"

Mais quand un-e journaliste fait bien son taf - il y en a, on en apprend (en fait se confirme) de belles : violences verbales, voire physiques, heures sups non déclarées et souvent non payées, chantage à la carte de séjour pour les sans papiers surexploités, retenues illégales en matière d'avantages en nature... la liste reste ouverte.

Arguments de nos esclavagistes contemporains : "Si on devaient les payer comme ils le demandent, il ne nous resterait rien ou presque". Démonstration s'il le fallait que c'est bien les salarié-e-s qui créent la richesse et pas celles qui tient le tiroir caisse ou celui qui hurle à coté du passe plat.

Source: le torchon révolutionnaire stalinien revolutopia
https://amers-cap.com/2022/06/indignations-patronales.html



.

[Jean-Louis de Toqueville]

Cette colère est réjouissante. Elle indique qu'enfin les salarié-e-s tapent du point sur la table en matière de salaires tout comme les personels commerciaux navigants de Ryanair pour ne citer que ces deux branches parmi les plus vulnérables aux pressions patronales. Ils participent à l'onde montante des gaziers électriciens, agents des TU, les cheminots, métallos, agro-industriels, commerce, chimie, fonctionnaires etc. montrant ainsi que la convergence de luttes n'est pas un rendez-vous calendaire mais le rassemblement autour de revendications qui fédèrent les actions.

Au passage cela montre la dichotomie entre débat politique et luttes sociales. Si l'alternative indispensable pour sortir du capitalisme demande d'occuper les deux espaces et sur des bases de classe affirmées, l'une ne peux avoir mission de se substituer à l'autre et ne peut prétendre exercer de tutelles sur l'autre.

Là en ce début d'été 2022 est la vraie peur du connétable du MEDEF logé à nos frais Faubourg St Honoré.

Source: le canard révolo stalinien revolumachin
https://amers-cap.com/2022/06/indignations-patronales.html



.

[Minos de Rhadamanthe]

Il a raison pour le début, PERSONNE ne donne de travail !
Si vous étiez un tout petit peu au courant du fonctionnement du monde du travail, vous sauriez qu'au moment de l'embauche, on signe un contrat de travail dans lequel le salarié accepte d'échanger sa force de travail contre un salaire. Il s'agit d'un échange : Travail contre argent !
Si vous trouvez que vous ne gagnez pas assez d'argent pour votre travail, RIEN ne vous empêche de changer d'emploi !

Votre gars, n'a rien compris au système, il le démontre à la fin en disant que c'est le salarié qui paie, ENORME CONNERIE GAUCHISTE !
Dans un contrat, si l'une des parties n'est plus contente, il suffit de quitter le contrat...
Donc un salarié qui RESTE à son poste sans démissionner, accepte simplement d'honorer le contrat qu'il a signé !
Sinon, encore une fois : DEMISSIONNEZ !!! (Encore faut-il en avoir les C... !!)

[Vladimir de Volog]

(Encore faut-il en avoir les Couilles !!)

Je constate que chez les fachos on parle souvent de cojones, ça leur donne l'impression d'être de vrais hommes !!!!

[Plaristes Evariste]

Un esclave qui fuit sa plantation car il en a marre d'être fouetté, ou bien un serf qui part vivre en Hermite dans les bois car il peux plus bairer son seigneur n'est qu'un fuyard.

Il ne changera pas les choses.

L'esclave se fera rattrapé sa famille battue pour avoir fui et on lui couper ale jarret.
L'Hermite on va le retrouver à la prochaine chasse du seigneur.

Le prolo pareil RSA ou la rue.


Le courage est d’engager le rapport de force. Via une grève par exemple. Ha mais c'est sûr que les actions collectives Oemga95 il connaît pas.

[Edouard de Montmonrency]

...
Le courage est d’engager le rapport de force. Via une grève par exemple. Ha mais c'est sûr que les actions collectives Oemga95 il connaît pas.

Un rapport de force sans frontières souveraines (sans une zone protégée), c'est impossible (il y aura toujours pire ailleurs pour délocaliser dans une mondialisation) ... autant pisser dans un violon.

Et je ne considère pas la zone UE comme protectrice (aux vues des dumpings tous azimuts, sociaux, salariaux (smics avec différentiels de 1 a 5 fois), fiscaux, and Co).

[Minos de Rhadamanthe]

 (Encore faut-il en avoir les Couilles !!)

Je constate que chez les fachos on parle souvent de cojones, ça leur donne l'impression d'être de vrais hommes !!!!  

Une petite plainte pour insulte, ça vous dirait Volog ?!

[Minos de Rhadamanthe]

Un esclave qui fuit sa plantation car il en a marre d'être fouetté, ou bien un serf qui part vivre en Hermite dans les bois car il peux plus bairer son seigneur n'est qu'un fuyard.

Il ne changera pas les choses.

L'esclave se fera rattrapé sa famille battue pour avoir fui et on lui couper ale jarret.
L'Hermite on va le retrouver à la prochaine chasse du seigneur.

Le prolo pareil RSA ou la rue.

Comparer le prolo actuel à un esclave... battu... fouetté...
Audiard avait raison, ils osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait !!!

Le courage est d’engager le rapport de force. Via une grève par exemple. Ha mais c'est sûr que les actions collectives Oemga95 il connaît pas.

MAis, si, mais, si...
On connait même QUE ça en France...
On connait tellement, qu'on n'y fait même plus attention...
Le calendrier des grèves est fournit avec tous les tickets SNCF/RATP de nos jours...

[Vladimir de Volog]

 (Encore faut-il en avoir les Couilles !!)

Je constate que chez les fachos on parle souvent de cojones, ça leur donne l'impression d'être de vrais hommes !!!!  

Une petite plainte pour insulte, ça vous dirait Volog ?!

M'en tamponne le coquillard ....

[Monsieur Trololo]

Comparer le prolo actuel à un esclave... battu... fouetté...  

C'est pourtant le cas dans beaucoup de pays, pas encore en France mais avec des Zozos comme  vous on pourrait  bien finir par y arriver pour "se mettre au niveau de la concurrence" ...

[Minos de Rhadamanthe]

Comparer le prolo actuel à un esclave... battu... fouetté...  

C'est pourtant le cas dans beaucoup de pays, pas encore en France mais avec des Zozos comme  vous on pourrait  bien finir par y arriver pour "se mettre au niveau de la concurrence" ...

Oui, l'esclavage existe encore et c'st une honte !!
Ce qui est le plus honteux, c'est d'oser comparer nos cas sociaux rentiers de la république, logés, nourrit à regarder Netflix avec les vrais esclaves !!
C'est honteux !! Et vous mériteriez d'expérimenter ce qu'est le vrai esclavage pour vous apprendre la vie !!! la vraie !!

[Monsieur Trololo]

Ce qui est le plus honteux, c'est d'oser comparer nos cas sociaux rentiers de la république, logés, nourrit à regarder Netflix avec les vrais esclaves !!

Ah Ouais ???

D'où est-ce que j'aurais écrit une chose pareille ???

Votre mauvaise foi ne connait pas de limites Omega95 !!

[Contenu sponsorisé]