Re: HUMOUR - HISTOIRES DRÔLES

[Vladimir de Volog]

[Vladimir de Volog]

[Vladimir de Volog]

[Edgar de Phelps]

C est pas vraiment drôle comme image

[Vladimir de Volog]

[Invité]

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Deux jeunes bonnes sœurs font du stop. Une prostituée, au volant d’un superbe coupée grand sport, s’arrête et les prend à son bord. Au bout de quelques minutes l’une des sœurs dit :
– Elle est belle votre voiture, madame, ça a du vous coûter cher ?
– Un week-end avec un Japonais.
– Et votre manteau de fourrure, il est joli aussi, fait la seconde sœur, c’est du quoi ?
– C’est du chinchilla. Ça m’a coûté trois nuits avec un homme d’affaire américain.
– Oh ! Je n’avais pas vu votre collier en diamants. Ce sont des vrais ?
– Bien sûr c’est un émir avec qui j’avais passé la semaine qui me l’a offert…
Alors les deux petites sœurs se regardent et la première dit :
– Eh ben ! Il nous a bien eu, monsieur le curé, avec ses porte-clés

[Paul Daumier]

Jean Et Agnès viennent de fêter leur 45 ème anniversaire de mariage.

Ils s’étaient connus amis d’enfance et décident de venir se promener main dans la main dans les quartiers de leur jeunesse; ils veulent revoir leurs anciennes écoles respectives de Bayard et Charbonnier.

A Bayard la grille n’étant pas fermée, ils entrent et retrouvent le vieux pupitre qu’ils avaient partagé, et sur lequel il avait gravé un cœur avec leurs initiales.

En revenant à la maison sur la route de Brassac vers Sermo, un sac tombe d’un fourgon blindé presque à leurs pieds. Agnès le ramasse et l’emporte à la maison. Là, elle l’ouvre et compte… cinquante mille Euros !

Jean déclare : « Nous devons le rendre !»
Agnès dit : « Qui trouve garde. » Elle remet l’argent dans le sac et le cache dans le grenier.

Le lendemain, deux gendarmes de Brassac viennent enquêter dans le quartier. Ils frappent à leur porte.
« Pardon, n’auriez-vous pas trouvé un sac qui est tombé d’un fourgon blindé hier ? »

Agnès dit : « Non !»
Jean: « Elle ment. Elle l’a caché dans le grenier ».
Agnès : « Ne le croyez pas, il est sénile ».

Les agents se tournent vers Jean et lui demandent : « Voulez-vous nous raconter l’histoire depuis le début. »
Jean : « Bien ! Agnès et moi revenions de l’école main dans la main , hier… »

Le premier gendarme se tourne alors vers son collègue et lui dit : « Allez viens, on s’en va ….! »

[Paul Daumier]

Un homme et sa femme regardent à la télévision une émission sur la psychologie.
L'homme se tourne vers sa femme et lui dit :
- Saurais-tu, en une seule affirmation, me dire quelque chose qui puisse me rendre heureux et triste à la fois ?
- Oui, répond la femme : tu as une quéquette plus grosse que toutes celles de tes copains !...

[Paul Daumier]

C'est un francais et une américaine qui parlent

le francais dit:
"-Madame je serais heureux d'avoir un rendez-vous avez vous demain!"

l'américaine répond:
"-Never"

le francais :
"- Never, never et demie?"

[Invité]

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Toute sa vie elle avait fait chier, son mari René . Une vraie mégère la GERMAINE !

Un jour que René en avait marre de l'entendre, il lui dit :

« Je m’en vais à l’écurie soigner mon cheval. »

Mais , ce jour là , Germaine est venue le relancer jusque dans l’écurie et continuer à lui casser les bonbons.

À bout de nerfs, René a pincé une couille à son cheval, le cheval a rué et envoyé Germaine violemment dans le mur, et elle est morte sur le coup…

Aux obsèques , son copain LOUIS observe René ...

Une femme s’avance vers René , il lui serre la main et fait signe que oui.

Puis un homme s’avance et René lui serre la main et fait signe que non.

A la fin le groupe diminue, pour finalement ne rester.

Alors LOUIS demande à René :

« Veux tu bien me dire pourquoi à chaque fois qu’une femme te présentait ses condoléances tu faisais signe que oui, et un homme tu faisais signe que non ? »

René dit :
" C’est bien simple, les femmes me demandaient : Elle n'a pas trop souffert, elle est morte sur le coup ? " " OUI ! "

Et les hommes :
" Ton cheval n’est pas à vendre ? " " NON ! "

[Invité]

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[Vladimir de Volog]

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[Vladimir de Volog]

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[Vladimir de Volog]

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[Vladimir de Volog]

Un fan de Marine Le Pen

Je sais que ce fil n´est pas à sa place mais c´est si drôle qu´il mérite la peine d´être lu même par les droitos.

Logique enfantine !

Un enseignant « d’extrême droite » style Bardella a demandé aux élèves de sa classe combien d’entre eux étaient des fans de Marine Le Pen. Ne sachant pas vraiment ce qu’est un fan de Marine Le Pen, mais voulant être aimés de l’enseignant, tous les enfants ont levé la main, à l’exception du petit Julien.

L’enseignant a demandé au petit Julien : « pourquoi as-tu décidé d’être différent …
> Petit Julien : « Parce que je ne suis pas un fan de Marine Le Pen. »
> Le professeur demande : « Et pourquoi n’es-tu pas un fan de Marine Le Pen ? »
> Julien : « Parce que je suis de gauche. »

> Le professeur lui demande alors pourquoi il est de gauche.
> Le petit Julien répond : « Eh bien, ma mère est de gauche et mon père est de gauche, alors je suis également de gauche. »
> Le professeur, agacé par cette réponse, lui dit : « Et si ta mère était une idiote et ton père, un crétin, tu serais quoi ? »
> Le petit Julien, du tac au tac, lui répond : « Un fan Marine Le Pen».

[Elena de Chanteplume]

Ce n´est pas la peine de recopier le plagiat que vous avez fait de mon topic.

https://politique.forum-actif.net/t41916-un-fan-de-melenchon#660556

[Vladimir de Volog]

Ce n´est pas la peine de recopier le plagiat que vous avez fait de mon topic. https://politique.forum-actif.net/t41916-un-fan-de-melenchon#660556[/font]

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Et en quoi ce serait interdit. Que ça vous plaise pas, j'y peux rien. A chacun son humour, of course !!!!

[Vladimir de Volog]

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