Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
+17
michou
dany26
Frère Barnabé
André de Montalembert
Monsieur Trololo
Jacques Cartier
El Rachid Ibn Youssoufi
ztylo
W454
Revanchisti
Mara-2882
coben53
Vladimir de Volog
Jeannot Lapin
Henri-Gatien Bertrand
Georges Baladin
Crapouille la vinasse
21 participants
Page 13 sur 22
Page 13 sur 22 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 17 ... 22
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
461- Un DÉPUTÉ CANADIEN :
« Les BLESSURES CAUSÉES par les VACCINS
sont RÉELLES ! »
« Les BLESSURES CAUSÉES par les VACCINS
sont RÉELLES ! »
Dans une vidéo publiée le 21 avril, le député conservateur Marc Dalton a déclaré que « les conséquences du vaccin COVID sont beaucoup plus graves que nous avons été amenés à le croire ».
Il a poursuivi en disant qu’on lui avait raconté des histoires de nombreuses personnes, y compris des électeurs, qui avaient « perdu des êtres chers » peu de temps après avoir reçu les « vaccins » contre le Covid.
Un électeur lui a dit que « sa mère est décédée dans les 15 minutes qui ont suivi sa vaccination, suite à un choc anaphylactique ».
Dans le monde entier, un tsunami de décès et de graves problèmes de santé ont été signalés après avoir reçu un vaccin anti-COVID disponible, avec des taux d’incidents inhabituellement élevés chez les jeunes.
Il a poursuivi en disant qu’on lui avait raconté des histoires de nombreuses personnes, y compris des électeurs, qui avaient « perdu des êtres chers » peu de temps après avoir reçu les « vaccins » contre le Covid.
Un électeur lui a dit que « sa mère est décédée dans les 15 minutes qui ont suivi sa vaccination, suite à un choc anaphylactique ».
Dans le monde entier, un tsunami de décès et de graves problèmes de santé ont été signalés après avoir reçu un vaccin anti-COVID disponible, avec des taux d’incidents inhabituellement élevés chez les jeunes.
(Source : https://www.medias-presse.info/un-depute-canadien-promet-dexaminer-les-deces-lies-au-vaccin-anti-covid-sil-est-elu-chef-du-parti-conservateur/155126/ )
462- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1778 à 1786
https://catholique.forumactif.com/t978p40-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12867
https://catholique.forumactif.com/t978p40-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12867
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
466- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1796 à 1804
https://catholique.forumactif.com/t978p60-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12887
https://catholique.forumactif.com/t978p60-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12887
467- 44 000 MORTS
Au 23/04/2022 le site EudraVigilance responsable de la surveillance des effets secondaires des médicaments dans l’Union européenne recensait :
- 20 453 décès et 2 113 249 complications après injection ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/PFIZER
- 11 757 décès et 687 334 complications après injection d’ARNm SPIKEVAX/ARNm-1273 (CX-024414) de MODERNA
- 1 241 710 complications dont 8 927 décès après vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/AstraZeneca
(Source : https://nouveau-monde.ca/lechec-avere-des-vaccins-covid/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
470- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1814 à 1822
https://catholique.forumactif.com/t978p80-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12907
https://catholique.forumactif.com/t978p80-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#12907
471- Les INJECTIONS de MASSE
ENTRAÎNENT des TAUX de MORTALITÉ
plus ÉLEVÉS
ENTRAÎNENT des TAUX de MORTALITÉ
plus ÉLEVÉS
Dans 164 pays, le nombre de décès dus au Covid après des injections de masse est plus élevé qu'avant, a constaté Joel Smalley, un analyste de données quantitatives (DailyExpose.uk, 1er mai).
Seuls 38 pays (19 %) ont vu une réduction des décès dus au Covid après les injections. Dans aucun des 101 pays qui font état de la mortalité toutes causes confondues, la surmortalité n'est inférieure à ce qu'elle était avant les injections. Dans 70 d'entre eux, la surmortalité est désormais plus élevée.
Après les injections, le taux de morts dues au Covid (par million/jour) est passé de 1,4 à 2,0. Il s'agit d'une augmentation de 42 %.
Seuls 38 pays (19 %) ont vu une réduction des décès dus au Covid après les injections. Dans aucun des 101 pays qui font état de la mortalité toutes causes confondues, la surmortalité n'est inférieure à ce qu'elle était avant les injections. Dans 70 d'entre eux, la surmortalité est désormais plus élevée.
Après les injections, le taux de morts dues au Covid (par million/jour) est passé de 1,4 à 2,0. Il s'agit d'une augmentation de 42 %.
(Source : https://gloria.tv/post/cneHdBVyDESG6e9PpHgJYjLxJ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
473- Aux NÉGATEURS
des EFFETS NOCIFS du POISON-MACRON
des EFFETS NOCIFS du POISON-MACRON
Pouvez-vous nier qu'il y a eu 17 abandons à l'Open de Tennis de Miami et alors qu'ils étaient tous vaccinés ? Pouvez-vous expliquer un fait de cette nature qui est tout à fait hors-norme autrement ? Est-il nécessaire de vous renvoyer à toutes les vidéos de @Miles - Christi - English avec des témoignages de célébrités étant tombées gravement malade après avoir été vacciné, et que nous avons tous pu rechercher afin d'en confirmer la réalité...
(Extrait d'un commentaire de Ludovic sur Gloria.TV : https://gloria.tv/user/eFBvFyMQGWzS6XSiaEGx3AFhB )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
475- POURQUOI un TEL DÉNI
des EFFETS GRAVES des VAX ANTICOVID
chez les FEMMES ENCEINTES ?
par Nicole DELÉPINE
des EFFETS GRAVES des VAX ANTICOVID
chez les FEMMES ENCEINTES ?
par Nicole DELÉPINE
Business is business ? Volonté de réduire un peu l’Humanité ? Si ce n’est pas le but, en tous cas cela risque d’en être le résultat !
Et ce déni est aggravé par une publicité mensongère à large échelle et en particulier sur France info qui prétend qu’il n’y aurait aucun risque alors qu’aucun essai clinique randomisé de vaccins anti-Covid 19 sur cette population n’est terminé ! Qui va dénoncer cette publicité mensongère devant le CSA (bien que les plaintes soient le plus souvent jetées à la poubelle, mais il faut essayer tout de même) ?
On connaît depuis longtemps le danger des vaccins en général et particulièrement des pseudo vax covid pour les femmes enceintes : le VAERS l’avait objectivé très tôt. Nous publiions fin 21 dans le livre « Les enfants sacrifiés du covid » ces quelques mots à ce sujet :
« MORTS FŒTALES
Dans le Vaccine Adverse Events Registration System (VAERS) « ll y a eu 1 614 décès fœtaux enregistrés chez des femmes enceintes qui ont reçu une injection contre le Covid-19 ». Injectée et servant de cobaye non déclaré puis qu’aucune femme enceinte n’avait participé au moindre essai clinique officiel de vaccin anti-Covid 19.
Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.
Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe. Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?
Mort-nés et décès précoces de nourrissons[1]
2 620 bébés morts après les vaccins anticovid enregistrés dans le VAERS
Au 12 novembre 2021 : 2 015 décès de bébés après BioNTech/Pfizer et 689 après Moderna. Johnson & Johnson : 100 décès. Jusqu’à 91 % de fausses couches si le vaccin est administré avant la 20e semaine.
Les pompes funèbres britanniques signalent dix fois plus de décès de bébés.[2]
Au cours des 11 derniers mois, il y a donc eu plus de décès de bébés après vaccination contre le COVID-19 que les 2 225 cas totaux survenus en plus de 30 ans, tous vaccins confondus.
En octobre 2021, le New England Journal of Medicine a reconnu que l’étude initiale sur la base de laquelle les autorités sanitaires américaines CDC et la FDA ont recommandé les vaccins aux femmes enceintes était erronée.
Entre-temps, des chercheurs néo-zélandais ont mené une nouvelle étude et sont parvenus à la conclusion que les fausses couches étaient 7 à 8 fois plus fréquentes que ne le montraient les résultats initiaux.
Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes, bien qu’une analyse correcte des données initiales montre que 82 % à 91 % des femmes enceintes vaccinées dans les 20 premières semaines de leur grossesse subissent des fausses couches. »[3]
Et malheureusement la série noire continue…
Dans le fort intéressant article de Laurent Aventin dans le courrier des stratèges[4], de nombreuses informations nous inquiètent :
« En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13 % des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show, Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50 % chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75 % chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse. »
Malgré l’absence de réaction de prudence de l’ANSM fin mars 2022[5], il est capital d’informer la population et singulièrement d’alerter les femmes enceintes.
Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale après vaccin administré aux États-Unis avait en fait massivement augmenté (d’environ 2000 %) depuis la mise à disposition des vaccins COVID. (…)
Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.
Jusqu’à avril 2022, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3 725 morts fœtales déclarées, un décès fœtal pour 147 651 injections.
Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1 368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections.
Depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux ».
Déni collectif, mais la justice a imposé à Pfizer de rendre publics les documents classés secrets jusque là et les révélations tombent et changent les choses.
Un document de Pfizer Wayback Machine (archive.org) exigé de la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants pour les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).
À la page 12 de ce document (Wayback Machine—archive.org) apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures :
23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid se sont terminées par des avortements spontanés.
Le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.
« Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis. »
Les femmes enceintes et allaitantes ayant été exclues de l’essai clinique transmis à la FDA pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.[6]
Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques validées. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
Une étude parue en novembre 2021[7] met aussi en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal :
« Nous n’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer.»
Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :
« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques possibles pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]
Comment peut-on entendre sur France info la publicité lancinante pour inciter à la vaccination des femmes enceintes en avril 2022 ? Comment en est-on arrivé là ?
L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour fin mars 2022, et identifie 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9].
L’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », mais réalise en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
Enfin, des médecins de l’armée américaine[8] attirent l’attention sur une explosion des effets délétères au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins anticovid :
- Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
- Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
- Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
- Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).
(Les mêmes constatations sont faites pour l’explosion des cancers, des accidents vasculaires, etc.)
Ainsi plus les mois passent, plus les données scientifiques sont inquiétantes, faisant craindre une baisse de la natalité mondiale. But recherché de l’injection covid ou conséquence inattendue de l’absence d’essai incluant les femmes enceintes ?
PROTÉGEZ VOS BÉBÉS !
(Source avec notes : https://nouveau-monde.ca/pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
477- UNION EUROPÉENNE :
Les VAXXXINS ont TUÉ 44 000 PERSONNES
et en ont BLESSÉ 4,2 MILLIONS
Les VAXXXINS ont TUÉ 44 000 PERSONNES
et en ont BLESSÉ 4,2 MILLIONS
La dernière mise à jour de la base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments (EudraVigilance) révèle que 4,2 millions cas d'effets indésirables des pseudo-vaccins contre le Covid à ce jour; dont 43 898 décès.
Sur le total des cas enregistrés, près de la moitié (1 914 927) étaient graves. Les effets indésirables les plus courants concernant les machins de Pfizer, Moderna et AstraZeneca étaient des troubles généraux, nerveux, musculo-squelettiques, gastro-intestinaux ainsi que des infections.
Sur le total des cas enregistrés, près de la moitié (1 914 927) étaient graves. Les effets indésirables les plus courants concernant les machins de Pfizer, Moderna et AstraZeneca étaient des troubles généraux, nerveux, musculo-squelettiques, gastro-intestinaux ainsi que des infections.
(Source : https://gloria.tv/share/shauibBYmv9Z1D4u3uTZQ6npt )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
479- Les VAXXXINS COVID
ACCROISSENT-ils la DISPARITION
ACCROISSENT-ils la DISPARITION
des ENFANTS à NAÎTRE ?
par Laurent Aventin
par Laurent Aventin
L’avortement fait selon les Nations-Unies – qui par ailleurs le promeut et le finance - 50 millions de morts par an dans le monde, soit 1 milliard d’enfants à naître tous les 20 ans, de loin la première cause de mortalité dans le monde. Cette politique volontaire de dépopulation serait accentuée par la vaccination COVID et particulièrement les vaccins à ARNm. Pourtant, selon les autorités sanitaires des pays occidentaux, il n’y aurait aucune contre-indication à faire vacciner les femmes enceintes, c’est la position officielle en France et ailleurs.
En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13% des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show , Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50% chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75% chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse.
De tels résultats sont inquiétants, pourtant en France, une information biaisée avait été divulguée par un médecin affirmant que 50% des femmes enceintes vaccinées avec Pfizer faisaient une fausse couche, ce qui n’est pas justifié à la lecture des résultats cités. AFP Factuel – une fois n’est pas coutume – rappelle justement que le rapport hebdomadaire de pharmacovigilance de l’ANSM du 21 mai 2021 précise que sur « les 28 notifications d’effets indésirables avec le vaccin Comirnaty (Pfizer), 14 – soit 50% – étaient des fausses couches ». Il reste cependant inquiétant de savoir que la moitié des effets secondaires notifiés avec ce vaccin s’avère être des fausses couches. Par ailleurs, la notification des effets secondaires étant passive et volontaire, elle sous-estime le volume des effets indésirables réels en France (fausses couches inclues).
Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’ « A ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées.
Mais, des informations en provenance des Etats-Unis viennent confirmer la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes. Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté d’environ 2000% depuis la mise à disposition des vaccins COVID.
Il a également précisé que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3.725 morts fœtales déclarées. On observe donc un décès fœtal pour 147 651 injections. Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1.368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections ». Donc, si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1.925% des décès fœtaux », a-t-il déclaré.
Et là les « Reuters » et autres « AFP » – prompts à réfuter tout argument à l’encontre de leurs bailleurs de fond – n’ont pas d’arguments parce que la méthode qui consiste à faire une comparaison de la morbi-mortalité en période de vaccination Covid avec la moyenne des années précédant la vaccination (avant 2021) est sans équivoque, que ce soit pour les femmes enceintes ou pour n’importe quelle catégorie de personnes vaccinées. Le seul argument de mauvaise foi et totalement fallacieux qui est régulièrement rapporté consiste à dire qu’il n’y a pas de lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie ou le décès. Il n’y a d’ailleurs pas non plus de volonté de les rechercher mais au contraire d’empêcher leur publication dans la presse comme dans les revues scientifiques où les soumissions d’articles qui remettent en cause l’efficacité des vaccins sont rejetées par les pairs.
Mais alors à quoi sert-il de faire remonter les effets secondaires de la vaccination contre Covid via des systèmes de pharmacovigilance comme le VAERS (USA), l’ANSM (France) ou le Yellow Card (UK) ? On comprend dès lors que quelque soit le nombre d’effets indésirables notifiés, les résultats ne seraient d’aucune utilité car il faudrait démontrer un lien de cause à effet. Le système de pharmacovigilance en place ne serait donc qu’un gadget visant à rassurer et contrôler l’opinion publique.
De tels résultats sont inquiétants, pourtant en France, une information biaisée avait été divulguée par un médecin affirmant que 50% des femmes enceintes vaccinées avec Pfizer faisaient une fausse couche, ce qui n’est pas justifié à la lecture des résultats cités. AFP Factuel – une fois n’est pas coutume – rappelle justement que le rapport hebdomadaire de pharmacovigilance de l’ANSM du 21 mai 2021 précise que sur « les 28 notifications d’effets indésirables avec le vaccin Comirnaty (Pfizer), 14 – soit 50% – étaient des fausses couches ». Il reste cependant inquiétant de savoir que la moitié des effets secondaires notifiés avec ce vaccin s’avère être des fausses couches. Par ailleurs, la notification des effets secondaires étant passive et volontaire, elle sous-estime le volume des effets indésirables réels en France (fausses couches inclues).
Les informations sur les fausses couches auraient dû alerter les autorités sanitaires
Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’ « A ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées.
Mais, des informations en provenance des Etats-Unis viennent confirmer la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes. Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté d’environ 2000% depuis la mise à disposition des vaccins COVID.
Il a également précisé que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3.725 morts fœtales déclarées. On observe donc un décès fœtal pour 147 651 injections. Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1.368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections ». Donc, si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1.925% des décès fœtaux », a-t-il déclaré.
Et là les « Reuters » et autres « AFP » – prompts à réfuter tout argument à l’encontre de leurs bailleurs de fond – n’ont pas d’arguments parce que la méthode qui consiste à faire une comparaison de la morbi-mortalité en période de vaccination Covid avec la moyenne des années précédant la vaccination (avant 2021) est sans équivoque, que ce soit pour les femmes enceintes ou pour n’importe quelle catégorie de personnes vaccinées. Le seul argument de mauvaise foi et totalement fallacieux qui est régulièrement rapporté consiste à dire qu’il n’y a pas de lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie ou le décès. Il n’y a d’ailleurs pas non plus de volonté de les rechercher mais au contraire d’empêcher leur publication dans la presse comme dans les revues scientifiques où les soumissions d’articles qui remettent en cause l’efficacité des vaccins sont rejetées par les pairs.
Mais alors à quoi sert-il de faire remonter les effets secondaires de la vaccination contre Covid via des systèmes de pharmacovigilance comme le VAERS (USA), l’ANSM (France) ou le Yellow Card (UK) ? On comprend dès lors que quelque soit le nombre d’effets indésirables notifiés, les résultats ne seraient d’aucune utilité car il faudrait démontrer un lien de cause à effet. Le système de pharmacovigilance en place ne serait donc qu’un gadget visant à rassurer et contrôler l’opinion publique.
C’est bien pour cela que les agences sanitaires publiques continuent d’affirmer qu’il n’y a pas d’effets indésirables notables des vaccins sur les grossesses et continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes. On observe un véritable déni au bénéfice d’une doxa sanitaire mondiale et harmonisée.
Les effets indésirables de la vaccination Covid sur les femmes enceintes font l’objet d’un déni collectif
Les effets indésirables de la vaccination Covid sur les femmes enceintes font l’objet d’un déni collectif
Un document de Pfizer exigé à la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants sur les effets indésirables supportés par les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).
A la page 12 de ce document, apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays (essentiellement les Etats-Unis et le Royaume-Uni) à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures : 23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid ont provoqué des avortements spontanés. Ce résultat, qui ne prouve rien selon Reuters, est évidemment alarmant. Bien qu’il ne s’agisse pas de faire un rapport de proportion à partir de ces résultats, ils auraient dû suffire à ne pas autoriser la vaccination des femmes enceintes. D’abord, on ne donne aucun produit suffisamment testé au préalable à une femme enceinte, les essais cliniques de Pfizer (et des autres producteurs de vaccins) sont à la fois insuffisants (échantillon non représentatif) sur cette population, et sans recul sur les effets indésirables pour l’enfant à naître (l’essai clinique de Pfizer a duré quelques semaines seulement).
Si cela ne suffisait pas, le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.
Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établi. Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.
Ces recommandations se réduisent finalement à la maxime « Pas vu, pas pris », et on continue de vacciner les femmes enceintes avec l’aval des autorités sanitaires publiques qui ne jouent plus leur rôle de régulateur. En France, les mécanismes de contre-pouvoir ne fonctionnent plus et les chambres parlementaires ne sont plus qu’une courroie de transmission d’un Léviathan en phase de réélection.
(Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
481- 2 620 BÉBÉS MORTS
APRÈS une VACCINATION
et des RAPPORTS d’EFFETS SECONDAIRES TERRIBLES
APRÈS une VACCINATION
et des RAPPORTS d’EFFETS SECONDAIRES TERRIBLES
Le registre américain des dommages causés par les vaccins VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) a enregistré jusqu’à présent, au 12 novembre, 2.620 fausses couches mortelles après une vaccination au Covid-19. Avec 2.015 cas, BioNTech/Pfizer est le triste leader, suivi de Moderna avec 689 bébés décédés.
Le vaccin Janssen de Johnson & Johnson est associé à 100 fausses couches. Mais les rapports terribles sur les malformations et les conséquences les plus graves de la vaccination chez les bébés se multiplient également – les images parfois insoutenables et cruelles des pauvres petits qui souffrent déchirent littéralement le cœur.
2 620 bébés morts après les vaccins Corona enregistrés dans le VAERS Fausses couches : actuellement (au 12 novembre) 2 015 décès de bébés après BioNTech/Pfizer et 689 après Moderna. Johnson & Johnson : 100 décès Jusqu’à 91 % de fausses couches si le vaccin est administré avant 20 semaines Des rapports terribles sur les effets secondaires graves des vaccins chez les bébés Les pompes funèbres britanniques signalent dix fois plus de décès de bébés.
Le site web Medalerts, qui traite les données VAERS, indique que certains cas présentent plusieurs vaccinations et symptômes. Par conséquent, un seul cas peut être à l’origine de plusieurs entrées dans le tableau. C’est pourquoi le nombre total est supérieur à 2620 (le nombre de cas trouvés) et le pourcentage total est supérieur à 100 pour cent.
Au cours des 11 derniers mois, il y a donc eu plus de décès de bébés après la vaccination contre le COVID-19 que les 2.225 cas totaux survenus en plus de 30 ans, tous vaccins confondus. En octobre, le New England Journal of Medicine a reconnu que l’étude initiale sur la base de laquelle les autorités sanitaires américaines CDC et la FDA ont recommandé les vaccins aux femmes enceintes était erronée.
Après la vaccination Corona : les fausses couches jusqu’à 8 fois plus fréquentes
Entre-temps, des chercheurs néo-zélandais ont mené une nouvelle étude avec les données initiales et sont parvenus à la conclusion que les fausses couches étaient 7 à 8 fois plus fréquentes que ne le montraient les résultats initiaux. Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes, bien qu’une analyse correcte des données initiales montre que 82 % à 91 % des femmes enceintes subissent des fausses couches lorsque leur enfant à naître a moins de 20 semaines.
Effets secondaires terribles des vaccins chez les bébés
Voici un reportage vidéo présentant quelques exemples très cruels de ce que ces vaccins font subir aux bébés à naître :
https://gloria.tv/post/94NLD7oxxFwf4jit3fxtZEcXF
D’après le texte à côté de la photo, la mère de ce bébé ne voulait pas être vaccinée au départ. En raison de complications, une césarienne a été nécessaire. L’hôpital n’aurait pas voulu la faire sans vaccination préalable et la mère s’est donc laissée convaincre de se faire vacciner. Aujourd’hui, son bébé est à l’hôpital avec des spasmes incontrôlés qui ne cessent d’empirer et personne ne peut dire ce qui les provoque exactement.
Le corps entier de ce bébé est couvert de pustules. Certaines d’entre elles semblent avoir été ouvertes ou infectées, comme on peut le voir sur la dernière photo :
(Source : https://la-verite-vous-rendra-libres.org/2-620-bebes-morts-apres-une-vaccination-et-des-rapports-deffets-secondaires-terribles/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
je ne comprend plus , c'est un forum ou un cite de propagande , quand c'est François, ou Simon, on dirait des sujets de propagandes, qui se limitent à mettre en ligne des pages de livres sur un thème très précis !!
est ce le rôle d'un forum de se limiter à faire des copié collés, de propagande ?
amicalement
est ce le rôle d'un forum de se limiter à faire des copié collés, de propagande ?
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10049
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Mara-2882 a écrit:W454 a écrit:Oh que oui ! L'époque de Pharamon, UnArtisan, Camarde Troska, etc...
Je te souhaite une belle journée.
Ces trois noms ne me disent rien.
Rafraîchis-moi la mémoire en mp...
A moi, ils disent quelques souvenirs et mon pseudo fut longtemps Mara-des-bois
Troska, si tu repasses un jour par là, un grand bonjour !
Invité- Invité
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
483- POMPES FUNÈBRES :
JAMAIS AUTANT de BÉBÉS MORTS !!!
JAMAIS AUTANT de BÉBÉS MORTS !!!
Voici la vidéo d’un entrepreneur de pompes funèbres de Grande-Bretagne. Il est dans le métier depuis plus de trois ans. Il affirme que l’automne 2020 a été l’une des périodes les plus lentes en termes de décès. Mais lorsque les injections de COVID-19 ont été introduites, les décès ont commencé à augmenter de manière spectaculaire, dit-il. Au début, il s’agissait de personnes âgées, mais en avril 2021, de nombreuses personnes âgées d’une trentaine ou d’une quarantaine d’années sont arrivées. Beaucoup d’entre eux sont morts de myocardite. Mais aujourd’hui, on enregistre un nombre sans précédent de décès de nouveau-nés – dix fois plus. Certains sont nés à terme, d’autres sont des prématurés, rapporte-t-il.
https://gloria.tv/post/GeHmGGEmGwXB1bXX3ExWnitwy
(Source : https://la-verite-vous-rendra-libres.org/2-620-bebes-morts-apres-une-vaccination-et-des-rapports-deffets-secondaires-terribles/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
je ne suis pas un complotiste , désolé . J'ai passé l'age de la paranoia enfantine
désolé
amicalement
désolé
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10049
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
485- Des DONNÉES de l’ARMÉE AMÉRICAINE
REMETTENT en CAUSE
le DISCOURS sur la SÉCURITÉ des VAXXINS
REMETTENT en CAUSE
le DISCOURS sur la SÉCURITÉ des VAXXINS
Il va devenir de plus en plus difficile de camoufler la catastrophe sanitaire qui vient. Les autorités militaires américaines, d’abord favorables aux injections expérimentales de thérapie génique (abusivement appelées vaccins), connaissent un réveil brutal. D’où la pression mise sur les non-piqousés pour « noyer le poisson ». Voici quelques chiffres qui font froid ans les dos. Et nous n’en sommes qu’à une grosse année de « vaccination » :
– Une augmentation de 2191% de l’hypertension
– Une augmentation de 894% des tumeurs malignes de l’œsophage
– Une augmentation du 680% de la sclérose en plaques
– Une augmentation de 624% des tumeurs des organes digestifs
– Une augmentation de 551% du syndrome de Guillain-Barré
– Une augmentation du cancer du sein de 487%
– Une augmentation de 487% des tumeurs démyélinisantes
– Une augmentation de 474% des tumeurs malignes des glandes endocrines
– Une augmentation de 472% de l’infertilité féminine
– Une augmentation de 468 % des embolies pulmonaires.
– Une augmentation des migraines de 452%
– Une augmentation du dysfonctionnement ovarien de 437%
– Une augmentation du cancer des testicules de 369 %
– Une augmentation de la tachycardie de 302 %
– Une augmentation de 269 % des infarctus du myocarde
– Une augmentation de 291 % des paralysies de Bell
– Une augmentation de 156 % des pathologies congénitale des enfants de militaires
Au cours d’une audition au Sénat organisée par Ron Johnson, l’avocat Thomas Renz, qui représente des clients attaquant les obligations vaccinales, a présenté les chiffres issus de la base de données d’épidémiologie médicale de la défense, qui montrent un explosion des pathologies des militaires américains pour l’année 2021, année où la vaccination a été mise en place dans tout le pays.
Lundi 24 janvier, le sénateur républicain Ron Johnson organisait une nouvelle audience au Sénat intitulée « COVID 19 : Une seconde opinion » (document contenant une version courte de 38 minutes et une version longue de 5 heures). Une audition qui a permis à un groupe de médecins et d’experts médicaux d’offrir un point de vue différent sur la réponse à la pandémie, l’état actuel des connaissances en matière de traitements précoces et hospitaliers, l’efficacité et la sécurité des vaccins. L’occasion de faire un bilan de ce qui a bien ou mal fonctionné, ce qui devrait être fait maintenant et ce qui doit être envisagé à long terme. Plusieurs médecins et scientifiques de très grande renommée dont Peter McCullough, Pierre Kory, Robert Malone, Richard, Urso, Pierre Kory, Ryan Cole ou Theresa Parks y ont contredit le discours officiel en témoignant de très nombreuses anomalies.
Mais le témoignage le plus choquant est venu de l’avocat Thomas Renz, avocat de l’Ohio.
Rappelant les alertes lancées par les docteurs Theresa Long, Samuel Sigoloff et Peter Chambers, trois membres de l’armée américaine qui ont révélé l’importance des effets secondaires après la vaccination, il est venu exposer des données de facturation médicale – passage obligé pour tout diagnostic médical dans l’armée – provenant de la base de données d’épidémiologie médicale de la défense (DMED). Ce système informatique de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB) qui permet d’interroger à distance des données médicales anonymes du personnel militaire est un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but de détecter les épidémies, mais également l’ensemble des pathologies afin de s’assurer que les soldats sont opérationnels. Par conséquent, au-delà de la question de santé publique, il s’agit de sécurité nationale.
Que révèle cette base de données ?
Une augmentation très importante des pathologies au cours de l’année 2021
Détaillant toutes les données qu’il prévoit d’utiliser pour l’ouverture d’une commission d’enquête nationale qui devrait se tenir devant un tribunal fédéral, l’avocat Thomas Renz annonce des chiffres très inquiétants pour l’année 2021, en établissant une comparaison avec les chiffres des années précédentes dont il fait une moyenne sur cinq ans, de 2016 à 2020.
Toute pathologies confondues, le nombre de maladies enregistrées était en moyenne de 2 millions par an, un nombre qui variait peu d’une année à l’autre. L’année 2021 a marqué un tournant puisque ce chiffre est passé à 21,5 millions pour les 11 premiers mois de l’année, ce qui représente une augmentation de 941%, alors que l’année n’était pas encore terminée. Cette explosion de la mortalité n’a pas eu lieu en 2020, année du Covid, mais en 2021, année de la vaccination de masse, les membres de l’armée américaines étant vaccinés à hauteur de 96 %. Il est important de comprendre que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes individuelles diagnostiquées avec diverses affections, mais le nombre total de codes de diagnostic renseignés. Une personne souffrant de maladie auto-immune va consulter plusieurs fois avec de multiples visites en ambulatoire ou hospitalisation, et ainsi accumuler plusieurs données de facturation médicale.
L’incidence des fausses couches dans l’armée a connu une augmentation de 300 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Celle-ci était de 1499 cas par an tandis qu’au cours des 10 premiers mois de l’année 2021, elle était de 4182. Un chiffre qui interroge, au regard des discours relayés par certains membres de la santé publique qui affirment que le Covid expose les femmes à un risque plus élevé de fausses couches.
Outre ces diagnostics, l’avocat est également revenu sur les problèmes neurologiques croissants, indiquant une augmentation de plus de 1048 % des pathologies neurologiques qui affectent les militaires, passant d’une moyenne de 82 000 par an à 863 000.
Par ailleurs, d’autres chiffres non mentionnés au cours de cette audience ont été confiés au sénateur Johnson, chiffres qu’il a indiqués dans sa lettre au Secrétaire de la défense Lloyd J Austin, le 1er février 2022.
Mais l’ensemble des pathologies ont été enregistrées par Thomas Renz dans un document qu’il met à disposition en ligne.
– Une augmentation de 2191% de l’hypertension
– Une augmentation de 894% des tumeurs malignes de l’œsophage
– Une augmentation du 680% de la sclérose en plaques
– Une augmentation de 624% des tumeurs des organes digestifs
– Une augmentation de 551% du syndrome de Guillain-Barré
– Une augmentation du cancer du sein de 487%
– Une augmentation de 487% des tumeurs démyélinisantes
– Une augmentation de 474% des tumeurs malignes des glandes endocrines
– Une augmentation de 472% de l’infertilité féminine
– Une augmentation de 468 % des embolies pulmonaires.
– Une augmentation des migraines de 452%
– Une augmentation du dysfonctionnement ovarien de 437%
– Une augmentation du cancer des testicules de 369 %
– Une augmentation de la tachycardie de 302 %
– Une augmentation de 269 % des infarctus du myocarde
– Une augmentation de 291 % des paralysies de Bell
– Une augmentation de 156 % des pathologies congénitale des enfants de militaires
Le cancer longuement évoqué lors de l’audition au Sénat
Regrettant que peu de personnes s’intéressent à l’augmentation de cette pathologie, Thomas Renz remercie Ryan Cole, venu témoigner au cours de cette séance de ce qu’il avait observé en tant qu’anatomo-pathologiste et de ce que certains de ses collègues oncologues et radiologues lui avaient rapporté ; des patients dont les cancers étaient contrôlés connaissent à nouveau une progression rapide tandis que certaines pathologies présentent des formes étranges plus difficilement identifiables.
Étayant les propos du docteur Cole, le sénateur Johnson raconte avoir été joint par des soignants qui ne veulent pas se faire vacciner après avoir observé la reprise rapide de certains cancers en rémission chez leurs patients.
Selon la scientifique Theresa Parks, ce phénomène pourrait s’expliquer par la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lie à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes pour réparer les dommages cellulaires. Cette protéine, dont le rôle est d’empêcher les cellules endommagées de se transformer en cellule cancéreuse, pourrait interagir avec la protéine Spike vaccinale, et ne plus de jouer son rôle de catalyseur de tumeur notamment en induisant l’apoptose (suicide des cellules).
Si ce phénomène était avéré, cela expliquerait l’augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancers, passant d’une moyenne de 38 700 cas sur les cinq dernières années pour atteindre les 114 645 au cours de 11 premiers mois de l’année 2021.
La bataille des chiffres
Les augmentations du nombre de certaines pathologies avaient été révélées par des lanceurs d’alerte et consignées par l’avocat Thomas Renz. Cependant, depuis la révélation de ces données par Thomas Renz mais également par l’avocate des droits de l’homme Leigh Dundas qui collabore avec lui sur ce dossier, les chiffres ont été changés en fin d’année. Ainsi, les écarts spectaculaires entre les années 2016-2020 et les 10 ou 11 premiers mois de l’année 2021 ont simplement disparu.
Suite à ces changements, ces lanceurs d’alerte, qui avaient pris soin de se filmer en consultant la base de données, en ont informé leurs avocats qui ont présenté les chiffres originaux et les modifications apportées depuis.
Voici quelques exemples :
pathologies_du_systeme_nerveux.jpg
pathologies_des_embolies_pulmonaires.jpg
pathologies_des_infractus_du_myocarde.jpg
pathologie_des_tumeurs_endocrines_malignes.jpg
Immédiatement après la diffusion de ces chiffres,
pathologie_de_lyme.jpg
Jeff Cercone, contributeur à Politifact, a commis un « fact-check » (une vérification des faits) expliquant que les chiffres de 2016 à 2020, massivement sous-évalués en raison d’une défaillance informatique, étaient erronés, donnant à tort l’impression que cela a explosé en 2021.
S’il est curieux que personne ne se soit rendu compte de ce bug auparavant, il est encore plus surprenant d’observer que ces changements n’ont concerné que les pathologies pour lesquelles le vaccin aurait pu être la cause d’événements indésirables. En effet, des pathologies comme la maladie de Lyme n’ont fait l’objet d’aucun ajustement.
Suite à ces événements, le sénateur Johnson s’est emparé du dossier en écrivant une lettre au secrétaire de la Défense Lloyd Austin, le 24 janvier 2022, suite aux allégations selon lesquelles les données auraient été falsifiées, lui demandant de conserver tous les documents se rapportant aux données enregistrées dans le DMED.
Le 1er février 2022, dans un nouveau courrier, le sénateur du Wisconsin lui demande d’expliquer ces hausses de diagnostics enregistrées et de l’informer des actions du DoD pour enquêter sur la cause profonde de l’augmentation de toutes ces pathologies. Par ailleurs, il lui demande d’expliquer pourquoi et quand ces données ont été changées et d’identifier les personnes qui ont pris l’initiative d’opérer ces modifications.
Si aucune vérité n’a été établie pour le moment, il faudra faire toute la lumière sur le changement soudain de ces données en suivant les interrogations et l’enquête menées par les avocats Thomas Renz et Leigh Dundas et portées par Ron Johnson, afin de savoir s’il y a eu malversations ou pas. Si la falsification des chiffres venait à être avérée, la bataille juridique pour établir la responsabilité vaccinale pourrait prendre des décennies dans un pays qui depuis 1986, a mis en place un système de lois offrant une grande protection aux entreprises pharmaceutiques.
(Source : https://arnauddebrienne.wordpress.com/2022/02/18/des-donnees-de-larmee-americaine-remettent-en-cause-le-discours-sur-la-securite-des-vaccins/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
horreur des complotistes!! Par contre il faudrait voir les résultats dans tous les pays en fonctions de l'action qu'ils ont eu face à cette grippe !!
amicalement
amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10049
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
dany26 a écrit:horreur des complotistes!! Par contre il faudrait voir les résultats dans tous les pays en fonctions de l'action qu'ils ont eu face à cette grippe !!
amicalement
J'ia vu ça, la suède la Biolrussie, la Russie etc...
Basiquement les pays libres qui ont agit de manière rationnelle confinement ou non, qui n'ont pas forcément appliqué les directive de l'OMC à la lettre, mais qui ont quand même fait gaffe sont ceux qui s'en sont le mieux sortit.
Genre Cuba, le Vietnam, la Bielorussie, on eu très peu de mort du covid.
A l’inverse Israël a une surmortalité très élevée.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
489- Les MORTS FŒTALES
sont en RECRUDESCENCE
DEPUIS le DÉPLOIEMENT
de la VACCINATION de MASSE
aux ÉTATS-UNIS
sont en RECRUDESCENCE
DEPUIS le DÉPLOIEMENT
de la VACCINATION de MASSE
aux ÉTATS-UNIS
Le Dr Peterson Pierre, membre de l’association America’s Frontline Doctors a présenté des données concernant le taux de mort fœtale par vaccin administré aux États-Unis, et celles-ci ont mis en évidence un pic des cas depuis que les vaccins COVID-19 sont administrés aux femmes enceintes.
Il a également indiqué que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées, avec 3.725 morts fœtales déclarées. Cela signifie qu’il y a eu un décès fœtal pour 147 651 injections.
En revanche, il note qu’il y avait eu quatre milliards de piqûres administrées pour d’autres vaccins au cours des années 2006 à 2019, avec 1.368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions de piqûres. » Donc, si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les injections de COVID sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1.925% des décès fœtaux », a-t-il déclaré.
Environ 23 des 32 futures mères ayant reçu des vaccins Pfizer COVID ont subi des « avortements spontanés » ou des fausses couches, selon la réponse de Pfizer et de la Food and Drug Administration (FDA) à la loi sur la liberté d’information, telle que rapportée l’année dernière.
On constate également Une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus. La plupart des femmes enceintes ne remarquent pas les symptômes de la grossesse extra-utérine à un stade précoce, car si elle présente les signes et symptômes habituels de la grossesse, celle-ci ne peut se poursuivre normalement, l’œuf fécondé se développant à un endroit inapproprié.
Au Canada, le Lions Gate Hospital a déclaré qu’il constatait habituellement un décès de mort-né par mois, mais en novembre de l’année dernière, 13 décès de mort-né ont été enregistrés en 24 heures. Les CDC ont également indiqué que les injections de COVID ont des effets sur la fertilité, tout en reconnaissant que les résultats des études à long terme en cours ne sont pas encore disponibles.
L’experte en vaccins Pamela Acker et l’ancien dirigeant de Pfizer Michael Yeadon ont déclaré que les femmes en âge de procréer, en particulier celles qui sont enceintes ou qui allaitent, devraient rejeter complètement les vaccins COVID-19.
» Vous ne donnez jamais, au grand jamais, des médicaments, des produits médicinaux, insuffisamment testés, à une femme enceinte « , a déclaré Yeadon.
La base de données du gouvernement des États Unis a montré, jusqu’au 18 mars, une augmentation sans précédent du nombre de décès et de blessures enregistrés à la suite de l’administration des vaccins COVID-19 au cours des 15 derniers mois depuis leur mise en place .
Les statistiques ont montré une augmentation massive des effets indésirables signalés, notamment des accidents vasculaires cérébraux (+68.000 %), des maladies cardiaques (+44.000%) et des décès (+6.800%).
les experts suggèrent et recommandent donc des études supplémentaires concernant les décès fœtaux associés aux vaccins, en particulier pour les femmes qui ont été vaccinées au début de leur grossesse.
(Source : https://aulnaycap.com/tag/morts-foetales-post-vaccination/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
492- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1913 à 1921
https://catholique.forumactif.com/t978p190-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#13021
https://catholique.forumactif.com/t978p190-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-3#13021
493- RECENSEMENT des CAS d’EFFETS SECONDAIRES
sur le CYCLE MENSTRUEL :
N°356
(Source : https://twitter.com/ouestmoncycle/status/1523195027345842177 )sur le CYCLE MENSTRUEL :
N°356
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
495- Le LIEUTENANT-COLONEL THERESA LONG,
ALERTE sur la VACCINATION CONTRE le COVID-19
ALERTE sur la VACCINATION CONTRE le COVID-19
"Je pense que le vaccin contre le COVID est une plus grande menace pour la santé des soldats que le virus lui-même", déclare le lieutenant-colonel Theresa Long, médecin de l'armée américaine.
https://gloria.tv/post/nyXhBLycthHF4unpp6dDfARsGAprès l’homologation définitive du vaccin Pfizer/BioNTech contre le coronavirus par l’agence américaine des médicaments (FDA) pour toutes les personnes de 16 ans et plus, le Pentagone avait annoncé par la voie de son porte-parole John Kirby que la vaccination serait obligatoire pour tous les membres des forces armées américaines "d'ici à la mi-septembre". Cette décision du ministre de la Défense Lloyd Austin était soutenue par le président Joe Biden qui y voyait « un engagement immuable pour s’assurer que les troupes aient tous les outils nécessaires afin d’effectuer leur travail aussi sûrement que possible ».
Le 27 septembre 2021, le lieutenant-colonel Theresa Long, médecin de la première brigade d'aviation de Ft. Rucker et chargée de la certification de l'aptitude de 4000 aviateurs à voler, a expliqué dans une déclaration sous serment, rédigée en vertu de la loi sur la protection des lanceurs d'alerte militaires, comment des dizaines de pilotes en parfaite santé ont subi une myriade d'effets secondaires indésirables, notamment des myocardites.
Plusieurs semaines après sa déclaration sous serment, Theresa Long répond à l'invitation du sénateur américain du Wisconsin Ron Johnson à témoigner devant un groupe d’experts des effets secondaires graves observés chez certains soldats américains suite à la vaccination. Elle dénonce les actions de l’armée américaine qui ne cesse de dissimuler les dommages corporels causés par les vaccins à ARN messager.
Violation de l’éthique médicale et contrainte exercée sur les soldats de l’armée américaine
Dans ce témoignage de 15 minutes, le lieutenant-colonel Theresa Long porte des accusations très graves contre les agissements de l’armée américaine qui contraint les soldats à accepter les vaccins sous peine de devoir abandonner l’uniforme. Une injonction qu'elle condamne, tandis qu'elle annonce que plus de 200 000 membres de l'armée américaine ont rejeté le vaccin.
Lorsqu’elle se rend à Fort Benning, une base de l’armée américaine située à la frontière de l’Alabama et de la Géorgie, elle recueille plusieurs témoignages de soldats. Ceux-ci lui font part des actes de menaces et d’intimidation pour les forcer à accepter un vaccin dont elle rappelle qu’il n’avait reçu qu'une autorisation d’utilisation d’urgence et que par conséquent, cette politique de coercition « viole l’éthique médicale, plus précisément le code de Nuremberg. »
Après avoir eu connaissance de graves effets indésirables et de dommages corporels pour certains d’entre eux, elle envoie un courriel au Commandement de la santé publique de l’armée, à qui elle pose plusieurs questions. L’épidémiologiste lui répond qu’il n’y a pas de suivi, de traçabilité ou de surveillance des effets indésirables.
En mai 2021, le lieutenant-colonel participe au Senior Preventive Medicine Leadership Course de l'armée américaine. L’occasion pour elle de faire part de ses inquiétudes aux hauts responsables sur la rapidité avec laquelle les vaccins ont été testés puis imposés aux soldats américains. Des vaccins dont elle rappelle que la phase 2 aurait dû durer deux ans de plus, tandis que la phase 3 aurait dû prendre trois ans de plus. Si l’armée américaine déplore la perte de douze soldats du Covid, Theresa Long estime néanmoins qu’il est déraisonnable de risquer l’ensemble de la force de combat avec un vaccin pour lequel il n’y a eu que deux mois de données de sécurité, et fait connaître sa position à ses supérieurs qui lui répondent en retour : "vous avez tout à fait raison, colonel, et vous allez demander à tous les soldats que vous pourrez toucher de se faire vacciner afin que je puisse obtenir suffisamment de données pour déterminer si le vaccin est sûr".
Encore mal remise de cette réponse, c’est une femme choquée qui rappelle les services et les sacrifices de ces hommes à la nation américaine :
Une campagne de marketing qui viole les règles du Département de la Défense
Theresa Long a ensuite évoqué la campagne de marketing et de propagande pour encourager les professionnels de santé militaire à se faire vacciner. Elle décrit une campagne très offensive et raconte comment elle a été encouragée par courriel à mettre un autocollant sur son uniforme ou encore à publier sur les réseaux sociaux avec le hashtag #TheVaccine IsSafe (le vaccin est sûr) ou encore #GetVaccinated (faites-vous vacciner).
À ceux qui voient cette campagne comme un simple message de santé publique, le médecin militaire rappelle que le principal objectif des entreprises pharmaceutiques est de faire des profits, et qu’elles ne sont pas des organisations caritatives bienveillantes.
Les effets indésirables liés au vaccin
Dès le déploiement du vaccin, Theresa Long a rencontré des militaires qui ont subi des effets secondaires. La première personne était une de ses collègues qui souhaitait protéger ses parents âgés contre le Covid. Après l’injection, elle a eu de la fièvre et a rapidement ressenti une douleur aiguë et une perte totale de mouvement dans son bras pendant plus d’une semaine.
Suite à cet accident vaccinal, Madame Long consulte le système de notification qui surveille les effets secondaires post-vaccinaux (Vaccine Adverse Event Reporting System ou VAERS) et découvre des données très inquiétantes. Les chiffres sont édifiants, puisque dans un laps de temps de quelques mois, le système avait déjà enregistré plus de décès que n’importe quelle année pour tous les vaccins réunis au cours des dix années précédentes.
En mai 2021, Theresa Long fait la connaissance d’une jeune femme qui s’entraîne à l’école de rangers pour devenir soldat membre de cette unité d’élite de l’Armée de terre des États-Unis. La jeune femme lui confie être la seule non-vaccinée de sa promotion et lui fait part de ses inquiétudes. Après avoir examiné les bénéfices et les risques compte tenu de son âge et de sa condition physique, Madame Long lui répond qu’elle a tout à perdre et rien à gagner.
Cependant, suite aux harcèlements et à l’intimidation, la jeune femme cède à la pression et se fait vacciner. Après avoir développé des effets indésirables graves, elle contacte Theresa Long et lui explique qu’elle a dû abandonner le cours.
Theresa Long évoque enfin le cas de trois pilotes qu’elle a dû clouer au sol, en raison de dommages corporels dus aux vaccins. Deux d’entre eux souffraient de péricardite. Le troisième présentait des symptômes analogues à ceux du pilote Cody Flint qui a également témoigné le même jour que le lieutenant-colonel Long. Un témoignage terrible dans lequel ce pilote de 33 ans, sans antécédent médical, décrit des symptômes épouvantables survenus immédiatement après la première injection du vaccin Pfizer. Des migraines violentes, des nausées qu’il ressent en vol l’obligent à atterrir en urgence, un atterrissage dont il ne se souvient plus. Après des examens médicaux, un œdème cérébral est diagnostiqué et il doit subir deux chirurgies et six ponctions lombaires. Aujourd’hui, son état de santé ne lui permet plus de piloter. Il décrit une situation personnelle catastrophique, tandis que toutes ses économies ont été épuisées dans les actes médicaux qu'il a dû payer de sa poche.
Après avoir fait part à son commandement de sa décision d’empêcher de voler ces trois pilotes, Theresa Long n’a plus accès à certains de ses dossiers, qui lui ont été retirés. On lui a également signalé qu’elle ne verrait plus de pilotes qui présentent des problèmes médicaux, seulement des pilotes en bonne santé pour un contrôle médical avant le vol (sic).
L’absence de consentement éclairé
Après avoir tenté de convaincre les hauts responsables médicaux de l’armée de l’importance de donner un consentement éclairé en informant chacun des soldats des bénéfices et des risques avant la vaccination, elle regrette que ses avertissements aient été ignorés et qualifie son expérience de « troublante ».
Pour remédier à tous ces dysfonctionnements, elle conclut son témoignage par une proposition constructive, avec ce qu’elle nomme le « dissident loyal ». Elle souhaite en effet qu'une personne puisse être choisie pour représenter l’opinion dissidente « afin d’éviter la pensée de groupe ».
Le 27 septembre 2021, le lieutenant-colonel Theresa Long, médecin de la première brigade d'aviation de Ft. Rucker et chargée de la certification de l'aptitude de 4000 aviateurs à voler, a expliqué dans une déclaration sous serment, rédigée en vertu de la loi sur la protection des lanceurs d'alerte militaires, comment des dizaines de pilotes en parfaite santé ont subi une myriade d'effets secondaires indésirables, notamment des myocardites.
Plusieurs semaines après sa déclaration sous serment, Theresa Long répond à l'invitation du sénateur américain du Wisconsin Ron Johnson à témoigner devant un groupe d’experts des effets secondaires graves observés chez certains soldats américains suite à la vaccination. Elle dénonce les actions de l’armée américaine qui ne cesse de dissimuler les dommages corporels causés par les vaccins à ARN messager.
Violation de l’éthique médicale et contrainte exercée sur les soldats de l’armée américaine
Dans ce témoignage de 15 minutes, le lieutenant-colonel Theresa Long porte des accusations très graves contre les agissements de l’armée américaine qui contraint les soldats à accepter les vaccins sous peine de devoir abandonner l’uniforme. Une injonction qu'elle condamne, tandis qu'elle annonce que plus de 200 000 membres de l'armée américaine ont rejeté le vaccin.
Lorsqu’elle se rend à Fort Benning, une base de l’armée américaine située à la frontière de l’Alabama et de la Géorgie, elle recueille plusieurs témoignages de soldats. Ceux-ci lui font part des actes de menaces et d’intimidation pour les forcer à accepter un vaccin dont elle rappelle qu’il n’avait reçu qu'une autorisation d’utilisation d’urgence et que par conséquent, cette politique de coercition « viole l’éthique médicale, plus précisément le code de Nuremberg. »
Après avoir eu connaissance de graves effets indésirables et de dommages corporels pour certains d’entre eux, elle envoie un courriel au Commandement de la santé publique de l’armée, à qui elle pose plusieurs questions. L’épidémiologiste lui répond qu’il n’y a pas de suivi, de traçabilité ou de surveillance des effets indésirables.
En mai 2021, le lieutenant-colonel participe au Senior Preventive Medicine Leadership Course de l'armée américaine. L’occasion pour elle de faire part de ses inquiétudes aux hauts responsables sur la rapidité avec laquelle les vaccins ont été testés puis imposés aux soldats américains. Des vaccins dont elle rappelle que la phase 2 aurait dû durer deux ans de plus, tandis que la phase 3 aurait dû prendre trois ans de plus. Si l’armée américaine déplore la perte de douze soldats du Covid, Theresa Long estime néanmoins qu’il est déraisonnable de risquer l’ensemble de la force de combat avec un vaccin pour lequel il n’y a eu que deux mois de données de sécurité, et fait connaître sa position à ses supérieurs qui lui répondent en retour : "vous avez tout à fait raison, colonel, et vous allez demander à tous les soldats que vous pourrez toucher de se faire vacciner afin que je puisse obtenir suffisamment de données pour déterminer si le vaccin est sûr".
Encore mal remise de cette réponse, c’est une femme choquée qui rappelle les services et les sacrifices de ces hommes à la nation américaine :
"Nos militaires sont des trésors nationaux. Ils ont fait face à des balles, ont été soufflés par des engins explosifs improvisés et des bombes, ils ont enduré des guerres ingrates et prolongées, manquant la naissance de leurs enfants. Ils ont porté le fardeau, quel qu'en soit le coût. Ils l'ont fait sans tenir compte du parti politique ou de l'histoire. Ce sont des guerriers, pas des rats de laboratoire".
Une campagne de marketing qui viole les règles du Département de la Défense
Theresa Long a ensuite évoqué la campagne de marketing et de propagande pour encourager les professionnels de santé militaire à se faire vacciner. Elle décrit une campagne très offensive et raconte comment elle a été encouragée par courriel à mettre un autocollant sur son uniforme ou encore à publier sur les réseaux sociaux avec le hashtag #TheVaccine IsSafe (le vaccin est sûr) ou encore #GetVaccinated (faites-vous vacciner).
"Cela m'a dérangée parce que j'avais l'impression que les professionnels de la santé étaient utilisés comme le prolongement du marketing des entreprises pharmaceutiques", a-t-elle ajouté, arguant que ce type de campagne constitue « une violation de l'article I du Département de la Défense qui interdit la promotion d'un produit ".
À ceux qui voient cette campagne comme un simple message de santé publique, le médecin militaire rappelle que le principal objectif des entreprises pharmaceutiques est de faire des profits, et qu’elles ne sont pas des organisations caritatives bienveillantes.
Les effets indésirables liés au vaccin
Dès le déploiement du vaccin, Theresa Long a rencontré des militaires qui ont subi des effets secondaires. La première personne était une de ses collègues qui souhaitait protéger ses parents âgés contre le Covid. Après l’injection, elle a eu de la fièvre et a rapidement ressenti une douleur aiguë et une perte totale de mouvement dans son bras pendant plus d’une semaine.
Suite à cet accident vaccinal, Madame Long consulte le système de notification qui surveille les effets secondaires post-vaccinaux (Vaccine Adverse Event Reporting System ou VAERS) et découvre des données très inquiétantes. Les chiffres sont édifiants, puisque dans un laps de temps de quelques mois, le système avait déjà enregistré plus de décès que n’importe quelle année pour tous les vaccins réunis au cours des dix années précédentes.
En mai 2021, Theresa Long fait la connaissance d’une jeune femme qui s’entraîne à l’école de rangers pour devenir soldat membre de cette unité d’élite de l’Armée de terre des États-Unis. La jeune femme lui confie être la seule non-vaccinée de sa promotion et lui fait part de ses inquiétudes. Après avoir examiné les bénéfices et les risques compte tenu de son âge et de sa condition physique, Madame Long lui répond qu’elle a tout à perdre et rien à gagner.
Cependant, suite aux harcèlements et à l’intimidation, la jeune femme cède à la pression et se fait vacciner. Après avoir développé des effets indésirables graves, elle contacte Theresa Long et lui explique qu’elle a dû abandonner le cours.
"J'ai personnellement observé la femme soldat la plus en forme physiquement que j'aie vue en plus de 20 ans dans l'armée, passer du statut d'athlète s'entraînant pour l'école des Rangers, à celui d’handicapée physique. Dans les semaines qui ont suivi sa vaccination, elle a commencé à souffrir de problèmes cardiaques, d'une tumeur cérébrale pituitaire récemment diagnostiquée, et d'un dysfonctionnement de la thyroïde » avait-t-elle avancé dans sa première déclaration sous serment.
Theresa Long évoque enfin le cas de trois pilotes qu’elle a dû clouer au sol, en raison de dommages corporels dus aux vaccins. Deux d’entre eux souffraient de péricardite. Le troisième présentait des symptômes analogues à ceux du pilote Cody Flint qui a également témoigné le même jour que le lieutenant-colonel Long. Un témoignage terrible dans lequel ce pilote de 33 ans, sans antécédent médical, décrit des symptômes épouvantables survenus immédiatement après la première injection du vaccin Pfizer. Des migraines violentes, des nausées qu’il ressent en vol l’obligent à atterrir en urgence, un atterrissage dont il ne se souvient plus. Après des examens médicaux, un œdème cérébral est diagnostiqué et il doit subir deux chirurgies et six ponctions lombaires. Aujourd’hui, son état de santé ne lui permet plus de piloter. Il décrit une situation personnelle catastrophique, tandis que toutes ses économies ont été épuisées dans les actes médicaux qu'il a dû payer de sa poche.
Après avoir fait part à son commandement de sa décision d’empêcher de voler ces trois pilotes, Theresa Long n’a plus accès à certains de ses dossiers, qui lui ont été retirés. On lui a également signalé qu’elle ne verrait plus de pilotes qui présentent des problèmes médicaux, seulement des pilotes en bonne santé pour un contrôle médical avant le vol (sic).
L’absence de consentement éclairé
Après avoir tenté de convaincre les hauts responsables médicaux de l’armée de l’importance de donner un consentement éclairé en informant chacun des soldats des bénéfices et des risques avant la vaccination, elle regrette que ses avertissements aient été ignorés et qualifie son expérience de « troublante ».
Pour remédier à tous ces dysfonctionnements, elle conclut son témoignage par une proposition constructive, avec ce qu’elle nomme le « dissident loyal ». Elle souhaite en effet qu'une personne puisse être choisie pour représenter l’opinion dissidente « afin d’éviter la pensée de groupe ».
(Source : https://www.francesoir.fr/politique-monde/lt-colonel-theresa-long-medecin-de-larmee-americaine-temoigne-vaccination )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
pour rester dans le sujet , et pour etre réaliste , il faudrait pouvoir comparer les méfaits, avec les bienfaits , si non ce thème est trop partisan !!
Amicalement
Amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10049
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
499- Une ÉTUDE CONFIRME
que le VACCIN COVID
PROVOQUE une HÉPATITE AUTO-IMMUNE SÉVÈRE
que le VACCIN COVID
PROVOQUE une HÉPATITE AUTO-IMMUNE SÉVÈRE
Une étude confirme que le vaccin COVID provoque une hépatite auto-immune sévère quelques jours après que l’OMS a publié une « alerte mondiale » concernant une hépatite sévère chez les enfants. Bien entendu, tout ceci n’a rien à voir, vous pouvez dormir tranquilles…
Ce n’est que le début d’un désastre sanitaire qui n’a pas d’égal dans toute l’histoire de l’humanité. De très nombreuses maladies chroniques graves vont se multiplier avec le temps comme tout le monde pourra le constater.
Au 25 avril, il avait été confirmé que les infections à l’hépatite avaient touché des enfants dans douze pays différents, la majorité de ces cas ayant augmenté au Royaume-Uni. Le gouvernement a alors annoncé qu’il lançait une enquête urgente après avoir détecté des taux d’inflammation du foie (hépatite) plus élevés que d’habitude chez les enfants, après avoir exclu les virus courants qui causent la maladie.
Au moins 169 cas avaient été signalés à cette date et 17 enfants avaient nécessité une greffe du foie. Malheureusement, au 25 avril, 1 enfant avait malheureusement perdu la vie.
L’hépatite est une affection qui affecte le foie et peut survenir pour un certain nombre de raisons, notamment plusieurs infections virales courantes chez les enfants. Cependant, dans les cas sous enquête, les virus courants qui causent l’hépatite n’ont pas été détectés.
Les symptômes de l’hépatite comprennent :
- urine foncée
- caca pâle et gris
- la peau qui gratte
- jaunissement des yeux et de la peau (jaunisse)
- douleurs musculaires et articulaires
- une température élevée
- se sentir et être malade
- se sentir anormalement fatigué tout le temps
- perte d’appétit
- douleur au ventre
Une étude précédente menée pour le compte de Pfizer au cours du second semestre 2020 a révélé que le contenu des injections de Covid-19 et la protéine de pointe qu’ils ordonnent aux cellules d’une personne de produire, ne restent pas au site d’injection et circulent plutôt vers toutes les parties du corps pendant au moins 48 heures. Cependant, le temps qu’ils circulent/accumulent pourrait être beaucoup plus long, mais les scientifiques qui ont mené l’étude n’ont pris des observations que pendant 48 heures.
La plus grande concentration de l’injection Pfizer Covid-19 a été observée dans le foie, 16% de la dose administrée étant observée dans l’organe après 48 heures.
Chez les animaux ayant reçu l’injection de BNT162b2, des effets hépatiques réversibles ont été observés, notamment une hypertrophie du foie, une vacuolisation, une augmentation des niveaux de gamma-glutamyl transférase (γGT) et une augmentation des niveaux d’aspartate transaminase (AST) et de phosphatase alcaline (ALP) [source]. Selon les chercheurs, des effets hépatiques transitoires induits par les systèmes de délivrance de LNP ont été rapportés précédemment [sources 1, 2, 3, 4]
Maintenant, une nouvelle étude, publiée le 21 avril 2022, a conclu que la vaccination contre le Covid-19 peut provoquer une hépatite dominante à cellules T CD8.
En termes simples, ce que les scientifiques ont découvert, c’est qu’une inflammation du foie (hépatite) peut survenir chez certains individus après la vaccination et partage certaines caractéristiques typiques avec une maladie hépatique auto-immune.
Ceci est causé par des cellules T hautement activées (également appelées lymphocytes T, un type de leucocyte [globule blanc] qui est une partie essentielle du système immunitaire) qui s’accumulent dans les différentes zones du foie.
Au sein de ces lymphocytes T infiltrant le foie se trouve un enrichissement en lymphocytes T réactifs au SRAS-CoV-2, ce qui suggère que les cellules induites par le vaccin Covid-19 contribuent à l’inflammation du foie.
Le NHS a commencé à déployer l’injection Pfizer Covid-19 à cinq millions d’enfants de 5 à 11 ans au Royaume-Uni début avril 2022. Il l’administrait auparavant à de jeunes enfants jugés vulnérables depuis la fin de 2021.
Est-ce juste une coïncidence si quelques semaines plus tard, un nombre extrêmement inquiétant d’enfants souffrent d’hépatite de cause inconnue ? Une forme d’hépatite si grave que des enfants ont besoin d’une greffe de foie et y perdent la vie.
Trop de temps et d’argent ont été consacrés à insister sur le fait que les injections de Covid-19 sont extrêmement sûres et efficaces pour que les autorités admettent maintenant qu’elles se sont trompées. Et ils ont aussi beaucoup trop d’argent immobilisé dans Big Pharma pour risquer de tout perdre en le faisant.
Mais avec des études concluant que les injections de Pfizer Covid-19 peuvent provoquer une hépatite sévère, c’est sûrement l’un des premiers endroits que l’Organisation mondiale de la Santé et l’UKHSA devraient rechercher afin d’empêcher que d’autres enfants ne perdent malheureusement la vie.
(Source : https://reseauinternational.net/une-etude-confirme-que-le-vaccin-covid-provoque-une-hepatite-auto-immune-severe/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Une étude réalisée en février 2022 par l'université de Lund, en Suède, confirme que les injections de Pfizer infiltrent les cellules et transcrivent leur message sur l'ADN humain en l'espace de six heures.
Les scientifiques ont étudié comment les injections Pfizer affectent les cellules du foie humain, écrit DailyExpose.uk (3 mai).
Une étude suédoise d'octobre 2021 a révélé que la protéine spike pénètre dans les noyaux des cellules humaines en altérant le mécanisme de réparation de l'ADN endommagé.
Des études ont montré des effets irréversibles sur le foie des rats, notamment une hypertrophie du foie, une vacuolisation et une augmentation des taux d'enzymes.
Une grande partie du liquide d'injection (jusqu'à 18 %) se retrouve dans le foie.
Les scientifiques ont étudié comment les injections Pfizer affectent les cellules du foie humain, écrit DailyExpose.uk (3 mai).
Une étude suédoise d'octobre 2021 a révélé que la protéine spike pénètre dans les noyaux des cellules humaines en altérant le mécanisme de réparation de l'ADN endommagé.
Des études ont montré des effets irréversibles sur le foie des rats, notamment une hypertrophie du foie, une vacuolisation et une augmentation des taux d'enzymes.
Une grande partie du liquide d'injection (jusqu'à 18 %) se retrouve dans le foie.
(Source : https://gloria.tv/post/qh2uSBzJErad3rxQFMtee2jiv )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
pour rester dans le sujet , et pour etre réaliste , il faudrait pouvoir comparer les méfaits, avec les bienfaits , si non ce thème est trop partisan !!
Amicalement
Amicalement
dany26- Vénérable
- Messages : 10049
Date d'inscription : 26/10/2022
Localisation : plein sud
Page 13 sur 22 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 17 ... 22
Sujets similaires
» "Méfaits du tout numérique"
» Le Danemark publie les statistiques ethniques des méfaits sur son territoire.
» Le Danemark publie les statistiques ethniques des méfaits sur son territoire.
Page 13 sur 22
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum