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Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers

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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 10:26

Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463



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Message par Jean-Louis de Toqueville Lun 28 Aoû - 11:52




Les LFI et leur merluchon sont tellement idéologisés, tellement anti-flics et anti-France, tellement stalinisés, qu'ils n'ont pas la capacité intellectuelle ni d'évaluer la conséquence de ce qu'ils disent, ni de tenter de mesurer la portée politique de ce qu'ils racontent.

Quand on observe le discours haineux des LFI, on relève:
- qu'ils tapent sur les flics sans arrêt, en cherchant le moindre incident pour le monter systématiquement en épingle, comme le fait un porte-flingue colleur d'affiches ici,
- qu'ils haranguent tous les gauchistes et syndicalistes excités afin de faire des manifs une occupation permanente de la rue,
- qu'ils inventent une chasse aux fascistes, alors qu'il n'y en a pas,  en montant en épingle tous les faits et gestes de quelques individus ou groupes isolés qui brandissent connement des insignes fascistes ou nazillonnes.

Ces stalino-fascistes, perdants dans toutes les élections depuis plus de 20 ans, ne mesurent pas à leur juste dimension le tort qu'ils se font à eux-mêmes devant l'opinion en évoquant ces sujets, à rebours complet de l'opinion actuelle des français.

Si les médias dits conservateurs français ouvrent si grand les portes à leur mélenchon, c'est pour le laisser parler, parce que, comme Georges Marchais en son temps, plus il parle, plus il s'enfonce....

Ne coupons surtout pas les antennes et la parole au merluchon, personne autre que lui ne fait aussi efficacement et puissamment la contre-publicité de ses idées portées par une idéologie crasse !

Pour cette raison, je suis très favorable à une nouvelle candidature du mélenchon à la présidentielle de 2027. Du reste, il en meurt d'envie; seul le gêne le bel envol qu'a pris à ce jour son principal concurrent, F. Ruffin, qui va devenir pour le merluchon un obstacle au renouvellement de sa quatrième candidature.





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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 12:10

Mais qu'il se casse lautoproclamecadresup,

il ne sait qu'écrire en gros et gras pour répéter les mêmes conneries en boucle.
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 12:11

Jean-Louis de Toqueville a écrit:


Les LFI et leur merluchon sont tellement idéologisés, tellement anti-flics et anti-France, tellement stalinisés, qu'ils n'ont pas la capacité intellectuelle ni d'évaluer la conséquence de ce qu'ils disent, ni de tenter de mesurer la portée politique de ce qu'ils racontent.

Quand on observe le discours haineux des LFI, on relève:
- qu'ils tapent sur les flics sans arrêt, en cherchant le moindre incident pour le monter systématiquement en épingle, comme le fait un porte-flingue colleur d'affiches ici,
- qu'ils haranguent tous les gauchistes et syndicalistes excités afin de faire des manifs une occupation permanente de la rue,
- qu'ils inventent une chasse aux fascistes, alors qu'il n'y en a pas,  en montant en épingle tous les faits et gestes de quelques individus ou groupes isolés qui brandissent connement des insignes fascistes ou nazillonnes.

Ces stalino-fascistes, perdants dans toutes les élections depuis plus de 20 ans, ne mesurent pas à leur juste dimension le tort qu'ils se font à eux-mêmes devant l'opinion en évoquant ces sujets, à rebours complet de l'opinion actuelle des français.

Si les médias dits conservateurs français ouvrent si grand les portes à leur mélenchon, c'est pour le laisser parler, parce que, comme Georges Marchais en son temps, plus il parle, plus il s'enfonce....

Ne coupons surtout pas les antennes et la parole au merluchon, personne autre que lui ne fait aussi efficacement et puissamment la contre-publicité de ses idées portées par une idéologie crasse !

Pour cette raison, je suis très favorable à une nouvelle candidature du mélenchon à la présidentielle de 2027. Du reste, il en meurt d'envie; seul le gêne le bel envol qu'a pris à ce jour son principal concurrent, F. Ruffin, qui va devenir pour le merluchon un obstacle au renouvellement de sa quatrième candidature.






oui tout a fait et c'est ce qu'il faut , que Ruffin le grille a l'arrivée qu'on rigole un peu . Vive François Ruffin !! lol lol .
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 12:12

Vladimir de Volog красны a écrit:Mais qu'il se casse lautoproclamecadresup,

il ne sait qu'écrire en gros et gras pour répéter les mêmes conneries en boucle.

C'est pourtant brillant de vérité , vive François Ruffin !! MDR
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 12:13

Vladimir de Volog красны a écrit:Mais qu'il se casse lautoproclamecadresup,

il ne sait qu'écrire en gros et gras pour répéter les mêmes conneries en boucle.
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 12:22

patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

Contact presse : Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac France
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 12:28

Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

Contact presse  : Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac France




Si patati réprouve ce communiqué et cet appel à l'action, il peut en faire part à l'initiateur de l'appel Attac France, comme je suis sympa je lui donne des coordonnées avec tel.

Relations médias et communication
Cécile Dony cecile@attac.org - 06 58 80 34 63
Louis Fayolle louis@attac.org - 06 75 44 81 62

Responsable éditorial
Frédéric Lemaire frederic@attac.org - 01 56 06 43 60

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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 12:33

Vladimir de Volog красны a écrit:
Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


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Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

Contact presse  : Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac France




Si patati réprouve ce communiqué et cet appel à l'action, il peut en faire part à l'initiateur de l'appel  Attac France, comme je suis sympa je lui donne des coordonnées avec tel.

Relations médias et communication
Cécile Dony cecile@attac.org - 06 58 80 34 63  
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Responsable éditorial
Frédéric Lemaire frederic@attac.org - 01 56 06 43 60





Mais très certainement que ce membre de l'extrême droite le sait au travers des informations collectées par le DPS.
(Département protection sécurité) service d'ordre du Rassemblement national.

Il fait office de service de renseignement .

Par rapport aux autres services de sécurité de partis politiques est son caractère quasi militaire,

aussi bien dans l'origine de beaucoup de ses membres (anciens militaires, policiers ou vigiles)

que dans son équipement (casques et uniformes proches ou similaires à ceux équipant les brigades mobiles de forces publiques),

on pourrait même dire que c'est une milice fasciste.
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Message par Jean-Louis de Toqueville Lun 28 Aoû - 16:20

Vladimir de Volog красны a écrit:Mais qu'il se casse lautoproclamecadresup,

il ne sait qu'écrire en gros et gras pour répéter les mêmes conneries en boucle.



Dis donc, le porte-flingue des communards et de la cégété, ce sont les caractères gras qui te gênent ou le fond de mes propos ?????

T'as vu, je tiens mes promesses, moi.....
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 16:29

Mais qu'il se casse lautoproclamecadresup,

il ne sait qu'écrire en gros et gras pour répéter les mêmes conneries en boucle, ça ne lui donne pas raison sur le fond,

mais avec son insistance, on voit bien qu'il touche le fond. Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  518364 Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  518364
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 16:30

Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

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Contact presse  : Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac France




Si patati réprouve ce communiqué et cet appel à l'action, il peut en faire part à l'initiateur de l'appel  Attac France,

comme je suis sympa je lui donne des coordonnées avec tel.

Relations médias et communication
Cécile Dony cecile@attac.org - 06 58 80 34 63  
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 16:58

Vladimir de Volog красны a écrit:
Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
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Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

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Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

Contact presse  : Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac France




Si patati réprouve ce communiqué et cet appel à l'action, il peut en faire part à l'initiateur de l'appel  Attac France,

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Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

La destuction des services publics , ce sont les sauvageons qui les détruisent au fur a mesure , les garderies , les écoles , les bibliothèques ils cassent tout et détruisent tout . quand aux femmes seules ca reste a voir , seules? oui oui ...bizarre qu'il y en est tant dans ces quartiers .
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 17:01

Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.

De quoi tu me parles ? je pourrais savoir , où tu m'as vu parler du 23 septembre ? .


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 17:13

Jean-Louis de Toqueville a écrit: Dis donc, le porte-flingue des communards et de la cégété, ce sont les caractères gras qui te gênent ou le fond de mes propos ?????T'as vu, je tiens mes promesses, moi.....



Je n'ai rien vu du tout, vous m'insultez à nouveau, d'une façon larvée, mais vous m'insultez.

Je vous conseille de maitriser vos émotions, cela vous permettra entre autre, d'écrire normalement comme tout le monde, et non en gros et gras pour essayer de prouver que vous avez raison, et d'éviter l'insulte qui semble être votre naturel.

Pour y arriver, à maitriser vos émotions, peut-être qu'une thérapie s'imposerait, ou alors si vous en suivez déjà une, changez la, essayez la méditation transcendantale, ça pourrait vous réussir, sait-on jamais ?
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Message par Vladimir de Volog Lun 28 Aoû - 17:14

patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


[Communiqué unitaire] Appel pour une grande marche contre la répression le 23 septembre 2023
mardi 1er août 2023, par Attac France


Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Les gens de LFI ont refusé de demander le calme aux émeutiers  Arton8844-da66f

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. (Lire notre premier communiqué unitaire "Notre pays est en deuil et en colère")

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé-es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement
le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux
Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !

PREMIÈRES ORGANISATIONS SIGNATAIRES

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières :Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

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Si patati réprouve ce communiqué et cet appel à l'action, il peut en faire part à l'initiateur de l'appel  Attac France,

comme je suis sympa je lui donne des coordonnées avec tel.

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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 17:50

Vladimir de Volog красны a écrit:
patatisanspatata a écrit:Il faudra s'en rappeler dans 3,5 ans . Pensez y au moment de choisir quel bulletin prendre .

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/mort-de-nahel-en-refusant-dappeler-au-calme-lfi-joue-la-surenchere-a-gauche-1957463  




Encore une fois tu manipules la vérité.

Ce n'est pas LFI qui a lancé l'appel à une marche le 23 septembre, mais  Attac France.

Donc comme tu mens, une fois de plus voici l'article en entier.


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Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’État laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’État est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

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Mais qu'est ce que tu me parles du 23 septembre ? où je te parles du 23 septembre ? .
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Message par André de Montalembert Lun 28 Aoû - 18:49

Le titre est faux dès le départ,
L'appel ou non au calme, n'as rien à voir avec les émeutes, qui ont suivis justement la manifestation calme appelée Marche Blanche!
LFI parlait de révoltes liées à la lutte de classe, et celà effectivement un révolutionnaire ne peux que le constater....hélas.
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 20:40

Dédé 2B a écrit:Le titre est faux dès le départ,
L'appel ou non au calme, n'as rien à voir avec les émeutes, qui ont suivis justement la manifestation calme appelée Marche Blanche!
LFI parlait de révoltes liées à la lutte de classe, et  celà effectivement un révolutionnaire ne peux que le constater....hélas.

Oui ! oui ! t'as raison .
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Message par patatisanspatata Lun 28 Aoû - 20:45

Dédé 2B a écrit:Le titre est faux dès le départ,
L'appel ou non au calme, n'as rien à voir avec les émeutes, qui ont suivis justement la manifestation calme appelée Marche Blanche!
LFI parlait de révoltes liées à la lutte de classe, et  celà effectivement un révolutionnaire ne peux que le constater....hélas.

Oui oui tu as raison Dédé je manipule comme dirait ton copain .

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dem


https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dema

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dem

ben voilà je manipule .
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Message par patatisanspatata Mar 29 Aoû - 19:04

patatisanspatata a écrit:
Dédé 2B a écrit:Le titre est faux dès le départ,
L'appel ou non au calme, n'as rien à voir avec les émeutes, qui ont suivis justement la manifestation calme appelée Marche Blanche!
LFI parlait de révoltes liées à la lutte de classe, et  celà effectivement un révolutionnaire ne peux que le constater....hélas.

Oui oui tu as raison Dédé je manipule comme dirait ton copain .

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dem


https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dema

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+ .

Ben voilà je manipule .
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Message par patatisanspatata Mar 29 Aoû - 21:23

patatisanspatata a écrit:
patatisanspatata a écrit:
Dédé 2B a écrit:Le titre est faux dès le départ,
L'appel ou non au calme, n'as rien à voir avec les émeutes, qui ont suivis justement la manifestation calme appelée Marche Blanche!
LFI parlait de révoltes liées à la lutte de classe, et  celà effectivement un révolutionnaire ne peux que le constater....hélas.

Oui oui tu as raison Dédé je manipule comme dirait ton copain .

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dem


https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+dema

https://www.google.com/search?q=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+demander+le+calme+aux+%C3%A9meutiers&oq=youtube+m%C3%A9lenchon+refuse+de+  .

Ben voilà je manipule .

Je fais de la manipulation
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Message par André de Montalembert Mer 30 Aoû - 8:11

Oui tu reprend la propagande anti-LFI des médias!
Rien d'étonnant de ta part!
Moi je ne suis pas pour le calme, car on sait par expérience où çà mène!
Mais l'agitation politique ne signifie pas casser des boutique comme le font les voyous que recrute le RN comme provos....à défaut de la police!
Je vous met pas les preuves en photo! Si ?
https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/barrage-de-sivens/quatre-questions-sur-les-policiers-deguises-en-manifestants_734965.html
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Message par patatisanspatata Mer 30 Aoû - 10:03

Dédé 2B a écrit:Oui tu reprend la propagande anti-LFI des médias!
Rien d'étonnant de ta part!
Moi je ne suis pas pour le calme, car on sait par expérience où çà mène!
Mais l'agitation politique ne signifie pas casser des boutique comme le font les voyous que recrute le RN comme provos....à défaut de la police!
Je vous met pas les preuves en photo! Si ?
https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/barrage-de-sivens/quatre-questions-sur-les-policiers-deguises-en-manifestants_734965.html


En 2014 j'en sais rien si il y avait des policiers dans les manifestants , mais en juin dernier surement pas vos bras armés qui ont tout détruit tout brulé , votre futur milice si un jour vous arrivez au pouvoir ce sont les mêmes , tu es pas content DD ? vous avez eu votre nuit de cristal .
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