Capitalisme et communisme
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Re: Capitalisme et communisme
Les fondements du capital selon Marx
"Le Capital" parle de la nature humaine
« Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l'homme et la nature. L'homme
y joue lui-même vis-à-vis de la nature le rôle d'une puissance naturelle.
Les forces dont son corps est doué, bras et jambes, tête et mains, il les met en
mouvement, afin de s'assimiler des matières en leur donnant une forme utile à sa vie.
En même temps qu'il agit par ce mouvement sur la nature extérieure et la modifie, il
modifie sa propre nature, et développe les facultés qui y sommeillent. »
Karl Marx, pour écrire Le Capital, s'appuie sur le matérialisme qui considère que la vie humaine appartient à la nature. Pour les matérialistes, la planète Terre est une biosphère, composé d'organismes vivants s'appuyant sur des éléments chimiques, dans un rapport bien déterminé.
Comprendre cette réalité matérielle, c'est saisir comment la vie se reproduit, dans quelles conditions elle existe. C'est cette réalité dont parle Karl Marx dans Le Capital.
Toute l'oeuvre est parsemée de remarques sur la vie humaine réellement vécue, sur la vie du travailleur qui souffre de se voir malmené par le capital, sur le rapport entre son travail en tant qu'être vivant et le capital, marqué par l'aliénation et l'exploitation physique.
"Le Capital" parle de la nature humaine
« Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l'homme et la nature. L'homme
y joue lui-même vis-à-vis de la nature le rôle d'une puissance naturelle.
Les forces dont son corps est doué, bras et jambes, tête et mains, il les met en
mouvement, afin de s'assimiler des matières en leur donnant une forme utile à sa vie.
En même temps qu'il agit par ce mouvement sur la nature extérieure et la modifie, il
modifie sa propre nature, et développe les facultés qui y sommeillent. »
Karl Marx, pour écrire Le Capital, s'appuie sur le matérialisme qui considère que la vie humaine appartient à la nature. Pour les matérialistes, la planète Terre est une biosphère, composé d'organismes vivants s'appuyant sur des éléments chimiques, dans un rapport bien déterminé.
Comprendre cette réalité matérielle, c'est saisir comment la vie se reproduit, dans quelles conditions elle existe. C'est cette réalité dont parle Karl Marx dans Le Capital.
Toute l'oeuvre est parsemée de remarques sur la vie humaine réellement vécue, sur la vie du travailleur qui souffre de se voir malmené par le capital, sur le rapport entre son travail en tant qu'être vivant et le capital, marqué par l'aliénation et l'exploitation physique.
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
« En même temps que le travail mécanique surexcite au dernier point le système
nerveux, il empêche le jeu varié des muscles et comprime toute activité libre du corps et de l'esprit.
La facilité même du travail devient une torture en ce sens que la machine ne délivre pas l'ouvrier du travail, mais dépouille le travail de son intérêt. »
(...)
« Un certain rabougrissement de corps et d'esprit est inséparable de la division du
travail dans la société. Mais comme la période manufacturière pousse beaucoup plus
loin cette division sociale, en même temps que par la division qui lui est propre elle
attaque l'individu à la racine même de sa vie, c'est elle qui la première fournit l'idée et la matière d'une pathologie industrielle. »
(...)
2
« La confection des vêtements et le tissage, malgré leur différence, sont tous deux une
dépense productive du cerveau, des muscles, des nerfs, de la main de l'homme, et en ce sens du travail humain au même titre. »
(...)
« L'heure plus dense de la journée de dix heures contient autant ou plus de travail, plus de dépense en force vitale, que l'heure plus poreuse de la journée de douze heures. »
(...)
« L'économie des moyens collectifs de travail, activée et mûrie comme en serre chaude par le système de fabrique, devient entre les mains du capital un système de vols commis sur les conditions vitales de l'ouvrier pendant son travail, sur l'espace, l'air, la lumière et les mesures de protection personnelle contre les circonstances dangereuseset insalubres du procès de production, pour ne pas mentionner les arrangements que le confort et la commodité de l'ouvrier réclameraient. »
(...)
« En agissant conjointement avec d'autres dans un but commun et d'après un plan
concerté, le travailleur efface les bornes de son individualité et développe sa puissance comme espèce. »
nerveux, il empêche le jeu varié des muscles et comprime toute activité libre du corps et de l'esprit.
La facilité même du travail devient une torture en ce sens que la machine ne délivre pas l'ouvrier du travail, mais dépouille le travail de son intérêt. »
(...)
« Un certain rabougrissement de corps et d'esprit est inséparable de la division du
travail dans la société. Mais comme la période manufacturière pousse beaucoup plus
loin cette division sociale, en même temps que par la division qui lui est propre elle
attaque l'individu à la racine même de sa vie, c'est elle qui la première fournit l'idée et la matière d'une pathologie industrielle. »
(...)
2
« La confection des vêtements et le tissage, malgré leur différence, sont tous deux une
dépense productive du cerveau, des muscles, des nerfs, de la main de l'homme, et en ce sens du travail humain au même titre. »
(...)
« L'heure plus dense de la journée de dix heures contient autant ou plus de travail, plus de dépense en force vitale, que l'heure plus poreuse de la journée de douze heures. »
(...)
« L'économie des moyens collectifs de travail, activée et mûrie comme en serre chaude par le système de fabrique, devient entre les mains du capital un système de vols commis sur les conditions vitales de l'ouvrier pendant son travail, sur l'espace, l'air, la lumière et les mesures de protection personnelle contre les circonstances dangereuseset insalubres du procès de production, pour ne pas mentionner les arrangements que le confort et la commodité de l'ouvrier réclameraient. »
(...)
« En agissant conjointement avec d'autres dans un but commun et d'après un plan
concerté, le travailleur efface les bornes de son individualité et développe sa puissance comme espèce. »
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
« Elle [la manufacture] estropie le travailleur, elle fait de lui quelque chose de
monstrueux en activant le développement factice de sa dextérité de détail, en sacrifiant tout un monde de dispositions et d'instincts producteurs, de même que, dans les Etats de la Plata, on immole un taureau pour sa peau et son suif.
Ce n'est pas seulement le travail qui est divisé, subdivisé et réparti entre divers
individus, c'est l'individu lui-même qui est morcelé et métamorphosé en ressort
automatique d'une opération exclusive, de sorte que l'on trouve réalisée la fable
absurde de Menenius Agrippa représentant un homme comme un fragment de son
propre corps. »
(...)
« Dans l'histoire, comme dans la nature, la pourriture est le laboratoire de la vie. »
[les passages en gras sont soulignés par nous]
Rappelons cependant ici que le capital joue un rôle historique, celui de donner naissance à une humanité socialisée et naturelle, combinant une nature socialisée et une société naturalisée :
« Les faculté de l'homme primitif, encore en germes, et comme ensevelies sous sa croûte animale, ne se forment au contraire que lentement sous la pression de ses besoins physiques. »
Et soulignons que cette transformation n'est pas vraie que pour le travailleur, cela est vrai pour toute 3la nature, comme l'explique Karl Marx dans une phrase qui montre la conception matérialistedialectique de la planète comme biosphère :
« La production capitaliste ne développe donc la technique et le combinaison du procès de production sociale qu'en épuisant en même temps les deux sources d'où jaillit toute la richesse : la terre et le travailleur. »
Karl Marx est un disciple de Ludwig Feuerbach et considère que seule la nature existe ; il regarde comment l'être humain a en partie – et en partie seulement – abandonné la nature, et comment il va revenir à elle, dans le communisme.
En ce sens, ce qu'on appelle d'ailleurs mode de production – esclavagiste, féodal, capitaliste, socialiste, communiste – désigne comment est effectué la reproduction de la vie humaine.
Comment la société produit-elle ce qu'elle consomme ? Là est la question essentielle, avec le problème que les humains n'ont pas spontanément une vue d'ensemble.
monstrueux en activant le développement factice de sa dextérité de détail, en sacrifiant tout un monde de dispositions et d'instincts producteurs, de même que, dans les Etats de la Plata, on immole un taureau pour sa peau et son suif.
Ce n'est pas seulement le travail qui est divisé, subdivisé et réparti entre divers
individus, c'est l'individu lui-même qui est morcelé et métamorphosé en ressort
automatique d'une opération exclusive, de sorte que l'on trouve réalisée la fable
absurde de Menenius Agrippa représentant un homme comme un fragment de son
propre corps. »
(...)
« Dans l'histoire, comme dans la nature, la pourriture est le laboratoire de la vie. »
[les passages en gras sont soulignés par nous]
Rappelons cependant ici que le capital joue un rôle historique, celui de donner naissance à une humanité socialisée et naturelle, combinant une nature socialisée et une société naturalisée :
« Les faculté de l'homme primitif, encore en germes, et comme ensevelies sous sa croûte animale, ne se forment au contraire que lentement sous la pression de ses besoins physiques. »
Et soulignons que cette transformation n'est pas vraie que pour le travailleur, cela est vrai pour toute 3la nature, comme l'explique Karl Marx dans une phrase qui montre la conception matérialistedialectique de la planète comme biosphère :
« La production capitaliste ne développe donc la technique et le combinaison du procès de production sociale qu'en épuisant en même temps les deux sources d'où jaillit toute la richesse : la terre et le travailleur. »
Karl Marx est un disciple de Ludwig Feuerbach et considère que seule la nature existe ; il regarde comment l'être humain a en partie – et en partie seulement – abandonné la nature, et comment il va revenir à elle, dans le communisme.
En ce sens, ce qu'on appelle d'ailleurs mode de production – esclavagiste, féodal, capitaliste, socialiste, communiste – désigne comment est effectué la reproduction de la vie humaine.
Comment la société produit-elle ce qu'elle consomme ? Là est la question essentielle, avec le problème que les humains n'ont pas spontanément une vue d'ensemble.
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
la suite sur : https://materialisme-dialectique.com/pdf/dossier-1/Les-fondements-du-capital-selon-Marx.pdf
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
michou a écrit:
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
Non je pense surtout que les gens veulent un système équilibré, une économie de marché mais bridée (limitant les inégalités) avec un état providence (sécu, retraite, services publiques qui marchent). Le respect des libertés individuelles et la démocratie, ce que ni le capitalisme ni le communisme ne nous garantissent à eux seuls.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Capitalisme et communisme
La loi de la baisse tendancielle du taux de profit .
La productivité sociale du travail.
La « loi de la baisse tendancielle du taux de profit » est la pierre angulaire du Capital de Karl Marx. C'est la thèse essentielle, qui détermine toute la position du matérialisme dialectique sur le mode de production capitaliste.
Le débat autour de cette thèse a été à l'origine d'un grand débat au début du mouvement ouvrier, dans la social-démocratie. Le révisionnisme – qui révisait donc le marxisme – affirmait que cette thèse de Karl Marx précisément était fausse, que le capitalisme pouvait grandir sans crise et que donc les ouvriers pouvaient en profiter et faire le socialisme par des moyens pacifiques.
Inversement, il a toujours été au cœur du mouvement communiste de préserver la compréhension scientifique de cette loi qui, il faut bien le souligner, concerne une baisse du taux de profit qui est « tendancielle ».
Cela signifie que l'appauvrissement généralisé des masses, s’accélérant passé un certain cap d'accumulation du capital, ne se produit pas de manière unilatérale, ni de manière uniforme, même s'il est de fait inéluctable.
Quelle est la base de la question ? C'est celle de la définition même de ce qu'est le capital.
En fait, on connaît le principe selon lequel au départ une entreprise produit des biens à un prix élevé, puis ensuite les produit en quantité beaucoup plus grande, à un prix moins élevé. Sur le papier, l'entreprise gagne autant, ayant simplement transféré ses profits du principe qualitatif au principe quantitatif.
En réalité, les choses ne se déroulent pas de cette manière. Raisonner ainsi, c'est avoir en tête une démarche commerciale, pas une démarche capitaliste au sens strict.
Car qu'est-ce que le capital ? Le capital c'est du travail accumulé, sous la forme matérielle. Les moyens de production relèvent des capitalistes, pas de la société toute entière ; c'est le principe de la propriété privée des moyens de production.
Ce capital emploie du travail vivant, des travailleurs, dans des ateliers, des usines, etc. ; on appelle capital fixe ou constant les machines, les bâtiments, etc. et capital variable le travail vivant des travailleurs, plus ou moins employés par les capitalistes.
La productivité sociale du travail.
La « loi de la baisse tendancielle du taux de profit » est la pierre angulaire du Capital de Karl Marx. C'est la thèse essentielle, qui détermine toute la position du matérialisme dialectique sur le mode de production capitaliste.
Le débat autour de cette thèse a été à l'origine d'un grand débat au début du mouvement ouvrier, dans la social-démocratie. Le révisionnisme – qui révisait donc le marxisme – affirmait que cette thèse de Karl Marx précisément était fausse, que le capitalisme pouvait grandir sans crise et que donc les ouvriers pouvaient en profiter et faire le socialisme par des moyens pacifiques.
Inversement, il a toujours été au cœur du mouvement communiste de préserver la compréhension scientifique de cette loi qui, il faut bien le souligner, concerne une baisse du taux de profit qui est « tendancielle ».
Cela signifie que l'appauvrissement généralisé des masses, s’accélérant passé un certain cap d'accumulation du capital, ne se produit pas de manière unilatérale, ni de manière uniforme, même s'il est de fait inéluctable.
Quelle est la base de la question ? C'est celle de la définition même de ce qu'est le capital.
En fait, on connaît le principe selon lequel au départ une entreprise produit des biens à un prix élevé, puis ensuite les produit en quantité beaucoup plus grande, à un prix moins élevé. Sur le papier, l'entreprise gagne autant, ayant simplement transféré ses profits du principe qualitatif au principe quantitatif.
En réalité, les choses ne se déroulent pas de cette manière. Raisonner ainsi, c'est avoir en tête une démarche commerciale, pas une démarche capitaliste au sens strict.
Car qu'est-ce que le capital ? Le capital c'est du travail accumulé, sous la forme matérielle. Les moyens de production relèvent des capitalistes, pas de la société toute entière ; c'est le principe de la propriété privée des moyens de production.
Ce capital emploie du travail vivant, des travailleurs, dans des ateliers, des usines, etc. ; on appelle capital fixe ou constant les machines, les bâtiments, etc. et capital variable le travail vivant des travailleurs, plus ou moins employés par les capitalistes.
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
Le jeu, l'équilibre, le rapport entre ces deux aspects du capital forment précisément la dynamique dialectique du capital en général.
En effet, le capitalisme développe les moyens de production. Ce faisant, il modernise la société, toute la société : il ne produit pas que plus de marchandises, il produit également les moyens de les produire, il les perfectionne toujours davantage.
La société devient alors de plus en plus performante sur le plan des moyens de production. Toute se rejoint, se relie ; les progrès de certains secteurs profitent aux autres secteurs, comme par exemple la téléphonie, l'informatique, les transports, etc.
C'est, pour prendre une image, celle des robots qui remplacent les ouvriers dans l'usine. C'est la productivité qui augmente, sur tous les plans.
Karl Marx constate ce principe en disant :
« En utilisant plus de machines en général, en employant davantage de capital fixe, le même nombre d'ouvriers transforme en produits une plus grande quantité de matières premières et auxiliaires dans un même laps de temps - c'est-à-dire avec moins de travail. »
C'est là le point essentiel : l'accumulation du capital ne signifie pas uniquement l'accumulation de marchandises, mais également l'accumulation des moyens de production. C'est précisément là que le capitalisme joue un rôle historiquement utile, unifiant la force de travail pour élever le niveau des moyens de production.
Karl Marx appelle cela la « productivité sociale du travail », et s'il parle de la baisse tendancielle du taux de profit, c'est parce que celle-ci résulte de celle-là Il dit ainsi :
« La tendance progressive à la baisse du taux de profit général est tout simplement une façon propre au mode de production capitaliste d'exprimer le progrès de la productivité sociale du travail. »
En effet, le capitalisme développe les moyens de production. Ce faisant, il modernise la société, toute la société : il ne produit pas que plus de marchandises, il produit également les moyens de les produire, il les perfectionne toujours davantage.
La société devient alors de plus en plus performante sur le plan des moyens de production. Toute se rejoint, se relie ; les progrès de certains secteurs profitent aux autres secteurs, comme par exemple la téléphonie, l'informatique, les transports, etc.
C'est, pour prendre une image, celle des robots qui remplacent les ouvriers dans l'usine. C'est la productivité qui augmente, sur tous les plans.
Karl Marx constate ce principe en disant :
« En utilisant plus de machines en général, en employant davantage de capital fixe, le même nombre d'ouvriers transforme en produits une plus grande quantité de matières premières et auxiliaires dans un même laps de temps - c'est-à-dire avec moins de travail. »
C'est là le point essentiel : l'accumulation du capital ne signifie pas uniquement l'accumulation de marchandises, mais également l'accumulation des moyens de production. C'est précisément là que le capitalisme joue un rôle historiquement utile, unifiant la force de travail pour élever le niveau des moyens de production.
Karl Marx appelle cela la « productivité sociale du travail », et s'il parle de la baisse tendancielle du taux de profit, c'est parce que celle-ci résulte de celle-là Il dit ainsi :
« La tendance progressive à la baisse du taux de profit général est tout simplement une façon propre au mode de production capitaliste d'exprimer le progrès de la productivité sociale du travail. »
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
Profits et plus-value
La productivité sociale du travail est un critère essentiel. Pour une même exploitation – pour un même nombre d'heures non payées – le taux de plus-value peut être très différent.
Tout est une question de l'importance du capital investi, ainsi que sa forme. Prenons deux exemples bien différents :
a) Le premier est connu : un ouvrier du textile au Bangladesh est plus rentable qu'un ouvrier du textile en France, car le capital à investir pour la même production est plus grand en France, de par les conditions de travail, de sécurité, etc., sans parler du salaire.
Même si les deux ouvriers avaient le même salaire, le coût des machines, ateliers, etc. ferait que l'ouvrier en France serait moins rentable. La part du travail humain doit être la plus grande possible, comme on le voit.
2
b) Prenons un autre exemple. Un ouvrier de l'aéronautique en France est plus rentable qu'un ouvrier équivalent en Inde, car il est plus éduqué et peut faire fonctionner des machines plus puissantes et perfectionnées, amenant une production plus importante.
Les deux exemples donnés sont contradictoires : d'un côté, les capitalistes ont intérêt à exporter leur capital, de l'autre ils ont intérêt à ne pas le faire. Il y a à la fois toujours plus de hausse de productivité et, en même temps, toujours plus d'ouvriers.
C'est une contradiction – précisément au cœur du capitalisme, pour des raisons bien précises. Cela la bourgeoisie ne le voit pas et dit que les ouvriers sont de moins en moins.
Pourquoi cela ? Parce que les capitalistes sont prisonniers, dans leur conscience, d'un seul aspect du capitalisme.
Il se passe la chose suivante : la bataille pour les parts de marché fait qu'il y a bataille pour abaisser les coûts de production et à cela s'ajoute la nécessité pour le capital de toujours plus étendre ses profits.
Or, les capitalistes regardent donc sur quelles variables ils peuvent jouer. Ils voient ainsi qu'ils
peuvent procéder à l'abaissement de la part de main d'oeuvre employée : ils veulent un nombre moindre de salaires à payer, pour obtenir cependant la même production ou une plus grande production.
La hausse de la productivité permet cela, et ils se disent qu'ils y gagnent… alors qu'en réalité ils perdent tout.
C'est ici que le problème est fatal pour le mode de production capitaliste. Car les profits ne trouvent pas leur source réelle dans le commerce des marchandises, mais dans l'exploitation du prolétariat.
Cela les capitalistes ne le voient pas : ils s'imaginent que la production de marchandises et surtout leur vente suffit en soi à leur fournir les profits.
Cependant, employer moins de prolétariat en produisant autant, ce n'est pas se débarrasser de salaires, mais abaisser les profits. Voilà ce que les capitalistes ne voient pas.
Plus la partie du travail humain est faible dans la production, plus le travail qui est extorqué aux prolétaires est faible, et donc moins il y a de profits réels, car les véritables profits du capitaliste reposent sur l'extorsion de travail aux prolétaires, sur la plus-value.
Karl Marx dit ainsi :
« La loi de la baisse du taux de profit qui traduit un maintien du taux de plus-value ou même une hausse de ce dernier signifie en d’autres termes : étant donné une certaine quantité de capital social moyen, un capital de 100 par exemple, la fraction de celui-ci qui représente des moyens de travail ne cesse de croître et celle qui représente du travail vivant ne cesse de diminuer.
Mais, comme la masse totale du travail vivant ajouté aux moyens de production baisse par rapport à leur valeur, le travail non payé et la portion de valeur qui le représente baissent aussi par rapport à la valeur du capital total avancé.
3
Ou encore: une partie aliquote de plus en plus petite du capital total investi se convertit en travail vivant et ce capital total absorbe donc, proportionnellement à sa grandeur, toujours moins de surtravail, même si, ce qui est possible, dans le travail employé le rapport du travail non payé au travail payé vient à croître en même temps. »
La productivité sociale du travail est un critère essentiel. Pour une même exploitation – pour un même nombre d'heures non payées – le taux de plus-value peut être très différent.
Tout est une question de l'importance du capital investi, ainsi que sa forme. Prenons deux exemples bien différents :
a) Le premier est connu : un ouvrier du textile au Bangladesh est plus rentable qu'un ouvrier du textile en France, car le capital à investir pour la même production est plus grand en France, de par les conditions de travail, de sécurité, etc., sans parler du salaire.
Même si les deux ouvriers avaient le même salaire, le coût des machines, ateliers, etc. ferait que l'ouvrier en France serait moins rentable. La part du travail humain doit être la plus grande possible, comme on le voit.
2
b) Prenons un autre exemple. Un ouvrier de l'aéronautique en France est plus rentable qu'un ouvrier équivalent en Inde, car il est plus éduqué et peut faire fonctionner des machines plus puissantes et perfectionnées, amenant une production plus importante.
Les deux exemples donnés sont contradictoires : d'un côté, les capitalistes ont intérêt à exporter leur capital, de l'autre ils ont intérêt à ne pas le faire. Il y a à la fois toujours plus de hausse de productivité et, en même temps, toujours plus d'ouvriers.
C'est une contradiction – précisément au cœur du capitalisme, pour des raisons bien précises. Cela la bourgeoisie ne le voit pas et dit que les ouvriers sont de moins en moins.
Pourquoi cela ? Parce que les capitalistes sont prisonniers, dans leur conscience, d'un seul aspect du capitalisme.
Il se passe la chose suivante : la bataille pour les parts de marché fait qu'il y a bataille pour abaisser les coûts de production et à cela s'ajoute la nécessité pour le capital de toujours plus étendre ses profits.
Or, les capitalistes regardent donc sur quelles variables ils peuvent jouer. Ils voient ainsi qu'ils
peuvent procéder à l'abaissement de la part de main d'oeuvre employée : ils veulent un nombre moindre de salaires à payer, pour obtenir cependant la même production ou une plus grande production.
La hausse de la productivité permet cela, et ils se disent qu'ils y gagnent… alors qu'en réalité ils perdent tout.
C'est ici que le problème est fatal pour le mode de production capitaliste. Car les profits ne trouvent pas leur source réelle dans le commerce des marchandises, mais dans l'exploitation du prolétariat.
Cela les capitalistes ne le voient pas : ils s'imaginent que la production de marchandises et surtout leur vente suffit en soi à leur fournir les profits.
Cependant, employer moins de prolétariat en produisant autant, ce n'est pas se débarrasser de salaires, mais abaisser les profits. Voilà ce que les capitalistes ne voient pas.
Plus la partie du travail humain est faible dans la production, plus le travail qui est extorqué aux prolétaires est faible, et donc moins il y a de profits réels, car les véritables profits du capitaliste reposent sur l'extorsion de travail aux prolétaires, sur la plus-value.
Karl Marx dit ainsi :
« La loi de la baisse du taux de profit qui traduit un maintien du taux de plus-value ou même une hausse de ce dernier signifie en d’autres termes : étant donné une certaine quantité de capital social moyen, un capital de 100 par exemple, la fraction de celui-ci qui représente des moyens de travail ne cesse de croître et celle qui représente du travail vivant ne cesse de diminuer.
Mais, comme la masse totale du travail vivant ajouté aux moyens de production baisse par rapport à leur valeur, le travail non payé et la portion de valeur qui le représente baissent aussi par rapport à la valeur du capital total avancé.
3
Ou encore: une partie aliquote de plus en plus petite du capital total investi se convertit en travail vivant et ce capital total absorbe donc, proportionnellement à sa grandeur, toujours moins de surtravail, même si, ce qui est possible, dans le travail employé le rapport du travail non payé au travail payé vient à croître en même temps. »
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
Tout comme je l'ai fait pour dénoncer les crimes du capitalisme, avec ces quelques textes j'essaie de vous faire toucher du doigt ce qu'est le capitalisme.
Je croyais que ceux qui se disaient cadres et ou économistes connaissaient les principes du capitalisme en tant que tels, ce qui aurait pu leur permettre d'avoir une approche économique beaucoup plus critiques et intelligente.
Au lieu de cela, de médiocres invitations d'aller vivre dans des pays "communistes" si la vie en pays capitalistes ne plait pas.
Quelles médiocres interventions, aucune intervention sur l'économie, une aberration au niveau du raisonnement, et ça se dit intelligent ?
A mourir de rire, et l'autre le soi-disant communiste de service, se tait lamentablement.
Je croyais que ceux qui se disaient cadres et ou économistes connaissaient les principes du capitalisme en tant que tels, ce qui aurait pu leur permettre d'avoir une approche économique beaucoup plus critiques et intelligente.
Au lieu de cela, de médiocres invitations d'aller vivre dans des pays "communistes" si la vie en pays capitalistes ne plait pas.
Quelles médiocres interventions, aucune intervention sur l'économie, une aberration au niveau du raisonnement, et ça se dit intelligent ?
A mourir de rire, et l'autre le soi-disant communiste de service, se tait lamentablement.
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
[quote="Monsieur Trololo"][quote="michou"]
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
[/quote]
Non je pense surtout que les gens veulent un système équilibré, une économie de marché mais bridée (limitant les inégalités) avec un état providence (sécu, retraite, services publiques qui marchent). Le respect des libertés individuelles et la démocratie, ce que ni le capitalisme ni le communisme ne nous garantissent à eux seuls.[/quote]
Question :
Faut-il répondre à cet abruti illettré qui ne connait rien à rien et qui l'ouvre pour se prouver qu'il existe.
Pour moi c'est du temps perdu, il ne dit rien, en dehors des conneries qu'il peut écrire avec tes tonnes de "fotes" ...
Ce gars là n'existe pas, ,il est à zapper.
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
[/quote]
Non je pense surtout que les gens veulent un système équilibré, une économie de marché mais bridée (limitant les inégalités) avec un état providence (sécu, retraite, services publiques qui marchent). Le respect des libertés individuelles et la démocratie, ce que ni le capitalisme ni le communisme ne nous garantissent à eux seuls.[/quote]
Question :
Faut-il répondre à cet abruti illettré qui ne connait rien à rien et qui l'ouvre pour se prouver qu'il existe.
Pour moi c'est du temps perdu, il ne dit rien, en dehors des conneries qu'il peut écrire avec tes tonnes de "fotes" ...
Ce gars là n'existe pas, ,il est à zapper.
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
Monsieur Trololo a écrit:michou a écrit:
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
Non je pense surtout que les gens veulent un système équilibré, une économie de marché mais bridée (limitant les inégalités) avec un état providence (sécu, retraite, services publiques qui marchent). Le respect des libertés individuelles et la démocratie, ce que ni le capitalisme ni le communisme ne nous garantissent à eux seuls.
Devenir capitalisme ça veut dire devenir ça :
https://cdn.discordapp.com/attachments/933748355656470528/1045458920656867408/unknown.png
Détenir du capital et bien gagner sa vie sans rein foutre tout le monde veut.
Concernant la peur du communisme, elle du au matraquage de la propagande occidentale et surtoiut les fiels d’attentes, c'est pas le goulags et tous les mythes de dictature qui font le plus fuir le prolos, vu qu'en occident al démocratie c'est pas trop ça non plus.
Ce sont les files d’attentes qui font flipper.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Capitalisme et communisme
michou a écrit:pourtant, il fait bon vivre dans un pays capitaliste,
sinon pourquoi, vas tu pas vivre dan un pays communiste?
tu baratine du vent , du bla bla
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
La France Insoumise est un bateau ivre, dominé par l’autoritarisme et le copinage. Le contraire de la modernité. Étonnant, non ?"
la gauche, des fils de bourgeois ,
Tu trouve que le confinement c'était la belle vie?
Tu trouves que les loi liberticides qui s'accumulent et la mort lente de notre économie c'est la belle vie?
tu crois que pas d'avenir pas de retraite c'est la belle vie?
2° T'as vu l'agenda 2030 "Tu n'aura rien et tu sera Heureux !!!!!" Bordel FAUT ÊTRE GIVRÉ, pour en pas réagir.
3° je suis français et patriote donc je reste, de plus, il ne sert à rien de fuir.
4° Pourquoi une France socialiste (mais au sens original du terme pas de blum, Hollande ou mitterand. C'est à dire pas au sens social démocrate) ça serait de la merde?
Quest-ce que je risque à par exemple, nationaliser tout un tas de truques suite à des procès pour corruption & co, afin d'auto-financer l'état?
A part des émigrés en rogne qui voudront nous faire la peau et des mesures sécuritaire pour se protéger de leur vengeance, je ne vois pas.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Capitalisme et communisme
Pourtant moi c'est bien ça ce qui me débecte du communisme.Plaristes Evariste a écrit:
Concernant la peur du communisme, elle du au matraquage de la propagande occidentale et surtoiut les fiels d’attentes, c'est pas le goulags et tous les mythes de dictature qui font le plus fuir le prolos, vu qu'en occident al démocratie c'est pas trop ça non plus.
Plaristes Evariste a écrit:
Ce sont les files d’attentes qui font flipper.
Oui mais ces files d'attente existaient bel et bien. Mais toi et moi en connaissons la vraie raison :
30% du PIB pour l'armement et l'armée, priorité à la parano envers l'occident ...
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Monsieur Trololo a écrit:Plaristes Evariste a écrit:
Et c'est aussi nié les sabotages indépendantistes financés par le III reich.
Et je peux te montrer les document du IIIreich. (par contre faut lire l'allemand)
Foutaise !
Cette famine à lieu en 1932 1933, alors qu'Hitler n'arrive aau pouvoir qu'en 1933 et doit d'abord s'occuper de l'Allemagne avant de la l'URSS !
L’Allemagne soutien les indépendantistes depuis le II reich.
XD
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
30% du PIB pour l'armement et l'armée, priorité à la parano envers l'occident ...
La parano c'est si le danger existe pas.
L'URSS avait que des plans de défense l'OTAN (créé avant le pacte de Varsovie) des plans d'attaque.
Donc, appelle ça de la paranoïa moi j'apelle ça de sages précautions.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Plaristes Evariste a écrit:
La parano c'est si le danger existe pas.
En effet et ça permet d'entretenir la peur et donc le controle de la population.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
plaro a écrit:Tu trouve que le confinement c'était la belle vie?
Pour moi, oui, absolument ! Télétravail à loisir, activité professionnelle réduite, vie à domicile quasiment à temps plein en maison individuelle avec grand terrain et piscine. J'en re-demande.
le plaro a écrit: Tu trouves que les loi liberticides qui s'accumulent et la mort lente de notre économie c'est la belle vie?
Il n'y a pas de lois liberticides, au contraire, je prends perso ces mesures comme favorables à notre bien-être. Va chez les communards, tu goûteras la différence, rigolo.
le plaquiste a écrit:tu crois que pas d'avenir pas de retraite c'est la belle vie?
L'avenir sourit aux audacieux et pour moi, la retraite sera une belle vie !
plaro a écrit:T'as vu l'agenda 2030 "Tu n'aura rien et tu sera Heureux !!!!!" Bordel FAUT ÊTRE GIVRÉ, pour en pas réagir.
C'est un plan pour l'avenir qu'il faut regarder de loin, les politiques ne gérant que le court terme.
plaquo a écrit:je suis français et patriote donc je reste, de plus, il ne sert à rien de fuir.
Les feignâsses et les incapables de ton genre n'ont pas d'autre solution que de rester en France, c'est dans ce bocal planétaire protégé qu'ils sont les mieux choyés, avec un salaire à vie sans bosser + tous les avantage sociaux et de santé gratos !!! Surtout, ne change pas.
plare a écrit:Pourquoi une France socialiste (mais au sens original du terme pas de blum, Hollande ou mitterand. C'est à dire pas au sens social démocrate) ça serait de la merde?
Ce ne serait pas la merde, on l'a déjà vu après 1981, simplement, ça ne changerait rien, hormis le discours mi-social, mi-gaucho. Sauf que ça sert à rien.
barjo a écrit:Quest-ce que je risque à par exemple, nationaliser tout un tas de truques suite à des procès pour corruption & co, afin d'auto-financer l'état?
Il n'y a rien à nationaliser, l'État est en faillite, il n'a même pas les moyens de renationaliser partiellement EDF. De plus, la nationalisation de sert à rien, sauf à faire joujou de la part de quelques fonctionnaires gestionnaires incompétents.
.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Il n'y a pas de lois liberticides, au contraire, je prends perso ces mesures comme favorables à notre bien-être. Va chez les communards, tu goûteras la différence, rigolo.
Sur la liberté d'expression, de de Gaulle à nos jours, combien de lois ont été rajoutées?
Limitation de vitesse, droit de faire voler des drones libertés informatiques...
Sans parler des zones à faible émission et du futur pass carbonne.
t'as un culot éhonté mais aucune vriae audace, t'es un couille molle à qui on appris que de la merde, et qui n'a été bien payé que pour sa docilité, ce que j'explique ici :L'avenir sourit aux audacieux et pour moi, la retraite sera une belle vie !
https://politique.forum-actif.net/t37075-ma-retraite-un-mirage#540443
Ce ne serait pas la merde, on l'a déjà vu après 1981, simplement, ça ne changerait rien, hormis le discours mi-social, mi-gaucho. Sauf que ça sert à rien.
Mitterand était uen sale emrde Vichyste ça ne ocmte pas.
Deuxièmement le muythe de c'est mitterand ne ient que si on oublie Giscard Foutriquet.
https://politique.forum-actif.net/t35895-giscard-le-retour-du-general-moustache-et-macron-avant-l-heure#521769
Explique moi comment pourrait-on appauvrir la France? Avec un plan de réindustrialisation et le retour du Plan. (Comme à l'époque de Tonton De Gaulle.) et annulation d'une grande partie des dettes avec sortie de l'€uro et protectionnisme à la Suisse.
Comment on pourrait être dans la mouise?
Tu ne l’explique pas. Tu te repose sur la croyance, malheureusement bien trop répandu, que "communsime = pauvre, capitalsime = riche."
Hors la Somalie est capitaliste et de là à dire que c'est un pays riche malgré ses ressources sous-terraines...
Il n'y a rien à nationaliser, l'État est en faillite, il n'a même pas les moyens de renationaliser partiellement EDF. De plus, la nationalisation de sert à rien, sauf à faire joujou de la part de quelques fonctionnaires gestionnaires incompétents.
Qui a dit qu'on allait payer?
On va saisir, après un procès.
On a tout un tas de dossier sale qui permettrait l'expropriation de bien qui sont sur une liste de nationalisation.
T'y a pas pensé à ça.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Hé plaristes, t'es mou, t'es mou, l'autre te rentre dans la gueule, c'est son plaisir, et toi béat tu l'acceptes, et pire tu essayes de débattre avec lui.
Mais t'as rien compris, un communiste ne tend pas l'autre joue lorsqu'il prend un poing dans la goule, non il montre sa détermination à envoyer dans les cordes son adversaire macroniste aficionados du capitalise.
Merde montre toi plus ferme sur les prix, et ne cherches pas à démontrer que le capitalisme faut le renverser, ça on sait, tout révolutionnaire digne de ce nom est capable de le clamer haut et fort.
Tu leur fais des ronds de jambe, tu espères quoi ? Les convaincre ??? Mais quelle naïveté, ces gens là sont pourris par l'idéologie de la mort, de la famine, de la misère, du chômage, de la pauvreté, bref l'idéologie capitaliste, on ne l'adoucit pas, on la combat point barre.
Alors envoie chier ce keket toqué, il ,s'amuse de toi et tu ne t'en rends même pas compte, à moins que tu n'aimes ça ?????
Invité- Invité
Re: Capitalisme et communisme
Manu.Cron.1er a écrit:
Merde montre toi plus ferme sur les prix, et ne cherches pas à démontrer que le capitalisme faut le renverser, ça on sait, tout révolutionnaire digne de ce nom est capable de le clamer haut et fort.
Ah mais si au contraire faut le démontrer, et démontrer que ce que vous proposez est mieux.
Or pour l'instant Plaristes qui refait l'histoire à l'envers en nous expliquant que Staline avait raison et qu'il n'a génocidé personne c'est pas très convainquant.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Je ne sais pas si c'est mieux, mais ça peut pas être pire...
André de Montalembert- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Monsieur Trololo a écrit:Manu.Cron.1er a écrit:
Merde montre toi plus ferme sur les prix, et ne cherches pas à démontrer que le capitalisme faut le renverser, ça on sait, tout révolutionnaire digne de ce nom est capable de le clamer haut et fort.
Ah mais si au contraire faut le démontrer, et démontrer que ce que vous proposez est mieux.
Or pour l'instant Plaristes qui refait l'histoire à l'envers en nous expliquant que Staline avait raison et qu'il n'a génocidé personne c'est pas très convainquant.
Slt monsieur trololo ça va
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
Dédé 2B a écrit:Je ne sais pas si c'est mieux, mais ça peut pas être pire...
C'est mieux si on réfléchi bien à comment on va procéder, et qu'on prend en compte les aspirations du peuple Français tout entier qu'il se dise de drouate ou de gôôche.
Et non pas proposer des truques qui plaisent à son petit club privé de totskards ou de gauchiste.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Capitalisme et communisme
Plaristes Evariste a écrit:Monsieur Trololo a écrit:michou a écrit:
les pauvres veulent devenir capitaliste, mais surtout pas communisme
Non je pense surtout que les gens veulent un système équilibré, une économie de marché mais bridée (limitant les inégalités) avec un état providence (sécu, retraite, services publiques qui marchent). Le respect des libertés individuelles et la démocratie, ce que ni le capitalisme ni le communisme ne nous garantissent à eux seuls.
Devenir capitalisme ça veut dire devenir ça :
https://cdn.discordapp.com/attachments/933748355656470528/1045458920656867408/unknown.png
Détenir du capital et bien gagner sa vie sans rein foutre tout le monde veut.
Concernant la peur du communisme, elle du au matraquage de la propagande occidentale et surtoiut les fiels d’attentes, c'est pas le goulags et tous les mythes de dictature qui font le plus fuir le prolos, vu qu'en occident al démocratie c'est pas trop ça non plus.
Ce sont les files d’attentes qui font flipper.
... En général, les blagues comme ça c'est sur les blondes ;-)
Tu veux changer cette mode ?
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Re: Capitalisme et communisme
je pense que si tu a du bien
, apprêt une vie de travaille, tu na pas envie de le partager, avec le parasite de base , qu' il lui, na rien foutue
c est pour cela que le connard qui dit le contraire, est un fourbe
, apprêt une vie de travaille, tu na pas envie de le partager, avec le parasite de base , qu' il lui, na rien foutue
c est pour cela que le connard qui dit le contraire, est un fourbe
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
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