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La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
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La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU raconte aux peuples que la Terre est en ébullition.
Pendant ce temps la couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante !!!
MENSONGES - MANIPULATIONS !!! C'est pour cela qu'ils veulent nous censurer !!!!
https://tkp.at/2023/09/05/eisbedeckung-in-groenland-waechst-obwohl-laut-uno-general-die-erde-kocht/
Pendant ce temps la couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante !!!
MENSONGES - MANIPULATIONS !!! C'est pour cela qu'ils veulent nous censurer !!!!
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Héloïse de Salm- Chef
- Messages : 1351
Date d'inscription : 14/08/2022
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Héloïse de Salm a écrit:Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU raconte aux peuples que la Terre est en ébullition.
Bin 35° un 8 septembre ça y ressemble un peu non ?
Même si perso j'y trouve pas désagréable.
Le Panda à du mourir de chaud d'ailleurs on ne le lit plus ces jours derniers ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
selon moi , il faut mettre aussi dans le calcul de ce réchauffement climatique , les cycles menstruel de la Terre et du soleil !!Monsieur Trololo a écrit:Héloïse de Salm a écrit:Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU raconte aux peuples que la Terre est en ébullition.
Bin 35° un 8 septembre ça y ressemble un peu non ?
Même si perso j'y trouve pas désagréable.
Le Panda à du mourir de chaud d'ailleurs on ne le lit plus ces jours derniers ...
Youtube
Planète Terre < Climat < Cycles du climat
Le terme « réchauffement de la planète » est actuellement très employé et se retrouve au cœur des débats sur l’environnement.
La fréquence et le rythme de ces importants refroidissements seraient dus à trois cycles d’exposition terrestre au rayonnement solaire, déterminés par les changements d’inclinaison du globe et les oscillations de son orbite autour du soleil.
Ces dernières années, les recherches ont révélé une chronologie des paléotempératures plus complexes qu’on ne le pensait.
Le diagramme ci-dessous présente ces grandes fluctuations. La partie droite indique la terminologie traditionnelle désignant les différentes glaciations et les stades interglaciaires.
Durant les 700 000 dernières années, le cycle dominant fut d’environ 100 000 ans, avec des interglaciaires de 10 000 à 15 000 ans.
La glaciation la plus récente commença il y a environ 115 000 ans et s’acheva il y a environ 15 000 ans lorsque débuta le présent interglaciaire.
C’est pendant cette dernière période que l’Homo sapiens a pu se développer et coloniser peu à peu l’ensemble du globe. Il lui a fallu pour cela s’adapter aux changements climatiques.
Il y a 40 000 ans, au Pléistocène, la dernière glaciation connaissait une période de répit. Cependant, notre planète était bien différente de ce qu’elle est aujourd’hui.
Le niveau de la mer était beaucoup plus bas, entre 50 et 100 m de moins. De vastes calottes glaciaires recouvraient le nord de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de l’Asie ainsi que le sud de l’hémisphère Sud.
Dans ces zones, des toundras gelées étaient balayées par les vents.
Le Gand Gel
Il y a 25 000 ans, les calottes glaciaires commencèrent à accumuler tant de neige que des grandes parties de l’Amérique du Nord, du nord-ouest de l’Europe et certaines régions d’Asie centrale se couvrirent de glace.
Il y a 20 000 ans, le niveau de la mer était au plus bas, environ 120 m plus bas qu’aujourd’hui.
Les régions d’Europe qui n’avaient pas disparu sous la glace étaient stériles. La température moyenne était inférieure d’environ 8°C à celle d‘aujourd’hui.
Les rares forêts se situaient dans les zones méditerranéennes.
L’Amérique du Nord était beaucoup plus aride qu’aujourd’hui. L’Asie du Sud-Est étant dépourvue de moussons était bien plus sèche.
Les toundras furent remplacées par des forêts et des prairies beaucoup plus fertiles et donc propice au développement de la faune.
Ces changements de biotope s’opérèrent tout d’abord en Amérique du Nord puis en Europe.
En Afrique du Nord, le climat se fit plus humide et des déserts se transformèrent en savane et en zones boisées.
Il y a environ 11 000 ans, l’ensoleillement atteignit son point culminant dans les régions tempérées, annonçant un nouveau stade interglaciaire.
Pourtant, en Europe et dans certaines parties d’Amérique du Nord, le climat se refroidit brutalement.
Cette période appelée Dryas III dura environ 500 ans. En été, les températures perdirent 5 à 10°C et les glaciers recommencèrent à geler.
Une fois encore, la toundra prit le pas sur les forêts et les prairies ce qui obligea la faune à migrer vers le sud.
Cet épisode glaciaire est encore mal expliqué. Il s’acheva aussi brutalement qu’il avait commencé.
Sa fin marque la limite entre le Pléistocène et l’Holocène, notre ère actuelle.
Fluctuations climatiques actuelles
Depuis le début de notre ère, il y a 10 000 ans, le niveau des mers n’a pas arrêté de s’élever. Cette tendance s’accroit avec l’activité humaine qui accélère le réchauffement.
Selon les dernières données fournies par les satellites de la NASA et de la NOAA, l’atmosphère terrestre s’est élevée de 0,4°C en moyenne sur les 30 dernières années.
Mais, ce réchauffement n’est pas uniforme comme c’était déjà le cas dans le passé. Ce sont les régions nordiques qui sont le plus touchées : Canada à la Scandinavie.
L’Antarctique montre par contre un léger refroidissement.
L’Arctique se réchauffe et les glaces fondent plus vite.
D’après les données, le réchauffement s’est concentré sur les 10 dernières années.
D’une manière globale, un quart de la planète est touchée par ce réchauffement. C’est au Groenland que l’on a enregistré la plus forte augmentation avec + 2,5 °C.
En parallèle, 4% de notre planète enregistre un refroidissement.
Il est certain que l’activité humaine et notamment l’augmentation des émissions de Co² participent à l’accélération des fluctuations climatiques.
Cependant, il faut être conscient que ces fluctuations ne peuvent être empêchées.
Nous savons que la circulation océanique influence énormément le climat de la Terre. C’est le « climatiseur » de la planète. L’étude du climat sur plusieurs milliers d’années a révélé que l’arrêt ou l’accélération de cette circulation océanique était impliquée dans des changements climatiques majeurs. Or, selon des analyses effectuées en 2004, l’ensemble de la circulation thermohaline a ralenti de 30%. Si le Gulf Stream, en surface, évolue peu, les courants les plus profonds auraient diminué de 50%.
En 2006, un rapport encore plus alarmant a été publié par l'institut océanographique Scripps de l'université de Californie qui a précisé que les courants océaniques s’étaient inversés.
Ce phénomène s’est déjà produit il y a 55 millions d’années entraînant une augmentation de 5 à 8°C de la température moyenne mondiale.
Pour l’avenir, les températures ne pourront que s’élever ce qui va entraîner d’énormes modifications de la flore sur tous les continents.
Si certaines régions vont se refroidir, d’autres par contre vont devenir beaucoup plus sèches.
Ce sera le cas d’une grande partie de l’Amérique du Nord par exemple.
Des régions entières vont se retrouver sous le niveau de la mer et donc disparaître.
Nos ancêtres ont su s’adapter à ces changements en migrant vers les régions les plus tempérées et donc les plus fertiles.
Malheureusement pour nous, nous sommes plus de 6 milliards et des migrations de masse ne sont pas envisageables.
Par contre, il est impératif de nous préparer à ces changements et cela dès maintenant. Nos ressources doivent absolument être utilisées de manière responsable car elles deviendront de plus en plus réduites dans les décennies à venir.
L’eau douce risque également de devenir un enjeu crucial. Pourtant, aucune mesure efficace n’est prise pour protéger nos réserves mondiales actuelles.
Au contraire, nous polluions fleuves et nappes phréatiques.
Beaucoup de gens sont contre les OGM et cela avec raison. Cependant, les recherches effectuées pourraient bien permettre à l’avenir à notre espèce de survivre.
Il deviendra peut-être un jour indispensable de pouvoir faire pousser fruits et légumes dans des régions devenues arides ou trop froides.
Cette liste de mesures n’est bien sûr pas exhaustive. Une chose est sûre, il n’est plus temps de tergiverser en hypothéquant notre avenir sur des suppositions.
Il est temps d’agir et cela de manière responsable.
Tant que les gouvernements laisseront les intérêts financiers de quelques multinationales et de groupes plus ou moins mafieux prendre le pas sur l’intérêt collectif, nous avons beaucoup de soucis à nous faire pour les futures générations.
La Glace à travers les âges. Björn E.Berglung et Svante Björck. Berceaux de l’Humanité. Larousse 2003
NOAA
Institut océanographique Scripps de l'Université de Californie
< Climat
Planète Terre < Climat < Cycles du climat
Les grands cycles climatiques
Les cycles climatiques font partie de l’histoire de notre planète avec des périodes glaciaires et des réchauffements plus ou moins longs.Le terme « réchauffement de la planète » est actuellement très employé et se retrouve au cœur des débats sur l’environnement.
Des cycles climatiques complexes
Depuis que la Terre est née, il existe une série de fluctuations froides, glaciales appelées les glaciations, interrompues par des périodes de réchauffement appelées interglaciaires.La fréquence et le rythme de ces importants refroidissements seraient dus à trois cycles d’exposition terrestre au rayonnement solaire, déterminés par les changements d’inclinaison du globe et les oscillations de son orbite autour du soleil.
Ces dernières années, les recherches ont révélé une chronologie des paléotempératures plus complexes qu’on ne le pensait.
Le diagramme ci-dessous présente ces grandes fluctuations. La partie droite indique la terminologie traditionnelle désignant les différentes glaciations et les stades interglaciaires.
Zoom diagramme
La chronologie des paléotempératures et des fluctuations des volumes glaciaires, fondée sur les variations des taux d’isotopes de l’oxygène dans les sédiments des grands fonds marins, révèle que le premier 1,8 million d’années du Pléistocène, se caractérisait par des cycles glaciations/interglaciaires d’environ 41 000 ans.Durant les 700 000 dernières années, le cycle dominant fut d’environ 100 000 ans, avec des interglaciaires de 10 000 à 15 000 ans.
La glaciation la plus récente commença il y a environ 115 000 ans et s’acheva il y a environ 15 000 ans lorsque débuta le présent interglaciaire.
C’est pendant cette dernière période que l’Homo sapiens a pu se développer et coloniser peu à peu l’ensemble du globe. Il lui a fallu pour cela s’adapter aux changements climatiques.
Il y a 40 000 ans, au Pléistocène, la dernière glaciation connaissait une période de répit. Cependant, notre planète était bien différente de ce qu’elle est aujourd’hui.
Le niveau de la mer était beaucoup plus bas, entre 50 et 100 m de moins. De vastes calottes glaciaires recouvraient le nord de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de l’Asie ainsi que le sud de l’hémisphère Sud.
Dans ces zones, des toundras gelées étaient balayées par les vents.
Le Gand Gel
Il y a 25 000 ans, les calottes glaciaires commencèrent à accumuler tant de neige que des grandes parties de l’Amérique du Nord, du nord-ouest de l’Europe et certaines régions d’Asie centrale se couvrirent de glace.
Il y a 20 000 ans, le niveau de la mer était au plus bas, environ 120 m plus bas qu’aujourd’hui.
Les régions d’Europe qui n’avaient pas disparu sous la glace étaient stériles. La température moyenne était inférieure d’environ 8°C à celle d‘aujourd’hui.
Les rares forêts se situaient dans les zones méditerranéennes.
L’Amérique du Nord était beaucoup plus aride qu’aujourd’hui. L’Asie du Sud-Est étant dépourvue de moussons était bien plus sèche.
Début du réchauffement
Il y a environ 15 000 ans, la température globale de la planète commença à s’élever. La fonte des glaces fit remonter le niveau des mers et provoqua l’extension des océans.Les toundras furent remplacées par des forêts et des prairies beaucoup plus fertiles et donc propice au développement de la faune.
Ces changements de biotope s’opérèrent tout d’abord en Amérique du Nord puis en Europe.
En Afrique du Nord, le climat se fit plus humide et des déserts se transformèrent en savane et en zones boisées.
Il y a environ 11 000 ans, l’ensoleillement atteignit son point culminant dans les régions tempérées, annonçant un nouveau stade interglaciaire.
Pourtant, en Europe et dans certaines parties d’Amérique du Nord, le climat se refroidit brutalement.
Cette période appelée Dryas III dura environ 500 ans. En été, les températures perdirent 5 à 10°C et les glaciers recommencèrent à geler.
Une fois encore, la toundra prit le pas sur les forêts et les prairies ce qui obligea la faune à migrer vers le sud.
Cet épisode glaciaire est encore mal expliqué. Il s’acheva aussi brutalement qu’il avait commencé.
Sa fin marque la limite entre le Pléistocène et l’Holocène, notre ère actuelle.
Fluctuations climatiques actuelles
Depuis le début de notre ère, il y a 10 000 ans, le niveau des mers n’a pas arrêté de s’élever. Cette tendance s’accroit avec l’activité humaine qui accélère le réchauffement.
Selon les dernières données fournies par les satellites de la NASA et de la NOAA, l’atmosphère terrestre s’est élevée de 0,4°C en moyenne sur les 30 dernières années.
Mais, ce réchauffement n’est pas uniforme comme c’était déjà le cas dans le passé. Ce sont les régions nordiques qui sont le plus touchées : Canada à la Scandinavie.
L’Antarctique montre par contre un léger refroidissement.
L’Arctique se réchauffe et les glaces fondent plus vite.
D’après les données, le réchauffement s’est concentré sur les 10 dernières années.
D’une manière globale, un quart de la planète est touchée par ce réchauffement. C’est au Groenland que l’on a enregistré la plus forte augmentation avec + 2,5 °C.
En parallèle, 4% de notre planète enregistre un refroidissement.
Il est certain que l’activité humaine et notamment l’augmentation des émissions de Co² participent à l’accélération des fluctuations climatiques.
Cependant, il faut être conscient que ces fluctuations ne peuvent être empêchées.
Nous savons que la circulation océanique influence énormément le climat de la Terre. C’est le « climatiseur » de la planète. L’étude du climat sur plusieurs milliers d’années a révélé que l’arrêt ou l’accélération de cette circulation océanique était impliquée dans des changements climatiques majeurs. Or, selon des analyses effectuées en 2004, l’ensemble de la circulation thermohaline a ralenti de 30%. Si le Gulf Stream, en surface, évolue peu, les courants les plus profonds auraient diminué de 50%.
En 2006, un rapport encore plus alarmant a été publié par l'institut océanographique Scripps de l'université de Californie qui a précisé que les courants océaniques s’étaient inversés.
Ce phénomène s’est déjà produit il y a 55 millions d’années entraînant une augmentation de 5 à 8°C de la température moyenne mondiale.
Pour l’avenir, les températures ne pourront que s’élever ce qui va entraîner d’énormes modifications de la flore sur tous les continents.
Si certaines régions vont se refroidir, d’autres par contre vont devenir beaucoup plus sèches.
Ce sera le cas d’une grande partie de l’Amérique du Nord par exemple.
Des régions entières vont se retrouver sous le niveau de la mer et donc disparaître.
Nos ancêtres ont su s’adapter à ces changements en migrant vers les régions les plus tempérées et donc les plus fertiles.
Malheureusement pour nous, nous sommes plus de 6 milliards et des migrations de masse ne sont pas envisageables.
Par contre, il est impératif de nous préparer à ces changements et cela dès maintenant. Nos ressources doivent absolument être utilisées de manière responsable car elles deviendront de plus en plus réduites dans les décennies à venir.
L’eau douce risque également de devenir un enjeu crucial. Pourtant, aucune mesure efficace n’est prise pour protéger nos réserves mondiales actuelles.
Au contraire, nous polluions fleuves et nappes phréatiques.
Beaucoup de gens sont contre les OGM et cela avec raison. Cependant, les recherches effectuées pourraient bien permettre à l’avenir à notre espèce de survivre.
Il deviendra peut-être un jour indispensable de pouvoir faire pousser fruits et légumes dans des régions devenues arides ou trop froides.
Cette liste de mesures n’est bien sûr pas exhaustive. Une chose est sûre, il n’est plus temps de tergiverser en hypothéquant notre avenir sur des suppositions.
Il est temps d’agir et cela de manière responsable.
Tant que les gouvernements laisseront les intérêts financiers de quelques multinationales et de groupes plus ou moins mafieux prendre le pas sur l’intérêt collectif, nous avons beaucoup de soucis à nous faire pour les futures générations.
V. Battaglia (11.02.2009)
Réchauffement du climat
RéférencesLa Glace à travers les âges. Björn E.Berglung et Svante Björck. Berceaux de l’Humanité. Larousse 2003
NOAA
Institut océanographique Scripps de l'Université de Californie
< Climat
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Héloïse de Salm- Chef
- Messages : 1351
Date d'inscription : 14/08/2022
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Bin non il fait soleit et 35° l'aprem depuis une semaine. Je suis allé me baigner 2 fois à la rivière cette semaine et le niveau d'eau était bien bas.
Enfin on en va pas se plaindre on en voit des jolies choses dans la rue avec ce temps ...
Enfin on en va pas se plaindre on en voit des jolies choses dans la rue avec ce temps ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Héloïse de Salm a écrit:Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU raconte aux peuples que la Terre est en ébullition.
Pendant ce temps la couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante !!!
MENSONGES - MANIPULATIONS !!! C'est pour cela qu'ils veulent nous censurer !!!!
https://tkp.at/2023/09/05/eisbedeckung-in-groenland-waechst-obwohl-laut-uno-general-die-erde-kocht/
Tout ça me donne envie d'aller tester la vaillance de mon 6 cylindres en ligne.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Réponds honnêtement Lapin, as-tu connu une telle vague de chaleur en septembre en France depuis que tu est né ? La ça fait une semaine quand même. Même si on peut trouver ça agréable.
L'an dernier c'était en Juillet, l'année d'avant en Juin qu'on a battu des records.
As-tu vécu ça dans ta jeunesse Lapin ? Si oui je serais bien curieux de savoir dans quelle région tu vis.
L'an dernier c'était en Juillet, l'année d'avant en Juin qu'on a battu des records.
As-tu vécu ça dans ta jeunesse Lapin ? Si oui je serais bien curieux de savoir dans quelle région tu vis.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Mes grands-parents l'ont connu en 1911 (l'un d'eux était en train de naître les autres déjà nés) - plus de 30°C entre mi-Juillet et Fin Septembre (30 000 enfants morts de chaleur et plus de 45 000 morts répertoriés en France mais probablement bien plus - mais dans le reste de l'Europe c'était pareil) et j'ai connu la vague de chaleur de 1976 et de 2003. Celle de 1976 était précoce et pas tardive. Puis fin des années 1990 il y eu une période à Paris entre Noël et Nouvel An où il a fait 24 degrés.Monsieur Trololo a écrit:Réponds honnêtement Lapin, as-tu connu une telle vague de chaleur en septembre en France depuis que tu est né ? La ça fait une semaine quand même. Même si on peut trouver ça agréable.
L'an dernier c'était en Juillet, l'année d'avant en Juin qu'on a battu des records.
As-tu vécu ça dans ta jeunesse Lapin ? Si oui je serais bien curieux de savoir dans quelle région tu vis.
Bref, le réchauffement climatique à toujours existé. J'ai aussi connu quelques pics de froid. Fin des années 70, -20°C à Paris, et -30°C à la montagne où je me trouvais (mon père a démarré son moteur avec le liquide de refroidissement gelée et il a conduit sa voiture sur Paris avec un cylindre en moins - le fil du cable d'alimentation d'une bougie ayant claqué). Durant mes maneuvres en Allemagne, il a fait en 88 -40°C (chose que j'ai appris plus tard était très rare même dans ce qu'on appelle la petite Sibérie). Il fallait laisser tourner le VAB en continu pour éviter la casse du moteur au rallumage et il fallait surtout pas toucher mains nues le blindage (ni l'intérieur d'ailleurs tout aussi métallique). La vérité c'est que moi j'ai été un peu après ce pic que mes collèges ont connu quelques semaines plus tôt (il ne faisait que -28°C quand j'y étais mais avec l'équipement Algérie qu'on avait il pelait quand même).
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Enfin là ça fait quand même 3 ans de suite qu'on se tape des vagues de chaleur de plusieurs semaines.
En 2003 j'y étais ça n'a duré que 3 ou 4 jours.
En 2003 j'y étais ça n'a duré que 3 ou 4 jours.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La couverture de glace au Groenland est de plus en plus imposante
Tu n'étais pas à Paris visiblement. Moi j'y étais et en plein boulot, tous ordinateurs allumés, sans clim.Monsieur Trololo a écrit:Enfin là ça fait quand même 3 ans de suite qu'on se tape des vagues de chaleur de plusieurs semaines.
En 2003 j'y étais ça n'a duré que 3 ou 4 jours.
Ca a été plusieurs semaines (dans les 3 semaines de boulot dont je pense 2 semaine à 40°C) ventilo à fond qui soufflait de l'air chaud sur le visage. C'était mieux que rien. A l'intérieur il faisait bien sûr plus de 40.
C'est du jamais vu et ça n'a rien de comparable à aujourd'hui. Il y a eu quelques milliers de mort officiellement : on a cherché à minimiser l'affaire parce qu'aucun ministre, en vacances, et aucun journaliste ne semblait se rendre compte de la situation.
Les bouteilles de vin de cette année sont spéciales. Parfois imbuvables, parfois juste différentes de ce qu'on attend.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
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