Des larmes, mais toujours pas de regrets.

[Vladimir de Volog]

Des larmes, mais toujours pas de regrets.


Procès France Télécom. L’émotion sélective des prévenus
Justice Lors du dernier jour du procès en appel France Télécom, les ex-dirigeants ont versé quelques larmes sur leur sort et se sont défaussés sur l’État dans cette crise sociale inédite.

Des larmes, mais toujours pas de regrets. Vendredi, lors de la clôture du procès en appel pour harcèlement moral institutionnel des anciens dirigeants de France Télécom, l’ex-PDG, Didier Lombard, et son bras droit, Louis-Pierre Wenès, ont étouffé­ quelques sanglots au moment de livrer leurs derniers mots.

« Je veux dire devant le tribunal toute l’émotion qui m’a étreint.

Trois ans se sont écoulés (depuis le procès en première instance – NDLR) et pour certains (les victimes – NDLR), la douleur ne s’est pas atténuée. J’en resterai marqué à vie », s’étrangle l’ancien numéro un. De son côté, Louis-Pierre Wenès ne semble plus supporter les jugements de valeur sur son compte :

« Au bout de dix ans, je me fais encore traiter d’homme froid, cynique, qui jette ses équipes par-dessus bord. C’est ­intolérable, ça me blesse dans mon iden­tité », s’agace-t-il, avant de pleurer.
https://www.humanite.fr/social-eco/proces-france-telecom/proces-france-telecom-l-emotion-selective-des-prevenus-756855

[Soliman le Magnifique]

Des larmes, mais toujours pas de regrets.


Procès France Télécom. L’émotion sélective des prévenus
Justice Lors du dernier jour du procès en appel France Télécom, les ex-dirigeants ont versé quelques larmes sur leur sort et se sont défaussés sur l’État dans cette crise sociale inédite.

Des larmes, mais toujours pas de regrets. Vendredi, lors de la clôture du procès en appel pour harcèlement moral institutionnel des anciens dirigeants de France Télécom, l’ex-PDG, Didier Lombard, et son bras droit, Louis-Pierre Wenès, ont étouffé­ quelques sanglots au moment de livrer leurs derniers mots.

« Je veux dire devant le tribunal toute l’émotion qui m’a étreint.

Trois ans se sont écoulés (depuis le procès en première instance – NDLR) et pour certains (les victimes – NDLR), la douleur ne s’est pas atténuée. J’en resterai marqué à vie », s’étrangle l’ancien numéro un. De son côté, Louis-Pierre Wenès ne semble plus supporter les jugements de valeur sur son compte :

« Au bout de dix ans, je me fais encore traiter d’homme froid, cynique, qui jette ses équipes par-dessus bord. C’est ­intolérable, ça me blesse dans mon iden­tité », s’agace-t-il, avant de pleurer.
https://www.humanite.fr/social-eco/proces-france-telecom/proces-france-telecom-l-emotion-selective-des-prevenus-756855

« Je veux dire devant le tribunal toute l’émotion qui m’a étreint. Trois ans se sont écoulés (depuis le procès en première instance – NDLR) et pour certains (les victimes – NDLR), la douleur ne s’est pas atténuée. J’en resterai marqué à vie »

Une phrase floue.
Quelle émotion? Joie, tristesse?
Oui les victimes ont des douleurs mais...lui?
Marqué à vie peut être!  Mais par quoi ? On ne sait pas. Marqué par un bonheur sadique?