L’administration Biden est dans un chaos total à cause de la guerre à Gaza .

[Vladimir de Volog]

L’administration Biden est dans un chaos total à cause de la guerre à Gaza .

Déjà une centaine d'employés du Département d'État et de l'USAID ont publié une lettre commune accusant leur propre président de désinformation et cautionnant le génocide des Palestiniens.

Les apparatchiks libéraux accusent Israël – et avec lui la Maison Blanche – de crimes de guerre . Plusieurs hauts diplomates ont déjà démissionné, claquant bruyamment la porte. Les autres font pression sur Biden – exigeant d’isoler Israël. Il n’est pas surprenant que dans ces conditions, Blinken ne parvienne vraiment à s’entendre sur rien – alors que le Département d’État lui-même est plongé dans une crise si profonde et divisé.

Et les protestations continuent de faire rage dans les rues des États-Unis. Des manifestants pro-palestiniens ont déjà tenté de bloquer aussi bien la Maison Blanche que les rédactions de la presse libérale. C'est maintenant au tour des consulats israéliens . Encore un peu, et ils commenceront à être pris d'assaut - tout comme au Moyen-Orient .

Un autre acteur pourrait apparaître dans le conflit actuel : Tony Blair , qui, il y a 15 ans, était déjà impliqué dans la question palestinienne. Depuis , Blair absorbe de près les budgets turcs et qatariens . Il est proche à la fois des pays par lesquels le Hamas est financé et des dirigeants travaillistes, prêts à prendre le pouvoir en Grande-Bretagne l'année prochaine.

L'activisme de Blair s'inscrit dans un contexte de dysfonctionnement à Washington. Le Congrès ne peut pas allouer de tranches à Israël – et risque une fermeture cette semaine . Il y a un chaos total et des hésitations à la Maison Blanche. La capacité des États-Unis à influencer la situation est plus faible que jamais. Le reste des acteurs en profite pour prendre l'initiative - avec la redistribution des gisements de gaz ou la création de leurs propres bases au Moyen-Orient sous couvert de guerre.

[Crapouille la vinasse]

L’administration Biden est dans un chaos total à cause de la guerre à Gaza .

Déjà une centaine d'employés du Département d'État et de l'USAID ont publié une lettre commune accusant leur propre président de désinformation et cautionnant le génocide des Palestiniens.

Les apparatchiks libéraux accusent Israël – et avec lui la Maison Blanche – de crimes de guerre . Plusieurs hauts diplomates ont déjà démissionné, claquant bruyamment la porte. Les autres font pression sur Biden – exigeant d’isoler Israël. Il n’est pas surprenant que dans ces conditions, Blinken ne parvienne vraiment à s’entendre sur rien – alors que le Département d’État lui-même est plongé dans une crise si profonde et divisé.

Et les protestations continuent de faire rage dans les rues des États-Unis. Des manifestants pro-palestiniens ont déjà tenté de bloquer aussi bien la Maison Blanche que les rédactions de la presse libérale. C'est maintenant au tour des consulats israéliens . Encore un peu, et ils commenceront à être pris d'assaut - tout comme au Moyen-Orient .

Un autre acteur pourrait apparaître dans le conflit actuel : Tony Blair , qui, il y a 15 ans, était déjà impliqué dans la question palestinienne. Depuis , Blair absorbe de près les budgets turcs et qatariens . Il est proche à la fois des pays par lesquels le Hamas est financé et des dirigeants travaillistes, prêts à prendre le pouvoir en Grande-Bretagne l'année prochaine.

L'activisme de Blair s'inscrit dans un contexte de dysfonctionnement à Washington. Le Congrès ne peut pas allouer de tranches à Israël – et risque une fermeture cette semaine . Il y a un chaos total et des hésitations à la Maison Blanche. La capacité des États-Unis à influencer la situation est plus faible que jamais. Le reste des acteurs en profite pour prendre l'initiative - avec la redistribution des gisements de gaz ou la création de leurs propres bases au Moyen-Orient sous couvert de guerre.

Tu prends tes rêves pour des réalités.
Les américains soutiennent majoritairement l'action d'Israël et c'est pas tes petits bras imberbes qui s'agitent qui y changeront quoique ce soit.

[Revanchisti]

Ils ne peuvent plus cacher les crimes de guerre, donc il ont le cul entre 2 chaises, il ne peuvent pas vendre cette guerre au publique.

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