Recueil de belles histoires - A méditer
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Changeons de stratégie
Changeons de stratégie
On raconte qu'un aveugle était assis sur un trottoir, avec un chapeau à ses pieds et un bout de carton sur lequel on pouvait lire :
"SVP, AIDEZ-MOI, JE SUIS AVEUGLE".
Un créatif dans la publicité, qui passait devant lui, s'arrêta et constata le peu de pièces qu'il avait récoltées. Sans lui demander la permission, il prit le panneau, le retourna, prit une craie et y nota une autre annonce. Il remit le carton sur les pieds de l'aveugle et s'en alla.
Dans l'après-midi, le créatif repassa devant l'aveugle et constata que son chapeau était beaucoup plus rempli.
L'aveugle reconnut ses pas et lui demanda ce qu'il avait inscrit sur son panneau. Le publicitaire lui répondit :
- Rien de plus vrai que votre annonce, mais avec d'autres mots.
Il sourit et poursuivit son chemin.
La nouvelle annonce disait :
"AUJOURD'HUI, C'EST LE PRINTEMPS ET JE NE PEUX PAS LE VOIR".
Changeons de stratégie lorsque les choses n'iront pas et nous verrons que les choses peuvent changer.
Anonyme
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
Elena de Chanteplume- Sage
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Date d'inscription : 22/09/2023
Localisation : Chez moi
Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d'un acte, d'un événement, projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement, sur l'arrivée, en attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre, de mieux, d'ailleurs...J'escalade la montagne en ne songeant qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : "Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l'arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. "Il arrive ? Il arrive ?" Et bien sûr, une fois dans le train, je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite... "Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...", "Quand les enfants seront grands", "Ah, si j'étais libre", "Quand j'aurai de l'argent", "Quand j'aurai déménagé", "Quand j'habiterai à la campagne", "Quand j'aurai le temps...", ou alors, c'est "Ah, si j'avais su...", "Avant c'était mieux !", "Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide... Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer...
(Alex, L'Âme et le Coeur)
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Chocolat chaud
Chocolat chaud
Un groupe de jeunes licenciés, ayant tous une brillante carrière, a Chocolat chaudlamentations sur le stress immense qui avait envahi leur vie et leur travail.
Le professeur ne fit aucun commentaire sur ce sujet et leur demanda s'ils désiraient prendre une tasse de chocolat chaud.
Tous se montrèrent intéressés et le professeur se dirigea vers la cuisine d'où il revient plusieurs minutes plus tard avec une grande bouilloire et une grande quantité de tasses, toutes différentes - en porcelaine fine et en terre cuite rustique, en simple verre ou en cristal, les unes d'aspect ordinaire et les autres très chères.
Il proposa seulement aux jeunes de se servir à volonté. Quand tous avaient une tasse de chocolat chaud dans la main, il leur dit :
- "Regardez comme vous avez tous cherché à choisir les tasses les plus jolies et chères en laissant les plus ordinaires et bon marché... Bien qu'il soit normal que chacun désire le meilleur pour lui-même, ceci est l'origine de vos problèmes et de votre stress. La tasse dans laquelle vous buvez n'apporte rien de plus à la qualité du chocolat chaud. Dans la plupart des cas, c'est seulement une tasse plus raffinée et certaines ne permettent même pas de voir ce que vous buvez. Ce que vous vouliez réellement c'était du chocolat chaud, pas la tasse; mais vous vous êtes dirigés inconsciemment vers les meilleures tasses...."
Tandis que tous confirmaient l'observation du professeur, plus ou moins embarrassés, celui-ci continua :
- "Considérez maintenant la chose suivante : la vie est le chocolat chaud; l'argent et la position sociale sont les tasses. Celles-ci sont seulement des moyens de contenir et de servir la vie. La tasse que chacun possède ne définit et n'altère pas la qualité de votre vie. Parfois, en se concentrant seulement sur la tasse, on finit par ne pas apprécier le chocolat chaud que Dieu nous a offert.
Les personnes les plus heureuses ne possèdent pas toujours le meilleur de tout,
elles savent seulement profiter au maximum de tout ce qu'elles ont.
Auteur inconnu
Un groupe de jeunes licenciés, ayant tous une brillante carrière, a Chocolat chaudlamentations sur le stress immense qui avait envahi leur vie et leur travail.
Le professeur ne fit aucun commentaire sur ce sujet et leur demanda s'ils désiraient prendre une tasse de chocolat chaud.
Tous se montrèrent intéressés et le professeur se dirigea vers la cuisine d'où il revient plusieurs minutes plus tard avec une grande bouilloire et une grande quantité de tasses, toutes différentes - en porcelaine fine et en terre cuite rustique, en simple verre ou en cristal, les unes d'aspect ordinaire et les autres très chères.
Il proposa seulement aux jeunes de se servir à volonté. Quand tous avaient une tasse de chocolat chaud dans la main, il leur dit :
- "Regardez comme vous avez tous cherché à choisir les tasses les plus jolies et chères en laissant les plus ordinaires et bon marché... Bien qu'il soit normal que chacun désire le meilleur pour lui-même, ceci est l'origine de vos problèmes et de votre stress. La tasse dans laquelle vous buvez n'apporte rien de plus à la qualité du chocolat chaud. Dans la plupart des cas, c'est seulement une tasse plus raffinée et certaines ne permettent même pas de voir ce que vous buvez. Ce que vous vouliez réellement c'était du chocolat chaud, pas la tasse; mais vous vous êtes dirigés inconsciemment vers les meilleures tasses...."
Tandis que tous confirmaient l'observation du professeur, plus ou moins embarrassés, celui-ci continua :
- "Considérez maintenant la chose suivante : la vie est le chocolat chaud; l'argent et la position sociale sont les tasses. Celles-ci sont seulement des moyens de contenir et de servir la vie. La tasse que chacun possède ne définit et n'altère pas la qualité de votre vie. Parfois, en se concentrant seulement sur la tasse, on finit par ne pas apprécier le chocolat chaud que Dieu nous a offert.
Les personnes les plus heureuses ne possèdent pas toujours le meilleur de tout,
elles savent seulement profiter au maximum de tout ce qu'elles ont.
Vivez en toute simplicité.
Aimez généreusement.
Aidez-vous les uns les autres avec ardeur.
Parlez avec gentillesse...
...et appréciez votre chocolat chaud."
Aimez généreusement.
Aidez-vous les uns les autres avec ardeur.
Parlez avec gentillesse...
...et appréciez votre chocolat chaud."
Auteur inconnu
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
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Elena de Chanteplume- Sage
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Je sais par elle que je suis vivant
Je sais par elle que je suis vivant
« Une léproserie... Au sens le plus navrant, le plus odieux du terme... Des hommes qui ne font rien, auxquels on ne fait rien et qui tournent en rond dans leur cour, dans leur cage... Des hommes seuls. Pis : abandonnés. Pour qui tout est déjà silence et nuit.
L'un d'eux pourtant - un seul - a gardé les yeux clairs. Il sait sourire et, lorsqu'on lui offre quelque chose, dire merci. L'un d'eux - un seul - est demeuré un homme.
La religieuse voulut connaître la cause de ce miracle. Ce qui le retenait à la vie... Elle le surveilla. Et elle vit que chaque jour, par-dessus le mur si haut, si dur, un visage apparaissait. Un petit bout de visage de femme, gros comme le poing, et qui souriait. L'homme était là, attendant de recevoir ce sourire, le pain de sa force et de son espoir... Il souriait à son tour et le visage disparaissait. Alors, il recommençait son attente jusqu'au lendemain.
Lorsque le missionnaire les surprit « C'est ma femme », dit-il simplement. Et après un silence : « Avant que je vienne ici, elle m'a soigné en cachette. Avec tout ce qu'elle a pu trouver. Un féticheur lui avait fourni une pommade. Elle m'en enduisait chaque jour la figure... sauf un petit coin. Juste assez pour y poser ses lèvres... Mais ce fut en vain. Alors on m'a ramassé. Mais elle m'a suivi. Et lorsque chaque jour je la vois, je sais par elle que je suis vivant... ».
Raoul Follereau, La seule vérité c'est d'aimer, Ed. Flammarion
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
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Elena de Chanteplume- Sage
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L´aiglon qui croyait être une poule
L´aiglon qui croyait être une poule
Plusieurs personnes possèdent au fond d’elles-mêmes un grand potentiel de réussite mais leurs pensées et leurs fausses convictions les immobilisent complètement. L’histoire qui suit en est une belle illustration.
Un jour, un œuf d’aigle est tombé d’un nid et s’est retrouvé dans un poulailler. Une poule , croyant qu’il s’agissait d’un de ses œufs la couvé jusqu’à éclosion. Quelques minutes après avoir ouvert les yeux, le jeune aiglon s’est aperçu qu’il était différent de ses frères et sœurs. La couleur de son plumage était différente. Ses ailes étaient beaucoup plus longues et son bec beaucoup plus pointu.
Notre jeune aiglon est allé voir immédiatement sa mère et lui a demandé : « Maman, maman, pourquoi suis-je différent des mes sœurs et de mes frères ? » Sa mère cherchait à lui répondre tant bien que mal : « Je ne sais pas moi, mon fils. C’est la nature qui t’a fait ainsi. Arrête de te poser des questions et va jouer avec tes sœurs et tes frères dans la cour. » Le jeune aiglon est donc allé se dandiner dans la basse-cour avec ses frères et sœurs.
À vrai dire, notre jeune aiglon ne savait pas qu’il était en réalité un aigle, il croyait tout simplement être une poule comme les autres, et ce, malgré sa constitution différente.
Un beau jour, alors qu’il mangeait ses graines dans la basse-cour avec ses frères et sœurs, notre jeune aiglon s’est étiré le cou et a aperçu dans le ciel bleu des oiseaux magnifiques et majestueux qui volaient et qui planaient à travers les nuages. Il s’agissait d’aigles royaux. Il se disait à l’intérieur de lui : « Wow ! C’est magnifique ! Moi aussi je veux voler comme ces oiseaux admirables. » Et il est resté planté là pendant plusieurs minutes à contempler ces oiseaux majestueux. Il était impressionné, pour ne pas dire subjugué.
Dès qu’il les a perdus de vue, notre jeune aiglon est accouru vers sa mère en criant : « Maman. Maman, as-tu vue ces magnifiques oiseaux ?
- Oui bien sûr, mon fils.
- Dis-moi, maman, est-ce que je pourrai moi aussi voler comme eux un jour ?
» Et sa mère lui répond avec du sarcasme dans la voix et sur un ton désobligeant : « Mais non, mon fils, tu ne voleras jamais comme ces oiseaux. Tu n’es qu’une poule et les poules ne s’élèvent pas comme ça dans les airs. Allez, arrête de te poser toutes ces questions et retourne jouer avec les autres. » Tout démoralisé, notre jeune aiglon est retourné alors avec ses frères et sœurs.
La suite de cette histoire est triste. Malheureusement, notre jeune aiglon n’est jamais sorti de sa basse-cour. Il s’est jamais envolé de sa vie. En fait, notre jeune aiglon est mort dans son poulailler ! Pourquoi ? Parce qu’il n’a jamais osé déployer ses ailes et prendre son envole. Parce qu’il a toujours cru et a toujours été convaincu toute sa vie qu’il n’était qu’une poule…
Malheureusement, plusieurs personnes agissent exactement comme notre jeune aiglon ? Elles possèdent toutes un potentiel de s’élever et de voler comme les aigles, mais elle ne le croient pas. Elles sont convaincues du contraire. Elles meurent donc sans avoir exploité toutes leurs richesses intérieures.
Tout le monde peut fendre l’air comme un aigle. Tout le monde peut devenir riche, heureux et équilibré. Il s’agit tout simplement de commencer par y croire. Comme le disait Henry Ford : « Que vous croyez ou non à votre réussite, vous avez raison ! »
Rappelez-vous : ce n’est pas ce que vous êtes qui vous empêche de réussir dans la vie, mais plutôt ce que vous croyez ne pas être. Accordez-vous un peu de temps pour vous questionner à propos de vos convictions, car se sont ces dernières qui détermineront les limites de vos accomplissements futurs. Êtes-vous un aigle ou une poule?
« Tout ce que vous croyez avec certitude deviendra votre réalité. Vos actions seront toujours en harmonie avec vos convictions profondes. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
Plusieurs personnes possèdent au fond d’elles-mêmes un grand potentiel de réussite mais leurs pensées et leurs fausses convictions les immobilisent complètement. L’histoire qui suit en est une belle illustration.
Un jour, un œuf d’aigle est tombé d’un nid et s’est retrouvé dans un poulailler. Une poule , croyant qu’il s’agissait d’un de ses œufs la couvé jusqu’à éclosion. Quelques minutes après avoir ouvert les yeux, le jeune aiglon s’est aperçu qu’il était différent de ses frères et sœurs. La couleur de son plumage était différente. Ses ailes étaient beaucoup plus longues et son bec beaucoup plus pointu.
Notre jeune aiglon est allé voir immédiatement sa mère et lui a demandé : « Maman, maman, pourquoi suis-je différent des mes sœurs et de mes frères ? » Sa mère cherchait à lui répondre tant bien que mal : « Je ne sais pas moi, mon fils. C’est la nature qui t’a fait ainsi. Arrête de te poser des questions et va jouer avec tes sœurs et tes frères dans la cour. » Le jeune aiglon est donc allé se dandiner dans la basse-cour avec ses frères et sœurs.
À vrai dire, notre jeune aiglon ne savait pas qu’il était en réalité un aigle, il croyait tout simplement être une poule comme les autres, et ce, malgré sa constitution différente.
Un beau jour, alors qu’il mangeait ses graines dans la basse-cour avec ses frères et sœurs, notre jeune aiglon s’est étiré le cou et a aperçu dans le ciel bleu des oiseaux magnifiques et majestueux qui volaient et qui planaient à travers les nuages. Il s’agissait d’aigles royaux. Il se disait à l’intérieur de lui : « Wow ! C’est magnifique ! Moi aussi je veux voler comme ces oiseaux admirables. » Et il est resté planté là pendant plusieurs minutes à contempler ces oiseaux majestueux. Il était impressionné, pour ne pas dire subjugué.
Dès qu’il les a perdus de vue, notre jeune aiglon est accouru vers sa mère en criant : « Maman. Maman, as-tu vue ces magnifiques oiseaux ?
- Oui bien sûr, mon fils.
- Dis-moi, maman, est-ce que je pourrai moi aussi voler comme eux un jour ?
» Et sa mère lui répond avec du sarcasme dans la voix et sur un ton désobligeant : « Mais non, mon fils, tu ne voleras jamais comme ces oiseaux. Tu n’es qu’une poule et les poules ne s’élèvent pas comme ça dans les airs. Allez, arrête de te poser toutes ces questions et retourne jouer avec les autres. » Tout démoralisé, notre jeune aiglon est retourné alors avec ses frères et sœurs.
La suite de cette histoire est triste. Malheureusement, notre jeune aiglon n’est jamais sorti de sa basse-cour. Il s’est jamais envolé de sa vie. En fait, notre jeune aiglon est mort dans son poulailler ! Pourquoi ? Parce qu’il n’a jamais osé déployer ses ailes et prendre son envole. Parce qu’il a toujours cru et a toujours été convaincu toute sa vie qu’il n’était qu’une poule…
Malheureusement, plusieurs personnes agissent exactement comme notre jeune aiglon ? Elles possèdent toutes un potentiel de s’élever et de voler comme les aigles, mais elle ne le croient pas. Elles sont convaincues du contraire. Elles meurent donc sans avoir exploité toutes leurs richesses intérieures.
Tout le monde peut fendre l’air comme un aigle. Tout le monde peut devenir riche, heureux et équilibré. Il s’agit tout simplement de commencer par y croire. Comme le disait Henry Ford : « Que vous croyez ou non à votre réussite, vous avez raison ! »
Rappelez-vous : ce n’est pas ce que vous êtes qui vous empêche de réussir dans la vie, mais plutôt ce que vous croyez ne pas être. Accordez-vous un peu de temps pour vous questionner à propos de vos convictions, car se sont ces dernières qui détermineront les limites de vos accomplissements futurs. Êtes-vous un aigle ou une poule?
« Tout ce que vous croyez avec certitude deviendra votre réalité. Vos actions seront toujours en harmonie avec vos convictions profondes. »
Patrick Leroux
(Livre : Pour le cœur et l’esprit)
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
Elena de Chanteplume- Sage
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Localisation : Chez moi
La blessure
La blessure
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.
Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : "Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes".
Auteur inconnu
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.
Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : "Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes".
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Elena de Chanteplume- Sage
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Des chemins sur le visage...
Des chemins sur le visage...
« Pourquoi grand-maman a des chemins sur son visage ? »
Cette question est de Guillaume.
Je ne sais pas quelle fût la réponse de ses parents, mais la question de Guillaume, elle, est une trouvaille.
Une trouvaille d'enfant qui fait réfléchir les adultes que nous sommes.
Là où nous ne voyons que des rides, symboles d'usure, marques du temps qui ne pardonne pas...
Guillaume, avec son coeur d'enfant de quatre ans, découvre des chemins,
chemins de joies et de peines qui ont laissé leurs traces,
chemins qui disent une histoire,
chemins riches d'une vie donnée.
Oui, maman ou grand-maman
Oui, papa ou grand-papa,
ne sois pas gêné(e) de ces chemins sur ton visage,
ils nous disent que tu as aimé,
que tu as su donner et accueillir la joie,
que tu as ri de bon coeur.
Ils nous disent aussi tes heures d'efforts et de travail,
tes heures d'inquiétudes et de veilles.
Ils nous disent que tu as vécu.
Ces chemins sur ton visage,
maman, grand-maman, papa, grand-papa,
ils sont la beauté de ton âge !
Ce sont les chemins de la vie.
Merci d'avoir vécu, aimé et donné.
Merci à l’auteur que je ne connais pas.
« Pourquoi grand-maman a des chemins sur son visage ? »
Cette question est de Guillaume.
Je ne sais pas quelle fût la réponse de ses parents, mais la question de Guillaume, elle, est une trouvaille.
Une trouvaille d'enfant qui fait réfléchir les adultes que nous sommes.
Là où nous ne voyons que des rides, symboles d'usure, marques du temps qui ne pardonne pas...
Guillaume, avec son coeur d'enfant de quatre ans, découvre des chemins,
chemins de joies et de peines qui ont laissé leurs traces,
chemins qui disent une histoire,
chemins riches d'une vie donnée.
Oui, maman ou grand-maman
Oui, papa ou grand-papa,
ne sois pas gêné(e) de ces chemins sur ton visage,
ils nous disent que tu as aimé,
que tu as su donner et accueillir la joie,
que tu as ri de bon coeur.
Ils nous disent aussi tes heures d'efforts et de travail,
tes heures d'inquiétudes et de veilles.
Ils nous disent que tu as vécu.
Ces chemins sur ton visage,
maman, grand-maman, papa, grand-papa,
ils sont la beauté de ton âge !
Ce sont les chemins de la vie.
Merci d'avoir vécu, aimé et donné.
Merci à l’auteur que je ne connais pas.
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Elena de Chanteplume- Sage
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L´étoile tombée du ciel
L´étoile tombée du ciel
Il était une fois une petite étoile haut perchée dans le ciel…
Elle était magnifique et brillait de mille feux.
Plus les gens de la terre la fixait, émerveillés, plus elle fixait sa lumière dans leur vie.
Mais un jour, lasse des têtes baissées des habitants de la terre, notre jolie étoile se décrocha du ciel et tomba sur la terre et se trouva égarée en plein champ. Qui pourrait la voir maintenant ?
Une femme, occupée à ramasser des branches mortes pour chauffer sa maison, aperçut quelque chose qui brillait. La femme s’approcha doucement et écarta la terre qui écrasait la malheureuse étoile.
Elle découvrit alors une grande lumière qui ne demandait qu’à éclairer la terre et le cœur des hommes.
La femme dit: « Comme tu es belle ! Veux tu venir chez moi pour éclairer mes jours et rendre courage à mon mari ?"
La petite étoile accepta.
Abandonnant ses branches mortes, la femme recueillit l’étoile dans ses mains ouvertes et, toute joyeuse, regagna sa maison.
Arrivée chez elle, elle déposa sa précieuse découverte près d’une fenêtre…
De retour le soir, le mari s’étonna de la vive clarté qui scintillait sur la fenêtre.
En franchissant la porte, il dit : « Que c’est beau ! Mais que peut bien être cette chose brillante ? D’où vient-elle ? »
Son épouse raconta alors toute l’histoire…
” Elle nous est précieuse cette étoile, dit l’homme. Gardons-la pour nous à l’intérieur de notre maison ! ”
” Non, dit la femme, mettons-la dehors, elle éclairera tous ceux qui passeront près de notre maison.”
Et plus l’homme demandait : ” Gardons-la pour nous ! “, plus la clarté de l’étoile diminuait.
Plus la femme disait : ” Mettons-la dehors ! “, plus l’étoile brillait.
Alors, d’un commun accord, l’homme et la femme préparèrent une place sur le rebord de la fenêtre et y déposèrent le brillant trésor.
Ils l’appelèrent “Espérance”.
Depuis ce jour, la petite étoile n’a pas quitté la terre. Elle éclaire de sa douce et puissante lumière tous ceux qui avancent sous son halo…
Il était une fois une petite étoile haut perchée dans le ciel…
Elle était magnifique et brillait de mille feux.
Plus les gens de la terre la fixait, émerveillés, plus elle fixait sa lumière dans leur vie.
Mais un jour, lasse des têtes baissées des habitants de la terre, notre jolie étoile se décrocha du ciel et tomba sur la terre et se trouva égarée en plein champ. Qui pourrait la voir maintenant ?
Une femme, occupée à ramasser des branches mortes pour chauffer sa maison, aperçut quelque chose qui brillait. La femme s’approcha doucement et écarta la terre qui écrasait la malheureuse étoile.
Elle découvrit alors une grande lumière qui ne demandait qu’à éclairer la terre et le cœur des hommes.
La femme dit: « Comme tu es belle ! Veux tu venir chez moi pour éclairer mes jours et rendre courage à mon mari ?"
La petite étoile accepta.
Abandonnant ses branches mortes, la femme recueillit l’étoile dans ses mains ouvertes et, toute joyeuse, regagna sa maison.
Arrivée chez elle, elle déposa sa précieuse découverte près d’une fenêtre…
De retour le soir, le mari s’étonna de la vive clarté qui scintillait sur la fenêtre.
En franchissant la porte, il dit : « Que c’est beau ! Mais que peut bien être cette chose brillante ? D’où vient-elle ? »
Son épouse raconta alors toute l’histoire…
” Elle nous est précieuse cette étoile, dit l’homme. Gardons-la pour nous à l’intérieur de notre maison ! ”
” Non, dit la femme, mettons-la dehors, elle éclairera tous ceux qui passeront près de notre maison.”
Et plus l’homme demandait : ” Gardons-la pour nous ! “, plus la clarté de l’étoile diminuait.
Plus la femme disait : ” Mettons-la dehors ! “, plus l’étoile brillait.
Alors, d’un commun accord, l’homme et la femme préparèrent une place sur le rebord de la fenêtre et y déposèrent le brillant trésor.
Ils l’appelèrent “Espérance”.
Depuis ce jour, la petite étoile n’a pas quitté la terre. Elle éclaire de sa douce et puissante lumière tous ceux qui avancent sous son halo…
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Je vous en souhaite...
Je vous en souhaite...
Un 23 décembre, j’étais à l’aéroport écoutant secrètement un père et sa fille. Elle devait partir dans un autre pays rejoindre son mari et ses enfants pour fêter Noël auprès des siens.
Le père serra très fort sa fille et lui dit: « Je t’aime, je t’en souhaite juste assez ! »
Elle se leva la tête et dit à son père : «Papa, la vie avec toi est beaucoup plus qu’assez. Ton amour envers moi a toujours été plus que j’aurais souhaité. Je t’en souhaite juste assez aussi papa ! »
Ils s’embrassèrent puis elle partit.
Il marchait le long des vitrines tout près d’où j’étais, regardant sa fille disparaître au loin. Je pouvais voir dans son visage qu’il n’avait qu’une envie, c’était de pleurer.
Je ne voulais pas m’introduire dans sa vie privée mais il me regarda puis, il me dit: « N’avez-vous jamais eu à dire au revoir à quelqu’un en sachant que ce serait la dernière fois ?»
« Oui » lui ai-je dit. « Pardonnez ma question mais, pourquoi c’est un ultime au revoir ? » lui demandai-je.
C’est alors qu’il me regarda d’un air triste et dit: «Je suis vieux et elle demeure trop loin. Le prochain voyage que je ferai sera mes funérailles. Je suis très malade mais je ne lui ai pas dit car je ne veux pas qu’elle s’en fasse pour moi. Je veux qu’elle vive sa vie comme si de rien n’était »
« Mais lorsque vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : « Je t’en souhaite juste assez », que cela signifie-t-il ? »
Il commença à sourire et dit : « Ce souhait, nous le faisons depuis des générations dans ma famille. C’est une tradition que nous continuons à suivre et on le dit à tous ceux qu’on aime.»
Il prit une pause, regarda vers le ciel et cherchait à se remémorer les détails. Soudain, il se mit à sourire de nouveau et commença:
« Quand nous disons à quelqu’un : «Je t’en souhaite juste assez», nous lui souhaitons que sa vie soit remplie avec juste assez de bonnes choses pour pouvoir les apprécier.»
Il se mit à marcher de long en large en demeurant près de moi et se mit à dire:
« Je te souhaite juste assez d’expériences, bonnes ou mauvaises, pour garder une attitude brillante.
Je te souhaite juste assez de pluie pour apprécier le soleil.
Je te souhaite juste assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je te souhaite juste assez de douleur afin que les petites joies te paraissent plus grandes.
Je te souhaite juste assez d’argent pour satisfaire tes besoins et ainsi, tu apprécieras les surplus.»
Je te souhaite juste assez de perte pour apprécier ce que tu as.
Je te souhaite juste assez de Allo pour ne pas avoir trop de derniers Au revoir.»
Puis il partit…
Je crois que trop souvent nous nous attendons à avoir une vie parfaite avec tout ce que cela comporte. Nous avons tous besoin de se faire rappeler que s’il n’y avait pas de moments pénibles dans la vie, nous ne pourrions apprécier les bons.
Donc, mes amis, en ce temps des Fêtes…
Je vous en souhaite juste assez !
Auteur inconnu
Un 23 décembre, j’étais à l’aéroport écoutant secrètement un père et sa fille. Elle devait partir dans un autre pays rejoindre son mari et ses enfants pour fêter Noël auprès des siens.
Le père serra très fort sa fille et lui dit: « Je t’aime, je t’en souhaite juste assez ! »
Elle se leva la tête et dit à son père : «Papa, la vie avec toi est beaucoup plus qu’assez. Ton amour envers moi a toujours été plus que j’aurais souhaité. Je t’en souhaite juste assez aussi papa ! »
Ils s’embrassèrent puis elle partit.
Il marchait le long des vitrines tout près d’où j’étais, regardant sa fille disparaître au loin. Je pouvais voir dans son visage qu’il n’avait qu’une envie, c’était de pleurer.
Je ne voulais pas m’introduire dans sa vie privée mais il me regarda puis, il me dit: « N’avez-vous jamais eu à dire au revoir à quelqu’un en sachant que ce serait la dernière fois ?»
« Oui » lui ai-je dit. « Pardonnez ma question mais, pourquoi c’est un ultime au revoir ? » lui demandai-je.
C’est alors qu’il me regarda d’un air triste et dit: «Je suis vieux et elle demeure trop loin. Le prochain voyage que je ferai sera mes funérailles. Je suis très malade mais je ne lui ai pas dit car je ne veux pas qu’elle s’en fasse pour moi. Je veux qu’elle vive sa vie comme si de rien n’était »
« Mais lorsque vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : « Je t’en souhaite juste assez », que cela signifie-t-il ? »
Il commença à sourire et dit : « Ce souhait, nous le faisons depuis des générations dans ma famille. C’est une tradition que nous continuons à suivre et on le dit à tous ceux qu’on aime.»
Il prit une pause, regarda vers le ciel et cherchait à se remémorer les détails. Soudain, il se mit à sourire de nouveau et commença:
« Quand nous disons à quelqu’un : «Je t’en souhaite juste assez», nous lui souhaitons que sa vie soit remplie avec juste assez de bonnes choses pour pouvoir les apprécier.»
Il se mit à marcher de long en large en demeurant près de moi et se mit à dire:
« Je te souhaite juste assez d’expériences, bonnes ou mauvaises, pour garder une attitude brillante.
Je te souhaite juste assez de pluie pour apprécier le soleil.
Je te souhaite juste assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je te souhaite juste assez de douleur afin que les petites joies te paraissent plus grandes.
Je te souhaite juste assez d’argent pour satisfaire tes besoins et ainsi, tu apprécieras les surplus.»
Je te souhaite juste assez de perte pour apprécier ce que tu as.
Je te souhaite juste assez de Allo pour ne pas avoir trop de derniers Au revoir.»
Puis il partit…
Je crois que trop souvent nous nous attendons à avoir une vie parfaite avec tout ce que cela comporte. Nous avons tous besoin de se faire rappeler que s’il n’y avait pas de moments pénibles dans la vie, nous ne pourrions apprécier les bons.
Donc, mes amis, en ce temps des Fêtes…
Je vous en souhaite juste assez !
Auteur inconnu
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
Elena de Chanteplume- Sage
- Messages : 8757
Date d'inscription : 22/09/2023
Localisation : Chez moi
Je t'aime
Je t'aime
Je suis un dépendant affectif en évolution, je suis celui qui n'a pas reçu et donné tout l'amour et la tendresse dont j'ai besoin, alors quand vous me dites " je t'aime ", moi je vous crois.
Voulez-vous s'il vous plait être honnête avec vous-même et avec moi et ne plus me dire " je t'aime ", avec insouciance, ça implique beaucoup trop pour moi.
Si je vous crois, je ferai des courbettes pour vous, je n'aurai plus peur quand vous semblerez m'aimer, j'aurai en vous une confiance aveugle, je serai dévoué et je trouverai ce qu'il y a de meilleur en moi pour vous le donner.
Ne me parlez plus de votre idéal, je vous croirai et je serai pour vous cet idéal pour un certain temps, un idéal c'est toujours à atteindre.
Ne me croyez pas si je vous dis que je suis capable d'amour inconditionnel, c'est que je suis en ivresse émotive, en réalité j'en suis incapable, je n'ai pas donné tout ce que j'avais à donner et je n'ai pas reçu tout ce que j'avais à recevoir, seul les grands Sages en sont capables.
Ne me croyez pas, si je vous dis que je n'ai plus peur, un jour ou l'autre, j'aurai peur de vous perdre ou de vous faire souffrir.
Je souffrirai quand vous souffrirez,
je souffrirai quand vous ne me donnerez plus d'amour.
Parfois j'aurai des doutes mais toujours je reviendrai à avoir confiance en vous et je serai incapable de m'en aller.
Je ne suis qu'un être humain imparfait.
On m'a dit que tout venait de l'intérieur, qu'un jour je pourrais être libéré de mes peurs, de mes désirs et de mes émotions et que je suis un avec l'Univers, pardonnez-moi, je ne suis pas rendu là, je suis très jeune sur le chemin. Il faudra vous montrer patient avec moi.
De grâce ne me dites plus " je t'aime " si vous avez des doutes sur vous-même ou sur moi.
Je ne suis qu'un petit enfant, quand vous me laisserez tomber et que de votre égocentrisme, votre égoïsme et vos peurs, vous m'ignorerez, je me sentirai rejeté, je me ferai très mal.
Surtout ne me faites pas croire que c'est moi qui ne vit que pour le rejet, prenez vos responsabilités, jamais je n'ai choisi d'être rejeté, je ne suis que malhabile en amour. Du fond de mon âme, je suis honnête et naïf.
Respectez-moi, ne me dite plus " je t'aime ", à la légère car je vous croirai, je ne suis qu'un tout petit enfant qui a tellement besoin d'aimer et d'être aimé.
Si parfois vous me voyez faire l'adulte et vous dire des choses qui vous blessent c'est que je souffre, que je suis en demande d'amour, à ce moment là voulez-vous, s'il vous plaît, m'ouvrir les bras, m'accueillir.
Je vous remercie.
Source: Bernard Longpré....
Je suis un dépendant affectif en évolution, je suis celui qui n'a pas reçu et donné tout l'amour et la tendresse dont j'ai besoin, alors quand vous me dites " je t'aime ", moi je vous crois.
Voulez-vous s'il vous plait être honnête avec vous-même et avec moi et ne plus me dire " je t'aime ", avec insouciance, ça implique beaucoup trop pour moi.
Si je vous crois, je ferai des courbettes pour vous, je n'aurai plus peur quand vous semblerez m'aimer, j'aurai en vous une confiance aveugle, je serai dévoué et je trouverai ce qu'il y a de meilleur en moi pour vous le donner.
Ne me parlez plus de votre idéal, je vous croirai et je serai pour vous cet idéal pour un certain temps, un idéal c'est toujours à atteindre.
Ne me croyez pas si je vous dis que je suis capable d'amour inconditionnel, c'est que je suis en ivresse émotive, en réalité j'en suis incapable, je n'ai pas donné tout ce que j'avais à donner et je n'ai pas reçu tout ce que j'avais à recevoir, seul les grands Sages en sont capables.
Ne me croyez pas, si je vous dis que je n'ai plus peur, un jour ou l'autre, j'aurai peur de vous perdre ou de vous faire souffrir.
Je souffrirai quand vous souffrirez,
je souffrirai quand vous ne me donnerez plus d'amour.
Parfois j'aurai des doutes mais toujours je reviendrai à avoir confiance en vous et je serai incapable de m'en aller.
Je ne suis qu'un être humain imparfait.
On m'a dit que tout venait de l'intérieur, qu'un jour je pourrais être libéré de mes peurs, de mes désirs et de mes émotions et que je suis un avec l'Univers, pardonnez-moi, je ne suis pas rendu là, je suis très jeune sur le chemin. Il faudra vous montrer patient avec moi.
De grâce ne me dites plus " je t'aime " si vous avez des doutes sur vous-même ou sur moi.
Je ne suis qu'un petit enfant, quand vous me laisserez tomber et que de votre égocentrisme, votre égoïsme et vos peurs, vous m'ignorerez, je me sentirai rejeté, je me ferai très mal.
Surtout ne me faites pas croire que c'est moi qui ne vit que pour le rejet, prenez vos responsabilités, jamais je n'ai choisi d'être rejeté, je ne suis que malhabile en amour. Du fond de mon âme, je suis honnête et naïf.
Respectez-moi, ne me dite plus " je t'aime ", à la légère car je vous croirai, je ne suis qu'un tout petit enfant qui a tellement besoin d'aimer et d'être aimé.
Si parfois vous me voyez faire l'adulte et vous dire des choses qui vous blessent c'est que je souffre, que je suis en demande d'amour, à ce moment là voulez-vous, s'il vous plaît, m'ouvrir les bras, m'accueillir.
Je vous remercie.
Source: Bernard Longpré....
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Localisation : Chez moi
La brique
La brique
Un jeune et talentueux homme d'affaires passait dans les rues d'un quartier tranquille, roulant un peu trop vite à bord de sa nouvelle Jaguar. Il surveillait prudemment afin de ne pas avoir à éviter d'enfants surgissant d'entre deux voitures garées et ralentissait lorsqu'il croyait avoir aperçu quelque chose. Comme il passait, aucun enfant n'y était. À la place, une brique a fracassé la portière de la Jag ! Il freine et recule la Jag jusqu'où la brique a été lancée. Le conducteur enragé a sauté hors de la voiture et a agrippé le premier enfant qu'il vu et l'adossa contre une voiture stationnée et lui criant: Qu'est-ce que c'était et qui es-tu ? Que diable fais-tu ? C'est une voiture neuve et cette brique que tu as lancée va me coûter très cher. Pourquoi as-tu fais ça ?
Le jeune garçon se confondait en excuses. "S'il vous plaît monsieur, je suis désolé mais je ne savais pas quoi faire d'autre." Il plaide:"J'ai lancé la brique parce que personne d'autre ne s'arrêtait...!"
Avec les larmes qui roulait sur son visage, le jeune pointa un peu à l'arrière d'une voiture stationnée. "C'est mon frère" qu'il dit. "Il est tombé de sa chaise roulante et je ne peux le relever"
Le garçon demande au jeune exécutif, "Voulez-vous s'il vous plaît m'aider à le remettre dans sa chaise roulante ? Il est blessé et il est trop lourd pour moi"
Ému sans mot, le conducteur a éteint un sanglot qui lui montait à la gorge. Il s'empressa de relever l'enfant handicapé et le remis dans sa chaise roulante ensuite il prit son mouchoir de lin et épongea les égratignures et coupures du jeune. Après un examen rapide il su qu'il serait o.k.
"Merci et que Dieu vous bénisse" dit l'enfant reconnaissant.
Trop ému pour dire quoi que ce soit, l'homme a simplement regardé le petit pousser la chaise de son frère sur le trottoir jusqu'au bout de la rue.
Il retourna lentement à sa Jaguar. Les dommages étaient très apparents mais le conducteur n'a jamais fait réparer la portière abîmée. Il l'a gardé afin de se souvenir de ce message :
Ne passer pas la vie à si grande vitesse que quelqu'un doive vous lancer une brique afin d'avoir votre attention !
Un jeune et talentueux homme d'affaires passait dans les rues d'un quartier tranquille, roulant un peu trop vite à bord de sa nouvelle Jaguar. Il surveillait prudemment afin de ne pas avoir à éviter d'enfants surgissant d'entre deux voitures garées et ralentissait lorsqu'il croyait avoir aperçu quelque chose. Comme il passait, aucun enfant n'y était. À la place, une brique a fracassé la portière de la Jag ! Il freine et recule la Jag jusqu'où la brique a été lancée. Le conducteur enragé a sauté hors de la voiture et a agrippé le premier enfant qu'il vu et l'adossa contre une voiture stationnée et lui criant: Qu'est-ce que c'était et qui es-tu ? Que diable fais-tu ? C'est une voiture neuve et cette brique que tu as lancée va me coûter très cher. Pourquoi as-tu fais ça ?
Le jeune garçon se confondait en excuses. "S'il vous plaît monsieur, je suis désolé mais je ne savais pas quoi faire d'autre." Il plaide:"J'ai lancé la brique parce que personne d'autre ne s'arrêtait...!"
Avec les larmes qui roulait sur son visage, le jeune pointa un peu à l'arrière d'une voiture stationnée. "C'est mon frère" qu'il dit. "Il est tombé de sa chaise roulante et je ne peux le relever"
Le garçon demande au jeune exécutif, "Voulez-vous s'il vous plaît m'aider à le remettre dans sa chaise roulante ? Il est blessé et il est trop lourd pour moi"
Ému sans mot, le conducteur a éteint un sanglot qui lui montait à la gorge. Il s'empressa de relever l'enfant handicapé et le remis dans sa chaise roulante ensuite il prit son mouchoir de lin et épongea les égratignures et coupures du jeune. Après un examen rapide il su qu'il serait o.k.
"Merci et que Dieu vous bénisse" dit l'enfant reconnaissant.
Trop ému pour dire quoi que ce soit, l'homme a simplement regardé le petit pousser la chaise de son frère sur le trottoir jusqu'au bout de la rue.
Il retourna lentement à sa Jaguar. Les dommages étaient très apparents mais le conducteur n'a jamais fait réparer la portière abîmée. Il l'a gardé afin de se souvenir de ce message :
Ne passer pas la vie à si grande vitesse que quelqu'un doive vous lancer une brique afin d'avoir votre attention !
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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La femme de ménage.
La femme de ménage.
Durant mon deuxième mois au collège,
notre professeur nous a donné un petit examen surprise.
J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu aisément
à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière :
" Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ? "
Il s'agissait certainement d'une blague.
Je l'avais rencontrée plusieurs fois.
Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine,
mais comment j'aurais pu savoir son nom ?
J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse.
Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière
question comptait pour la note de l'examen.
" Absolument " a répondu le professeur.
" Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.
Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins,
même s'il s'agit simplement d'un sourire et de dire bonjour. "
Je n'ai jamais oublié cette leçon.
J'ai aussi appris qu'elle s'appelait Dorothée.
Durant mon deuxième mois au collège,
notre professeur nous a donné un petit examen surprise.
J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu aisément
à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière :
" Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ? "
Il s'agissait certainement d'une blague.
Je l'avais rencontrée plusieurs fois.
Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine,
mais comment j'aurais pu savoir son nom ?
J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse.
Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière
question comptait pour la note de l'examen.
" Absolument " a répondu le professeur.
" Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.
Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins,
même s'il s'agit simplement d'un sourire et de dire bonjour. "
Je n'ai jamais oublié cette leçon.
J'ai aussi appris qu'elle s'appelait Dorothée.
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Elena de Chanteplume- Sage
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Douce solitude
Douce solitude
Seul dans mes appartements
J'accueille ces quelques moments
Où le temps semble s'arrêter
Pour ouvrir les portes de ma liberté
Je regarde par la fenêtre
Comme si j'attendais quelqu'un
En réalisant que je ne voudrais surtout pas
Qu'on m'enlève ce temps à moi
À mes sources, je veux retourner
J'ai la tête pleine d'idées
J'expire, me détends et prends conscience
Que ma vie est remplie de belles expériences
Chacune d'elles est comme une visite
Sur une facette de l'âme qui m'habite
Je ne vois plus les jours comme des défis
Mais des occasions pour moi d'apprécier la vie
Parfois je panique
Incapable d'accueillir cette solitude qui me pique
J'ai soudain cette envie d'être avec quelqu'un
Malgré cela je décide de rester un
J'apprends à m'apprivoiser en ces temps esseulés
Pour mieux apparaître lorsque je renaîtrai
Du silence que la vie m'a confié
Pour écouter cette voix intérieure que j'avais oubliée
Auteur Anonyme
Seul dans mes appartements
J'accueille ces quelques moments
Où le temps semble s'arrêter
Pour ouvrir les portes de ma liberté
Je regarde par la fenêtre
Comme si j'attendais quelqu'un
En réalisant que je ne voudrais surtout pas
Qu'on m'enlève ce temps à moi
À mes sources, je veux retourner
J'ai la tête pleine d'idées
J'expire, me détends et prends conscience
Que ma vie est remplie de belles expériences
Chacune d'elles est comme une visite
Sur une facette de l'âme qui m'habite
Je ne vois plus les jours comme des défis
Mais des occasions pour moi d'apprécier la vie
Parfois je panique
Incapable d'accueillir cette solitude qui me pique
J'ai soudain cette envie d'être avec quelqu'un
Malgré cela je décide de rester un
J'apprends à m'apprivoiser en ces temps esseulés
Pour mieux apparaître lorsque je renaîtrai
Du silence que la vie m'a confié
Pour écouter cette voix intérieure que j'avais oubliée
Auteur Anonyme
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Elena de Chanteplume- Sage
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Épice de vie
Épice de vie
Il y a dans ma vie, une épice rare, inespérée,
je dirais même, bénie des dieux.
Cette poudre magique transforme mon quotidien
en rayon de soleil dès qu'elle se répand sur
un problème à résoudre,
une solution à mettre.
J'ai cette chance inouïe de posséder
cette substance miracle !
Quand je traverse des temps difficiles,
que mon quotidien me fait mal,
qu'il y a un trop plein de vécu
et que j'ai besoin de courage et d'énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît,
et qui doit se poursuivre malgré
la coupure du temps,
c'est alors que mon épice magique
vient poivrer ma journée de compréhension,
d'écoute active.
Son parfum me soutient, sa force me guide,
son arôme de discrétion me protège.
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c'est de trouver cette poudre magique,
de la répandre avec amour.
Cette épice de vie a pour nom :
" Amitié "
Il y a dans ma vie, une épice rare, inespérée,
je dirais même, bénie des dieux.
Cette poudre magique transforme mon quotidien
en rayon de soleil dès qu'elle se répand sur
un problème à résoudre,
une solution à mettre.
J'ai cette chance inouïe de posséder
cette substance miracle !
Quand je traverse des temps difficiles,
que mon quotidien me fait mal,
qu'il y a un trop plein de vécu
et que j'ai besoin de courage et d'énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît,
et qui doit se poursuivre malgré
la coupure du temps,
c'est alors que mon épice magique
vient poivrer ma journée de compréhension,
d'écoute active.
Son parfum me soutient, sa force me guide,
son arôme de discrétion me protège.
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c'est de trouver cette poudre magique,
de la répandre avec amour.
Cette épice de vie a pour nom :
" Amitié "
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Elena de Chanteplume- Sage
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Eloge de la fatigue
Eloge de la fatigue
Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine,
Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine,
Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer,
Vous me dites enfin que je suis fatigué.
Oui je suis fatigué, Monsieur, mais je m'en flatte.
J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
Je m'endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas.
Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise.
La fatigue souvent n'est qu'une vantardise.
On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit !
Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ?
Je ne vous parle pas des tristes lassitudes,
Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude,
N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons...
Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon...
Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre...
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;
Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond.
Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond...
Mais se sentir plier sous le poids formidable
Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable,
Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain,
Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source,
Aider une existence à continuer sa course,
Et pour cela se battre à s'en user le coeur...
Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur.
Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre,
On va aider un être à vivre ou à survivre ;
Et sûr qu'on est le port et la route et le gué,
Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ?
Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
Marquent chaque victoire, en creux, sur la figure,
Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus
Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu.
La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste,
C'est le prix d'une journée d'efforts et de lutte.
C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit,
Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit.
C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie,
C'est la preuve, Monsieur, qu'on vit avec la vie.
Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors est une récompense.
Et vous me conseillez d'aller me reposer !
Mais si j'acceptais là, ce que vous proposez,
Si je m'abandonnais à votre douce intrigue...
Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue.
Robert Lamoureux
Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine,
Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine,
Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer,
Vous me dites enfin que je suis fatigué.
Oui je suis fatigué, Monsieur, mais je m'en flatte.
J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
Je m'endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas.
Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise.
La fatigue souvent n'est qu'une vantardise.
On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit !
Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ?
Je ne vous parle pas des tristes lassitudes,
Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude,
N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons...
Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon...
Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre...
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;
Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond.
Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond...
Mais se sentir plier sous le poids formidable
Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable,
Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain,
Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source,
Aider une existence à continuer sa course,
Et pour cela se battre à s'en user le coeur...
Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur.
Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre,
On va aider un être à vivre ou à survivre ;
Et sûr qu'on est le port et la route et le gué,
Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ?
Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
Marquent chaque victoire, en creux, sur la figure,
Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus
Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu.
La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste,
C'est le prix d'une journée d'efforts et de lutte.
C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit,
Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit.
C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie,
C'est la preuve, Monsieur, qu'on vit avec la vie.
Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors est une récompense.
Et vous me conseillez d'aller me reposer !
Mais si j'acceptais là, ce que vous proposez,
Si je m'abandonnais à votre douce intrigue...
Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue.
Robert Lamoureux
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Bienveillance
Bienveillance
Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix.
Que tous les êtres, partout,
Les forts et les faibles,
Les illustres et les insignifiants,
Les misérables et les puissants,
Les grands et les petits,
Les subtils et les grossiers ;
Que tous les êtres, partout,
En vue ou dans l'ombre,
A proximité ou à mille lieues,
Etant ou dans l'attente d'être :
Que tous soient remplis d'une joie durable.
Qu'aucun être n'en trompe un autre,
Qu'aucun être nulle part n'en méprise un autre,
Qu'aucun être sous l'emprise de la colère ou du ressentiment
Ne souhaite jamais le malheur d'un autre.
Tout comme la mère fait de sa vie un rempart
pour protéger de la souffrance son enfant, son unique enfant,
Laisse grandir en toi
Un amour sans bornes de toutes les créatures.
Laisse ton amour couler et silloner l'Univers,
Dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur,
Un amour sans limites, sans haine et sans hostilité.
Puis, debout ou en mouvement,
Assis ou couché,
Tant que tu es éveillé,
Lutte pour cela en fixant ton esprit sur un point ;
Ta vie t'apportera le paradis sur terre.
Bouddha, Nipatta Sutra
Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix.
Que tous les êtres, partout,
Les forts et les faibles,
Les illustres et les insignifiants,
Les misérables et les puissants,
Les grands et les petits,
Les subtils et les grossiers ;
Que tous les êtres, partout,
En vue ou dans l'ombre,
A proximité ou à mille lieues,
Etant ou dans l'attente d'être :
Que tous soient remplis d'une joie durable.
Qu'aucun être n'en trompe un autre,
Qu'aucun être nulle part n'en méprise un autre,
Qu'aucun être sous l'emprise de la colère ou du ressentiment
Ne souhaite jamais le malheur d'un autre.
Tout comme la mère fait de sa vie un rempart
pour protéger de la souffrance son enfant, son unique enfant,
Laisse grandir en toi
Un amour sans bornes de toutes les créatures.
Laisse ton amour couler et silloner l'Univers,
Dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur,
Un amour sans limites, sans haine et sans hostilité.
Puis, debout ou en mouvement,
Assis ou couché,
Tant que tu es éveillé,
Lutte pour cela en fixant ton esprit sur un point ;
Ta vie t'apportera le paradis sur terre.
Bouddha, Nipatta Sutra
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
Elena de Chanteplume- Sage
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Date d'inscription : 22/09/2023
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La fenêtre
La fenêtre
Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. "Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive".
Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
"Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?" Le mari répondit: "Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison !“
Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autre .
Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. "Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive".
Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
"Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?" Le mari répondit: "Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison !“
Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autre .
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La boite à baisers
La boite à baisers
Il y a longtemps, un père punit sa fille de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. À l’époque, l’argent se faisait rare et il ne put supporter qu’elle utilise le papier pour décorer une boîte à cadeau…
Le lendemain matin, l’enfant apporta la boîte à son père en lui disant : « C’est pour toi Papa ! »
Embarrassé, le père regretta sa trop vive réaction qui, cependant, ne fit qu’empirer lorsqu’il découvrit que la boîte était vide.
Il exclama alors : « Ne sais-tu pas qu’un paquet-cadeau doit toujours avoir quelque chose dedans ? »
La petite regarda son père, les yeux pleins d’eau, et lui dit : « Mais papa, la boîte n’est pas vide, je l’ai remplie de baisers, juste pour toi ! »
L’homme était chaviré.
Il serra sa petite contre lui, en la priant de lui pardonner.
Et il garda la précieuse boîte pendant toute sa vie…
Chaque fois que le découragement l’assaillait, il la prenait, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait tout l’amour que sa fille y avait mis…
Il est donné, à chacun de nous, de disposer d’une boîte dorée.
Une boîte remplie d’Amour : l’amour inconditionnel de nos enfants, de notre famille, de nos ami(e)s, d’inconnus, de Dieu…
Mais nous sommes souvent aveugles, et nous ne voyons guère ce qu’il y a dedans…
Auteur inconnu
Il y a longtemps, un père punit sa fille de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. À l’époque, l’argent se faisait rare et il ne put supporter qu’elle utilise le papier pour décorer une boîte à cadeau…
Le lendemain matin, l’enfant apporta la boîte à son père en lui disant : « C’est pour toi Papa ! »
Embarrassé, le père regretta sa trop vive réaction qui, cependant, ne fit qu’empirer lorsqu’il découvrit que la boîte était vide.
Il exclama alors : « Ne sais-tu pas qu’un paquet-cadeau doit toujours avoir quelque chose dedans ? »
La petite regarda son père, les yeux pleins d’eau, et lui dit : « Mais papa, la boîte n’est pas vide, je l’ai remplie de baisers, juste pour toi ! »
L’homme était chaviré.
Il serra sa petite contre lui, en la priant de lui pardonner.
Et il garda la précieuse boîte pendant toute sa vie…
Chaque fois que le découragement l’assaillait, il la prenait, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait tout l’amour que sa fille y avait mis…
Il est donné, à chacun de nous, de disposer d’une boîte dorée.
Une boîte remplie d’Amour : l’amour inconditionnel de nos enfants, de notre famille, de nos ami(e)s, d’inconnus, de Dieu…
Mais nous sommes souvent aveugles, et nous ne voyons guère ce qu’il y a dedans…
Auteur inconnu
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La graine qui se fit dévorer par un oiseau
La graine qui se fit dévorer par un oiseau
Le printemps venu, deux graines de semence reposaient l’une à côté de l’autre dans une terre fertile.
La première graine disait à l’autre : « Je veux grandir ! Je veux plonger mes racines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs… Je veux voir mes bourgeons s’ouvrir comme des drapeaux annonçant l’arrivée du printemps… Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosée matinale bénir mes pétales ! »
Et elle grandissait.
La deuxième graine répliquait : « J’ai peur. Si je plonge mes racines dans la terre, je ne sais pas ce qui m’attend dans cette noirceur. Ma tige est fragile, et si j’essaie de percer la croûte de la terre pour m’élever dans les airs, elle risque de se briser. Et si, à peine entrouverts, un ver venait manger mes bourgeons ? Et si je montrais ma fleur, qui sait ? Un enfant pourrait m’arracher de terre. Non, il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu’il n’y ait plus de danger. »
Et elle attendait.
Un beau jour, un oiseau qui passait par là, s’et mis à fouiller la terre en quête de nourriture. Il y a trouvé la graine qui attendait et vite il l’a dévorée.
La morale de cette histoire est que ceux qui ne veulent pas courir le risque de grandir dans la vie se font tout simplement dévorer par la vie.
Le printemps venu, deux graines de semence reposaient l’une à côté de l’autre dans une terre fertile.
La première graine disait à l’autre : « Je veux grandir ! Je veux plonger mes racines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs… Je veux voir mes bourgeons s’ouvrir comme des drapeaux annonçant l’arrivée du printemps… Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosée matinale bénir mes pétales ! »
Et elle grandissait.
La deuxième graine répliquait : « J’ai peur. Si je plonge mes racines dans la terre, je ne sais pas ce qui m’attend dans cette noirceur. Ma tige est fragile, et si j’essaie de percer la croûte de la terre pour m’élever dans les airs, elle risque de se briser. Et si, à peine entrouverts, un ver venait manger mes bourgeons ? Et si je montrais ma fleur, qui sait ? Un enfant pourrait m’arracher de terre. Non, il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu’il n’y ait plus de danger. »
Et elle attendait.
Un beau jour, un oiseau qui passait par là, s’et mis à fouiller la terre en quête de nourriture. Il y a trouvé la graine qui attendait et vite il l’a dévorée.
La morale de cette histoire est que ceux qui ne veulent pas courir le risque de grandir dans la vie se font tout simplement dévorer par la vie.
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La Cithare du Bonheur - conte soufi
La Cithare du Bonheur - conte soufi
C'était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur, qui cherchait le chemin de la vérité. Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait assuré qu'il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l'accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla l'itinéraire tant attendu: "C'est loin d'ici, certes, mais tu ne peux te tromper: au coeur du village que je t'ai décrit, tu trouveras trois échoppes. Là te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité".
La route fut longue. Le chercheur d'absolu passa maints cols et rivières. Jusqu'à ce qu'il arrive en vue du village dont son coeur lui dit très fort: "C'est là le lieu! Oui, c'est là! Hélas! Dans chacune des trois boutiques il ne trouva comme marchandises que rouleaux de fils de fer dans l'une, morceaux de bois dans l'autre et pièces éparses de métal dans le troisième. Las et découragé, il sortit du village pour trouver quelque repos dans une clairière voisine.
La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d'une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfaction, il découvrit que l'instrument céleste était une cithare faite de morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d'acier qu'il venait de voir en vente dans les trois échoppes du village. A cet instant,...il connut l'éveil. Et il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, mais que notre tâche d'hommes intérieurs est d'assembler tous ces éléments...dans l'harmonie.
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La petite grenouille
La petite grenouille
Il était une fois une course de grenouilles.
L’objectif était d’arriver au haut d’une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent
pour les voir et les encourager.
Et la course commença …
En fait les gens ne croyaient pas possible que
les grenouilles atteignent la cime.
Et toutes les phrases que l’on entendit furent :
« … Impossible !
Elles n’y arriveront jamais … ! »
Les grenouilles commencèrent peu à peu
à se décourager.
Toutes, sauf une qui continua à grimper … .
Et les gens continuèrent :
« Vraiment pas la peine !!!
Elles n’y arriveront jamais … !!! »
Et les grenouilles s’avouaient vaincues
sauf une qui continuait de grimper
envers et contre tout.
A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui,
seule et au prix d’un énorme effort, atteignit la cime … .
Les autres, stupéfaites, voulurent savoir
comment elle y était arrivée.
L’une d’entre elles s’approcha
pour lui demander comment elle avait réussi l’épreuve … .
Et elle découvrit …
… qu’elle était sourde !
N’écoutez donc pas les personnes qui ont
l’habitude d’être négatives.
Car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur.
Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous
entendez ou que vous lisez !
Soyez toujours POSITIF !
Soyez toujours sourd quand quelqu'un vous dit
que vous ne pouvez réaliser vos rêves !
Auteur inconnu
Il était une fois une course de grenouilles.
L’objectif était d’arriver au haut d’une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent
pour les voir et les encourager.
Et la course commença …
En fait les gens ne croyaient pas possible que
les grenouilles atteignent la cime.
Et toutes les phrases que l’on entendit furent :
« … Impossible !
Elles n’y arriveront jamais … ! »
Les grenouilles commencèrent peu à peu
à se décourager.
Toutes, sauf une qui continua à grimper … .
Et les gens continuèrent :
« Vraiment pas la peine !!!
Elles n’y arriveront jamais … !!! »
Et les grenouilles s’avouaient vaincues
sauf une qui continuait de grimper
envers et contre tout.
A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui,
seule et au prix d’un énorme effort, atteignit la cime … .
Les autres, stupéfaites, voulurent savoir
comment elle y était arrivée.
L’une d’entre elles s’approcha
pour lui demander comment elle avait réussi l’épreuve … .
Et elle découvrit …
… qu’elle était sourde !
N’écoutez donc pas les personnes qui ont
l’habitude d’être négatives.
Car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur.
Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous
entendez ou que vous lisez !
Soyez toujours POSITIF !
Soyez toujours sourd quand quelqu'un vous dit
que vous ne pouvez réaliser vos rêves !
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Elena de Chanteplume- Sage
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La plus belle des fleurs
La plus belle des fleurs
Le banc dans le parc était vide quand je me suis assise pour lire sous les longues branches broussailleuses d'un vieux saule pleureur. Désillusionnée par la vie, j'étais justifiée de froncer les sourcils, car le monde était résolu à avoir ma peau.
Comme si ce n'était pas assez pour gâcher ma journée, un jeune garçon hors d'haleine s'est dirigé vers moi, épuisé d'avoir joué. Il s'est planté devant moi, la tête légèrement penchée et a dit, tout excité : " Regardez ce que j'ai trouvé!"
Dans sa main, il tenait une fleur qui faisait vraiment pitié, ses pétales étaient flétries, la pluie et la lumière lui ayant manqué. Voulant qu'il prenne sa fleur morte et qu'il retourne jouer, je lui ai fait un mince sourire et je me suis détournée.
Au lieu de s'en aller, il s'est assis à mes côtés, a porté la fleur à son nez et a déclaré avec une surprise non dissimulée : " Elle sent bon et elle est belle aussi, c'est pourquoi, je l'ai cueillie ; c'est pour vous, voici."
La mauvaise herbe était à l'agonie ou déjà morte. Ni orangée, ni jaune, ni rouge, ses couleurs étaient fanées. Si je voulais qu'il parte, je devais l'accepter. La main fendue vers la fleur, j'ai dit: " Merci, justement ce dont j'ai besoin ".
Au lieu de déposer la fleur dans ma main, il l'a tenue en l'air sans raison ou dessein.
C'est alors que j'ai remarqué pour la première fois que le garçon à la fleur ne pouvait pas la voir : il était aveugle.
J'ai entendu ma voix frémissante et des larmes ont coulé de mes yeux, en le remerciant d'avoir choisi ce qu'il y avait de mieux. Il a répondu " De rien ", il souriait et est retourné à ses jeux sans savoir qu'il avait transformé ma peine en jour radieux.
Je me suis demandé comment il avait pu apercevoir une femme sous un vieux saule, en plein apitoiement. Comment avait-il senti ma détresse complaisante ? Sans doute était-il béni de voir la vérité avec les yeux du cœur.
Par les yeux d'une enfant aveugle, j'ai enfin pu voir que c'était moi, et non le monde, qui broyais du noir. Parce que j'avais si souvent moi-même ignoré la beauté, j'ai juré de voir la beauté dans la vie et d'apprécier chaque seconde qui me serait donnée.
J'ai porté la fleur fanée à mon nez et j'ai senti le parfum d'une magnifique rose. J'ai souri en voyant ce jeune garçon, une mauvaise herbe dans la main, s'apprêter à changer la vie d'un vieil homme sans soupçons.
Auteur : Cheryl L. Costello-Forshey
Le banc dans le parc était vide quand je me suis assise pour lire sous les longues branches broussailleuses d'un vieux saule pleureur. Désillusionnée par la vie, j'étais justifiée de froncer les sourcils, car le monde était résolu à avoir ma peau.
Comme si ce n'était pas assez pour gâcher ma journée, un jeune garçon hors d'haleine s'est dirigé vers moi, épuisé d'avoir joué. Il s'est planté devant moi, la tête légèrement penchée et a dit, tout excité : " Regardez ce que j'ai trouvé!"
Dans sa main, il tenait une fleur qui faisait vraiment pitié, ses pétales étaient flétries, la pluie et la lumière lui ayant manqué. Voulant qu'il prenne sa fleur morte et qu'il retourne jouer, je lui ai fait un mince sourire et je me suis détournée.
Au lieu de s'en aller, il s'est assis à mes côtés, a porté la fleur à son nez et a déclaré avec une surprise non dissimulée : " Elle sent bon et elle est belle aussi, c'est pourquoi, je l'ai cueillie ; c'est pour vous, voici."
La mauvaise herbe était à l'agonie ou déjà morte. Ni orangée, ni jaune, ni rouge, ses couleurs étaient fanées. Si je voulais qu'il parte, je devais l'accepter. La main fendue vers la fleur, j'ai dit: " Merci, justement ce dont j'ai besoin ".
Au lieu de déposer la fleur dans ma main, il l'a tenue en l'air sans raison ou dessein.
C'est alors que j'ai remarqué pour la première fois que le garçon à la fleur ne pouvait pas la voir : il était aveugle.
J'ai entendu ma voix frémissante et des larmes ont coulé de mes yeux, en le remerciant d'avoir choisi ce qu'il y avait de mieux. Il a répondu " De rien ", il souriait et est retourné à ses jeux sans savoir qu'il avait transformé ma peine en jour radieux.
Je me suis demandé comment il avait pu apercevoir une femme sous un vieux saule, en plein apitoiement. Comment avait-il senti ma détresse complaisante ? Sans doute était-il béni de voir la vérité avec les yeux du cœur.
Par les yeux d'une enfant aveugle, j'ai enfin pu voir que c'était moi, et non le monde, qui broyais du noir. Parce que j'avais si souvent moi-même ignoré la beauté, j'ai juré de voir la beauté dans la vie et d'apprécier chaque seconde qui me serait donnée.
J'ai porté la fleur fanée à mon nez et j'ai senti le parfum d'une magnifique rose. J'ai souri en voyant ce jeune garçon, une mauvaise herbe dans la main, s'apprêter à changer la vie d'un vieil homme sans soupçons.
Auteur : Cheryl L. Costello-Forshey
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Elena de Chanteplume a écrit:L'Étrangère
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous. L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance. Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse. Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis. Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent. Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué. Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe. Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
…un fils qui s'appelle Portable…
…et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
(Auteur inconnu)
Mince , c'est tellement vrai , bravo à cet auteur in connu .
Lysliane.- Impétrant
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La chose la plus importante dans la vie
La chose la plus importante dans la vie
Aux Olympiades des handicapés, à Seattle, 9 athlètes, tous handicapés mentaux ou physiques, étaient sur la ligne de départ pour la course de 100 m. Au signalement du starter, la course commença. Tous ne courraient pas mais tous avaient le désir de participer et de gagner.
Ils couraient par 3, un garçon tomba sur la piste, fit quelques tonneaux et commença à pleurer. Les 8 autres l'entendirent pleurer. Ils ralentirent et regardèrent en arrière. Ils s'arrêtèrent et rebroussèrent chemin... Tous...
Une fille avec le syndrome de Down s'assis à côté de lui, commença à le caresser et lui demanda : "Ca va mieux maintenant ?" Alors, tous les 9 se prirent par les épaules et marchèrent ensemble vers la ligne d'arrivée.
Le stade entier se leva et applaudit. Et les applaudissements durèrent très longtemps...
Les personnes qui l'ont vu en parlent encore. Pourquoi ? Parce qu'au fond de nous, nous savons tous que la chose la plus importante dans la vie est bien plus que de gagner pour soi.
La chose la plus importante dans cette vie, c'est d'aider les autres à gagner. Même si cela implique ralentir et modifier notre course.
Alors, aujourd'hui, qui pourrais-tu aider à gagner ?
Anonyme
Aux Olympiades des handicapés, à Seattle, 9 athlètes, tous handicapés mentaux ou physiques, étaient sur la ligne de départ pour la course de 100 m. Au signalement du starter, la course commença. Tous ne courraient pas mais tous avaient le désir de participer et de gagner.
Ils couraient par 3, un garçon tomba sur la piste, fit quelques tonneaux et commença à pleurer. Les 8 autres l'entendirent pleurer. Ils ralentirent et regardèrent en arrière. Ils s'arrêtèrent et rebroussèrent chemin... Tous...
Une fille avec le syndrome de Down s'assis à côté de lui, commença à le caresser et lui demanda : "Ca va mieux maintenant ?" Alors, tous les 9 se prirent par les épaules et marchèrent ensemble vers la ligne d'arrivée.
Le stade entier se leva et applaudit. Et les applaudissements durèrent très longtemps...
Les personnes qui l'ont vu en parlent encore. Pourquoi ? Parce qu'au fond de nous, nous savons tous que la chose la plus importante dans la vie est bien plus que de gagner pour soi.
La chose la plus importante dans cette vie, c'est d'aider les autres à gagner. Même si cela implique ralentir et modifier notre course.
Alors, aujourd'hui, qui pourrais-tu aider à gagner ?
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Le but ultime de l'eau est d'aller à la mer
Le but ultime de l'eau est d'aller à la mer
L'eau doit retourner à la mer, c'est bien son but, sa mission.
Elle peut y aller directement, tel un fleuve qui se dirige sans détour et se joue de tous les obstacles. Souvent cependant, l'eau rencontre des obstacles.
L'eau met au point différentes stratégies. Parfois, elle attend : elle s'accumule lentement devant l'obstacle jusqu'au moment où elle arrive à passer au-dessus. Souvent l'eau choisit de prendre un chemin détourné. Elle serpente alors en petits ruisseaux, en plus grandes rivières, elle contourne les obstacles, même quand cela implique de s'éloigner quelque temps de la mer.
Mais la mer reste son seul objectif. Et elle y parvient à la mer.
Devons-nous toujours être le fleuve ?
Ne devons-nous pas parfois, souvent, être le ruisseau qui choisit un chemin différent et plus à notre portée ?
Qu'importe le chemin suivi, si nous arrivons à nos objectifs ? Si nous arrivons à accomplir notre mission ?
Xavier Guyaux, librement inspiré de « Le Guerrier de la Lumière » de P. Coelho
L'eau doit retourner à la mer, c'est bien son but, sa mission.
Elle peut y aller directement, tel un fleuve qui se dirige sans détour et se joue de tous les obstacles. Souvent cependant, l'eau rencontre des obstacles.
L'eau met au point différentes stratégies. Parfois, elle attend : elle s'accumule lentement devant l'obstacle jusqu'au moment où elle arrive à passer au-dessus. Souvent l'eau choisit de prendre un chemin détourné. Elle serpente alors en petits ruisseaux, en plus grandes rivières, elle contourne les obstacles, même quand cela implique de s'éloigner quelque temps de la mer.
Mais la mer reste son seul objectif. Et elle y parvient à la mer.
Devons-nous toujours être le fleuve ?
Ne devons-nous pas parfois, souvent, être le ruisseau qui choisit un chemin différent et plus à notre portée ?
Qu'importe le chemin suivi, si nous arrivons à nos objectifs ? Si nous arrivons à accomplir notre mission ?
Xavier Guyaux, librement inspiré de « Le Guerrier de la Lumière » de P. Coelho
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