M. le Président, ne promulguez pas cette loi ce weekend."

[Vladimir de Volog]

M. le Président, ne promulguez pas cette loi ce weekend."

[Edgar de Phelps]

M. le Président, ne promulguez pas cette loi ce weekend."

J ai eu peur j ai cru que c était encore un topic pour moi

[Edouard de Montmonrency]

M. le Président, ne promulguez pas cette loi ce weekend."
...

C'est dans son programme depuis deux mandats, il peut bien attendre encore 15 jours ;-)

[Jean-Louis de Toqueville]

La promulgation d'une loi par le PR est obligatoire, dès lors que les conditions de sa validité externe sont remplies. En droit public, on parle dans ce cas d'une compétence liée, ce qui signifie qu'au cas particulier et selon l'article 10 de la Constitution, cette obligation s'impose à lui. Cet article 10 précise:

« Le Président de la République promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée.
Il peut, avant l'expiration de ce délai, demander au Parlement une nouvelle délibération de la loi ou de certains de ses articles. Cette nouvelle délibération ne peut être refusée. »

Les demandes farfelues de divers syndicalistes, tel le chef de la CFDT, tendant à différer cette publication, sont fantaisistes, sauf si la Président décide de saisir l'Assemblée, hypothèse qui ne relève que de son seul choix.

[Edouard de Montmonrency]

... En même temps, il y a des lois qui n'ont jamais été promulguées (ou appliquées). J'ai entendu dire.

[Paulette]

Macron avait quinze jours devant lui, mais, en bon dictateur mégalomane qu'il est, il l'a fait cette nuit à 4 heures du matin.
Ce type est un malade et un provocateur-né.

[Clavier]

Oui ....mais c'est la seule attitude valable pour lui et sa clique

[Paulette]

Oui ....mais c'est la seule attitude valable pour lui et sa clique

Il faut croire...
Et après, ils chouinent quand le peuple manifeste !

[Vladimir de Volog]

En validant l’essentiel de la réforme des retraites, les « sages » ont livré une décision brutale et jeté de l’huile sur le brasier social.

Comment le Conseil constitutionnel aurait-il pu à la fois défendre son autorité juridique et son rôle politique, comment justifier l’existence de cette exception française étrange à la place d’une Cour suprême faite uniquement de juristes éminents ? On s’attendait à une prouesse de virtuosité linguistique, un verdict d’une élégance digne du roi Salomon, une formulation du « en même temps » qui ne changerait peut-être rien sur le fond, mais brillerait tellement par sa forme qu’elle pourrait aveugler temporairement les foules qui espéraient une décision contraire.

La décision du Conseil constitutionnel de valider vendredi soir l’essentiel de la réforme des retraites surprend donc à plus d’un titre.

Sur la forme, les « sages » – ce surnom ne peut être utilisé maintenant que par ironie – ont livré une décision brutale, écrite dans une forme bureaucratique dénuée de tout style ou de toute nuance.

Sur le fond, la décision va au-delà du texte gouvernemental tant décrié, censurant seulement les quelques articles que le gouvernement et le Sénat avaient ajoutés pour créer une impression d’équilibre social, et censurant totalement uniquement l’idée d’un référendum qui pourrait faire patienter les opposants quelques mois.

Sur ce brasier social qu’ont allumé partout en France le report de l’âge de la retraite à 64 ans et l’usage de l’article 49.3, les « sages » ont donc « versé un jerrican d’essence », selon la réaction immédiate de l’un des opposants les plus modérés, le communiste Fabien Roussel.

Et fidèle à ses passions de pyromane, Emmanuel Macron annonçait immédiatement que la loi serait promulguée sous quarante-huit heures, alors qu’il a deux semaines pour le faire. Essayant de jouer l’apaisement impossible, la Première ministre, Elisabeth Borne, a déclaré qu’il n’y avait dans cette décision du Conseil « ni vainqueurs ni vaincus ». Ce pieux mensonge est en partie vrai, comme il ne peut y avoir de vainqueur qu’à la fin d’une bataille, et cette bataille est loin d’être terminée.

[Edouard de Montmonrency]

La décision du Conseil constitutionnel a servi de validateur. C'est un instrument du pouvoir avec un zeste de tempérance en même temps et en plus.

[Paulette]

En aucun cas le Conseil Constitutionnel n'a vocation à être un instrument du pouvoir !

[Edouard de Montmonrency]

... Le mot vocation m'amuse ... quelle est la vocation de la vie et du vivre ensemble entre concitoyens ?

[Paulette]

... Le mot vocation m'amuse ... quelle est la vocation de la vie et du vivre ensemble entre concitoyens ?

Tu devrais l'écrire en deux mots, non ?

[Edgar de Phelps]

Il fait que obéir au personne au dessus de lui chez nous c est 67 ans et dans 10 ans on nous dira 70 ans et dans 20, 73 ans pour finir on mourra ou boulot seul quelque privilégié arriveront à avoir quelque année de retraite, avec le minimum bien sûr

[Edouard de Montmonrency]

... Le mot vocation m'amuse ... quelle est la vocation de la vie et du vivre ensemble entre concitoyens ?

Tu devrais l'écrire en deux mots, non ?

Quid est vocatio vitae? ... c'est plus percutant.

[Vladimir de Volog]

M. le Président, ne promulguez pas cette loi ce weekend."

[Vladimir de Volog]

Oui ....mais c'est la seule attitude valable pour lui et sa clique

Il faut croire...
Et après, ils chouinent quand le peuple manifeste !

[michou]

élus avec les voix de la gauche

[Frère Barnabé]

Oui ....mais c'est la seule attitude valable pour lui et sa clique

Il faut croire...
Et après, ils chouinent quand le peuple manifeste !

la nuit de l'anniversaire de brigitte ????

[Paulette]

... Le mot vocation m'amuse ... quelle est la vocation de la vie et du vivre ensemble entre concitoyens ?

Tu devrais l'écrire en deux mots, non ?

Quid est vocatio vitae? ... c'est plus percutant.

Sauf que c'est "concitoyens" que je te proposais d'écrire en deux mots.

[Edouard de Montmonrency]

... Le mot vocation m'amuse ... quelle est la vocation de la vie et du vivre ensemble entre concitoyens ?

Tu devrais l'écrire en deux mots, non ?

Quid est vocatio vitae? ... c'est plus percutant.

Sauf que c'est "concitoyens" que je te proposais d'écrire en deux mots.

Pour la majorité c'est  en 1 mot ... pour une minorité c'est 2.

C'est du "en même temps" ;-)

[Paulette]

Sinon, la vocation, du latin vocare, c'est quand on est "appelé".
Sûrement que les pseudo-sages du C.C. se sentent appelés par le dieu Macron.

[Edouard de Montmonrency]

Sinon, la vocation, du latin vocare, c'est quand on est "appelé".
Sûrement que les pseudo-sages du C.C. se sentent appelés par le dieu Macron.

A mon avis c'est plutôt le dieu U€ qui a appelé, c'est le cri de ralliement des Fric First.

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