Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
+17
michou
dany26
Frère Barnabé
André de Montalembert
Monsieur Trololo
Jacques Cartier
El Rachid Ibn Youssoufi
ztylo
W454
Revanchisti
Mara-2882
coben53
Vladimir de Volog
Jeannot Lapin
Henri-Gatien Bertrand
Georges Baladin
Crapouille la vinasse
21 participants
Page 10 sur 22
Page 10 sur 22 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11 ... 16 ... 22
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
313- TÉMOIGNAGE SIDÉRANT
d’un DIRECTEUR de POMPES FUNÈBRES !
d’un DIRECTEUR de POMPES FUNÈBRES !
https://gloria.tv/post/jDoeECsbUsGr1QyNhNptDE2vJ
Au troisième jour du Grand Jury présidé par Reiner Fuellmich, John O’Looney, directeur de pompes funèbres, a fait des déclarations chocs.
John observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection, alors qu’après la campagne, elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son dur séjour à l’hôpital.
John observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection, alors qu’après la campagne, elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son dur séjour à l’hôpital.
(Source : https://lactudissidente.com/temoignage-siderant-d-un-directeur-de-pompes-funebres/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
315- TÉMOIGNAGE FOUDROYANT
Bernadette Burgnies, il y a 9 semaines, a écrit:Moi, après la 2e dose, 30 juin, hospitalisée en urgence pour une arythmie cardiaque à 180 et 17/9 de tension, le 27 juillet, alors que je n'avais jamais eu de problèmes cardiaques. Opérée en décembre d'une ablation de fibrillation atriale, le 7, on me conseille de faire le vaccin anti grippe et la 3e dose avant l'intervention , tel un mouton, j'ai dit oui et depuis gros problèmes digestifs, dysfonctionnement de l'œsophage, examens à l'appui et sans propositions de traitement, je passe donc la quasi de mes nuits assises.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
317- CANADA :
La PIQÛRE MAGIQUE
DÉTRUIT le SYSTÈME IMMUNITAIRE !
La PIQÛRE MAGIQUE
DÉTRUIT le SYSTÈME IMMUNITAIRE !
Les derniers chiffres officiels sur le Covid-19 au Canada montrent que les personnes ayant reçu deux """vaccins""" ont 3,8 fois plus de risques (3,7 avec trois """vaccins""") d'être infectées par le Covid-19 et respectivement 3,3 ou 5,1 fois plus de risques de mourir du Covid-19 que la population saine.
Ainsi, les personnes non injectées ont un système immunitaire plus performant. Le taux de mortalité au Canada est le plus bas chez les personnes sans injection depuis au moins février 2022 et le plus élevé chez les personnes triplement """vaccinées""".
Au 27 février 2022, les personnes doublement injectées (voilà le terme juste !) au Canada avaient une baisse de performance du système immunitaire de 69,56 %, les personnes triplement injectées de 80,56 %.
(Source : https://gloria.tv/post/3Crn8JWfJpCx1kjqLsV9hnf6d )
Ainsi, les personnes non injectées ont un système immunitaire plus performant. Le taux de mortalité au Canada est le plus bas chez les personnes sans injection depuis au moins février 2022 et le plus élevé chez les personnes triplement """vaccinées""".
Au 27 février 2022, les personnes doublement injectées (voilà le terme juste !) au Canada avaient une baisse de performance du système immunitaire de 69,56 %, les personnes triplement injectées de 80,56 %.
(Source : https://gloria.tv/post/3Crn8JWfJpCx1kjqLsV9hnf6d )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Les personnes ayant reçu trois doses de produits expérimentaux douteux représentent 92,2% de tous les décès dus au Covid-19 en Angleterre, selon les données du gouvernement.
Par rapport à décembre, au cours des quatre dernières semaines, le nombre de décès chez les personnes ayant reçu deux injections a doublé, tandis qu'il a diminué de moitié chez les personnes n'ayant pas reçu d'injection.
Pour manipuler les chiffres, le gouvernement a ajouté 112 192 enfants sans injection aux statistiques des personnes infectées, bien que le Covid soit inoffensif pour eux, écrit DailyExpose.uk (24 mars).
Si l'on retire ces enfants, les personnes injectées représentent 87 % des hospitalisations dues au Covid-19 entre le 14 février et le 13 mars. Sur les 2 410 personnes décédées à cause du Covid, 1 733 ont reçu trois injections (237 sans injection). 90% des victimes étaient injectées.
Au Royaume-Uni, parmi les personnes âgées de 12 ans ou plus :
7/10 sont triple-injectées
8/10 sont double-injectées
9/10 sont mono-injectés.
(Source : https://gloria.tv/post/8VuNDbimRAaJ2kVWgJQqFwKyS )
Par rapport à décembre, au cours des quatre dernières semaines, le nombre de décès chez les personnes ayant reçu deux injections a doublé, tandis qu'il a diminué de moitié chez les personnes n'ayant pas reçu d'injection.
Pour manipuler les chiffres, le gouvernement a ajouté 112 192 enfants sans injection aux statistiques des personnes infectées, bien que le Covid soit inoffensif pour eux, écrit DailyExpose.uk (24 mars).
Si l'on retire ces enfants, les personnes injectées représentent 87 % des hospitalisations dues au Covid-19 entre le 14 février et le 13 mars. Sur les 2 410 personnes décédées à cause du Covid, 1 733 ont reçu trois injections (237 sans injection). 90% des victimes étaient injectées.
Au Royaume-Uni, parmi les personnes âgées de 12 ans ou plus :
7/10 sont triple-injectées
8/10 sont double-injectées
9/10 sont mono-injectés.
(Source : https://gloria.tv/post/8VuNDbimRAaJ2kVWgJQqFwKyS )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
321- SURMORTALITÉ des JEUNES en EUROPE
depuis cet ÉTÉ 2021
1/3
depuis cet ÉTÉ 2021
1/3
https://gloria.tv/post/NpRgSA8aJEj933D7uYJQt2nyY
Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021 le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
(Source : https://reseauinternational.net/surmortalite-des-jeunes-en-europe-depuis-cet-ete/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
il faudrait un vaccin contre la connerie, je ne sais pas si ce serait efficace, mais il y aurait beaucoup de travail !!
amicalement
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10001
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
323- SURMORTALITÉ des JEUNES en EUROPE
depuis cet ÉTÉ 2021
2/3
depuis cet ÉTÉ 2021
2/3
https://gloria.tv/post/fanSTHpJZDCW2YHxi3mgbjZEn
Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
(Source : https://reseauinternational.net/surmortalite-des-jeunes-en-europe-depuis-cet-ete/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Simon de Stock a écrit:323- SURMORTALITÉ des JEUNES en EUROPE
depuis cet ÉTÉ 2021
2/3
https://gloria.tv/post/fanSTHpJZDCW2YHxi3mgbjZEnLe site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
(Source : https://reseauinternational.net/surmortalite-des-jeunes-en-europe-depuis-cet-ete/ )
chiffre de 2022, donc sur 2021, il serait bon d'etre sérieux et de comparer ensuite avec 2022, et 2023!!de plus il n'y a rien de plus simple que de lire les chiffres de façon qui convient à celui qui a besoin de se faire peur .
C'est exactement comme la bible , on va chercher ce que l'on aimerait trouver !!Le pisse vinaigre va chercher du négatif, l'autre du positif!! donc c'est la sensibilité de celui qui cherche qui détermine la source . D'autant plus que je rappelle que ce sont les vieux qui se sont fait le plus vacciner!!
tu ne fais qu'exprimer ce que tu aimerais, comme tous les crédules
pour information j'ai demandé d'avoir toutes les piqures , merci tout va bien !!
Désolé de vous le dire
amicalement
Dernière édition par dany26 le Sam 24 Fév 2024 - 17:58, édité 1 fois
dany26- Vénérable
- Messages : 10001
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
325- SURMORTALITÉ des JEUNES en EUROPE
depuis cet ÉTÉ 2021
3/3
POURQUOI le SÉNAT
REFUSE-t-il de PUBLIER les DONNÉES ?
depuis cet ÉTÉ 2021
3/3
POURQUOI le SÉNAT
REFUSE-t-il de PUBLIER les DONNÉES ?
Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens.
Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
Une surmortalité trop fréquente partout en Europe
Pour savoir si un pays a plus de morts qu’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu, divisé par l’écart-type de la distribution.
S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.
On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.
Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois “pile” est donné par la formule :
On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois “pile” en 33 lancers.La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous.
En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5% des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.
On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.
Une vérification s’impose
Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses de mortalité « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.
La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.
Nous avons réalisé deux projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celles d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromomo, nous réalisons des projections hebdomadaires.
Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :
– 1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité)
– 2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).
Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.
A l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.
De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.
La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.
– Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.
Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on fait la somme de tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.
– Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo).
Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité.On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.
Donc quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes Européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?
Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal
Nous venons donc de voir que nos jeunes Européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de santé. Aux Etats-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.
Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022
Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système national des données de santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.
Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?
Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales
Le site de l’ECDC fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranches d’âges. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée.
Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendu durablement malade. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :
Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95% de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55% de ces jeunes et sur un temps plus long.
Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie, on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.
Pour les 50-59 ans en France et en Grèce, on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.
Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie, les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.
Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie, on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.
En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela, nous regardons les deux plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de deux semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12%) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23% que l’un des deux plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40% des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.
Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur Belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents Etats américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.
Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?
Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.
Pierre Lécot
(Source : https://www.mondialisation.ca/surmortalite-des-jeunes-en-europe-depuis-lete-pourquoi-le-senat-refuse-t-il-de-publier-les-donnees/5666625 )Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
Une surmortalité trop fréquente partout en Europe
Pour savoir si un pays a plus de morts qu’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu, divisé par l’écart-type de la distribution.
S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.
On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.
Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois “pile” est donné par la formule :
On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois “pile” en 33 lancers.La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous.
En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5% des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.
On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.
Une vérification s’impose
Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses de mortalité « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.
La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.
Nous avons réalisé deux projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celles d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromomo, nous réalisons des projections hebdomadaires.
Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :
– 1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité)
– 2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).
Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.
A l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.
De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.
La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.
– Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.
Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on fait la somme de tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.
– Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo).
Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité.On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.
Donc quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes Européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?
Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal
Nous venons donc de voir que nos jeunes Européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de santé. Aux Etats-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.
Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022
Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système national des données de santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.
Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?
Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales
Le site de l’ECDC fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranches d’âges. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée.
Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendu durablement malade. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :
Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95% de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55% de ces jeunes et sur un temps plus long.
Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie, on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.
Pour les 50-59 ans en France et en Grèce, on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.
Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie, les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.
Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie, on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.
En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela, nous regardons les deux plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de deux semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12%) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23% que l’un des deux plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40% des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.
Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur Belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents Etats américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.
Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?
Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.
Pierre Lécot
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Laisse tomber, il fait sa propagande et est payé pour ça. Simon de Stock c'est le coin Pub complotiste du forum.dany26 a écrit:Simon de Stock a écrit:323- SURMORTALITÉ des JEUNES en EUROPE
depuis cet ÉTÉ 2021
2/3
https://gloria.tv/post/fanSTHpJZDCW2YHxi3mgbjZEnLe site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux passe-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
(Source : https://reseauinternational.net/surmortalite-des-jeunes-en-europe-depuis-cet-ete/ )
chiffre de 2022, donc sur 2021, il serait bon d'etre sérieux et de comparer ensuite avec 2022, et 2023!!de plus il n'y a rien de plus simple que de lire les chiffres de façon qui convient à celui qui a besoin de se faire peur .
C'est exactement comme la bible , on va chercher ce que l'on aimerait trouver !!Le pisse vinaigre va chercher du négatif, l'autre du positif!! donc c'est la sensibilité de celui qui cherche qui détermine la source . D'autant plus que je rappelle que ce sont les vieux qui se sont fait le plus vacciner!!
tu ne fais qu'exprimer ce que tu aimerais, comme tous les crédules
pour information j'ai demandé d'avoir toutes les piqures , merci tout va bien !!
Désolé de vous le dire
amicalement
amicalement
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
qui est capable d'analyser ses graphiques, et savoir si ils sont justes !!Jeannot Lapin a écrit:
Laisse tomber, il fait sa propagande et est payé pour ça. Simon de Stock c'est le coin Pub complotiste du forum.
personne et encore moins lui !!
Il se contente de faire de la propagande pour ce qu'il croit !!
La preuve "la " source !!
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10001
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
dany26 a écrit:il faudrait un vaccin contre la connerie, je ne sais pas si ce serait efficace, mais il y aurait beaucoup de travail !!
amicalement
Oui, ça serait bien ça mais si vous dites en rapport avec ce qui est dit dans ce topic, c'est mal à propos car tout ce qui est dit est loin, très loin d'être des conneries, la connerie consiste à persister dans le dogme selon lequel le vaccin a été une bonne chose, là, effectivement, ça relève d'une sacré dose de connerie à tel point qu'à ce niveau, ça devrait être mortel.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
dany26 a écrit:qui est capable d'analyser ses graphiques, et savoir si ils sont justes !!Jeannot Lapin a écrit:
Laisse tomber, il fait sa propagande et est payé pour ça. Simon de Stock c'est le coin Pub complotiste du forum.
personne et encore moins lui !!
Il se contente de faire de la propagande pour ce qu'il croit !!
La preuve "la " source !!
amicalement
C'est pas pire que tous ces pseudo médecins de plateaux qui disaient n'importe quoi durant 2 ans, du genre : ..."depuis hier, il y a eu 30% de cas en plus...".
Waouh, tant que ça, oh là là, c'est drôlement grave, tu t'rend compte chéri ce qu'il dit le monsieur, et pis c'est un scientifique, il a forcément raison, il a fait des études, il sait de quoi il parle....
Ce qu'il oublie de dire le monsieur en question, c'est qu'il touche du pognon des labos et pas qu'un peu et les pourcentages n'ont d'importance que s'ils sont corrélés à des chiffres vérifiables sinon, c'est trop facile, imaginez que je vous dises que j'ai gagné 100% de mes bagarres dans ma vie, vous allez être super impressionnés, vous allez sans doute penser que je suis super fort, mais si je vous dis que je me suis battu qu'une fois contre ma petite soeur, là, tout de suite, c'est moins impressionnant, donc 30% d'augmentation du nombre de cas, s'il y en a 1 million, ça peu faire peur mais s'il y en a 1000, pas de quoi fouetter un chat. Je sais même pas pourquoi on en parle et le plus triste, c'est que ce genre d'infos bidons était transmise H24 7/7 sur tous les merdias mainstream.
Quant aux études de ses "savants" du dimanche, on en parle ? Jamais ils les citaient ou alors, c'était des études invérifiables, c'est du même niveau que si je vous dit : "une étude sérieuse menée depuis 50 ans dit formellement que la Terre est en réalité cubique..." non mais vous voyez bien que c'est bidon, je vais reformuler la phrase avec d'autres mots pour que vous compreniez bien :
..."une étude sérieuse menée depuis 2 ans dit formellement que les tests contre le covid fonctionnent ..."
Vous en êtes encore à croire que le vaccin contre le Covid a été une bonne chose, soit vous êtes complètement con, soit, par excès de fierté mal placée, vous vous bornez dans vos certitudes, mais là, ça devient grotesque, c'est même risible, un conseil, n'en parlez pas autours de vous, vous risqueriez de vous faire moquer bien comme y faut ou de vous faire casser la gueule.
... triste monde...
J'imagine que vous faites encore parti de ces guignols décérébrés qui font du vélo en pleine campagne masqués jusqu'aux yeux ? Putain, j'ai envie de vous pisser dessus.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
337- PIRE que le VIETNAM :
Les INJECTIONS EXPÉRIMENTALES
ont TUÉ 61 000 JEUNES AMÉRICAINS
Les INJECTIONS EXPÉRIMENTALES
ont TUÉ 61 000 JEUNES AMÉRICAINS
Le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié des données révélant que l'année dernière, 61 000 Américains âgés de 25 à 44 ans sont morts de causes liées aux pseudo-vaccins contre le Covid.
Edward Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez BlackRock, a déclaré à Alex Jones le 10 mars qu'il avait décomposé les chiffres des CDC par âge : "On constate que la génération Y a connu un excès de décès de 84% à l'automne et à l'hiver 2021. L'excès de décès s'est accéléré avec l'obligation vaccinale et les doses de rappel."
Pendant la guerre du Vietnam, 58 000 soldats américains sont morts.
Il a raconté qu'un assureur allemand lui a dit que leur gouvernement sous-déclarait les problèmes de santé consécutifs aux piqûres expérimentales par un facteur de 25/1, ce qui signifie que trois millions d'Allemands (3,6% de la population) en ont souffert.
Edward Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez BlackRock, a déclaré à Alex Jones le 10 mars qu'il avait décomposé les chiffres des CDC par âge : "On constate que la génération Y a connu un excès de décès de 84% à l'automne et à l'hiver 2021. L'excès de décès s'est accéléré avec l'obligation vaccinale et les doses de rappel."
Pendant la guerre du Vietnam, 58 000 soldats américains sont morts.
Il a raconté qu'un assureur allemand lui a dit que leur gouvernement sous-déclarait les problèmes de santé consécutifs aux piqûres expérimentales par un facteur de 25/1, ce qui signifie que trois millions d'Allemands (3,6% de la population) en ont souffert.
(Source : https://gloria.tv/post/4G41gQRmsZqCCjmQwZ39Zg1v7 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
345- Des MILLIONS de VACCINÉS COVID-19
CONTRACTENT le SIDA
– Dr Elizabeth Eads –
CONTRACTENT le SIDA
– Dr Elizabeth Eads –
Le Dr Elizabeth Eads est à l’avant-garde de la médecine, traitant des patients auxquels on a injecté les “vaccins” expérimentaux Covid-19.
Le Dr Eads est désormais le témoin direct du syndrome d’immunodéficience acquise, communément appelé SIDA.
Le Dr Eads explique :
“Oui, nous voyons à l’hôpital des cas d’immunodéficience acquise liée à des vaccins, à cause des trois vaccins…
Il s’agit bien d’un accident vaccinal, et nous ne sommes pas vraiment certains de quelle manière la traiter.
Nous essayons d’utiliser tout ce que nous pouvons imaginer pour augmenter le nombre de CD4 et de CD8 et inverser cet effondrement ou cette calamité de l’effondrement immunitaire. C’est vraiment stupéfiant”.
Le Dr. Eads dit que c’est particulièrement mauvais chez les doubles CV19 vaccinés et stimulés. Elle appelle la troisième injection “The Kill Shot, the Money Ball ou quel que soit le nom que vous voulez lui donner. Elle est tout simplement dévastatrice pour le système immunitaire, et je vais vous dire pourquoi. Si vous regardez la récente étude de Stanford, et je vais juste lire quelques phrases de l’étude de Stanford :
“La protéine de pointe dans les vaccins CV19 dont tout le monde parle s’appelle le Lentivirus.
Le Lentivirus contient une combinaison de VIH, de types un à trois, de SRV/1, qui est le SIDA, de MERS et de SARS. Dans l’étude de Stanford, le Lentivirus le plus connu est le pathogène de l’immunodéficience humaine, qui cause le SIDA. C’est pourquoi nous constatons un déclin auto-immun et neurodégénératif après le Covid 19 (Vax), en particulier le rappel. . .
https://dailyexpose.uk/2022/03/13/gov-report-proves-triple-vaccinated-have-ade/embed/#?secret=ec1Knp6KMB#?secret=OBUSDCtrwhIl modifie de façon permanente le génome de la cellule. C’est pourquoi c’est si terrifiant pour nous, la communauté médicale. Nous ne savons tout simplement pas comment l’attaquer.”
Donc, les vaccins CV19 injectent en fait le SIDA aux gens ?
Le Dr Eads répond :
“C’est exactement ce que je vous dis. C’est ce qu’est le Lentivirus Spike. Il est composé du VIH et du SIDA ainsi que du SRAS et du MERS. C’est pourquoi les personnes vaccinées et stimulées sont si malades. C’est pourquoi ils dominent les hospitalisations concernant la maladie de Covid aussi.”
Comme le système immunitaire est épuisé, de nombreux types de maladies, comme le cancer, peuvent se propager comme une traînée de poudre.
Le Dr Ryan Cole déclaré qu’il constatait une augmentation des cancers de 2 000 % à cause des vaccins.
Le Dr Eads déclare :
“J’ai des chiffres étonnants provenant de la base de données épidémiologiques médicales de la Défense (DMED)… Je vais juste en lire quelques-uns. Je vais juste lire quelques cancers :
- néo-plasme malin de l’œsophage en hausse de 794 %.
- néo-plasme malin de l’estomac, du côlon et du pancréas en hausse de 524 %. Cancer du sein en hausse de 387%. . . .
- Cancer des ovaires : 537 %,
- cancer des testicules : 269 %.
Ces chiffres sont ceux de 2021. . . .
Quand ils ont découvert que l’avocat Thomas Renz et le dénonciateur avaient les données, ils les ont effacées et modifiées, ce qui est totalement illégal.”
Le Dr Eads traite les vaccinés et les non-vaccinés dans son cabinet. Elle vous dira ce que vous pouvez faire pour vous aider, surtout si vous avez été vacciné, elle parle également de la propagande qui se poursuit pour vous inciter à prendre les soi-disant vaccins “boosters”.
Le Dr Eads explique pourquoi vous devriez arrêter dès maintenant toutes les injections de COVID-19.
Le Dr Eads affirme également qu’une vaste campagne de désinformation est en cours pour vous faire croire que les injections de COVID-19 sont sans danger et ne provoquent pas de caillots sanguins, de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers et de nombreuses autres maladies, y compris le SIDA.
(Source : https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/2022/03/27/des-millions-de-vaccines-covid-19-contractent-le-sida-dr-elizabeth-eads/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
347- MYOPÉRICARDITES LIÉES au VACCIN COVID-19
chez les ADOLESCENTS :
de NOUVEAUX ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS
chez les ADOLESCENTS :
de NOUVEAUX ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS
Une nouvelle étude évaluée par des pairs montre que plus des deux tiers des adolescents atteints de myopéricardite liée au vaccin COVID-19 présentaient des anomalies cardiaques persistantes des mois après leur diagnostic initial, ce qui soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels à long terme.
Ces résultats, publiés le 25 mars dans le Journal of Pediatrics, remettent en question la position ( https://www.youtube.com/watch?v=3i9jMCf0wK0 ) des agences sanitaires américaines – y compris le CDC – qui affirment que l’inflammation cardiaque associée aux vaccins Pfizer et Moderna mRNA est « légère ».
Les chercheurs de l’hôpital pour enfants de Seattle ont examiné les cas de patients âgés de moins de 18 ans qui se sont présentés à l’hôpital avec des douleurs thoraciques et un taux élevé de troponine sérique ( https://www.mountsinai.org/health-library/tests/troponin-test#:~:text=Very%20high%20levels%20of%20troponin,weeks%20after%20a%20heart%20attack. ) entre le 1er avril 2021 et le 7 janvier 2022, dans la semaine suivant l’administration d’une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer.
Si 35 patients répondaient aux critères, 19 ont été exclus pour diverses raisons. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) cardiaque des 16 patients restants a été réalisée trois à huit mois après leur premier examen. Les IRM ont montré que 11 d’entre eux présentaient un rehaussement tardif au gadolinium (LGE) persistant, bien que les niveaux soient inférieurs à ceux des mois précédents.
Selon l’étude, « la présence de LGE est un indicateur de lésion cardiaque et de fibrose et a été fortement associée à un pronostic plus défavorable chez les patients atteints de myocardite aiguë classique. »
Dans une méta-analyse de huit études, le LGE s’est révélé être un facteur prédictif de décès toutes causes confondues, de décès cardiovasculaire, de transplantation cardiaque, de réhospitalisation, de myocardite aiguë récurrente et de nécessité d’une assistance circulatoire mécanique. De même, une méta-analyse portant sur 11 études a révélé que « la présence et l’étendue du LGE sont un facteur prédictif significatif de résultats cardiaques défavorables ».
« Cet article apporte des preuves supplémentaires de la gravité de la myocardite chez les adolescents causée par les vaccins COVID-19 », a averti ( https://childrenshealthdefense.org/defender/heart-damage-teens-after-second-pfizer-shot/ ) le Dr Madhava Setty, rédacteur scientifique principal de The Defender.
The Journal of Pediatrics
(Source : https://www.medias-presse.info/myopericardites-liees-au-vaccin-covid-19-chez-les-adolescents-de-nouveaux-elements-inquietants/154574/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
349- LÉSIONS CARDIAQUES
CONSTATÉES chez des ADOLESCENTS
PLUSIEURS MOIS
après la 2ème INJECTION de PFIZER,
selon une ÉTUDE
CONSTATÉES chez des ADOLESCENTS
PLUSIEURS MOIS
après la 2ème INJECTION de PFIZER,
selon une ÉTUDE
Une nouvelle étude évaluée par des pairs montre que plus des deux tiers des adolescents atteints de myopéricardite liée au vaccin contre la COVID-19 présentaient des anomalies cardiaques persistantes plusieurs mois après leur diagnostic initial, ce qui soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels à long terme et contredit les affirmations des responsables de la santé selon lesquelles cette affection est « légère ».
Une nouvelle étude évaluée par des pairs montre que plus des deux tiers des adolescents atteints de myopéricardite liée au vaccin contre la COVID-19 présentaient des anomalies cardiaques persistantes plusieurs mois après leur diagnostic initial, ce qui soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels à long terme.
Ces résultats, publiés le 25 mars dans le Journal of Pediatrics, remettent en cause la position des agences sanitaires américaines, notamment les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), qui affirment que l’inflammation cardiaque associée aux vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna est « légère ».
Les chercheurs de l’hôpital pour enfants de Seattle ont examiné les cas de patients âgés de moins de 18 ans qui se sont présentés à l’hôpital avec des douleurs thoraciques et un taux élevé de troponine sérique entre le 1er avril 2021 et le 7 janvier 2022, soit dans la semaine suivant l’administration d’une deuxième dose du vaccin de Pfizer.
Alors que 35 patients répondaient aux critères, 19 ont été exclus pour diverses raisons. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) cardiaque des 16 autres patients a été réalisée trois à huit mois après leur premier examen. Les IRM ont montré que 11 d’entre eux présentaient un rehaussement tardif du gadolinium (LGE) persistant, bien que les niveaux soient inférieurs à ceux des mois précédents.
Selon l’étude, « la présence de LGE est un indicateur de lésion et de fibrose cardiaques et a été fortement associée à un pronostic plus défavorable chez les patients atteints de myocardite aiguë classique ».
Dans une méta-analyse de huit études, la LGE s’est avérée être un facteur prédictif de décès toutes causes confondues, de décès cardiovasculaire, de transplantation cardiaque, de réhospitalisation, de myocardite aiguë récurrente et de nécessité d’une assistance circulatoire mécanique.
De même, une méta-analyse portant sur 11 études a révélé que « la présence et l’étendue du LGE sont un facteur prédictif significatif de résultats cardiaques défavorables ».
Les chercheurs ont déclaré que si les symptômes « étaient transitoires et que la plupart des patients semblaient répondre au traitement », l’analyse a montré une « persistance des résultats anormaux ».
Les résultats « soulèvent des inquiétudes quant aux effets potentiels à plus long terme », ont écrit les chercheurs, ajoutant qu’ils prévoient de répéter l’imagerie un an après le vaccin pour évaluer si les anomalies ont disparu.
« Cet article apporte des preuves supplémentaires de la gravité des myocardites chez les adolescents provoquées par les vaccins contre la COVID-19 », a déclaré le Dr Madhava Setty, rédacteur scientifique principal de The Defender.
« Tous les patients présentaient des taux de troponine sérique significativement élevés, indiquant des lésions cardiaques. Et le LGE, qui indique un mauvais résultat, était présent chez plus de deux tiers des enfants. »
Selon l’étude, « Tous les patients présentaient des taux élevés de troponine sérique (médiane 9,15 ng/mL, fourchette 0,65-18,5, normale < 0,05 ng/mL). »
« Ces jeunes patients présentaient un taux médian de troponine de 9,15, soit plus de 20 fois supérieur aux taux constatés chez les personnes victimes d’une crise cardiaque », a déclaré M. Setty.
Commentant l’étude, le Dr Marty Makary, chirurgien et chercheur en politique publique à l’Université Johns Hopkins, a tweeté : « Les CDC ont le devoir civique d’étudier rigoureusement les effets à long terme de la myocardite induite par les vaccins. »
Les CDC ont le devoir civique d’étudier rigoureusement les effets à long terme de la myocardite induite par le vaccin. Une nouvelle étude de suivi 3-8 mois après une myocardite montre l’anomalie cardiaque IRM de rehaussement tardif au gadolinium observée chez 63 % des enfants. Mérite une étude plus approfondie. https://t.co/klPVsnqrkc
– Marty Makary MD, MPH (@MartyMakary) Le 27 mars 2022
Le Dr Anish Koka, cardiologue, a déclaré à The Epoch Times que l’étude suggère que 60 à 70 % des adolescents qui contractent une myocardite à la suite d’un vaccin contre la COVID peuvent garder une cicatrice sur leur cœur.
« Il est certain que les enfants qui ont eu des douleurs thoraciques suffisamment graves pour mériter de consulter un médecin doivent au moins s’assurer de passer une IRM de suivi », a déclaré M. Koka, ajoutant que les résultats « devraient avoir des implications claires pour le débat sur les vaccins, en particulier pour les adolescents de sexe masculin à haut risque… et certainement pour les mandats de vaccination ».
Les vaccins contre la COVID de Pfizer et Moderna ont été associés à plusieurs formes d’inflammation cardiaque, notamment la myocardite et la péricardite.
La myocardite, ou inflammation du cœur, est une maladie grave qui réduit la durée de vie. Elle était pratiquement inexistante chez les jeunes jusqu’à ce qu’elle devienne un effet secondaire reconnue des vaccins à ARNm contre la COVID, en particulier chez les garçons et les jeunes hommes.
La péricardite est une inflammation du péricarde, une structure en forme de sac composée de deux couches de tissu qui entoure le cœur pour le maintenir en place et l’aider à fonctionner.
D’après les CDC, le groupe le plus à risque est celui des garçons de 16 et 17 ans, dont le taux est de 69 par million après la deuxième dose du vaccin contre la COVID de Pfizer, bien que ce chiffre soit probablement sous-estimé.
La présentation des CDC a également indiqué que lors des évaluations de suivi à trois mois, moins d’un tiers des adolescents de 12 à 17 ans ayant souffert d’une myocardite induite par la vaccination (signalée dans Vaccine Safety DataLink) s’étaient complètement rétablis.
Le taux de 69 par million utilisé par les CDC pour déterminer l’incidence de la myocardite chez les jeunes de 16 et 17 ans provient du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) de l’agence, une base de données gérée par le gouvernement américain qui reçoit les rapports sur les effets indésirables des vaccins.
L’une des principales limites des systèmes de surveillance passive, comme le VAERS, est que le système « ne reçoit des rapports que pour une petite fraction des événements indésirables », selon le site web du Department of Health and Human Services.
Une étude récente de Hong Kong suggère que l’incidence de la myo/péricardite après deux doses du vaccin Comirnaty de Pfizer était de 37 sur 100 000 (370 par million).
Cette incidence correspond presque exactement aux résultats d’une étude utilisant le système Vaccine Safety DataLink, qui a montré que 37,7 jeunes de 12 à 17 ans sur 100 000 souffraient de myo/péricardite après leur deuxième dose de vaccin.
Cela indique un taux d’incidence presque six fois plus élevé que le taux de 69 par million rapporté par les CDC.
Dans une étude préimprimée de Kaiser Permanente, l’incidence de la myocardite chez les hommes de 18 à 24 ans après la vaccination était encore plus élevée – 537 par million, soit 7,7 fois plus que les statistiques rapportées par les CDC.
Il n’existe pas de dommages cardiaques « légers »
Un article publié le 14 janvier dans Circulation résume l’évolution clinique de 139 jeunes patients âgés de 12 à 20 ans qui ont été hospitalisés pour une myocardite après la vaccination contre la COVID.
Parmi ces patients, 19 % ont été placés en soins intensifs, deux ont dû recevoir des perfusions de médicaments intraveineux puissants utilisés pour augmenter la pression artérielle critiquement basse et chaque patient présentait un taux de troponine élevé.
La troponine est une enzyme spécifique des myocytes cardiaques. Des taux supérieurs à 0,4 ng/ml sont fortement évocateurs d’une atteinte cardiaque.
L’article conclut : « La plupart des cas de myocardite suspectée par le vaccin contre la COVID-19, survenant chez des personnes de < 21 ans, ont une évolution clinique légère avec une résolution rapide des symptômes. »
« Nous supposons que [évolution clinique légère] se réfère aux 81 % qui ne sont pas allés aux soins intensifs ou au fait qu’aucun d’entre eux n’est mort ou n’a eu besoin d’une ECMO (oxygénation par membrane extracorporelle, un moyen désespéré de maintenir l’organisme oxygéné lorsque le cœur ou les poumons d’un patient sont complètement défaillants) », ont écrit M. Setty et Josh Mitteldorf, docteur en physique théorique, dans un article critiquant l’article de Circulation.
« Depuis quand une ‘évolution clinique légère’ nécessite-t-elle une hospitalisation pour une durée médiane de séjour de deux jours ? », ont-ils demandé. « Comment sait-on si les symptômes disparaissent rapidement ? »
« Nous ne savons pas ce que cela fera aux jeunes garçons à long terme, d’autant plus que chaque patient présentait des lésions cardiaques, comme en témoignent des taux de troponine significativement anormaux », ont écrit M. Setty et M. Mitteldorf. « Et nous ne comprenons pas complètement le mécanisme par lequel les vaccins provoquent la myocardite. »
(Source : https://childrenshealthdefense.org/defender/selon-une-etude-des-lesions-cardiaques-ont-ete-constatees-chez-des-adolescents-plusieurs-mois-apres-la-deuxieme-injection-de-pfizer/?lang=fr )
Page 10 sur 22 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11 ... 16 ... 22
Sujets similaires
» "Méfaits du tout numérique"
» Le Danemark publie les statistiques ethniques des méfaits sur son territoire.
» Le Danemark publie les statistiques ethniques des méfaits sur son territoire.
Page 10 sur 22
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum