Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Les accusations portées à l'époque contre un brave parlementaire ( Le Pen ) servant son pays par un fellouze soutenu par des communistes ne peuvent pas être prises au sérieux.....
Pour qui connaissait un peu l'armée à l'époque, il est évident que les spécialistes de l'interrogatoire étaient un petit groupe de personnes recluses dans une unité assez sulfureuse et jamais des officiers de terrain ....
Volog invente c'est son passe-temps favori
Pour qui connaissait un peu l'armée à l'époque, il est évident que les spécialistes de l'interrogatoire étaient un petit groupe de personnes recluses dans une unité assez sulfureuse et jamais des officiers de terrain ....
Volog invente c'est son passe-temps favori
Clavier- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
un brave parlementaire ( Le Pen ) a écrit:
Si le cowboy d'opérette écrit ça, ben il en est !!!!!
C'est quand même honteux, il y a des témoignages, des preuves irréfutables, des écrits nombreux, mais non, ces gens là restent dans le déni, la vérité leur fait peur
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Le Pen et la torture : l'histoire qui s'écrit à coups de témoignages, et de traces
À deux reprises, en 1957 et 1962, Jean-Marie Le Pen a revendiqué la torture durant la guerre d'Algérie. Avant, dès les premiers succès électoraux du Front national, de poursuivre en diffamation ceux qui osaient le lui rappeler. En vain : des traces existent en dépit du silence des archives.
Une polémique est née à l'écoute du podcast consacré à Jean-Marie Le Pen par notre confrère de France Inter, Philippe Collin.
En cause, un bref extrait du deuxième épisode de “Jean-Marie Le Pen, l’obsession nationale”, au cours duquel l’historien Benjamin Stora affirmait que “Jean-Marie Le Pen n’a sans doute pas pratiqué la torture”.
Dans la foulée, plusieurs historiens dont Fabrice Riceputi, à l’origine du site 1000autres.org sur les disparus de la “Bataille d’Alger”, et la journaliste du Monde Florence Beaugé, autrice d’enquêtes sans équivalent sur la torture pendant la guerre d’Algérie, répliquaient :
“Jusqu’à preuve du contraire”, le fondateur du Front national peut au contraire être compté parmi ceux qui ont pratiqué la torture durant la guerre d’Algérie.
Sur les réseaux sociaux ou en interview, Benjamin Stora a précisé entre-temps ce qu'il entendait par là, et sur la page du podcast, la formulation initiale a été amendée. On lit désormais : "On ne peut pas prouver que Jean-Marie Le Pen a torturé en Algérie mais c’est une possibilité."
Cette polémique met en lumière la manière dont l’histoire se trame, et les matériaux dont elle fait son lit.
Elle met aussi en évidence combien un récit historique qui s’ouvre à autre chose que l’histoire officielle est fragile, et requiert d’autant plus de persévérance pour être édifié, énoncé, et finalement répété.
Car la torture, officiellement, est illégale en France.
Elle l’était déjà durant la guerre d’Algérie, dernière guerre de décolonisation dans l’empire français, de 1954 à 1962 : son abolition remonte à 1780.
Or on sait désormais avec certitude que l’armée française a torturé, durant la guerre d’Algérie.
Et on le sait avec d’autant plus d’acuité s’agissant de cette période qu’on aura pris l’habitude d’appeler “la bataille d’Alger”, qui intervient après le vote des “pouvoirs spéciaux” confiés à l’armée par le Parlement, au printemps 1956.
.../...
À deux reprises, en 1957 et 1962, Jean-Marie Le Pen a revendiqué la torture durant la guerre d'Algérie. Avant, dès les premiers succès électoraux du Front national, de poursuivre en diffamation ceux qui osaient le lui rappeler. En vain : des traces existent en dépit du silence des archives.
Une polémique est née à l'écoute du podcast consacré à Jean-Marie Le Pen par notre confrère de France Inter, Philippe Collin.
En cause, un bref extrait du deuxième épisode de “Jean-Marie Le Pen, l’obsession nationale”, au cours duquel l’historien Benjamin Stora affirmait que “Jean-Marie Le Pen n’a sans doute pas pratiqué la torture”.
Dans la foulée, plusieurs historiens dont Fabrice Riceputi, à l’origine du site 1000autres.org sur les disparus de la “Bataille d’Alger”, et la journaliste du Monde Florence Beaugé, autrice d’enquêtes sans équivalent sur la torture pendant la guerre d’Algérie, répliquaient :
“Jusqu’à preuve du contraire”, le fondateur du Front national peut au contraire être compté parmi ceux qui ont pratiqué la torture durant la guerre d’Algérie.
Sur les réseaux sociaux ou en interview, Benjamin Stora a précisé entre-temps ce qu'il entendait par là, et sur la page du podcast, la formulation initiale a été amendée. On lit désormais : "On ne peut pas prouver que Jean-Marie Le Pen a torturé en Algérie mais c’est une possibilité."
Cette polémique met en lumière la manière dont l’histoire se trame, et les matériaux dont elle fait son lit.
Elle met aussi en évidence combien un récit historique qui s’ouvre à autre chose que l’histoire officielle est fragile, et requiert d’autant plus de persévérance pour être édifié, énoncé, et finalement répété.
Car la torture, officiellement, est illégale en France.
Elle l’était déjà durant la guerre d’Algérie, dernière guerre de décolonisation dans l’empire français, de 1954 à 1962 : son abolition remonte à 1780.
Or on sait désormais avec certitude que l’armée française a torturé, durant la guerre d’Algérie.
Et on le sait avec d’autant plus d’acuité s’agissant de cette période qu’on aura pris l’habitude d’appeler “la bataille d’Alger”, qui intervient après le vote des “pouvoirs spéciaux” confiés à l’armée par le Parlement, au printemps 1956.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
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C’est après que le pouvoir administratif et la police de l’Etat colonial ont ainsi été mis hors-jeu que s’ouvre, au début de l’année 1957, “la bataille d’Alger”.
Elle reste comme un pic dans la violence et la répression, et un tournant dans la guerre d’Algérie.
Début janvier 1957, le général Massu et huit mille de ses hommes s’installaient à Alger à la demande de Robert Lacoste, ministre résident et gouverneur général de l’Algérie.
C’est dans la main de ces milliers de parachutistes que la répression s’intensifiera tandis que le FLN durcira de son côté son action.
Et sous les ordres du chef des parachutistes, aussi, que la torture se pratiquera à grande échelle et que les assassinats se multiplieront.
Or la torture laisse par définition peu de traces, comme tout ce qui est illégal mais aussi à l'instar de quantité de régimes d’exception.
Qui dit "pouvoirs spéciaux" dit régime dérogatoire et une marge de manœuvre inédite - même à l’échelle de l’histoire coloniale.
Longtemps, les archives de l’administration coloniale furent souvent considérées trop lacunaires pour édifier l’histoire de la torture dans la guerre d’Algérie : classifiées pour la plupart, ces archives ont de surcroît fait l’objet de coupes franches, caviardées par les autorités du temps même de l’événement, ou a posteriori.
Sans compter que ce sont les services de Massu en personne qui, d'un coup de tampon rouge, ont classifié eux-mêmes les documents à l'époque - lorsqu'ils ne les ont pas tout bonnement fait disparaître. Pour la guerre d’Algérie comme pour bien d’autres épisodes historiques, la matière archivistique porte l'empreinte de rapports de force.
Parce que l’armée avait officiellement négocié une marge de manœuvre extraordinaire, et que la classe politique, à Paris, la leur avait donnée, ces régiments-là étaient d’autant moins comptables.
C'est de cette marge de manœuvre dont nous parle aussi le vide des archives.
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C’est après que le pouvoir administratif et la police de l’Etat colonial ont ainsi été mis hors-jeu que s’ouvre, au début de l’année 1957, “la bataille d’Alger”.
Elle reste comme un pic dans la violence et la répression, et un tournant dans la guerre d’Algérie.
Début janvier 1957, le général Massu et huit mille de ses hommes s’installaient à Alger à la demande de Robert Lacoste, ministre résident et gouverneur général de l’Algérie.
C’est dans la main de ces milliers de parachutistes que la répression s’intensifiera tandis que le FLN durcira de son côté son action.
Et sous les ordres du chef des parachutistes, aussi, que la torture se pratiquera à grande échelle et que les assassinats se multiplieront.
Or la torture laisse par définition peu de traces, comme tout ce qui est illégal mais aussi à l'instar de quantité de régimes d’exception.
Qui dit "pouvoirs spéciaux" dit régime dérogatoire et une marge de manœuvre inédite - même à l’échelle de l’histoire coloniale.
Longtemps, les archives de l’administration coloniale furent souvent considérées trop lacunaires pour édifier l’histoire de la torture dans la guerre d’Algérie : classifiées pour la plupart, ces archives ont de surcroît fait l’objet de coupes franches, caviardées par les autorités du temps même de l’événement, ou a posteriori.
Sans compter que ce sont les services de Massu en personne qui, d'un coup de tampon rouge, ont classifié eux-mêmes les documents à l'époque - lorsqu'ils ne les ont pas tout bonnement fait disparaître. Pour la guerre d’Algérie comme pour bien d’autres épisodes historiques, la matière archivistique porte l'empreinte de rapports de force.
Parce que l’armée avait officiellement négocié une marge de manœuvre extraordinaire, et que la classe politique, à Paris, la leur avait donnée, ces régiments-là étaient d’autant moins comptables.
C'est de cette marge de manœuvre dont nous parle aussi le vide des archives.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
.../...
L'importance des témoignages, et le poignard hitlérien
À travers des récits circonstanciés, et une poignée de témoignages qui pouvaient encore être collectés, c’est ainsi d’abord une histoire orale qui a entamé de combler les brèches de ce récit dans le ressac de la loi.
Ainsi, si Florence Beaugé, journaliste au Monde, est tellement reconnue par les historiennes et les historiens qui la citent dans leurs travaux et l’invitent dans des colloques, c’est bien parce qu’au moment où elle s’est mise à enquêter, à la fin des années 1990, son apport fut considérable.
C’est elle qui par exemple publiait dans Le Monde, le 20 juin 2000, le témoignage de Louisette Ighilahriz.
Pulvérisant le double verrou du silence sur la torture et sur les violences de genre, elle confiait à Florence Beaugé : “J’étais allongée nue, toujours nue. (…)
Dès que j’entendais le bruit de leurs bottes dans le couloir, je me mettais à trembler.
Ensuite, le temps devenait interminable. (…)
Le plus dur, c’est de tenir les premiers jours, de s’habituer à la douleur.
Après, on se détache mentalement.
C’est un peu comme si le corps se mettait à flotter.”
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L'importance des témoignages, et le poignard hitlérien
À travers des récits circonstanciés, et une poignée de témoignages qui pouvaient encore être collectés, c’est ainsi d’abord une histoire orale qui a entamé de combler les brèches de ce récit dans le ressac de la loi.
Ainsi, si Florence Beaugé, journaliste au Monde, est tellement reconnue par les historiennes et les historiens qui la citent dans leurs travaux et l’invitent dans des colloques, c’est bien parce qu’au moment où elle s’est mise à enquêter, à la fin des années 1990, son apport fut considérable.
C’est elle qui par exemple publiait dans Le Monde, le 20 juin 2000, le témoignage de Louisette Ighilahriz.
Pulvérisant le double verrou du silence sur la torture et sur les violences de genre, elle confiait à Florence Beaugé : “J’étais allongée nue, toujours nue. (…)
Dès que j’entendais le bruit de leurs bottes dans le couloir, je me mettais à trembler.
Ensuite, le temps devenait interminable. (…)
Le plus dur, c’est de tenir les premiers jours, de s’habituer à la douleur.
Après, on se détache mentalement.
C’est un peu comme si le corps se mettait à flotter.”
.../...
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Toutes les semaines, un mois et demi durant, la journaliste recevra aussi, à la cafétéria de son journal, Paul Aussaresses, 82 ans.
L'ancien général à Alger, médaillé de la Légion d’honneur, concédera une série d'entretiens inédits qui changera profondément la donne.
La torture était "généralisée et institutionnalisée", déclarera-t-il alors solennellement dans les colonnes du Monde, dilatant pour toujours ce qui avait pu s’écrire sur le sujet jusque là.
Vingt ans plus tard, la journaliste fera rétrospectivement le récit de ces interviews historiques dans les colonnes du Monde, à lire par ici, comme une leçon de journalisme.
Florence Beaugé ne sera pas la seule à combler les ornières de ce récit tardif et douloureux : l’historienne Raphaëlle Branche, par exemple, a travaillé sur la torture du point de vue des appelés du contingent.
Soutenue en 2000, sa thèse s’intitulait justement “L’Armée et la torture pendant la guerre d’Algérie :
les soldats, leurs chefs et les violences illégales.”
Il faut la lire pour prendre la mesure de l’obstacle qu’a durablement représenté l’absence d’archives officielles.
Et la suivre plus loin encore pour comprendre qu’une mémoire empêchée a longtemps survécu à l’état latent, parmi les anciens appelés : l’histoire obstruée de la torture - ou des disparitions forcées pratiquées par milliers - était aussi celle de leur trauma.
A la même époque, Sylvie Thénault soutenait de son côté une thèse, en 1999, sur la justice dans la guerre d'Algérie.
Son travail de doctorat fera l'objet d'un livre, dont Pierre Vidal-Naquet signera la postface, où elle montrera la passivité de bien des magistrats devant la torture.
Dès 2000, les deux historiennes, dans un article éloquent pour la revue Matériaux pour l'histoire de notre temps, mettaient encore en évidence combien la dissimulation de la torture avait d'emblée fait l'objet d'une attention appuyée.
la suite sur : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-pen-et-la-torture-l-histoire-qui-s-ecrit-a-coups-de-temoignages-et-de-traces-3884201
mais le cowboy d'opérette va toujpours nier ...... infame.
L'ancien général à Alger, médaillé de la Légion d’honneur, concédera une série d'entretiens inédits qui changera profondément la donne.
La torture était "généralisée et institutionnalisée", déclarera-t-il alors solennellement dans les colonnes du Monde, dilatant pour toujours ce qui avait pu s’écrire sur le sujet jusque là.
Vingt ans plus tard, la journaliste fera rétrospectivement le récit de ces interviews historiques dans les colonnes du Monde, à lire par ici, comme une leçon de journalisme.
Florence Beaugé ne sera pas la seule à combler les ornières de ce récit tardif et douloureux : l’historienne Raphaëlle Branche, par exemple, a travaillé sur la torture du point de vue des appelés du contingent.
Soutenue en 2000, sa thèse s’intitulait justement “L’Armée et la torture pendant la guerre d’Algérie :
les soldats, leurs chefs et les violences illégales.”
Il faut la lire pour prendre la mesure de l’obstacle qu’a durablement représenté l’absence d’archives officielles.
Et la suivre plus loin encore pour comprendre qu’une mémoire empêchée a longtemps survécu à l’état latent, parmi les anciens appelés : l’histoire obstruée de la torture - ou des disparitions forcées pratiquées par milliers - était aussi celle de leur trauma.
A la même époque, Sylvie Thénault soutenait de son côté une thèse, en 1999, sur la justice dans la guerre d'Algérie.
Son travail de doctorat fera l'objet d'un livre, dont Pierre Vidal-Naquet signera la postface, où elle montrera la passivité de bien des magistrats devant la torture.
Dès 2000, les deux historiennes, dans un article éloquent pour la revue Matériaux pour l'histoire de notre temps, mettaient encore en évidence combien la dissimulation de la torture avait d'emblée fait l'objet d'une attention appuyée.
la suite sur : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-pen-et-la-torture-l-histoire-qui-s-ecrit-a-coups-de-temoignages-et-de-traces-3884201
mais le cowboy d'opérette va toujpours nier ...... infame.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Aussaresse n'était pas un officier de terrain, il l'as reconnu lui-même ?Clavier a écrit:Les accusations portées à l'époque contre un brave parlementaire ( Le Pen ) servant son pays par un fellouze soutenu par des communistes ne peuvent pas être prises au sérieux.....
Pour qui connaissait un peu l'armée à l'époque, il est évident que les spécialistes de l'interrogatoire étaient un petit groupe de personnes recluses dans une unité assez sulfureuse et jamais des officiers de terrain ....
Volog invente c'est son passe-temps favori
On as quand même des photos d'appelés....
J'en ais des plus crues, mais désolé Google est votre ami!
T'as été en Algérie Clavier?
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
tu est sur que c est en Algérie??
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Des Australiens avec une Pigmée....?
Clavier- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
les tortionnaires assassins des karkis
ne dérange pas vologe
ne dérange pas vologe
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
André de Montalembert- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Ce qui se passe au sol reste au sol me disait un collègue naviguant......
mais je vois que tu as gardé des souvenirs marquants de ton service militaire, merci de nous les faire partager, Dédé
mais je vois que tu as gardé des souvenirs marquants de ton service militaire, merci de nous les faire partager, Dédé
Clavier- Sage
- Messages : 4306
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Localisation : Golfe du Morbihan
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Bah oui, j'ai pas comme toi plié des parachutes sur des bases en France ou au ministère à Paris!Clavier a écrit:Ce qui se passe au sol reste au sol me disait un collègue naviguant......
mais je vois que tu as gardé des souvenirs marquants de ton service militaire, merci de nous les faire partager, Dédé
Le problème c'est que ceux comme les LePen et Aussaresse qui torturaient n'étaient pas des appelés de force comme moi!
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
dédé tu est un gros pervers
michou- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
les tortures , s il y a eu donnes moi des preuves
étaient salutaire , des vies on été sauver
étaient salutaire , des vies on été sauver
michou- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Je note, tu veux être banni? Ton IP on le connais, ne l'oublie pas!michou a écrit:dédé tu est un gros pervers
------------------------
Tortures des preuves? Les témoignages ne manquent pas , même ceux qui l'ont pratiqué le reconnaissent,
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/paul-aussaresses-en-2000-je-n-eprouve-pas-de-remord-pour-la-torture-en-algerie
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001886/temoignages-de-victimes-de-la-torture-pendant-la-guerre-d-algerie.html
André de Montalembert- Vénérable
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Localisation : Lucciana
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Dédé 2B a écrit:Bah oui, j'ai pas comme toi plié des parachutes sur des bases en France ou au ministère à Paris!Clavier a écrit:Ce qui se passe au sol reste au sol me disait un collègue naviguant......
mais je vois que tu as gardé des souvenirs marquants de ton service militaire, merci de nous les faire partager, Dédé
Le problème c'est que ceux comme les LePen et Aussaresse qui torturaient n'étaient pas des appelés de force comme moi!
On va dire que vu lezurs fréquentations il avaient des motivation douteuses.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
C'étaient des militaires d'extrème droite, LePen adorait les nazis.Plaristes Evariste a écrit:Dédé 2B a écrit:Bah oui, j'ai pas comme toi plié des parachutes sur des bases en France ou au ministère à Paris!Clavier a écrit:Ce qui se passe au sol reste au sol me disait un collègue naviguant......
mais je vois que tu as gardé des souvenirs marquants de ton service militaire, merci de nous les faire partager, Dédé
Le problème c'est que ceux comme les LePen et Aussaresse qui torturaient n'étaient pas des appelés de force comme moi!
On va dire que vu lezurs fréquentations il avaient des motivation douteuses.
La fille n'a pas aboli les relations:
https://www.lexpress.fr/politique/marine-le-pen-prend-la-pose-avec-deux-neo-nazis_980045.html
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
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Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
vous cracher sur de héros de l armée Française
l armée, n est pas responsable des politiques, ces les politiques qui ont mis l armée dans cette situation
l armée, n est pas responsable des politiques, ces les politiques qui ont mis l armée dans cette situation
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Dédé 2B a écrit:Je note, tu veux être banni? Ton IP on le connais, ne l'oublie pas!michou a écrit:dédé tu est un gros pervers
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Tortures des preuves? Les témoignages ne manquent pas , même ceux qui l'ont pratiqué le reconnaissent,
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/paul-aussaresses-en-2000-je-n-eprouve-pas-de-remord-pour-la-torture-en-algerie
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001886/temoignages-de-victimes-de-la-torture-pendant-la-guerre-d-algerie.html
tu veux mon adresse personnel
michou- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Non pas besoin, tu l'as donné sur d'autres forum...hé hé!michou a écrit:Dédé 2B a écrit:Je note, tu veux être banni? Ton IP on le connais, ne l'oublie pas!michou a écrit:dédé tu est un gros pervers
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Tortures des preuves? Les témoignages ne manquent pas , même ceux qui l'ont pratiqué le reconnaissent,
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/paul-aussaresses-en-2000-je-n-eprouve-pas-de-remord-pour-la-torture-en-algerie
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001886/temoignages-de-victimes-de-la-torture-pendant-la-guerre-d-algerie.html
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André de Montalembert- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Dédé 2B a écrit:Non pas besoin, tu l'as donné sur d'autres forum...hé hé!michou a écrit:Dédé 2B a écrit:Je note, tu veux être banni? Ton IP on le connais, ne l'oublie pas!michou a écrit:dédé tu est un gros pervers
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Tortures des preuves? Les témoignages ne manquent pas , même ceux qui l'ont pratiqué le reconnaissent,
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/paul-aussaresses-en-2000-je-n-eprouve-pas-de-remord-pour-la-torture-en-algerie
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001886/temoignages-de-victimes-de-la-torture-pendant-la-guerre-d-algerie.html
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
Personne de sérieux ne donne son adresse sur un forum internet voyons.....
Je peux même vous dire que les pseudos camouflent les vrais noms....et que l'IP ne donne qu'un secteur général .....
Je peux même vous dire que les pseudos camouflent les vrais noms....et que l'IP ne donne qu'un secteur général .....
Clavier- Sage
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Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
rien a faire, je crains rien
un jour sur un forum, j ai des problèmes avec des musulmans, ils ont mon adresse, je les attend encore
un jour sur un forum, j ai des problèmes avec des musulmans, ils ont mon adresse, je les attend encore
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Jean Marie le Pen tortionnaire ? Non voyons...
michou a écrit:dédé tu est un gros pervers
Non... je crois qu'il n'a pas tord et je pense qu'il connait très bien le problème de la guerre d'Algérie pour l'voir vécu personnellement si j'ai tout compris le parcours de Dédé !
Henry- Connaisseur
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