« On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Dan 26 ? passionné a écrit:ne pas confondre RMI, et RSACedille a écrit:Dès le XVIIIe siècle, il y eut en Angleterre une initiative que l’on peut considérer comme équivalente, pour l’époque, à l’actuel RMI. Il s’agit du Speenhamland Act adopté en 1795 par les juges du Berkshire. Alors que la loi sur les enclosures répartit les terres agricoles entre des propriétaires exclusifs, les journaliers paysans et les ouvriers ne peuvent plus exploiter les terrains communaux pour s’assurer un complément de subsistance, ce qui se traduit par un développement de la pauvreté. Les juges de Speenhamland décident alors de leur allouer un complément de ressources afin de leur garantir un minimum vital4.
Bien que le RMI soit un dispositif destiné à répondre de manière pragmatique à une urgence sociale liée à la montée du chômage, celui-ci correspond, dans une certaine mesure, au revenu social dont les fondements ont été posés en 1934 par l’économiste Jacques Duboin, théoricien de l’économie distributive.
L'origine de l'idée est discutée en France au sein du Parti socialiste[réf. nécessaire]. Le RMI voit le jour à Besançon le 30 novembre 1973 sous l'appellation dans un premier temps « d'aide aux femmes », dans un second temps « d'aide aux familles » par Mireille Baumann[réf. nécessaire], conseillère municipale. Il est renommé par la suite, et devient le « Minimum social garanti ». Des initiatives locales testent le principe, comme à Rennes sous le nom de « Complément local de ressources », expérience conduite sur plusieurs années par ATD Quart Monde5 et qui contribuera beaucoup aux dispositions légales suivantes[réf. nécessaire].
À la même époque, Lionel Stoléru, après un voyage aux États-Unis où le sujet était discuté, introduit l'idée en France en développant le concept d'impôt négatif dans Vaincre la pauvreté dans les pays riches (1974). Il est une modification majeure du système de protection sociale existant jusqu'alors.
Le RMI vise à insérer les personnes les plus en difficulté dans le monde du travail. Le rapporteur de la loi fut Jean-Michel Belorgey, député PS. La loi no 88-1088 du 1er décembre 1988, instituant le RMI, fut votée à une large majorité : seuls trois députés s'y opposèrent (Gilbert Gantier, Alain Griotteray, et Georges Mesmin) et vingt-quatre s'abstinrent6. Elle fut appliquée à partir du 15 décembre 1988 par le gouvernement de Michel Rocard à l'origine de cette loi, pour qui « le RMI a sauvé de l'absence de ressources près de deux millions de français »7.
amicalement
C'est une mesure qui part du bon sens, vous les bourgeois libéraux volez le peuple et le rendez dépendant du marché du travail capitaliste.
Vous concertez et entassez les population dans les villes, et n'en employez qu'une partie afin de faire pression sur les salaires de la partie qui est employée, pour maintenir en vie la partie non employée vous leur donnez des p'tit biftons des miettas.
https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-27.htm
K.Marx a écrit:ependant, le XVIII° siècle ne comprit pas aussi bien que le XIX° l'identité de ces deux termes : richesse de la nation, pauvreté du peuple. De là la polémique virulente sur l'enclos des communes que l'on rencontre dans la littérature économique de cette époque. Des matériaux immenses qu'elle nous a laissés sur ce sujet, il suffit d'extraire quelques passages qui feront fortement ressortir la situation d'alors.
Dans un grand nombre de paroisses du Hertfordshire, écrit une plume indignée, vingt-quatre fermes renfermant chacune en moyenne de 50 à 150 acres ont été réunies en trois [20]. Dans le Northamptonshire et le Lincolnshire il a été procédé en grand à la clôture des terrains communaux; et la plupart des nouvelles seigneuries issues de cette opération ont été converties en pâturages, si bien que là où on labourait 1.500 acres de terre, on n'en laboure plus que 50... Des ruines de maisons, de granges, d'étables, etc., voilà les seules traces laissées par le anciens habitants. En maint endroit, (les centaines de demeures et de familles... ont été réduites à huit ou dix... Dans la plupart des paroisses où les clôtures ne datent que des quinze ou vingt dernières années, il n'y a qu'un petit nombre de propriétaires, comparé à celui qui cultivait le sol alors que les champs étaient ouverts. Il n'est pas rare de voir quatre ou cinq riches éleveurs de bétail usurper des domaines, naguère enclos, qui se trouvaient auparavant entre les mains de vingt ou trente fermiers et d'un grand nombre de petits propriétaires et de manants. Tous ces derniers et leurs familles sont expulsés de leurs possessions avec nombre d'autres familles qu'ils occupaient et entretenaient [21]. » Ce n'est pas seulement les terres en friche, mais souvent même celles qu'on avait cultivées, soit en commun, soit en payant une certaine redevance à la commune, que les propriétaires limitrophes s'annexèrent sous prétexte d'enclosure. Je parle ici de la clôture de terrains et de champs déjà cultivés. Les écrivains mêmes qui soutiennent les clôtures conviennent que, dans ce cas, elles réduisent la culture, font hausser le prix des subsistances et amènent la dépopulation... Et, lors même qu'il ne s'agit que de terres incultes, l'opération telle qu'elle se pratique aujourd'hui enlève au pauvre une partie de ses moyens de subsistance et active le développement de fermes qui sont déjà trop grandes [22]. » Quand le sol, dit le Dr Price, tombe dans les mains d'un petit nombre de grands fermiers, les petits fermiers [qu'il a, en un autre endroit, désignés comme autant de petits propriétaires et tenanciers vivant eux et leurs familles du produit de la terre qu'ils cultivent, des moutons, de la volaille, des porcs, etc. qu'ils envoient paître sur les communaux] - les petits fermiers seront transformés en autant de gens forcés de gagner leur subsistance en travaillant pour autrui et d'aller acheter au marché ce qui leur est nécessaire. Il se fera plus de travail peut-être, parce qu'il y aura plus de contrainte... Les villes et les manufactures grandiront, parce que l'on y chassera plus de gens en quête d'occupation. C'est en ce sens que la concentration des fermes opère spontanément et qu'elle a opéré depuis nombre d'années dans ce royaume [23]. En somme, et c'est ainsi qu'il résume l'effet général des enclos, la situation des classes inférieures du peuple a empiré sous tous les rapports : les petits propriétaires et fermiers ont été réduits à l'état de journaliers et de mercenaires, et en même temps il est devenu plus difficile de gagner sa vie dans cette condition [24]. » Par le fait, l'usurpation des communaux et la révolution agricole dont elle fut suivie se firent sentir si durement chez les travailleurs des campagnes que, d'après Eden lui-même, de 1765 à 1780, leur salaire commença à tomber au-dessous du minimum et dut être complété au moyen de secours officiels. « Leur salaire ne suffisait plus, dit-il, aux premiers besoins de la vie. »
Écoutons encore un instant un apologiste des inclosures, adversaire du docteur Price : on aurait absolument tort de conclure que le pays se dépeuple parce qu'on ne voit plus dans les campagnes tant de gens perdre leur temps et leur peine. S'il y en a moins dans les champs, il y en a davantage dans les villes... Si, après la conversion des petits paysans en journaliers obligés de travailler pour autrui, il se fait plus de travail, n'est-ce pas là un avantage que la nation [dont les susdits « convertis » naturellement ne font pas partie] ne peut que désirer ? Le produit sera plus considérable, si l'on emploie dans une seule ferme leur travail combiné : il se formera ainsi un excédent de produit pour les manufactures, et celles-ci, vraies mines d'or de notre pays, s'accroîtront proportionnellement à la quantité de grains fournie [25].
Quant à la sérénité d'esprit, au stoïcisme imperturbable, avec lesquels l'économiste envisage la profanation la plus éhontée du « droit sacré de la propriété », et les attentats les plus scandaleux contre les personnes, dès qu'ils aident à établir le mode de production capitaliste, on en peut juger par l'exemple de Sir F.M. Eden, tory et philanthrope. Les actes de rapine, les atrocités, les souffrances qui. depuis le dernier tiers du XV° siècle jusqu'à la fin du XVIII°, forment le cortège de l'expropriation violente des cultivateurs, le conduisent tout simplement à cette conclusion réconfortant.e : « Il fallait établir une juste proportion (due proportion) entre les terres de labour et les terres de pacage. Pendant tout le XIV° siècle et la grande partie du XV°, il y avait encore deux, trois et même quatre acres de terre arable contre un acre de pacage. Vers le milieu du XVI° siècle, cette proportion vint à changer : il y eut d'abord trois acres de pacage sur deux de sol cultivé, puis deux de celui-là sur un seul de celui-ci, jusqu'à ce qu’on arrivât enfin à la juste proportion de trois acres de terres de pacage sur un seul acre arable. »
Au XIX° siècle, on a perdu jusqu'au souvenir du lien intime qui rattachait le cultivateur au sol communal : le peuple des campagnes a-t-il, par exemple, jamais obtenu un liard d'indemnité pour les 3.511.770 acres qu'on lui a arrachés de 1801 à 1831 et que les landlords se sont donnés les uns aux autres par des bills de clôture ?
Le dernier procédé d'une portée historique qu'on emploie pour exproprier les cultivateurs s'appelle clearing of estates, littéralement : « éclaircissement de biens-fonds ». En français on dit « éclaircir une forêt », mais « éclaircir des biens-fonds », dans le sens anglais, ne signifie pas une opération technique d'agronomie; c'est l'ensemble des actes de violence au moyen desquels on se débarrasse et des cultivateurs et de leurs demeures, quand elles se trouvent sur des biens-fonds destinés à passer au régime de la grande culture ou à l'état de pâturage. C'est bien à cela que toutes les méthodes d'expropriation considérées jusqu'ici ont abouti en dernier lieu, et maintenant en Angleterre, là où il n'y a plus de paysans à supprimer, on fait raser, comme nous l'avons vu plus haut, jusqu'aux cottages des salariés agricoles dont la présence déparerait le sol qu’ils cultivent. Mais le « clearing of estates », que nous allons aborder, a pour théâtre propre la contrée de prédilection des romanciers modernes, les Highlands d'Écosse.
Là l'opération se distingue par son caractère systématique, par la grandeur de l'échelle sur laquelle elle s'exécute - en Irlande souvent un landlord fit raser plusieurs villages d'un seul coup; mais dans la haute Écosse, il s'agit de superficies aussi étendues que, plus d'une principauté allemande - et par la forme particulière de la propriété escamotée.
Le peuple des Highlands se composait de clans dont chacun possédait en propre le sol sur lequel il s'était établi. Le représentant du clan, son chef ou « grand homme », n'était que le propriétaire titulaire de ce sol, de même que la reine d'Angleterre est propriétaire titulaire du sol national. Lorsque le gouvernement anglais parvint à supprimer définitivement les guerres intestines de ces grands hommes et leurs incursions continuelles dans les plaines limitrophes de la basse Écosse, ils n'abandonnèrent point leur ancien métier de brigand; ils n'en changèrent que la forme. De leur propre autorité ils convertirent leur droit de propriété titulaire en droit de propriété privée, et, ayant trouvé que les gens du clan dont ils n'avaient plus à répandre le sang faisaient obstacle à leurs projets d'enrichissement, ils résolurent de les chasser de vive force. « Un roi d'Angleterre eût pu tout aussi bien prétendre avoir le droit de chasser ses sujets dans la mer », dit le professeur Newman [26].
On peut suivre les premières phases de cette révolution, qui commence après la dernière levée de boucliers du prétendant, dans les ouvrages de James Anderson [27] et de James Stuart. Celui-ci nous informe qu'à son époque, au dernier tiers du XVIII° siècle, la haute Écosse présentait encore en raccourci un tableau de l'Europe d'il y a quatre cents ans. « La rente [il appelle ainsi à tort le tribut payé au chef de clan] de ces terres est très petite par rapport à leur étendue, mais, si vous la considérez relativement au nombre des bouches que nourrit la ferme, vous trouverez qu'une terre dans les montagnes d'Écosse nourrit peut-être deux fois plus de monde qu'une terre de même valeur dans une province fertile. Il en est de certaines terres comme de certains couvents de moines mendiants : plus il y a de bouches à nourrir, mieux ils vivent [28]. »
Lorsque l'on commença, au dernier tiers du XVIII° siècle, à chasser les Gaëls, on leur interdit en même temps l'émigration à l'étranger, afin de les forcer ainsi à affluer à Glasgow et autres villes manufacturières [29].
Toutes les sources dans le lien d'origine.
Revanchisti- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
.
C'était en 1850 et ça n'a aucun intérêt de nos jours, on s'en tape complètement. Et ces fadaises n'éclairent aucunement nos difficultés contemporaines, ni ne fournissent de piste éventuelle à emprunter pour l'amélioration de la situation.
Ton marxisme théorique d'opérette n'est appliqué aujourd'hui dans aucun pays du monde, pas plus que l'appropriation collective de tous les moyens de production.
La seule marque du marxisme, c'est l'abominable déclinaison communiste qu'il a enfanté avec son cortège de crimes (100 millions de morts), de génocides, d'assassinats d'opposants, de goulagisation de centaines de milliers d'innocents, de privations de liberté des peuples, le tout perpétré par des dictateurs sanguinaires, ayant érigé le crime d'État en système ordinaire de gouvernement.
Alors, faire encore aujourd'hui l'apologie de ces régimes sanguinaires et de ses dirigeants et espérer y trouver une quelconque recette ou marche à suivre, est plus que puéril, c'est ridicule et imbécile.
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C'était en 1850 et ça n'a aucun intérêt de nos jours, on s'en tape complètement. Et ces fadaises n'éclairent aucunement nos difficultés contemporaines, ni ne fournissent de piste éventuelle à emprunter pour l'amélioration de la situation.
Ton marxisme théorique d'opérette n'est appliqué aujourd'hui dans aucun pays du monde, pas plus que l'appropriation collective de tous les moyens de production.
La seule marque du marxisme, c'est l'abominable déclinaison communiste qu'il a enfanté avec son cortège de crimes (100 millions de morts), de génocides, d'assassinats d'opposants, de goulagisation de centaines de milliers d'innocents, de privations de liberté des peuples, le tout perpétré par des dictateurs sanguinaires, ayant érigé le crime d'État en système ordinaire de gouvernement.
Alors, faire encore aujourd'hui l'apologie de ces régimes sanguinaires et de ses dirigeants et espérer y trouver une quelconque recette ou marche à suivre, est plus que puéril, c'est ridicule et imbécile.
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Dan 26 ? passionné a écrit:Si cédille pouvait éviter de faire des copiés collés ce serait bien
Amicalement
Elle ne peut rien faire d'autre, c'est une IA...
@Revanchisti... Il serait temps de vous mettre à jour, depuis Marx, il est passé pas mal d'eau sous les ponts !!
Le capitalisme n'est absolument plus le même qu'à son époque et la classe ouvrière est largement sortie de la pauvreté !!
(C'est quand la dernière famine ouvrière déjà ?!)
ET vous vous demandez pourquoi vous avez toujours un train de retard ?!
Vos référence datent de plusieurs siècles !!
La révolution industrielle et la révolution informatique sont passées par là... Plus RIEN n'est comparable !!
Maintenant, vous pouvez tout seul vous adresser au monde entier et en vivre !!
Chose impossible et impensable sous Marx !!
TOUS les gens qui ont comme référence Marx, sont à la ramasse !!!
ON EST EN 2022 !!!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
(C'est quand la dernière famine ouvrière déjà ?!)
En occident?
Pour dans 3 mois pourquoi?
Le prie c'est que la bouffe sera là.
En occident?
Pour dans 3 mois pourquoi?
Le prie c'est que la bouffe sera là.
Revanchisti- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...Revanchisti a écrit:(C'est quand la dernière famine ouvrière déjà ?!)
En occident?
Pour dans 3 mois pourquoi?
Le prie c'est que la bouffe sera là.
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
le seul moyen de ne pas crever de faim c'est de travailler !!!Minos de Rhadamanthe a écrit:
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...
Amicalement
Dan 26 ? passionné- Sage
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Dan 26 ? passionné a écrit:le seul moyen de ne pas crever de faim c'est de travailler !!!Minos de Rhadamanthe a écrit:
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...
Amicalement
Ce que ces parasites n'ont toujours pas compris, c'est que le RSA n'est pas fait pour vivre, il est fait pour que vous ayez le courage de trouver du boulot, JUSTEMENT pour vivre !!
Par contre, il faudrait aider plus les RSAistes en les OBLIGEANT à travailler pour la collectivité en échange de cette aide qu'elle leur octroie !!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....Minos de Rhadamanthe a écrit:Dan 26 ? passionné a écrit:le seul moyen de ne pas crever de faim c'est de travailler !!!Minos de Rhadamanthe a écrit:
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...
Amicalement
Ce que ces parasites n'ont toujours pas compris, c'est que le RSA n'est pas fait pour vivre, il est fait pour que vous ayez le courage de trouver du boulot, JUSTEMENT pour vivre !!
Par contre, il faudrait aider plus les RSAistes en les OBLIGEANT à travailler pour la collectivité en échange de cette aide qu'elle leur octroie !!
Travailler pour la collectivité , Tu veux mettre au chomage ceux qui travaillent pour la collectivité et fermer leurs entreprises?
Depuis quand une poignée d'Euros donne du courage? Surtout quand on va faire ses courses avec!
André de Montalembert- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Minos de Rhadamanthe a écrit:Dan 26 ? passionné a écrit:le seul moyen de ne pas crever de faim c'est de travailler !!!Minos de Rhadamanthe a écrit:
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...
Amicalement
Ce que ces parasites n'ont toujours pas compris, c'est que le RSA n'est pas fait pour vivre, il est fait pour que vous ayez le courage de trouver du boulot, JUSTEMENT pour vivre !!
Par contre, il faudrait aider plus les RSAistes en les OBLIGEANT à travailler pour la collectivité en échange de cette aide qu'elle leur octroie !!
Si on offre 2000 euro personne cherchera du boulot mais a contrario faut donner la possibilité d avoir de bon boulot bien payer aussi
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Comme vous l'écrivez si bien : 700.000 POSTES NON POURVUS !!!Dédé 2B a écrit:5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....Minos de Rhadamanthe a écrit:Ce que ces parasites n'ont toujours pas compris, c'est que le RSA n'est pas fait pour vivre, il est fait pour que vous ayez le courage de trouver du boulot, JUSTEMENT pour vivre !!
Par contre, il faudrait aider plus les RSAistes en les OBLIGEANT à travailler pour la collectivité en échange de cette aide qu'elle leur octroie !!
Travailler pour la collectivité , Tu veux mettre au chomage ceux qui travaillent pour la collectivité et fermer leurs entreprises?
Depuis quand une poignée d'Euros donne du courage? Surtout quand on va faire ses courses avec!
Il y a donc LARGEMENT du boulot pour tous !!!
Sachant que dans les 6 millions de chômeurs, il ne semblent pas se bousculer pour prendre les 700.000 postes, vu le confort du chômage en France !!
Donc, rassurez vous, les RSA ne prendront le boulot de personne !!
Je suis certain que toutes les municipalités ont des milliers de petits travaux à faire que personne ne veut faire et qu'aucune société ne fera car trop couteux pour la municipalité !
VIVE le boulot des RSA !!!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Minos de Rhadamanthe a écrit:Comme vous l'écrivez si bien : 700.000 POSTES NON POURVUS !!!Dédé 2B a écrit:5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....Minos de Rhadamanthe a écrit:Ce que ces parasites n'ont toujours pas compris, c'est que le RSA n'est pas fait pour vivre, il est fait pour que vous ayez le courage de trouver du boulot, JUSTEMENT pour vivre !!
Par contre, il faudrait aider plus les RSAistes en les OBLIGEANT à travailler pour la collectivité en échange de cette aide qu'elle leur octroie !!
Travailler pour la collectivité , Tu veux mettre au chomage ceux qui travaillent pour la collectivité et fermer leurs entreprises?
Depuis quand une poignée d'Euros donne du courage? Surtout quand on va faire ses courses avec!
Il y a donc LARGEMENT du boulot pour tous !!!
Sachant que dans les 6 millions de chômeurs, il ne semblent pas se bousculer pour prendre les 700.000 postes, vu le confort du chômage en France !!
Donc, rassurez vous, les RSA ne prendront le boulot de personne !!
Je suis certain que toutes les municipalités ont des milliers de petits travaux à faire que personne ne veut faire et qu'aucune société ne fera car trop couteux pour la municipalité !
VIVE le boulot des RSA !!!
ben oui
Hubert de Boisredon- Impétrant
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Minos de Rhadamanthe a écrit:
Je suis certain que toutes les municipalités ont des milliers de petits travaux à faire que personne ne veut faire et qu'aucune société ne fera car trop couteux pour la municipalité !
Pourquoi ces municipalités n'embauchent pas des gens au RSA et préfèrent embaucher des gens qui ont un déjà travail ?
Cedille- Postulant
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
donc cela devrait faire 0 postes à pourvoir et 4,3 millions de chomeurs !!"Dédé 2B"
5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....
Travailler pour la collectivité ,
700 000 personnes qui ne couteraient rien à l'état providence , et feraient avancer notre économie
non , simplement les faire travailler, !!Ceux qui payent ces branleurs n'en peuvent plus, de voir ce qu'il se passe dans notre pays d'assistés !!Tu veux mettre au chomage ceux qui travaillent pour la collectivité et fermer leurs entreprises?
Tu as raison, il ne faut plus rien donner , le meilleur moyen d'avoir du courage c'est de crever de faim !!!Depuis quand une poignée d'Euros donne du courage? Surtout quand on va faire ses courses avec!
parce que les entreprises et les municipalité , cherchent des chercheurs de travail, pas des demandeurs d'emplois à savoir des........... branleurs !!!Cedille a écrit:
Pourquoi ces municipalités n'embauchent pas des gens au RSA et préfèrent embaucher des gens qui ont un déjà travail ?
amicalement
Dernière édition par dany26 le Lun 13 Mar - 9:25, édité 1 fois
dany26- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
dany26 a écrit:donc cela devrait faire 0 postes à pourvoir et 4300 chomeurs !!"Dédé 2B"
5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....
Travailler pour la collectivité ,
700 000 personne qui couteraient rien à l'état providencenon simplement les faire travailler, !!Ceux qui payent ces branleurs n'en peuvent plusTu veux mettre au chomage ceux qui travaillent pour la collectivité et fermer leurs entreprises?tu as raison, il ne faut plus rien donner , le meilleur moyen d'avoir du courage c'est de crever de faim !!!Depuis quand une poignée d'Euros donne du courage? Surtout quand on va faire ses courses avec!parce que les entreprises et les municipalité , cherchent des chercheur de travail, pas des demandeurs d'emplois à savoir des........... branleurs !!!Cedille a écrit:
Pourquoi ces municipalités n'embauchent pas des gens au RSA et préfèrent embaucher des gens qui ont un déjà travail ?
amicalement
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
quand on n'a pas d'argument, il est bien connu qu'en dehors de l'insulte et la violence, il n'y a plus rien à faire !! Réfléchir autrement pour certains, en dehors des dogmes éculés est trop douloureux !!Vladimir de Volog красны a écrit:
Constater qu'on est le seul responsable de sa condition sociale , est insuportable !!Il est plus logique pour certains de reprocher aux autres ce qu'ils sont , qu'à soi même de n'avoir rien fait pour évoluer !!!
C'est bien connu
amicalement
dany26- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
"Dédé 2B"
5 millions de chomeurs et 700 000 postes non pourvu.....
Travailler pour la collectivité ,
Sauf que comme je te l'ais déjà expliqué,:Dan a écrit:donc cela devrait faire 0 postes à pourvoir et 4,3 millions de chomeurs !!
700 000 personnes qui ne couteraient rien à l'état providence , et feraient avancer notre économie
1 - Ce sont pour la moitié des poste en attente (*)
2 - L'autre moitié, ce sont des posts de travail sous-payés et refusé!
C'est pas DD qui l'affirme c'est un chef comptable et expert de Pole Emploi du même nom de famille que DD.
(*) Exemple quand j'ai pris ma retraite, la personne prévue pour me remplacer est arrivé 3 mois après, donc mon ex employeur as mis en attente à Pole Emploi, mais il savait que je serais remplacé.....il n'y avait pas de refus!
André de Montalembert- Vénérable
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Dan 26 ? passionné a écrit:le seul moyen de ne pas crever de faim c'est de travailler !!!Minos de Rhadamanthe a écrit:
Il faut voir le bon coté des choses, ça fera un grand ménage chez les chômeurs et les parasites...
Amicalement
c est la vérité
les parasites aux RSA ne doivent pas vivre sur le dos des travailleurs
il devrais toucher bien moins
michou- Sage
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Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Il est évident que le seul RSA n'est pas suffisant pour vivre. Mais ceux qui ne sont titulaires que de cette allocation se démerdent pour vivre avec et c'est un véritable exploit.
Ceci dit, la réalité des RSAstes offre un paysage plus nuancé des RSAstes, pour plusieurs raisons:
- beaucoup d'entre eux n'y passent qu'un temsp relativement limité, entre deux emplois par exemple,
- ils sont libres à temps plein et beaucoup bossent au black, c'est bien connu,
- dans la plupart des cas, le loyer de leur logement est payé par la CAF en totalité ou quasi-totalité,
- des petits malins vivent en couple, mais ne le déclarent pas et touchent une double allocation de bénéficiaire isolé,
- beaucoup de RSAstes ont une activité commerciale non déclarée, qui complète leur revenus,
- les malins font le siège des mairies, des CCAS et autres services sociaux pour percevoir allocations et dons alimentaires,
- ceux qui le souhaitent se nourrissent quasiment gratos aux frais des restos du coeur ou autres assos qui distribuent de la bouffe.
Bref, la plupart d'entre eux se démerdent par eux-mêmes, y compris les sans papiers qui n'ont pas droit au RSA...Enfin, le taux de suicide chez cette catégorie sociale n'est pas plus élevé qu'ailleurs, ce qui montre que la désespérance du RSAste n'est pas démesurée.
Plariste par exemple, le RSAste du forum, ne donne pas l'impression d'être malheureux, déprimé ou souffrant. Cette situation sociale semble lui convenir, tout comme à tant d'autres comme lui.
On relèvera enfin qu'avec les conjoints et les enfants à charge, 3,85 millions de personnes sont couvertes par le RSA en France, soit 5,8 % de la population.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Minos de Rhadamanthe aime ce message
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Dédé 2B a écrit:
Sauf que comme je te l'ais déjà expliqué,:
1 - Ce sont pour la moitié des poste en attente (*)
2 - L'autre moitié, ce sont des posts de travail sous-payés et refusé!
C'est pas DD qui l'affirme c'est un chef comptable et expert de Pole Emploi du même nom de famille que DD.
(*) Exemple quand j'ai pris ma retraite, la personne prévue pour me remplacer est arrivé 3 mois après, donc mon ex employeur as mis en attente à Pole Emploi, mais il savait que je serais remplacé.....il n'y avait pas de refus!
JUSTEMENT, c'est tous ces boulots pas assez payés pour être pris par des salariés qu'il faut faire faire aux RSA, ils sont DEJA payés !!!
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7716
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Bah oui, comme çà les salaires baisseront en France, on voit le profiteur de Minos...Minos de Rhadamanthe a écrit:Dédé 2B a écrit:
Sauf que comme je te l'ais déjà expliqué,:
1 - Ce sont pour la moitié des poste en attente (*)
2 - L'autre moitié, ce sont des posts de travail sous-payés et refusé!
C'est pas DD qui l'affirme c'est un chef comptable et expert de Pole Emploi du même nom de famille que DD.
(*) Exemple quand j'ai pris ma retraite, la personne prévue pour me remplacer est arrivé 3 mois après, donc mon ex employeur as mis en attente à Pole Emploi, mais il savait que je serais remplacé.....il n'y avait pas de refus!
JUSTEMENT, c'est tous ces boulots pas assez payés pour être pris par des salariés qu'il faut faire faire aux RSA, ils sont DEJA payés !!!
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
et surtout ne jamais oublier ceux qui sont au RSA, qui refusent de travailler, et travaille non déclarés !!Minos de Rhadamanthe a écrit:
JUSTEMENT, c'est tous ces boulots pas assez payés pour être pris par des salariés qu'il faut faire faire aux RSA, ils sont DEJA payés !!!
C'est le grand problème (entre autre ), des restaurateurs , qui ne trouvent plus de personne voulant etre déclarée !!La fraude sociale est un cancer généralisé, dans notre pays
Je vous conseille de voir le rapport Pratt à ce sujet
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10019
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
Et qui emploie des non déclarés pour éviter de payer des charges?et surtout ne jamais oublier ceux qui sont au RSA, qui refusent de travailler, et travaille non déclarés !!
Si il n'y avait pas des employeurs "voleurs" personne ne travaillerait au noir!
https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/les-ateliers-clandestins-employaient-des-esclaves-30-03-2001-2002065783.php
https://www.lepoint.fr/villes/descente-dans-un-atelier-clandestin-13-09-2012-1508216_27.php
https://www.lepoint.fr/societe/aubervilliers-les-esclaves-du-troisieme-age-29-05-2014-1829268_23.php
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/poincy-un-atelier-clandestin-de-production-de-cigarettes-demantele-1639484717
J'en ais d'autres si tu veux!
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
et moi j'en ai de chomeurs qui refusent d’être déclarés pour éviter de perdre les aides !!!Dédé 2B a écrit:
J'en ais d'autres si tu veux!
J'en avait même dénoncé à pole emploie qui n'a jamais réagit
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10019
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: « On ne "vit" pas au RSA, on "survit". À peine »
quand les aides sont aussi fortes, on ne travaille pas pour le smig
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
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