L'intéressant projet de loi sur le partage de la valeur.

[Jean-Louis de Toqueville]

De Gaulle avait en son temps évoqué la question de la participation, mais le partage de la valeur n'avait jamais été autant d'actualité qu'en ce moment où l'inflation rogne le pouvoir d'achat de salariés, bien que dans les grandes entreprises, la participation aux fruits de l'expansion existe fort bien.

Un projet de loi transpose l'accord national interprofessionnel (ANI) sur le partage de la valeur en entreprise, conclu en février 2023 entre les syndicats et le patronat. Cet accord vise à mieux associer les salariés aux performances des entreprises, notamment dans les TPE/PME.

Le projet de loi transpose, de manière fidèle, les mesures de niveau législatif de l'accord national interprofessionnel qui a été signé entre le Medef, la CPME, l'U2P, la CFDT, FO, la CFE-CGC et la CFTC. Cet accord a pour objectif de dynamiser le partage de la valeur en entreprise, tout en rappelant le principe de non-substitution, en vertu duquel les sommes versées au titre du partage de la valeur ne doivent pas se substituer aux salaires.

Le groupuscule stalinien CGT, annexe historique du PCF, qui n'est plus un syndicat mais une officine communiste de lutte des classes, n'a évidemment pas signé et accord. Ce texte gène les cégéto-staliniens, parce qu'ils se servent du syndicalisme pour "lutter contre le grand kapital". Or cet accord aura pour conséquence de rapprocher patronat et salariés, qui devront s'accorder pour négocier les modalités de partage de la valeur. Cette collaboration de classe est insupportable à ces communards "en lutte"....

A partir du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront mettre en place au moins un dispositif de partage de la valeur dès lors qu’elles sont profitables (bénéfice net fiscal d'au moins 1% de leur chiffre d’affaires pendant trois années consécutives).

Le sujet n'est pas négligeable pur les salariés. On se souvient que quelques constructeurs automobiles qui avaient eu d'excellents résultats commerciaux avaient distribué des bonus, tel Stellantis une prime minimum de 4 300 € et beaucoup plus chez les cadres, Renault qui avait octroyé 1100 € + 65,33 par tranche de 100 € de salaire brut mensuel; chez Mercedez, c'est 7 300 € qu'ont eu les salariés.

En cette période d'inflation et de budgets ménagers serrés, tous les salariés seront demandeurs et partie prenante à la participation. Macron séduit là son aile gauche, souvent un peu trop par rapport à sa droite.


https://www.vie-publique.fr/loi/289541-partage-de-la-valeur-en-entreprise-transposition-ani-projet-de-loi

[Jean-Louis de Toqueville]

Il est intéressant de regarder les arguments de la cégété sur le sujet, nous sommes des démocrates, même si nous dénonçons toujours et partout ces staliniens d'un autre siècle.

"Partout dans les territoires, les branches, entreprises et administrations, la mobilisation doit se poursuivre pour défendre nos retraites et gagner l’augmentation du Smic, des salaires et du point d’indice".

C'est ça "mobilise", rigolo, tout le monde se fout des manifs et le gouvernement n'en tient aucun compte...


https://www.cgt.fr/comm-de-presse/partage-de-la-valeur-la-cgt-nest-pas-signataire-de-laccord-national-interprofessionnel

[Jean-Louis de Toqueville]

J'en conclus que les cégéteux ne sont pas partageux !

[André de Montalembert]

Travail....Famille...Patrie!
La Charte du Travail quoi....

[Revanchisti]

Si tu fais du développement économique t'as de l'inflation, c'est pas un problème si les salaires suivent. Mais quand t'as des capitaloches qui ponctionnent qui pompent une partie de la valeur pour payer leur consommation de cocaïne entre 2 conseil d’administration et orgie incestueuse avec les membre du CA qui font parti de la famille (On pense à toi Bolloré le CA avec que des membres de la famille.)

Bah il est dur poru els salaire de suirve avec une telle ponctione de la valeure.

Alors les économistes capitalistes des banques centrales ont trouvé une solution géniale : ORGANISER DES RÉCESSION POUR TUER L'INFLATION !!!!
Youhou tu nique la croissance et tu créer du chômage.

Alors maintenant on a le quantitative easing. Ducoup on cumule encore plus le prie de tous les mondes.

Le peuple douille sec. Il la le chômage de masse, l'insécurité de l'emploie, la destruction des métiers qualifiés, + l'inflation au cul.

[Revanchisti]

La CGT est plus un repère d'opportunistes qui se contentent de leur rôle de médiateur et cherche à tirer parti au maximum des troubles politiques à leur avantage et non à l'avantage de la population.

S'ils étaient Staliniens ça serait av l'avantage de la population à cause du principe léniniste de devoir représenter les intérêts du peuple en particuleir de la classe ouvrière et du prolétariat en géénral.

[Jean-Louis de Toqueville]

Si tu fais du développement économique t'as de l'inflation, c'est pas un problème si les salaires suivent. Mais quand t'as des capitaloches qui ponctionnent qui pompent une partie de la valeur pour payer leur consommation de cocaïne entre 2 conseil d’administration et orgie incestueuse avec les membre du CA qui font parti de la famille (On pense à toi Bolloré le CA avec que des membres de la famille.)

Bah il est dur poru els salaire de suirve avec une telle ponctione de la valeure.

Alors les économistes capitalistes des banques centrales ont trouvé une solution géniale : ORGANISER DES RÉCESSION POUR TUER L'INFLATION !!!!
Youhou tu nique la croissance et tu créer du chômage.

Alors maintenant on a le quantitative easing.  Ducoup on cumule encore plus le prie de tous les mondes.

Le peuple douille sec. Il la le chômage de masse, l'insécurité de l'emploie, la destruction des métiers qualifiés, + l'inflation au cul.

Houlaaaa.... ne cause pas éco ou finance, le plaro, tu sembles déraper...

Le quantitative esasing, c'était avant l'inflation et c'est du reste pour partie ce qui a provoqué de l'inflation, outre l'envolée des prix de certaines matières premières, largement retombé depuis. Le QE, c'est bien terminé depuis quelques mois, voire 1 ou 1,5 an.

[Revanchisti]

Le quantitative easing est une cause de l'inflation. C'était pour limiter les dégâts de taux directeurs fait pour maintenir la monnaie forte au prix de recession.

Les elites économique s'arrange pour qu'en cas d'inflation ou déflation, ça soit toujours eux qui douille moins au détriment du peuple.

Un inflation qui arrange le peuple, c'est quand on fait tourner la planche à billet pour investir dans des projets d'infractutrue nationale, des rouets des ponts, des écoles et des centrales nucléaire entre autre.
En s'assurant que les salaires suivent l'inflation.

L'inflation aura aussi pour bénéfice de permettre une meilleure exportation.

Aujourd’hui le seul truque qui indexé sur l'inflation ce sont les actions de Xavier Niel par exemple. Alors que son emprunt n'e l'est pas.

L'économie nationale est martyrisé et sacrifié au profil des intérêts d’une petite caste comospoliteet apatride.

[Jean-Louis de Toqueville]

Le quantitative easing (QE) est terminé, il a certes contribué à valoriser les actifs financiers, mais c'est terminé, la BCE fait maintenant l'inverse, elle relève les taux d'intérêt !

Tu dis n'importe quoi et toujours avec ton prisme déformant marxiste, c'est désespérant.

Lorsque la CE a fait du QE, la question de l'inflation n'était pas connue, elle est venue après, ce qui a incité la BCE à arrêter le QE. Elle a dû faire l'inverse, i-e augmenter graduellement les taux d'intérêts directeurs, suivant à distance la politique de la FED américaine. Tout est lié dans la finance mondiale.

L'inflation n'améliore pas les exportations, c'est l'inverse. Si tes prix montent et que tu n'es pas compétitif, tu n'es pas compétitif sur les marchés extérieurs et tu exportes peu.

Aujourd’hui le seul truque qui indexé sur l'inflation ce sont les actions de Xavier Niel par exemple. Alors que son emprunt n'e l'est pas.

Ah, ah, ah... où t'as appris la bourse ??? Chez les soviets qui n'en avaient pas ? Aucune action n'est indexée sur l'inflation, une action monte ou descend selon les conditions de marché au plan macro-économique et en fonction des perspectives de croissance ou non de ses résultats au plan micro-éco. L'inflation n'a rien à voir la-dedans, sauf que, globalement, une faible inflation est plutôt bénéfique aux entreprises, donc à la bourse et une forte inflation, c'est l'inverse.

Enfin sur tes lubies primaires anticapitaliste, sache que des acteurs de marché peuvent manipuler un moment un ou plusieurs cours de bourse, avec des risques de sanction importants, mais personne n'est assez influent ou puissant pour manipuler l'ensemble du marché, les très fortes sommes échangées sont hors de portée de telles turpitudes.

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