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Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
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Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
866- Il n'y a PAS de CONTAGION
par les PERSONNES VACCINÉES :
C'est l'IRRADIATION !
- La QUINTA COLUMNA du 13.09.2022 -
https://gloria.tv/post/AKuxvbbKPjze2iEsxWmDSqLdu
par les PERSONNES VACCINÉES :
C'est l'IRRADIATION !
- La QUINTA COLUMNA du 13.09.2022 -
https://gloria.tv/post/AKuxvbbKPjze2iEsxWmDSqLdu
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
868- CRISTAUX LIQUIDES
dans le SANG des INJECTÉS
https://gloria.tv/post/fs4ZYKTkndCG48bpmQQBCUAE9
dans le SANG des INJECTÉS
https://gloria.tv/post/fs4ZYKTkndCG48bpmQQBCUAE9
Les formes géométriques se forment et se dissipent en fonction des fréquences auxquelles émettent les antennes internet de téléphonie mobile et 5G.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Nan mais on peut-être sérieux 2 minutes ?
Bon j'ai été vacciné, alors depuis j'ai des réactions allergiques plus qu'avant, mais je n'ai aucune preuve comme quoi ça vient du vaccin. On ne peut certes pas l'exclure mais ça pourrait aussi bien être l'âge le manque de sommeil le rechauffement climatique ou n'importe quoi ...
A-t-on des études sérieuses faites à ce sujet ?
Bon j'ai été vacciné, alors depuis j'ai des réactions allergiques plus qu'avant, mais je n'ai aucune preuve comme quoi ça vient du vaccin. On ne peut certes pas l'exclure mais ça pourrait aussi bien être l'âge le manque de sommeil le rechauffement climatique ou n'importe quoi ...
A-t-on des études sérieuses faites à ce sujet ?
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
En bref :
Depuis le lancement des injections expérimentales de COVID, les autorités sanitaires américaines ont affirmé catégoriquementque ces injections étaient sans danger pour les femmes enceintes et leurs bébés à naître.
Pendant ce temps, les données publiées par Pfizer à la demande du tribunal – que la Food and Drug Administration a voulu cacher pendant 75 ans – révèlent que le taux de fausses couches chez les femmes dont l’issue de la grossesse était connue était de 87,5 %. Le taux réel peut être plus élevé ou plus bas, car Pfizer n’a pas enregistré ou rapporté les résultats de la grossesse de 238 des 274 femmes dont on savait qu’elles étaient enceintes pendant l’essai.
Une étude commanditée par les CDC, largement utilisée pour soutenir l’affirmation selon laquelle l’injection est sans danger pendant la grossesse, a présenté des données erronées. Le taux réel de fausses couches dans cette étude était de 82 %.
Au 12 août 2022, la base de données américaine VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting) recensait 4 941 fausses couches après l’injection COVID. À titre de comparaison, le nombre de décès fœtaux signalés au VAERS pour tous les autres vaccins au cours des 30 dernières années est de 2 239.
Une étude israélienne a révélé que le vaccin COVID de Pfizer nuit à la fertilité masculine pendant trois mois après chaque dose, en réduisant la concentration de spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 %, par rapport aux valeurs de départ.
Depuis le lancement du vaccin expérimental COVID, les autorités sanitaires américaines affirment catégoriquement qu’il est sans danger pour les femmes enceintes et invitent toutes les femmes enceintes à se faire vacciner « pour se protéger et protéger leur bébé« . À ce jour, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies recommandent le vaccin COVID pour :
« … les personnes qui sont enceintes, qui allaitent, qui essaient d’être enceintes maintenant ou qui pourraient l’être dans le futur.«
Le CDC recommande en outre :
« Les personnes qui sont enceintes doivent rester à jour avec leurs vaccins COVID-19, y compris obtenir un rappel COVID-19 quand il est temps de le faire.«
Et affirme :
« Les preuves continuent de s’accumuler montrant que :
La vaccination COVID-19 pendant la grossesse est sûre et efficace.
Il n’existe actuellement aucune preuve que les vaccins, y compris le vaccin COVID-19, causent des problèmes de fertilité chez les femmes ou les hommes.«
Pendant tout ce temps, ils disposaient de données de Pfizer montrant que les vaccins provoquaient des taux choquants de fausses couches qui, ajoutant l’insulte à l’injure, ont été manifestement mal classées en tant qu’effet indésirable « récupéré/résolu« . Qui, sain d’esprit, considérerait la MORT comme un effet secondaire résolu, à moins d’avoir un programme de dépeuplement en tête depuis le début ?
Je ne vois pas comment on pourrait décrire cela autrement que comme une dissimulation criminelle. La seule raison pour laquelle nous savons tout cela est que le juge de district Mark Pittman a ordonné à la Food and Drug Administration de divulguer les documents de Pfizer à raison de 55 000 pages par mois. La FDA et Pfizer avaient demandé de divulguer les documents au rythme de 500 pages par mois, ce qui signifiait qu’il faudrait 75 ans pour les divulguer tous.
Depuis le lancement des injections expérimentales de COVID, les autorités sanitaires américaines ont affirmé catégoriquementque ces injections étaient sans danger pour les femmes enceintes et leurs bébés à naître.
Pendant ce temps, les données publiées par Pfizer à la demande du tribunal – que la Food and Drug Administration a voulu cacher pendant 75 ans – révèlent que le taux de fausses couches chez les femmes dont l’issue de la grossesse était connue était de 87,5 %. Le taux réel peut être plus élevé ou plus bas, car Pfizer n’a pas enregistré ou rapporté les résultats de la grossesse de 238 des 274 femmes dont on savait qu’elles étaient enceintes pendant l’essai.
Une étude commanditée par les CDC, largement utilisée pour soutenir l’affirmation selon laquelle l’injection est sans danger pendant la grossesse, a présenté des données erronées. Le taux réel de fausses couches dans cette étude était de 82 %.
Au 12 août 2022, la base de données américaine VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting) recensait 4 941 fausses couches après l’injection COVID. À titre de comparaison, le nombre de décès fœtaux signalés au VAERS pour tous les autres vaccins au cours des 30 dernières années est de 2 239.
Une étude israélienne a révélé que le vaccin COVID de Pfizer nuit à la fertilité masculine pendant trois mois après chaque dose, en réduisant la concentration de spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 %, par rapport aux valeurs de départ.
Depuis le lancement du vaccin expérimental COVID, les autorités sanitaires américaines affirment catégoriquement qu’il est sans danger pour les femmes enceintes et invitent toutes les femmes enceintes à se faire vacciner « pour se protéger et protéger leur bébé« . À ce jour, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies recommandent le vaccin COVID pour :
« … les personnes qui sont enceintes, qui allaitent, qui essaient d’être enceintes maintenant ou qui pourraient l’être dans le futur.«
Le CDC recommande en outre :
« Les personnes qui sont enceintes doivent rester à jour avec leurs vaccins COVID-19, y compris obtenir un rappel COVID-19 quand il est temps de le faire.«
Et affirme :
« Les preuves continuent de s’accumuler montrant que :
La vaccination COVID-19 pendant la grossesse est sûre et efficace.
Il n’existe actuellement aucune preuve que les vaccins, y compris le vaccin COVID-19, causent des problèmes de fertilité chez les femmes ou les hommes.«
Pendant tout ce temps, ils disposaient de données de Pfizer montrant que les vaccins provoquaient des taux choquants de fausses couches qui, ajoutant l’insulte à l’injure, ont été manifestement mal classées en tant qu’effet indésirable « récupéré/résolu« . Qui, sain d’esprit, considérerait la MORT comme un effet secondaire résolu, à moins d’avoir un programme de dépeuplement en tête depuis le début ?
Je ne vois pas comment on pourrait décrire cela autrement que comme une dissimulation criminelle. La seule raison pour laquelle nous savons tout cela est que le juge de district Mark Pittman a ordonné à la Food and Drug Administration de divulguer les documents de Pfizer à raison de 55 000 pages par mois. La FDA et Pfizer avaient demandé de divulguer les documents au rythme de 500 pages par mois, ce qui signifiait qu’il faudrait 75 ans pour les divulguer tous.
Couverture criminelle
Le Dr Naomi Wolf a récemment rapporté qu’une analyse des données de Pfizer avait révélé que 44 % des femmes participant à l’essai avaient subi des fausses couches. Cette statistique s’avère être le résultat d’une erreur de calcul, Pfizer ayant répertorié les fausses couches dans deux colonnes distinctes, ce qui les a fait compter deux fois.
Nous avons constaté à plusieurs reprises que la collecte et la communication des données par Pfizer étaient très hétérogènes, et apparemment à dessein, pour rendre les risques plus difficiles à déterminer. Wolf a reconnu son erreur et a retiré le rapport original. Cependant, alors que les vérificateurs de faits jubilent de cette victoire apparente, il existe de nombreuses autres preuves dans les documents de Pfizer pour démontrer que ces injections devraient être interdites à tout jamais.
Dans un article de Substack daté du 20 août 2022, le Dr Pierre Kory a abordé d’autres conclusions « absolument horribles » sur les fausses couches trouvées dans les archives de données de Pfizer:
» … faisons une plongée sur une seule page parmi plusieurs milliers. Voir ci-dessous, la section 5.3.6, page 12 du document intitulé ‘Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports’.
En regardant le premier point sous l’en-tête : Cas de grossesse : 274 cas dont :
Dans ce paragraphe, à première vue, il ne s’agit que d’une liste d’événements indésirables et de chiffres, détaillés d’une manière qui est au mieux déroutante, et au pire obscurcissante. Je pense qu’il s’agit de ce dernier point car, si vous faites un calcul simple pour essayer d’analyser ce paragraphe, vous obtenez ceci :
270 grossesses ont été signalées chez des femmes vaccinées au cours des 12 premières semaines de la campagne de vaccination. Pour 238 d’entre elles, « aucun résultat n’a été fourni ». Donc, ils ne connaissaient l’issue que de 32 grossesses signalées. Que s’est-il passé dans ces 32 grossesses qu’ils ont suivies ?
Mes mains tremblent littéralement au moment où j’écris ces lignes, mais c’est parti. Dans ces 32 grossesses, il y a eu :
- 23 avortements spontanés
- 2 avortements spontanés avec mort intra-utérine
- Donc, 25 des 32 grossesses dont l’issue est connue se sont soldées par une fausse couche, soit un taux de 78%. Il convient de noter qu’une fausse couche ne survient normalement que dans 12 à 15 % des grossesses.
- 2 naissances prématurées avec décès néonatal
- 1 avortement spontané avec décès néonatal
- 1 issue normale
Notez que cela ne donne que 29 résultats connus, mais ils notent ensuite que « deux résultats différents ont été signalés pour chaque jumeau » et parlent ensuite de « cas de fœtus/bébé distincts des cas de mères ». Je n’ai aucune idée de la façon dont il faut interpréter cette explication des résultats, il se peut donc qu’il y ait eu un ou deux décès de moins (ou de plus) à ce moment-là.
Ainsi, sur les 32 grossesses dont ils connaissaient l’issue, 87,5 % se sont soldées par la mort du fœtus ou du nouveau-né. Enterrer ces données et ne pas alerter le monde sur ce qu’ils ont découvert est une activité criminelle…« .
Pour être parfaitement clair, le fait de ne pas enregistrer et signaler les résultats de 238 des 274 grossesses au cours d’un essai de médicament est tout simplement inouï. C’est scandaleusement contraire à l’éthique. Et le fait que la Food and Drug Administration et le CDC l’aient accepté, et affirment qu’il n’y a « aucune preuve » de préjudice pour les femmes enceintes et leurs bébés est la preuve positive d’une malfaisance répréhensible.
Il n’y a pas moyen de réparer ce qui a mal tourné à la FDA et au CDC. Leur crédibilité auprès du public est ruinée au-delà de toute récupération possible. Le CDC peut se revoir et se réorganiser autant qu’il veut, mais cela ne change rien. Ils encouragent encore aujourd’hui les femmes enceintes à prendre un vaccin dont ils savent qu’il causera la mort des bébés. Appeler cela une dystopie aux proportions épiques est un euphémisme très sérieux.
L’étude sponsorisée par le CDC a également tenté de dissimuler des données
Besoin de plus de preuves ? Que diriez-vous du fait que l’étude parrainée par les CDC et publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) en avril 2021 – qui a été largement utilisée pour soutenir la recommandation américaine aux femmes enceintes de se faire injecter – a également dissimulé des données pour cacher un taux de fausses couches étonnamment élevé.
Selon ce document, le taux de fausses couches au cours des 20 premières semaines de grossesse était de 12,5 %, ce qui n’est que légèrement supérieur à la moyenne normale de 10 %. (Si l’on examine les données statistiques, le risque de fausse couche passe d’un taux moyen global de 21,3 % pour l’ensemble de la grossesse à seulement 5 % entre les semaines 6 et 7, puis à 1 % entre les semaines 14 et 20).
Cependant, il y a un problème distinct avec ce calcul, comme le soulignent les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto. Dans une lettre à la rédaction datée du 28 mai 2021, ils ont fait remarquer que :
« Dans le tableau 4, les auteurs rapportent un taux d’avortements spontanés <20 semaines (SA) de 12,5% (104 avortements/827 grossesses menées à terme). Cependant, ce taux devrait être basé sur le nombre de femmes qui étaient à risque d’un AS en raison de la réception du vaccin et devrait exclure les 700 femmes qui ont été vaccinées au troisième trimestre (104/127 = 82%).«
En d’autres termes, lorsque vous excluez les femmes qui ont été vaccinées au cours de leur troisième trimestre (puisque le troisième trimestre se situe après la semaine 20 et ne devrait donc pas être compté pour déterminer le taux de fausses couches parmi celles qui ont reçu l’injection avant la semaine 20), le taux de fausses couches est de 82%. (Les erreurs contenues dans cet article du NEJM ont également été examinées dans un article intitulé Science, Public Health Policy and the Law publié en novembre 2021).
Sur ces 104 fausses couches, 96 sont survenues avant la 13e semaine de gestation, ce qui suggère fortement que se faire vacciner au COVID pendant le premier trimestre est une recette absolue qui mène au désastre. Voilà donc une nouvelle tentative de dissimuler le fait que plus de 8 grossesses sur 10 peuvent être interrompues à la suite de l’injection.
Au 12 août 2022, la base de données américaine VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting) recensait 4 941 fausses couches après le vaccin COVID. A titre de comparaison, le nombre de décès fœtaux signalés au VAERS pour tous les autres vaccins au cours des 30 dernières années est de 2 239.
Les taux de natalité chutent soudainement dans le monde entier
Outre les fausses couches, nous observons également une chute brutale des taux de natalité, ce qui suggère que les vaccins COVID ont également un impact négatif sur la fertilité future.
« Ce sont des chutes importantes, et elles se produisent, presque comme une horloge, environ 9 mois après que les femmes enceintes du monde entier ont commencé à être vaccinées« , note Kory.
Par exemple, l’Allemagne a récemment publié des données montrant une baisse de 10 % du taux de natalité au cours du premier trimestre de 2022.
Le graphique du taux de natalité de la Suède est similaire, avec une baisse de 14 %. Selon Gunnar Anderson, professeur suédois de démographie à l’université de Stockholm, « nous n’avons jamais rien vu de tel auparavant, à savoir que le niveau s’effondre en un seul trimestre. »
Entre janvier et avril 2022, le taux de natalité de la Suisse a été inférieur de 15 % aux prévisions, celui du Royaume-Uni de 10 % et celui de Taïwan de 23 %. En Hongrie, le député Dúró Dóra s’est inquiété d’une baisse de 20 % du taux de natalité en janvier 2022, par rapport à janvier 2021.
Les États-Unis montrent également des signes de baisse des naissances vivantes. Les données provisoires du Dakota du Nord montrent une baisse de 10% en février 2022, de 13% en mars et de 11% en avril, par rapport aux mois correspondants de 2021.
Dans les cinq pays où le taux d’utilisation du COVID jab est le plus élevé, la fécondité a chuté en moyenne de 15,2 %, alors que les cinq pays où le taux d’utilisation du COVID jab est le plus faible ont connu une réduction moyenne de seulement 4,66 %.
Dans un article de Counter Signal du 5 juillet 2022, Mike Campbell a indiqué que dans les cinq pays où le taux d’utilisation du vaccin COVID est le plus élevé, la fécondité a chuté en moyenne de 15,2 %, alors que les cinq pays où le taux d’utilisation du vaccin COVID est le plus faible ont connu une réduction moyenne de seulement 4,66 %. Le graphique ci-dessous, établi par Birth Gauge sur Twitter, compare les données sur les naissances vivantes pour 2021 et 2022 dans un grand nombre de pays.
De nombreuses femmes signalent des irrégularités menstruelles après l’injection
Les taux élevés d’irrégularités menstruelles post-jab sont également un signe d’alerte indiquant que la capacité de reproduction peut être affectée. En date du 12 août 2022, 31 443 rapports VAERS faisaient état de troubles menstruels.
Les changements incluent des règles plus abondantes et plus douloureuses et des modifications de la durée des menstruations, ainsi que des saignements inattendues ou des pertes chez les femmes sous contraception à action prolongée ou celles qui sont ménopausées et n’ont pas eu de règles depuis des années, voire des décennies.
Les responsables de la santé ont tenté de balayer ces rapports, mais une étude publiée dans Obstetrics & Gynecology – financée par le National Institute of Child Health and Human Development (NICHD) et le National Institutes of Health’s Office of Research on Women’s Health – a confirmé l’existence d’une association entre la longueur du cycle menstruel et les injections de COVID-19.
Selon les auteurs, il est possible que la réponse immunitaire créée par les injections d’ARNm affecte l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien, qui joue un rôle bien connu dans la synchronisation du cycle d’une femme.
« Nos résultats pour les personnes ayant reçu deux doses au cours d’un seul cycle soutiennent cette hypothèse. Compte tenu du calendrier d’administration des vaccins COVID-19 à ARNm aux États-Unis (21 jours pour Pfizer et 28 jours pour Moderna), une personne ayant reçu deux doses en un seul cycle aurait reçu la première dose au début de la phase folliculaire.
La variabilité de la durée du cycle résulte d’événements conduisant au recrutement et à la maturation du follicule dominant pendant la phase folliculaire …«
Autres preuves troublantes
Une étude japonaise de biodistribution du vaccin de Pfizer a également montré que la protéine COVID spike des injections s’accumule dans les ovaires féminins et les testicules masculins, et l’on craint de manière crédible que les injections de COVID n’aient une réaction croisée avec la syncytine (une protéine d’enveloppe rétrovirale) et les gènes reproducteurs dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui pourrait nuire à la fertilité et aux résultats reproductifs.
Une étude de Pfizer-BioNTech sur des rats a révélé que l’injection a plus que doublé l’incidence de la perte préimplantatoire (c’est-à-dire le risque d’infertilité) et a entraîné des malformations de la bouche et de la mâchoire, un gastroschisis (une anomalie de naissance de la paroi abdominale) et des anomalies de l’arc aortique droit et des vertèbres cervicales :
« Dans ces conditions, comment diable les autorités de réglementation médicale du monde entier ont-elles réussi à déclarer dans leurs directives officielles que « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse » ? Et comment ont-ils réussi à déclarer ‘On ignore si le vaccin Pfizer a un impact sur la fertilité’ ?
La vérité, c’est qu’ils ont activement choisi d’étouffer l’affaire. Nous le savons grâce à une demande de liberté d’information (FOI) faite auprès de l’administration des produits thérapeutiques (TGA) du ministère de la Santé du gouvernement australien.«
Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l’article de The Exposé du 19 juillet 2022 intitulé « FOIA Reveals Pfizer & Medicine Regulators Hid Dangers of COVID Vaccination During Pregnancy After Study Found It Increases Risk of Birth Defects & Infertility « .
Nous assistons également à une hausse soudaine de la mortalité infantile. The Exposé a mis en lumière des données provenant d’Écosse, montrant que les décès néonatals étaient 119 % plus élevés que la norme annuelle en mars 2022.
Le COVID Jab affecte aussi la fertilité masculine
La fertilité masculine est également attaquée par ces armes biologiques. Des recherches israéliennes publiées dans la revue Andrology ont montré que le vaccin COVID de Pfizer affecte temporairement mais significativement la fertilité masculine, en réduisant la concentration des spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 %, par rapport aux valeurs de base avant le jab.
Tous deux ont fini par se rétablir, environ trois mois après la dernière injection, mais si vous détruisez le sperme d’un homme pendant trois mois à chaque fois qu’il reçoit une injection de COVID, vous réduisez considérablement la probabilité qu’il engendre un enfant pendant une bonne partie de l’année et les statistiques examinées ci-dessus le confirment.
N’oubliez pas que les injections d’ARNm sont recommandées originellement à intervalles de trois mois, et que les rappels sont maintenant recommandés à intervalles variables par la suite.
Mettez fin aux injections COVID immédiatement avant qu’il ne soit trop tard
En octobre 2021, alors que la FDA votait sur l’autorisation du vaccin COVID pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, le Dr Eric Rubin, membre du comité consultatif de la FDA, professeur à Harvard et rédacteur en chef du NEJM, a déclaré :
« Nous ne saurons jamais à quel point ce vaccin est sûr si nous ne commençons pas à l’administrer. C’est comme ça… Et je pense que nous devrions voter pour l’approuver« .
Donc, dans ce cas et dans d’autres, ils ont ouvertement admis que toute personne qui prend le vaccin fait partie d’une expérience. Pourtant, dans le même temps, la FDA et le CDC ont insisté sur le fait que les vaccins sont parfaitement sûrs – tout en étant en possession de données montrant qu’ils sont tout sauf sûrs ! En conclusion, je suis d’accord avec Kory, qui écrit :
« … lorsqu’un nouveau médicament ou dispositif est introduit, vous devez d’abord supposer que tout effet indésirable ou décès signalé est lié à l’intervention jusqu’à preuve du contraire. C’est ce que je fais ici.
Nous devons supposer que les vaccins ont un impact sur la fertilité, à moins qu’il n’y ait d’autres explications prouvables ou crédibles à la chute soudaine des taux de natalité d’un mois sur l’autre. Alors arrêtez les vaccins jusqu’à ce que vous puissiez prouver le contraire…
Trop de jeunes gens meurent, trop de personnes deviennent handicapées, trop de grossesses se soldent par une mort fœtale ou néonatale comme montré ci-dessus, et maintenant nous découvrons que si nous continuons avec cette obsession vaccinale, ils ne seront pas remplacés. C’est une catastrophe humanitaire qui vient s’ajouter à celle causée par la recherche dangereuse sur le gain de fonction.
Quand le monde se réveillera-t-il devant cette horreur qui se déroule rapidement ? Pour ceux d’entre nous qui savent ce qui se passe, il est difficile de ne pas se sentir impuissants face à une mort inutile de plus en plus évidente et répandue. Mais nous continuerons à essayer de faire connaître ces vérités malgré la censure et la propagande massives qui accablent le monde.
Nous avons une obligation morale et éthique et nous prenons cette responsabilité au sérieux, peu importe ce qui nous arrive. Arrêtez les vaccins, maintenant. Et si nous ne pouvons pas les arrêter, nous devons essayer de convaincre tous ceux que nous connaissons de ne plus accepter de se faire vacciner. Leur vie et notre avenir en dépendent.«
Publié originellement sur le site du Dr Joseph Mercola.
(Source : https://www.mondialisation.ca/pourquoi-le-vaccin-covid-devrait-etre-interdit-aux-femmes-enceintes/5671189 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Simon de Stock a écrit:
Depuis le lancement des injections expérimentales de COVID, les autorités sanitaires américaines ont affirmé catégoriquement[/i]que ces injections étaient sans danger pour les femmes enceintes et leurs bébés à naître.
[i]
Pendant ce temps, les données publiées par Pfizer à la demande du tribunal – que la Food and Drug Administration a voulu cacher pendant 75 ans –
Déjà on sent à peine le truc incohérent et bidon ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
872- CONSENTEMENT NON ÉCLAIRÉ :
le DOCUMENTAIRE à ne PAS MANQUER !
https://gloria.tv/post/GymhB967dq372eaxTBSMij7Wn
le DOCUMENTAIRE à ne PAS MANQUER !
https://gloria.tv/post/GymhB967dq372eaxTBSMij7Wn
Version en français de ce documentaire américain qu’il faut absolument regarder ! Pour bien comprendre comment le plan mondialiste suscite des situations anxiogènes telle que la plandémie Covid pour organiser la dépopulation et installer le Nouvel Ordre Mondial totalitaire.
Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
Ce film explore notre récente perte des droits de l'homme tout en évoquant l'impact dévastateur des mandats et l'histoire très émouvante de la perte d'un être cher.
Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n'ont pas peur de s'opposer à Big Pharma et à l'élite qui profite de ces mandats.
Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
Ce film explore notre récente perte des droits de l'homme tout en évoquant l'impact dévastateur des mandats et l'histoire très émouvante de la perte d'un être cher.
Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n'ont pas peur de s'opposer à Big Pharma et à l'élite qui profite de ces mandats.
(Source : https://www.medias-presse.info/consentement-non-eclaire-le-documentaire-a-ne-pas-manquer/163066/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
874- Denis AGRET, RÉSISTANT
CONDAMNÉ à 6 MOIS de PRISON avec SURSIS,
INTERVIEWÉ par Éric Verhaeghe
CONDAMNÉ à 6 MOIS de PRISON avec SURSIS,
INTERVIEWÉ par Éric Verhaeghe
https://gloria.tv/post/si4aHqjFq1M82W43sMnacECMx
Aujourd'hui, j'ai interviewé Denis Agret, qui est probablement le premier résistant, avec Vincent Pavant, à subir de plein fouet une sanction dure prononcée par le régime en place pour faire taire les voix discordantes. Ceci n'exclut pas que d'autres suivront, mais Denis Agret inaugure une triste série. Quelles que soient les divergences d'opinion, toute la résistance doit aujourd'hui faire barrage à ces forgeries judiciaires qui visent à intimider et à dominer l'opinion publique.
Denis Agret, médecin non-vacciné, évoque sa situation et nous parle du principe de précaution appliqué à la médecine. Il nous paraissait indispensable de lui donner la parole quelques jours après sa condamnation à six mois de prison avec sursis et à trois ans d’interdiction d’exercer en tant que médecin.
Cette sanction très lourde prise au regard d’un motif anecdotique exprime toute la volonté propre au pouvoir de faire taire la résistance. Cette volonté est d’autant plus forte que la confiance du Français ordinaire dans la parole publique s’érode.
Face à ces mesures d’intimidation, nous n’avons pas d’autre choix, d’autre solution, que de nous unir contre l’adversité, et quelles que soient nos divergences à long terme.
Denis Agret, médecin non-vacciné, évoque sa situation et nous parle du principe de précaution appliqué à la médecine. Il nous paraissait indispensable de lui donner la parole quelques jours après sa condamnation à six mois de prison avec sursis et à trois ans d’interdiction d’exercer en tant que médecin.
Cette sanction très lourde prise au regard d’un motif anecdotique exprime toute la volonté propre au pouvoir de faire taire la résistance. Cette volonté est d’autant plus forte que la confiance du Français ordinaire dans la parole publique s’érode.
Face à ces mesures d’intimidation, nous n’avons pas d’autre choix, d’autre solution, que de nous unir contre l’adversité, et quelles que soient nos divergences à long terme.
(Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/09/19/denis-agret-resistant-condamne-a-6-mois-de-prison-avec-sursis/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
878- "Le VACCIN ANTI-COVID
a PROVOQUÉ une QUANTITÉ ASTRONOMIQUE
de MYOCARDITES !"
dit le Dr Denis AGRET
a PROVOQUÉ une QUANTITÉ ASTRONOMIQUE
de MYOCARDITES !"
dit le Dr Denis AGRET
https://gloria.tv/post/DLS2vDBRnWa42hPC2ayUCmuNV
Le Dr Denis Agret alerte sur les milliers d'effets indésirables constatés à la suite de la politique de vaccination de masse. Le docteur Agret a été condamné à six mois de prison avec sursis.
Il insiste et nous dit : "IL FAUT ACTIVER LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION."
Il insiste et nous dit : "IL FAUT ACTIVER LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION."
(Source : https://nouveau-monde.ca/dr-denis-agret-le-vaccin-anti-covid-a-provoque-une-quantite-astronomique-de-myocardites/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
880- Selon une ENQUÊTE des CDC,
55 % des BÉBÉS et des JEUNES ENFANTS
ont eu une “RÉACTION SYSTÉMIQUE”
après AVOIR REÇU le "VACCIN" COVID.
55 % des BÉBÉS et des JEUNES ENFANTS
ont eu une “RÉACTION SYSTÉMIQUE”
après AVOIR REÇU le "VACCIN" COVID.
Plus de 55 % des enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont eu une “réaction systémique” après leur première dose des vaccins Pfizer-BioNTech ou ModernaCOVID-19, selon des données publiées le 1er septembre par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
De plus, près de 60 % d’entre eux ont eu une réaction à la deuxième dose du vaccin Moderna, selon l’enquête des CDC portant sur plus de 13 000 enfants.
Une réaction systémique est une réponse qui va au-delà du site d’injection.
Si les réactions systémiques les plus courantes étaient la fatigue, la fièvre, l’irritabilité et les pleurs, les parents de plus de 6 % des enfants participant à l’étude ont déclaré que leur enfant était incapable d’effectuer des activités normales après la deuxième dose du vaccin Pfizer-BioNTech ou Moderna.
Les CDC ont recueilli les données par le biais d’un programme appelé V-Safe – un système de surveillance qui fonctionne grâce à une application que les parents téléchargent sur leur téléphone.
Entre le 18 juin et le 21 août, les parents de plus de 10 000 jeunes enfants ont signalé des réactions aux CDC par le biais de V-Safe dans les sept jours suivant la vaccination COVID-19 de leur enfant.
Les parents de 8 338 enfants âgés de 6 mois à 2 ans qui ont reçu le vaccin Moderna ont communiqué des informations par le biais de V-Safe. 55,7 % d’entre eux ont signalé une réaction systémique après la première dose et environ 58 % après la deuxième dose.
Pour le vaccin Pfizer, les parents de 4 749 enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont soumis des rapports montrant que 55,8 % d’entre eux ont eu une réaction systémique après la première dose et environ 47 % après la deuxième dose du vaccin.
Les réactions les plus fréquemment rapportées chez les enfants de 6 mois à 2 ans étaient l’irritabilité ou les pleurs, la somnolence et la fièvre. Les réactions les plus fréquentes chez les enfants âgés de 3 à 5 ans étaient la douleur au point d’injection, la fatigue et la fièvre.
Effets sur la santé
Les données ont également révélé une catégorie de réaction plus grave, intitulée “tout impact sur la santé”.
Environ 10% de tous les enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont été signalés commeayant un “impact sur la santé” après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna ou Pfizer.
Pour le vaccin Moderna, un peu plus d’enfants ont eu un impact sur la santé après la deuxième dose ; pour le vaccin Pfizer, c’est un peu moins.
Ces informations ont été présentées au Comité consultatif sur les pratiques de vaccination des CDC le 1er septembre dans le cadre d’un aperçu de toutes les données relatives à la sécurité des vaccins COVID-19.
En plus de V-Safe, des données ont été présentées, résumant les rapports du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) et du Vaccine Safety Data Link(VSD), qui comprend les données de plusieurs grandes organisations de maintien de la santé aux États-Unis.
Ces trois systèmes examinent la sécurité des vaccins après leur mise sur le marché et leur administration à un grand nombre de personnes.
Tom Shimabukuro, le chef de l’équipe de sécurité des vaccins du CDC, a dirigé la présentation et a déclaré aux membres du comité qu’aucun “signal statistique” de réactions au vaccin COVID-19 n’a été trouvé pour les jeunes enfants dans les données VSD.
M. Shimabukuro a également déclaré que des réactions systémiques étaient “couramment signalées” après l’administration de vaccins.
outefois, d’autres professionnels de la santé, comme le Dr Meryl Nass de Children’s Health Defense, ont exprimé leur prudence à l’égard des réactions signalées, soulignant le nombre élevé de rapports de réactions systémiques chez les très jeunes enfants.
Elle a déclaré à The Epoch Times le 2 septembre qu’elle se demandait pourquoi le gouvernement ne recueillait pas et ne présentait pas davantage d’informations sur ces cas.
“Le CDC ne considère pas ces éléments comme très importants… On suppose que tous ces effets secondaires disparaissent au bout de quelques jours et que les gens se portent parfaitement bien”, a-t-elle déclaré, en mentionnant les fièvres et la fatigue.
“Ces réactions peuvent, en fait, être des signes avant-coureurs de réactions plus graves, mais personne, à ma connaissance, n’a publié quoi que ce soit pour savoir si ces réactions aiguës locales ou systémiques sont des indicateurs d’un problème ultérieur.”
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La FDA a approuvé le 17 juin l’autorisation d’utilisation en urgence des vaccins COVID-19 pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans.
Selon les CDC, environ 599 460 enfants de ce groupe d’âge ont reçu le vaccin Pfizer-BioNTech, et environ 440 770 ont reçu le vaccin Moderna.
Du 18 juin au 31 août, environ 1 million de doses des vaccins Moderna et Pfizer ont été administrées à des enfants de cette tranche d’âge.
En examinant les données du VAERS sur les jeunes enfants entre le 18 juin et le 31 août, le CDC a reçu 496 rapports d’événements indésirables pour des enfants âgés de 6 mois à 4 ans ayant reçu le vaccin Pfizer et 521 pour des enfants âgés de 6 mois à 5 ans ayant reçu le vaccin Moderna, un événement indésirable étant défini comme un effet secondaire possible.
Plus de 98 % des rapports concernaient ce que le CDC considère comme des événements sans gravité.
Il y a 220 rapports indiquant que des personnes âgées de 5 mois à 5 ans ont été amenées aux urgences après avoir été vaccinées avec le COVID-19.
Dans un cas impliquant un garçon de 2 ans en Arizona, le rapport VAERS indique qu’il a reçu le vaccin Pfizer le 29 juillet et que le 30 juillet, il a eu un “épisode mettant sa vie en danger”.
Le rapport énumère ses symptômes comme étant “une peau moite et des vomissements (durant 8 minutes) conduisant à des difficultés respiratoires”. Le garçon est devenu bleu, il était mou, ne réagissait plus et a cessé de respirer pendant deux minutes, selon le rapport.
Il a été réanimé après des compressions thoraciques.
Margaret Menge
Reproduit avec la permission de The Epoch Times.
(Source : https://www.mondialisation.ca/selon-une-enquete-des-cdc-55-des-bebes-et-des-jeunes-enfants-ont-eu-une-reaction-systemique-apres-avoir-recu-le-vaccin-covid/5671194 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
882- ROYAUME-UNI :
le "VACCIN" ANTI-COVID
est FINALEMENT DÉCONSEILLÉ
aux FEMMES ENCEINTES
le "VACCIN" ANTI-COVID
est FINALEMENT DÉCONSEILLÉ
aux FEMMES ENCEINTES
C’est tombé là-aussi comme pour le traitement à l’ivermectine contre le covid dans une discrétion médiatique des plus coupables : le Royaume-Uni déconseille la vaccination aux femmes enceintes ou allaitantes.
La recommandation, qui donne raison aux « complotistes » et aux sceptiques sur les sérums géniques à ARNm de Pfizer, Moderna ou Astrazeneca, émane du ministère anglais de la Santé et date du 16 août.
Dans le rapport sur les vaccins Pfizer et BioNtech publié sur le site du gouvernement de Sa Majesté, au point 3.4 dédié à la Toxicologie, on lit :
« Dans le cadre des dispositions du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de rassurer suffisamment sur la sécurité de l’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : cependant, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient avisés d’exclure une grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées ».
Ce sont des indications frappantes, surtout si l’on considère qu’elles arrivent bien après la massive campagne de vaccination qui en Angleterre a eu une couverture de 79,94% de la population avec 53 785 024 citoyens qui ont reçu la première dose. Campagne dans laquelle il n’y avait pas de contre-indications à la vaccination des femmes enceintes.
Le rapport ne dit pas si le changement de cap est dû à des rapports d’effets indésirables sur les femmes enceintes, mais il est toujours révélateur de quelque chose qui s’est passé. Si la vaccination n’est plus recommandée, que s’est-il passé entre-temps ? Et quels pourraient être les risques ? Ce sont des questions légitimes qu’il est juste de se poser mais auxquelles le ministère de la Santé britannique ne donne pas de réponse… pour l’instant. On peut toutefois hypothéquer que les nombreux effets secondaires allant jusqu’aux fausses couches et aux morts de nourrissons et largement répertoriés sur les sites de médecins abusivement qualifiés de « complotistes » parce qu’ils remettaient en cause le bienfondé de ces inoculations toujours en phase expérimentale et mises sur le marché sans assez de recul, sont à l’origine de cette tardive contre-indication concernant les femmes enceintes et allaitantes.
En France et en Italie, la vaccination anti-covid chez les femmes enceintes et allaitantes est encore un dogme !
Le 16 août dernier, le gouvernement britannique a recommandé aux femmes enceintes et allaitantes de ne pas recevoir le vaccin contre le Covid-19, admettant que « des garanties suffisantes quant à l’utilisation sûre du vaccin ne peuvent être fournies à l’heure actuelle ».
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé « Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech« , mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section « Conclusions sur la toxicité » du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes :
Cependant, les raisons invoquées dans le rapport sur l’absence des données cliniques sont loin d’être la seule cause. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l’utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l’allaitement. Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.
Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s’est pas caché qu’il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins est non connu chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.
Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).
On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées à cette époque. Il est vrai que la FDA avait donné l’autorisation pour toutes les personnes de plus de 16 ans et que les personnes à risque ont été vaccinées en priorité, ce qui sous-entendait les femmes enceintes.
Si elles ont été exclues des essais initiaux de Pfizer et Moderna pour les raisons évoquées ci-dessus, l’étude du 17 juin 2021 remaniée et publiée le 8 septembre 2021 dans le New England Journal of Medecine révèle que les cliniciens se seraient appuyés sur les données de Moderna sur le développement et la reproduction chez l’animal, qui n’ont montré aucun problème de sécurité. Les résultats sur les animaux sont-ils toujours transférables à l’homme ? Non, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, lorsque les résultats sur les animaux démontrent que le risque est faible, la substance peut être étudiée également chez l’homme, dans les essais cliniques. Par conséquent, en l’absence de données de sécurité chez l’homme, et malgré les risques que le Covid représente pour les femmes enceintes, il est étonnant de lire dans cette même étude qu’il « n’y a aucune raison biologique plausible pour que la technologie ARNm soit nocive pendant la grossesse ». En effet, on est en droit de se demander sur quelle base scientifique les chercheurs se sont appuyés pour écrire cela alors que tant de médicaments connus et approuvés depuis longtemps sont interdits ou déconseillés pendant la gestation.
La même interrogation subsiste pour les médecins, les cliniciens lorsque certains d’entre eux ont conseillé le vaccin aux femmes enceintes. Comment ont-ils pu mettre en balance les risques documentés d’infection par le Covid-19 et les risques de sécurité inconnus de la vaccination, et ce, afin « d’éclairer » leurs patientes ?
Si dans la première étude parue dans le New England Journal of Medecine, les auteurs affirmaient qu’il n’y avait pas lieu de s’alerter sur la vaccination des femmes enceintes et que le vaccin ARN messager était sûr, ils étaient par la suite revenus sur certaines des affirmations contenues dans l’étude initiale pour apporter quelques corrections dans l’étude remaniée.
Cette seconde étude se concluait sur la nécessité d’inclure les femmes enceintes dans les essais cliniques. Une remarque qui arrivait cependant, tardivement, alors qu’il existait déjà à cette époque de forts soupçons d’événements indésirables graves sur lesquels il aurait fallu faire toute la lumière pour établir si oui ou non, il existe un lien de causalité avec la vaccination.
Encore aujourd’hui, beaucoup d’inconnues subsistent, et ce, pour la simple raison qu’il n’y a à ce jour aucun résultat d’essai clinique sur les femmes enceintes ou allaitantes terminé, comme l’explique la biostatisticienne Christine Cotton.
Fallait-il réaliser des essais cliniques sur les femmes enceintes avant le début de la vaccination en population générale ? Le débat est difficile à trancher. Les tests peuvent mettre en danger la santé du fœtus, mais le déficit d’information peut aussi être dommageable pour la mère et l’enfant. Et, commencer des essais cliniques plusieurs mois après avoir commencé à vacciner en population générale paraît dénué de toute logique.
La recommandation, qui donne raison aux « complotistes » et aux sceptiques sur les sérums géniques à ARNm de Pfizer, Moderna ou Astrazeneca, émane du ministère anglais de la Santé et date du 16 août.
Dans le rapport sur les vaccins Pfizer et BioNtech publié sur le site du gouvernement de Sa Majesté, au point 3.4 dédié à la Toxicologie, on lit :
« Dans le cadre des dispositions du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de rassurer suffisamment sur la sécurité de l’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : cependant, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient avisés d’exclure une grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées ».
Ce sont des indications frappantes, surtout si l’on considère qu’elles arrivent bien après la massive campagne de vaccination qui en Angleterre a eu une couverture de 79,94% de la population avec 53 785 024 citoyens qui ont reçu la première dose. Campagne dans laquelle il n’y avait pas de contre-indications à la vaccination des femmes enceintes.
Le rapport ne dit pas si le changement de cap est dû à des rapports d’effets indésirables sur les femmes enceintes, mais il est toujours révélateur de quelque chose qui s’est passé. Si la vaccination n’est plus recommandée, que s’est-il passé entre-temps ? Et quels pourraient être les risques ? Ce sont des questions légitimes qu’il est juste de se poser mais auxquelles le ministère de la Santé britannique ne donne pas de réponse… pour l’instant. On peut toutefois hypothéquer que les nombreux effets secondaires allant jusqu’aux fausses couches et aux morts de nourrissons et largement répertoriés sur les sites de médecins abusivement qualifiés de « complotistes » parce qu’ils remettaient en cause le bienfondé de ces inoculations toujours en phase expérimentale et mises sur le marché sans assez de recul, sont à l’origine de cette tardive contre-indication concernant les femmes enceintes et allaitantes.
En France et en Italie, la vaccination anti-covid chez les femmes enceintes et allaitantes est encore un dogme !
Le 16 août dernier, le gouvernement britannique a recommandé aux femmes enceintes et allaitantes de ne pas recevoir le vaccin contre le Covid-19, admettant que « des garanties suffisantes quant à l’utilisation sûre du vaccin ne peuvent être fournies à l’heure actuelle ».
Que dit le rapport anglais ?
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé « Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech« , mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section « Conclusions sur la toxicité » du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes :
« Dans le contexte de l’approvisionnement en vertu du règlement 174, on considère qu’il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : toutefois, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de la santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne devraient pas non plus être vaccinées. Ces jugements reflètent l’absence de données à l’heure actuelle et ne reflètent pas un constat spécifique préoccupant. Des conseils adéquats concernant les femmes en âge de procréer, les femmes enceintes et les femmes qui allaitent ont été fournis à la fois dans les informations destinées aux professionnels de santé britanniques et dans les informations réservées aux destinataires. […] L’absence de données sur la toxicité pour la reproduction reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre à un besoin sanitaire urgent. En principe, une décision sur l’homologation d’un vaccin pourrait être prise dans ces circonstances sans données provenant d’études de toxicité pour la reproduction chez les animaux, mais des études sont en cours et elles seront fournies lorsqu’elles seront disponibles ».
L’absence de données cliniques pour la reproduction
Cependant, les raisons invoquées dans le rapport sur l’absence des données cliniques sont loin d’être la seule cause. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l’utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l’allaitement. Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.
Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s’est pas caché qu’il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins est non connu chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.
Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).
On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées à cette époque. Il est vrai que la FDA avait donné l’autorisation pour toutes les personnes de plus de 16 ans et que les personnes à risque ont été vaccinées en priorité, ce qui sous-entendait les femmes enceintes.
Si elles ont été exclues des essais initiaux de Pfizer et Moderna pour les raisons évoquées ci-dessus, l’étude du 17 juin 2021 remaniée et publiée le 8 septembre 2021 dans le New England Journal of Medecine révèle que les cliniciens se seraient appuyés sur les données de Moderna sur le développement et la reproduction chez l’animal, qui n’ont montré aucun problème de sécurité. Les résultats sur les animaux sont-ils toujours transférables à l’homme ? Non, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, lorsque les résultats sur les animaux démontrent que le risque est faible, la substance peut être étudiée également chez l’homme, dans les essais cliniques. Par conséquent, en l’absence de données de sécurité chez l’homme, et malgré les risques que le Covid représente pour les femmes enceintes, il est étonnant de lire dans cette même étude qu’il « n’y a aucune raison biologique plausible pour que la technologie ARNm soit nocive pendant la grossesse ». En effet, on est en droit de se demander sur quelle base scientifique les chercheurs se sont appuyés pour écrire cela alors que tant de médicaments connus et approuvés depuis longtemps sont interdits ou déconseillés pendant la gestation.
La même interrogation subsiste pour les médecins, les cliniciens lorsque certains d’entre eux ont conseillé le vaccin aux femmes enceintes. Comment ont-ils pu mettre en balance les risques documentés d’infection par le Covid-19 et les risques de sécurité inconnus de la vaccination, et ce, afin « d’éclairer » leurs patientes ?
Si dans la première étude parue dans le New England Journal of Medecine, les auteurs affirmaient qu’il n’y avait pas lieu de s’alerter sur la vaccination des femmes enceintes et que le vaccin ARN messager était sûr, ils étaient par la suite revenus sur certaines des affirmations contenues dans l’étude initiale pour apporter quelques corrections dans l’étude remaniée.
Cette seconde étude se concluait sur la nécessité d’inclure les femmes enceintes dans les essais cliniques. Une remarque qui arrivait cependant, tardivement, alors qu’il existait déjà à cette époque de forts soupçons d’événements indésirables graves sur lesquels il aurait fallu faire toute la lumière pour établir si oui ou non, il existe un lien de causalité avec la vaccination.
Encore aujourd’hui, beaucoup d’inconnues subsistent, et ce, pour la simple raison qu’il n’y a à ce jour aucun résultat d’essai clinique sur les femmes enceintes ou allaitantes terminé, comme l’explique la biostatisticienne Christine Cotton.
Fallait-il réaliser des essais cliniques sur les femmes enceintes avant le début de la vaccination en population générale ? Le débat est difficile à trancher. Les tests peuvent mettre en danger la santé du fœtus, mais le déficit d’information peut aussi être dommageable pour la mère et l’enfant. Et, commencer des essais cliniques plusieurs mois après avoir commencé à vacciner en population générale paraît dénué de toute logique.
(Sources : https://nouveau-monde.ca/royaume-uni-le-vaccin-anti-covid-est-finalement-deconseille-aux-femmes-enceintes/
& https://www.medias-presse.info/le-royaume-uni-met-fin-a-la-vaccination-covid-pour-les-femmes-enceintes-et-allaitantes/162248/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
884- La FACE CACHÉE
de la CAMPAGNE de "VACCINATION"-COVID
par Maître NONOBSTANT,
avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19
de la CAMPAGNE de "VACCINATION"-COVID
par Maître NONOBSTANT,
avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19
Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream.
Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité.
Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.
Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité.
Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.
(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)
(à télécharger ici : https://gloria.tv/post/qKCwbSeEESJE4GpsRq42s9wrL/request/download
ou là : https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2022/09/Covid-19-La-face-cachee-de-la-campagne-de-vaccination-cas-des-vaccins-a-ARN-ADN.v2.pdf )
(Source : https://nouveau-monde.ca/la-face-cachee-de-la-campagne-de-vaccination-cas-des-vaccins-a-arnm-et-adn/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
886- Patrick SÉBASTIEN
ACCUSE les "VACCINS" ANTI-COVID
d’EFFETS INDÉSIRABLES
ACCUSE les "VACCINS" ANTI-COVID
d’EFFETS INDÉSIRABLES
https://gloria.tv/post/pxSmbSkZ2TLn3GFnqpFTpzk9H
« Je ne suis pas complotiste mais je regarde. Avant le vaccin, je n’avais rien. Et après, je me suis retrouvé avec un prédiabète, une prostatite. Autour de moi, c’est pareil, beaucoup de gens se sont retrouvés avec une pathologie ».
(Source : https://reseauinternational.net/patrick-sebastien-accuse-les-vaccins-anti-covid-deffets-indesirables/ )
887- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 3686 à 3694
https://catholique.forumactif.com/t988p180-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-5#15164
https://catholique.forumactif.com/t988p180-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-5#15164
888- APRÈS 1 ANS de la PIQUOUSE...
https://gloria.tv/post/6zadaem1tfwy3PPSFaRp26H4d
https://gloria.tv/post/6zadaem1tfwy3PPSFaRp26H4d
"Voilà l'état dans lequel se trouve Lucy qui souffre de graves troubles neurologiques depuis sa vaccination il y a plus d'1 an.
Merci aux Dr et aux Agences de Santé qui laissent dépérir ces gens."
Merci aux Dr et aux Agences de Santé qui laissent dépérir ces gens."
(Christine Cotton : https://twitter.com/chriscottonstat/status/1573687364697968642 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
890- Fox News DÉNONCE
les CHIFFRES INCROYABLES de MYOCARDITES
chez les ENFANTS
après le "VACCIN" COVID-19
les CHIFFRES INCROYABLES de MYOCARDITES
chez les ENFANTS
après le "VACCIN" COVID-19
https://gloria.tv/post/yDd18i69gDEK2NA4ykGBkJDxa
Les chiffres sont extrêmement inquiétants. Bien qu’ils soient connus sur internet, ils arrivent au compte-goutte sur les médias mainstreams. Mais l’ampleur des effets secondaires est telle, qu’il est impossible de cacher cette réalité. Ainsi, sur la chaîne d’information la plus regardée des États-Unis, Fox News, l’animateur Tucker Carlson relate (voir vidéo ci-dessous) une étude de The Lancet. Les chiffres font froid dans le dos.
Selon la revue scientifique, 26 % des jeunes de 12 à 29 ans qui ont souffert de myocardite (un dommage au niveau du cœur) après la vaccination covid-19 avaient encore besoin d’un traitement médicamenteux tous les jours. Et 90 jours après cette myocardite, 20% ont des problèmes dans les activités de tous les jours, 30 % souffrent de douleurs. Tucker Carlson se pose la question : « Comment vont-ils arriver à l’âge de 60 ans ? » Loin d’ignorer cette problématique majeure, l’hôpital presbytérien de New York avertit les enfants dans un spot publicitaire surréaliste qui tente de faire passer la myocardite pour un phénomène normal. Présent sur le plateau, le Dr Mady Makary, professeur à John-Hopkins, avait alerté depuis des mois le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) de ces risques :
« Ils ont minimisé le taux de complication et surévalué le nombre d’hospitalisations covid chez les jeunes… la tragédie est que nous aurions pu éviter à ces enfants ces myocardites. Ils ont joué avec le feu et savaient ce à quoi ils faisaient face. »
En Europe, la vaccination des 12 à 17 ans a été autorisée à partir du 15 juin 2021 et depuis le 22 décembre 2021 pour les 5 à 11 ans. La base de données Euromomo fait apparaître une surmortalité des 0-14 ans (toutes causes confondues). On peut constater un pic à partir du 15 juin 2021 et un autre six mois plus tard (ce qui correspondrait à la date de la dose de rappel).
Selon la revue scientifique, 26 % des jeunes de 12 à 29 ans qui ont souffert de myocardite (un dommage au niveau du cœur) après la vaccination covid-19 avaient encore besoin d’un traitement médicamenteux tous les jours. Et 90 jours après cette myocardite, 20% ont des problèmes dans les activités de tous les jours, 30 % souffrent de douleurs. Tucker Carlson se pose la question : « Comment vont-ils arriver à l’âge de 60 ans ? » Loin d’ignorer cette problématique majeure, l’hôpital presbytérien de New York avertit les enfants dans un spot publicitaire surréaliste qui tente de faire passer la myocardite pour un phénomène normal. Présent sur le plateau, le Dr Mady Makary, professeur à John-Hopkins, avait alerté depuis des mois le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) de ces risques :
« Ils ont minimisé le taux de complication et surévalué le nombre d’hospitalisations covid chez les jeunes… la tragédie est que nous aurions pu éviter à ces enfants ces myocardites. Ils ont joué avec le feu et savaient ce à quoi ils faisaient face. »
En Europe, la vaccination des 12 à 17 ans a été autorisée à partir du 15 juin 2021 et depuis le 22 décembre 2021 pour les 5 à 11 ans. La base de données Euromomo fait apparaître une surmortalité des 0-14 ans (toutes causes confondues). On peut constater un pic à partir du 15 juin 2021 et un autre six mois plus tard (ce qui correspondrait à la date de la dose de rappel).
(Source : https://nouveau-monde.ca/la-chaine-dinformation-fox-news-denonce-les-chiffres-incroyables-de-myocardites-chez-les-enfants-apres-le-vaccin-covid-19/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
892- QUI ? TOUS !
Le 21 septembre 2022, un médecin a posé une simple question au public du cinéma Rex, à Vevey, en Suisse romande : « Qui connaît une personne dans son entourage qui a fait un effet secondaire à la suite d'un "vaccin" Covid ? »
https://gloria.tv/post/4jzAbVXoHnpzC6J8cU7PYgmuG
(Source : https://twitter.com/erikloridan/status/1574749963942129665 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
894- SURMORTALITÉ MASSIVE
DANS LES PAYS
QUI ONT LE PLUS INJECTÉS DE DOSES DE RAPPEL
par Patrice Gibertie
DANS LES PAYS
QUI ONT LE PLUS INJECTÉS DE DOSES DE RAPPEL
par Patrice Gibertie
Face à une évidente surmortalité à partir de l’été 2021 la question de l’efficacité et de la dangerosité des injections se pose sérieusement mais Big Pharma entend interdire le débat et pourtant :
Le covid long n’est pas responsable de la surmortalité dans les pays qui n’avait pas connu la covid avant de vacciner, des pays sans covid ont vu la surmortalité exploser après la troisième dose
La canicule n’est pas responsable: surmortalité record en Norvège et Islande , et partout la surmortalité commence à l’automne 2021
https://pgibertie.com/2022/09/19/en-islande-une-surmortalite-explosive-en-juillet-et-pas-de-canicule/
La troisième puis la 4eme doses semblent bien les doses de trop qui distinguent les pays entre eux.
Les décès excessifs, toutes causes confondues, continuent de croître fortement dans la plupart des cas. Et les surmortalités non Covid aussi (attention à l’écart entre les surmortalités et les courbes Covid).
L’important excès de décès non Covid en 2022 ne correspond pas au récit selon lequel il est dû aux séquelles d’infections Covid précédentes. Parce qu’il se produit également dans des pays où il n’y a pas eu de cas/décès significatifs de Covid et aucun décès en excès jusqu’à la fin de 2021 ou même 2022.
DANS LES PAYS OUBLIÉS PAR LA COVID EN 2020 ET 2021 LA SURMORTALITÉ N'APPARAIT QU’APRÈS LA TROISIÈME DOSE DE L’AUTOMNE 2021
Dans ces pays pas de covid long avant la 3eme dose, il n’y avait pas eu de covid jusque là
Mais pourquoi se sont ils fait injecter, pas de Covid en 2020 , peu en 2021. On ne parlera pas de covid long dans ces cas. Regardez ci dessous: enCoree du sud la troisième dose coincide à l’explosion de la mortalité covid et non covid: 50 000 décès inattendus , idem à Singapour ou en Norvège
Une hypothèse est que le vaccin exacerbe une maladie sous-jacente ou dormante.
ALORS CHERS JOURNALISTES TELETOUBIBS. C’est quoi ? Les injections ou les cacahuètes ? Allez un effort… C’EST POUTINE !
DANS LES PAYS LOURDEMENT TOUCHÉS DES 2020 la surmortalité covid apparait LA VACCINATION N A EU AUCUN EFFET SUR LES FORMES GRAVES DE LA COVID
Dans certains pays comme l’Allemagne, il n’y a pas d’écart significatif entre les surmortalités cumulées toutes causes confondues et les décès dus au Covid. Dans d’autres pays comme la France, il n’y a pas de décès supplémentaires dus à des causes autres que la COVID. Mais dans aucun des deux cas les deux courbes ne s’aplatissent : elles continuent de croître.
A DÉFAUT DE PROUVER LA DANGEROSITÉ DES INJECTIONS LES COURBES TÉMOIGNENT DE LEUR TOTALE INEFFICACITÉ SUR LES FORMES GRAVES
ATTENTION A PARTIR DE L’ÉTÉ 2022 LA SURMORTALITÉ NON COVID explose brutalement dans ces pays
https://pgibertie.com/2022/09/08/la-pfizerite-poursuit-elle-ses-ravages-multiplication-de-syndromes-rarissimes-israel-surmortalite-des-bebes/
https://pgibertie.com/2022/09/08/la-pfizerite-poursuit-elle-ses-ravages-multiplication-de-syndromes-rarissimes-israel-surmortalite-des-bebes/
L’Europe subit une horrible augmentation de 755 % des décès excessifs chez les enfants depuis que l’EMA a approuvé le vaccin COVID pour enfants..ALERTE ALERTE ALERTE ……
CLIQUEZ SUR LE LIEN CI DESSOUS :
L’Europe subit une horrible augmentation de 755 % des décès excessifs chez les enfants depuis que l’EMA a approuvé le vaccin COVID pour enfants..ALERTE ALERTE ALERTE ……
LA SURMORTALITÉ EST PLUS ÉLEVÉE DANS LES PAYS LES PLUS BOOSTES COMME SI LA TROISIÈME DOSE ÉTAIT LE DÉCLENCHEUR
Nous ne parlons que de la surmortalité en général , donc toutes causes
Sur ces 2 graphes visualisant la surmortalité toutes causes par semestre, la flêche orange indique le début de la vaccination. L’un de ces deux pays a sa population de plus de 60 ans vaccinée à 38% (boostée à 23%), l’autre à 97% (boostée à 92%). Saurez-vous les reconnaître ? @felicittina
Nous ne parlons que de la surmortalité en général , donc toutes causes
Sur ces 2 graphes visualisant la surmortalité toutes causes par semestre, la flêche orange indique le début de la vaccination. L’un de ces deux pays a sa population de plus de 60 ans vaccinée à 38% (boostée à 23%), l’autre à 97% (boostée à 92%). Saurez-vous les reconnaître ? @felicittina
La désinformation intentionnelle a semé la panique. La panique a conduit à des blocages. Les blocages ont entraîné des mesures de relance budgétaire et des goulots d’étranglement de l’offre. Les mesures de relance et les goulots d’étranglement ont conduit à l’inflation. L’inflation a entraîné un resserrement monétaire. Le resserrement conduit à la récession.
(Source : https://pgibertie.com/2022/09/28/surmortalite-massive-dans-les-pays-qui-ont-le-plus-injectes-de-doses-de-rappel-les-covids-courts-et-longs-la-canicule-innocentes-cest-quoi-peut-etre-poutine/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
896- OUI, des FEMMES sont DEVENUES STÉRILES
après leur « VACCINATION » contre le COVID !
après leur « VACCINATION » contre le COVID !
https://gloria.tv/post/L42BX9iJdgDB3UN8oh9PaxtAN
Entretien avec Mélodie, la fondatrice du collectif « Où est mon cycle ? », qui s'alarme des nombreux témoignages accumulés depuis le lancement de la politique de vaccination COVID.
Pour demander une Audition Publique Européennes sur les troubles du cycle cliquez ici : "Où est mon cycle ?" | Twitter, Instagram, YouTube | Linktree
Pour demander une Audition Publique Européennes sur les troubles du cycle cliquez ici : "Où est mon cycle ?" | Twitter, Instagram, YouTube | Linktree
(Source : https://www.medias-presse.info/oui-des-femmes-sont-devenues-steriles-apres-leur-vaccination-contre-le-covid/163492/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
898- « BEAUCOUP de FEMMES
sont dans une SOUFFRANCE TERRIBLE » :
Mélodie FÉRON, FONDATRICE d’Où est mon cycle,
PRÉSENTE son OUVRAGE
sont dans une SOUFFRANCE TERRIBLE » :
Mélodie FÉRON, FONDATRICE d’Où est mon cycle,
PRÉSENTE son OUVRAGE
https://gloria.tv/post/YxGmqW46TxDm2JT61GZ7qYour
Elles sont des milliers à rapporter des effets secondaires sur leur cycle menstruel post-vaccination contre le Covid-19. Face au mur du silence médiatique, ces témoignages, Mélodie Féron, les a initialement recensés sur une page Instagram, une initiative qui prendra ensuite la forme d'un collectif : « Où est mon cycle ? ». De fil en aiguille, ce sujet majeur prendre de l'ampleur : l'omerta brisée, le collectif parviendra à porter la voix de ces femmes jusqu'au Sénat. Ébéniste de formation, Mélodie Féron vient de publier son premier ouvrage « Où est mon cycle ? Et toi, où est le tien ? », dans lequel elle raconte son combat et la souffrance de ces femmes privées de leur souveraineté corporelle. Ce livre est « un devoir de mémoire » pour la fondatrice du collectif, que nous recevons sur notre plateau pour un "Entretien essentiel".
(Source : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/melodie-feron-ou-est-mon-cycle-presente-son-ouvrage )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
900- "VACCINS" ANTI-COVID :
la VÉRITÉ AVANCE PEU à PEU…
la VÉRITÉ AVANCE PEU à PEU…
La vaccination peut provoquer une perturbation du cycle menstruel, confirme une récente étude britannique reprise par TF1. Ce que Jean-Marc Sabatier ne cesse de répéter, sur le site https://infodujour.fr/
Jean-Marc Sabatier (Dr)
Une étude du British Medical Journal (BMJ) reprise par TF1 le 30 septembre 2022 confirme une information donnée par Jean-Marc Sabatier* le 23 décembre 2021 sous le titre : « Vaccins : les effets indésirables chez les femmes. » À l’époque, cette info a été vivement contestée par les médias traditionnels et les fact-checking bidon, mais aussi par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) et enfin par les ‘’experts’’ auto-proclamés et grassement rémunérés de la télévision.
Neuf mois plus tard, il faut bien se rendre à l’évidence. Les vaccins anti-Covid ont bel et bien des effets secondaires, parfois graves, comme l’affirment depuis le début de la pandémie des médecins et des chercheurs auxquels la grande presse refuse de donner publiquement la parole. Pour protéger des intérêts financiers ? Par ignorance ? Pour complaire à des lobbies ? Sans doute un peu de tout cela sans doute.
Un lien direct
En effet, les vaccins anti-Covid ne sont pas sans effet sur les organes sexuels et la sexualité, comme l’a démontré, Jean-Marc Sabatier. « Les femmes possèdent un SRA ovarien (appelé OVRAS) qui joue un rôle clef dans la physiologie des ovaires, et les maladies ovariennes associées. Le SRA ovarien a des effets majeurs sur le développement/atrésie des follicules, sur l’ovulation et la sécrétion d’hormones stéroïdiennes ; le SRA est ainsi nécessaire à une reproduction normale. En effet, les acteurs de ce SRA se retrouvent dans le follicule ovarien, les cellules pré-ovulatoires de la thèque et de la granulosa, ainsi que dans les cellules post-ovulatoires de la granulosa-lutéine. Il est également impliqué dans la régulation de la stéroïdogenèse (synthèse des hormones stéroïdiennes, dont les hormones œstrogènes féminines). »
Troubles menstruels
Le dysfonctionnement du SRA ovarien potentiellement induit par le SARS-CoV-2 peut donc affecter la maturation et l’ovulation des ovocytes (altération du cycle menstruel), et conduire à des dérèglements ou pathologies telles que l’infertilité, le cancer des ovaires, le syndrome des ovaires polykystiques, etc. La présence d’anticorps auto-immuns dirigés contre le récepteur AT1R peut se traduire par une infertilité.
Chez la femme, on peut ainsi observer (parallèlement aux autres pathologies Covid-19 potentielles) un dérèglement du cycle menstruel plus ou moins important et invalidant. La menstruation (règles) correspond à l’écoulement périodique par le vagin d’un fluide biologique constitué de sang, de sécrétions vaginales, et de cellules endométriales (paroi utérine). Les règles correspondent à l’évacuation de la couche superficielle de la muqueuse de l’utérus (endomètre) qui s’était formée au cours du cycle menstruel pour accueillir un possible œuf fécondé. En absence de fécondation, la surface de l’endomètre (qui est très vascularisée) est alors évacuée par le vagin sous forme d’un saignement. Le virus SARS-CoV-2 se fixe (via sa protéine Spike) sur le récepteur ECA2 des cellules cibles. L’endomètre et le système vasculaire sont constitués de cellules épithéliales et endothéliales qui expriment -comme les ovaires ou les testicules- le récepteur ECA2 reconnu par la protéine Spike. Ceci montre que la protéine Spike (du virus SARS-CoV-2 ou vaccinale) peut agir directement sur l’endomètre et les vaisseaux sanguins associés.
D’où les troubles de la coagulation ?
Le SARS-CoV-2 -via la protéine Spike- provoque des troubles de la coagulation sanguine, dont la thrombocytopénie (baisse du nombre de plaquettes sanguines qui aident le sang à coaguler).
Ainsi, le SARS-CoV-2 ou la protéine Spike vaccinale est directement responsable des troubles de la coagulation et menstruels parfois observés chez certaines personnes lors d’une infection virale au SARS-CoV-2 ou suite à une vaccination. En ce qui concerne les troubles menstruels liés à la vaccination, je dois mentionner l’avis contraire de l’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), qui -dans un point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19 publié le 21 décembre 2021- écrit : « A ce jour, les données disponibles ne permettent pas de déterminer le lien direct entre le vaccin et la survenue de ces troubles du cycle menstruel. Ces événements restent sous surveillance ».
En effet, plus récemment, en juillet 2022, une nouvelle étude américaine confirmait le lien direct qui existe entre vaccination et dérèglement du cycle des personnes menstruées. Cette étude, menée par Kathryn Clancy et Katharine Lee, deux chercheuses de la Washington University School of Medicine, s’appuie sur le témoignage de plus de 35.000 femmes.
Comment peut-on encore douter ?
Neuf mois plus tard, il faut bien se rendre à l’évidence. Les vaccins anti-Covid ont bel et bien des effets secondaires, parfois graves, comme l’affirment depuis le début de la pandémie des médecins et des chercheurs auxquels la grande presse refuse de donner publiquement la parole. Pour protéger des intérêts financiers ? Par ignorance ? Pour complaire à des lobbies ? Sans doute un peu de tout cela sans doute.
Un lien direct
En effet, les vaccins anti-Covid ne sont pas sans effet sur les organes sexuels et la sexualité, comme l’a démontré, Jean-Marc Sabatier. « Les femmes possèdent un SRA ovarien (appelé OVRAS) qui joue un rôle clef dans la physiologie des ovaires, et les maladies ovariennes associées. Le SRA ovarien a des effets majeurs sur le développement/atrésie des follicules, sur l’ovulation et la sécrétion d’hormones stéroïdiennes ; le SRA est ainsi nécessaire à une reproduction normale. En effet, les acteurs de ce SRA se retrouvent dans le follicule ovarien, les cellules pré-ovulatoires de la thèque et de la granulosa, ainsi que dans les cellules post-ovulatoires de la granulosa-lutéine. Il est également impliqué dans la régulation de la stéroïdogenèse (synthèse des hormones stéroïdiennes, dont les hormones œstrogènes féminines). »
Troubles menstruels
Le dysfonctionnement du SRA ovarien potentiellement induit par le SARS-CoV-2 peut donc affecter la maturation et l’ovulation des ovocytes (altération du cycle menstruel), et conduire à des dérèglements ou pathologies telles que l’infertilité, le cancer des ovaires, le syndrome des ovaires polykystiques, etc. La présence d’anticorps auto-immuns dirigés contre le récepteur AT1R peut se traduire par une infertilité.
Chez la femme, on peut ainsi observer (parallèlement aux autres pathologies Covid-19 potentielles) un dérèglement du cycle menstruel plus ou moins important et invalidant. La menstruation (règles) correspond à l’écoulement périodique par le vagin d’un fluide biologique constitué de sang, de sécrétions vaginales, et de cellules endométriales (paroi utérine). Les règles correspondent à l’évacuation de la couche superficielle de la muqueuse de l’utérus (endomètre) qui s’était formée au cours du cycle menstruel pour accueillir un possible œuf fécondé. En absence de fécondation, la surface de l’endomètre (qui est très vascularisée) est alors évacuée par le vagin sous forme d’un saignement. Le virus SARS-CoV-2 se fixe (via sa protéine Spike) sur le récepteur ECA2 des cellules cibles. L’endomètre et le système vasculaire sont constitués de cellules épithéliales et endothéliales qui expriment -comme les ovaires ou les testicules- le récepteur ECA2 reconnu par la protéine Spike. Ceci montre que la protéine Spike (du virus SARS-CoV-2 ou vaccinale) peut agir directement sur l’endomètre et les vaisseaux sanguins associés.
D’où les troubles de la coagulation ?
Le SARS-CoV-2 -via la protéine Spike- provoque des troubles de la coagulation sanguine, dont la thrombocytopénie (baisse du nombre de plaquettes sanguines qui aident le sang à coaguler).
Ainsi, le SARS-CoV-2 ou la protéine Spike vaccinale est directement responsable des troubles de la coagulation et menstruels parfois observés chez certaines personnes lors d’une infection virale au SARS-CoV-2 ou suite à une vaccination. En ce qui concerne les troubles menstruels liés à la vaccination, je dois mentionner l’avis contraire de l’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), qui -dans un point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19 publié le 21 décembre 2021- écrit : « A ce jour, les données disponibles ne permettent pas de déterminer le lien direct entre le vaccin et la survenue de ces troubles du cycle menstruel. Ces événements restent sous surveillance ».
En effet, plus récemment, en juillet 2022, une nouvelle étude américaine confirmait le lien direct qui existe entre vaccination et dérèglement du cycle des personnes menstruées. Cette étude, menée par Kathryn Clancy et Katharine Lee, deux chercheuses de la Washington University School of Medicine, s’appuie sur le témoignage de plus de 35.000 femmes.
Comment peut-on encore douter ?
(Source : https://contre-pouvoir.info/2022/10/vaccins-anti-covid-la-verite-avance-peu-a-peu/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
902- Les VACCINÉS BLUETOOTH :
EXPLICATIONS et CONSÉQUENCES PROBABLES
EXPLICATIONS et CONSÉQUENCES PROBABLES
https://gloria.tv/post/SUWUpDDqs9Yo2yLxeiiukNCrk
(Source : https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/ )
>>> Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux : https://nouveau-monde.ca/tres-important-emissions-de-rayonnements-a-energie-dirigee-de-cinquieme-generation-5g-dans-le-contexte-des-vaccins-covid-19-a-nanometaux-contamines-avec-des-antennes-en-oxyde-de-graphene-f/
& https://lesmoutonsenrages.fr/2022/10/03/emissions-de-rayonnement-a-energie-dirigee-de-cinquieme-generation-5g-dans-le-contexte-des-vaccins-covid-19-nanometalliques-contamines-avec-des-antennes-en-oxyde-de-fer-graphite%EF%BF%BC/
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
904- OXYDE de GRAPHÈNE dans les VACCINS ;
ANOMALIES SANGUINES
& NANOPARTICULES LIPIDIQUES :
ANOMALIES SANGUINES
& NANOPARTICULES LIPIDIQUES :
l'ANALYSE de Jean-Marc SABATIER
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/wX7F6TAA7EvM1irdK7QE6RqUQ/request/download )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
906- Les TÉMOIGNAGES CHOCS
de FEMMES VICTIMES d’EFFETS SECONDAIRES
à CAUSE du VACCIN
de FEMMES VICTIMES d’EFFETS SECONDAIRES
à CAUSE du VACCIN
https://gloria.tv/post/9U9r8gKcZVSC6Qud1hm3yYTRS
Avec Diane Protat, avocate et Mélodie Feron du collectif « Où est mon cycle ? », auteur de « Où est mon cycle ? — Et toi, où est le tien ? », collection résurgence.
(Source : https://nouveau-monde.ca/les-temoignages-chocs-de-femmes-victimes-deffets-secondaires-a-cause-du-vaccin/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
908- Un MÉDECIN DEMANDE une ENQUÊTE
sur la MORT SUBITE
de 32 COLLÈGUES MÉDECINS VACCINÉS
sur la MORT SUBITE
de 32 COLLÈGUES MÉDECINS VACCINÉS
Dans une lettre du 3 septembre 2022 adressée à l’Association médicale canadienne (AMC), le Docteur William Makis a demandé une enquête sur la mort de 32 jeunes médecins canadiens depuis le début de la campagne de vaccination corona.
Depuis l’introduction des vaccins Covid au Canada en décembre 2020, l’AMC a promu de manière agressive et contraire à l’éthique les vaccins expérimentaux Covid, selon Makis. L’AMC a également préconisé la vaccination illégale et non scientifique des 92 000 médecins du Canada, ajoute-t-il.
Ils ont trahi non seulement les médecins mais aussi le peuple, affirme le médecin. « C’est sans précédent ».
Makis a joint des photos et des informations sur les 32 jeunes médecins décédés subitement et de manière inattendue au cours des 16 derniers mois. Tous ces médecins étaient double, triple ou quadruple vaccinés contre le Covid.
Ces morts sont hautement suspectes, écrit-il. Un moment, les médecins étaient en bonne santé, le lendemain, ils souffraient d’une crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral, d’un accident ou contractaient soudainement une forme agressive de cancer.
Pfizer et Moderna ne sont peut-être pas légalement responsables, mais l’AMC le peut, prévient Makis.
Il demande à l’AMC d’enquêter sur les raisons pour lesquelles de jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés meurent soudainement.
« Vous ne pouvez pas rester silencieux alors que les vaccins Covid tuent potentiellement des dizaines de jeunes médecins canadiens et exposent des milliers de médecins à un risque élevé d’effets secondaires graves ou de décès.
Je vous exhorte urgemment à vous souvenir de votre éthique et de votre serment, et à utiliser votre plateforme en tant que présidents de l’AMC pour appeler publiquement à l’arrêt immédiat de tous les mandats de vaccination contre la covid-19 dans le système de santé au Canada et j’appelle à des enquêtes urgentes et des enquêtes publiques sur ce qui tue les jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés contre le covid-19 », dit le Docteur en terminant sa lettre.
Depuis l’introduction des vaccins Covid au Canada en décembre 2020, l’AMC a promu de manière agressive et contraire à l’éthique les vaccins expérimentaux Covid, selon Makis. L’AMC a également préconisé la vaccination illégale et non scientifique des 92 000 médecins du Canada, ajoute-t-il.
Ils ont trahi non seulement les médecins mais aussi le peuple, affirme le médecin. « C’est sans précédent ».
Makis a joint des photos et des informations sur les 32 jeunes médecins décédés subitement et de manière inattendue au cours des 16 derniers mois. Tous ces médecins étaient double, triple ou quadruple vaccinés contre le Covid.
Ces morts sont hautement suspectes, écrit-il. Un moment, les médecins étaient en bonne santé, le lendemain, ils souffraient d’une crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral, d’un accident ou contractaient soudainement une forme agressive de cancer.
Pfizer et Moderna ne sont peut-être pas légalement responsables, mais l’AMC le peut, prévient Makis.
Il demande à l’AMC d’enquêter sur les raisons pour lesquelles de jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés meurent soudainement.
« Vous ne pouvez pas rester silencieux alors que les vaccins Covid tuent potentiellement des dizaines de jeunes médecins canadiens et exposent des milliers de médecins à un risque élevé d’effets secondaires graves ou de décès.
Je vous exhorte urgemment à vous souvenir de votre éthique et de votre serment, et à utiliser votre plateforme en tant que présidents de l’AMC pour appeler publiquement à l’arrêt immédiat de tous les mandats de vaccination contre la covid-19 dans le système de santé au Canada et j’appelle à des enquêtes urgentes et des enquêtes publiques sur ce qui tue les jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés contre le covid-19 », dit le Docteur en terminant sa lettre.
(Source : https://reseauinternational.net/un-medecin-demande-une-enquete-sur-la-mort-subite-de-32-collegues-medecins-vaccines/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
910- Mélodie FERON,
"Où EST mon CYCLE ?"
"Où EST mon CYCLE ?"
https://gloria.tv/post/VTDUuB43LyMA24rm6BZbsD46h
De nombreuses femmes, en France et ailleurs, ont vécu des troubles du cycle menstruel après leur vaccination COVID, et personne ne semblait prendre le problème au sérieux. Alors, Mélodie Feron a décidé de "faire quelque chose"... Notre première interview.
Mélodie Feron raconte comment et pourquoi elle a fondé le collectif français "Où est mon cycle ?", où les femmes qui ont connu des problèmes (parfois très graves) avec leur cycle menstruel après avoir été vaccinées contre le covid peuvent partager leurs expériences, trouver du soutien et s'organiser.
Mélodie Feron raconte comment et pourquoi elle a fondé le collectif français "Où est mon cycle ?", où les femmes qui ont connu des problèmes (parfois très graves) avec leur cycle menstruel après avoir été vaccinées contre le covid peuvent partager leurs expériences, trouver du soutien et s'organiser.
(Source : https://twitter.com/resilientstv/status/1571529272107610112 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
912- Jean LASSALLE
a FAILLI MOURIR de la PIQUOUSE
https://gloria.tv/post/xhSq4gde1Vuv1gvA6eeEfMbXe
a FAILLI MOURIR de la PIQUOUSE
https://gloria.tv/post/xhSq4gde1Vuv1gvA6eeEfMbXe
(Source : https://twitter.com/verity_france/status/1579171453156880385 )
913- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 3803 à 3811
https://catholique.forumactif.com/t988p310-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-5#15322
https://catholique.forumactif.com/t988p310-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-5#15322
914- Alexandra HENRION-CAUDE :
« La SUSPENSION des SOIGNANTS
est une PERVERSION SADIQUE ! »
https://gloria.tv/post/oBwGzKRtpTfY3PUFGj69j32Mm
« La SUSPENSION des SOIGNANTS
est une PERVERSION SADIQUE ! »
https://gloria.tv/post/oBwGzKRtpTfY3PUFGj69j32Mm
La généticienne et spécialiste de l'ARN revient sur le premier anniversaire de la suspension des soignants à cause de la politique sanitaire menée par nos gouvernants depuis deux ans.
Elle évoque également les problèmes menstruels et auditifs causés par le vaccin.
Elle évoque également les problèmes menstruels et auditifs causés par le vaccin.
(Source : https://twitter.com/benjami77894159/status/1579513242153803776 )
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