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Aménagements urbains de plus en plus abbérrants à Paris... non seulement, en France
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Aménagements urbains de plus en plus abbérrants à Paris... non seulement, en France
Paris semble être pris pour modèle et on peut constater les choses suivantes :
- des limitations stupides à 30 voire 20km/h alors qu'on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas 50. Idem pour le 70 passé à 50 et on se souvient du 80 au lieu du 90 sur des routes où on pourrait rouler à 110 car rien ne gène la route.
- des réductions de voies au-delà des normes, qui font que certains véhicules touchent le mobilier urbain. A Paris mais aussi à Aubervilliers, des barrières latérales en limite parfaite des voies, font que vous passez tout juste, mais que votre rétro touche la barrière. Est-ce que quelqu'un réfléchit et vérifie ces aménagements faits en dur, où on va même inventer des éléments inutiles sur le trottoir pour rendre le trottoir lui-même très serré à côté de la route.
- les bordures, bordurettes, murets divers sur la voirie. On a mis des bordurettes partout. C'est dangereux et ça ne protège pas les vélos et mes amis motards me disent que c'est très dangereux pour eux alors qu'on incite littéralement toute personne travaillant et devant se déplacer à passer à la moto, qui par ailleurs n'est jamais produite en France (on avait un minimum de jugeotte avant pour orienter la population là où on avait une expertise).
- les revêtements. On passe que ce soit sur route ou sur les trottoirs à des dallages ou des pavages, parfois de pierres mal dégrossies, notamment pour le piéton et même pas scellées, déjà déformés peu de temps après la pose. On a l'impression d'un manque de jugement ou d'une volonté de nuisance, et en tout cas d'une manque de savoir faire d'un pays arriéré qui en serait à inventer la voirie. Inutile de dire que les personnes âgées ou avec des problèmes, se déplacent difficilement et chutent et que les voitures, motos, vélos font du bruit en passant sur ces caillous, en plus de l'inconfort, voire du danger pour les vélos pour qui ces revêtements glissants peuvent provoquer des chutes sur mouillé.
- le nettoyage et l'entretien. Les villes ne nettoient plus leurs voiries. Et pour cause, avec les murets, bordurettes, pavés même pas scellés, nids de poules, le nettoyage automatique qui naguère passait très bien et était radical, quotidien, n'a plus aucun effet. Les maries, le sachant, envoient désormais des balayeurs balayer à la main comme au XiXe siècle, sans se poser plus de question que ça. La crasse, les rats, la poussière qui vous rentre dans les yeux au moindre vent sont omniprésents, et les particules que ce soit du pollen, des plastiques ou autres imports des pays limitrophes sont indéfiniment stockés sur la voirie et les voitures à part les soulever régulièrement n'y sont pour rien (on le sait).
L'entretien de la voirie est par ailleurs une catastrophe. Les aménagements multiples, mal réalisés, mal pensés, demandent des interventions très variées et bien plus nombreuses, qui n'ont pas lieu, bien évidemment et peu de temps après leur réalisation approximative ces aménagements de défont et rendent les déplacements cauchemardesques, avec notamment des obligations d'encercler des trottoirs entiers pour "protéger" les piétons qui sont obligés de faire des détours permanents (pour les voitures on le fait bien plus confortablement même si c'est une source de retards). Naguère (il y a encore une vingtaine d'années), la France, spécialistes des asphaltes et des ciments, fabriquaient elles-mêmes, ce qui permettait des interventions immédiates. Les ruptures de contrat en cascades ont fait décamper cette industrie de France et aujourd'hui il faut attendre des mois pour le moindre pavé ou dallage, quand on n'est pas obligé de refaire autrement le tour par manque du matériau choisit opportunément sur l'étalage mondial au moment des travaux sans penser à son entretien, et qui ne se fait plus. les asphaltes et les ciments n'ont plus aucune science et on prend ce qui traine alors que par exemple Paris, utilisait un asphalte drainant et acoustique (faible bruit) pour la route et un asphalte gris ou un ciment spécial, souple, chauffant moins au soleil pour les trottoirs, depuis Chirac maire, années 70.
D'ailleurs on a supprimé un nombre de bouches d'égoût à Paris, sous peine qu'elles étaient bouchés (pour cause de manque d'entretien (à savoir faire couler l'eau régulièrement dans les caniveaux - chose que les divers socialos-écolos ont arrêté de faire), et à la place des ralentisseurs viennent faire tampon : à la moindre pluie les rues se remplissent d'eau (menaçant dangereusement les RDC), avec des maires qui s'en servent pour argument pour crier au changement climatique alors qu'ils sont 100% responsables de la situation. On a aussi supprimé beaucoup d'égoûts haussmanniens pour les remplacer par des systèmes de campagne suédois. Haussmann c'est la bête noire d'Anne Hidalgo qui rêve d'un Paris "moderne" composé de barres HLM en bois. Résultat, en dehors de contrats d'entretien extravagants avec ces compagnies étrangères, une obligation de casser le trottoir pour toucher au moindre réseau défaillant (autant dire des travaux incessants en perspective).
- les transports en commun. On fait appel à des tramway, même là, comme à Paris pour le petite ceinture, où tout était prêt pour recevoir une ligne de métro. On a préféré transformer les couloirs du petit train décaissé qui n'attendait qu'un recouvrement des parties découvertes pour devenir un métro, en zone abandonnée à la nature, où désormais des millions de rats y trouvent refuge à côté des égouts et des carrières qui ne sont plus explorées et dératisées. Le rat, qu'il faut désormais appeler surmulot car le terme rat serait trop dégradant pour ce gentil animal aimé des écolo-socialstes.
Au niveau de la voirie le tramway est au service d'une occupation exhubérante de la surface de transport et qu'on recouvre de gazon protégé (interdit de traverser), quitte à raser des arbres pour permettre le passage du tramway. Inutile de dire qu'à la moindre panne, plus fréuqnete en surface qu'en souterrain, ces transports sur rail sont bloqués. Au même titre les autobus sont devenus énormes (ils ont même des dérogations pour leur gabarit à Paris, car au contraire du bon sens, ces autobus énormes permettent d'en réduire le nombre et donc la cadence gênant ainsi les transports à pied en plus de déranger toute la circulation voiture, car obligés souvent de chevaucher les trottoirs et murets particulièrement mal dimensionnés par le "nouvel" urbanisme. L'augmentation de taille des autobus n'est pas allée avec leur confort. En effet ceux-ci sont susceptibles d'entasser plus de monde, donc debout, et on a ainsi fait disparaitre bon nombre de sièges, notamment dans le sens de la marche pour des sièges latéraux. les dossiers en tissus rigide sont censés résister aux coups de canif mais ont perdu leur moelleux et semble-t-il leur tissus est une aubaine pour les punaises et leur transmission par rapport aux anciens sièges mousse-skai. De même si vous cherchez une climatisation en été, il faudra préférer la Suède, car en France on est écolo et on a un système de rafraichissement (particulièrement inefficace qui vous fait des autobus parisiens bondés à plus de 40°C quand il fait plus de 30°C à l'extérieur).
A noter que pour le moindre déménagement les maries, à l'image de Paris, autorisent des occupations de rue d'une journée entière avec dégagement en force des voiture face à l'immeuble dans les 24h à l'aide de la police municipale venant faire des faux constats (ils dressent des constats de véhicules laissés en place au petit matin alors qu'un panneau anti-daté de 48h de la veille au soir est posé en guise d'avertissement), donc amende plus mise en fourrière pour des voitures laissées dans leur bon droit pour la semaine sous parking résidentiel payé. Donc blocage des rues, déménagements en fourrière abusifs avec l'aide de faux de la police municipale. A noter que cette procédure n'est en principe à utiliser qu'en cas de force majeure (j'ai consulté la loi et les décrets municipaux), qui n'a rien avoir avec un déménagement, mais visiblement c'est devenu la règle, constaté sur deux rues proches de chez moi.
Tout ça étant couvert et encouragé par les préfets macronistes, preuve que tout ce petit monde est de mèche contre NOUS.
La destruction de la France avance plus vite qu'on ne le pense.
- des limitations stupides à 30 voire 20km/h alors qu'on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas 50. Idem pour le 70 passé à 50 et on se souvient du 80 au lieu du 90 sur des routes où on pourrait rouler à 110 car rien ne gène la route.
- des réductions de voies au-delà des normes, qui font que certains véhicules touchent le mobilier urbain. A Paris mais aussi à Aubervilliers, des barrières latérales en limite parfaite des voies, font que vous passez tout juste, mais que votre rétro touche la barrière. Est-ce que quelqu'un réfléchit et vérifie ces aménagements faits en dur, où on va même inventer des éléments inutiles sur le trottoir pour rendre le trottoir lui-même très serré à côté de la route.
- les bordures, bordurettes, murets divers sur la voirie. On a mis des bordurettes partout. C'est dangereux et ça ne protège pas les vélos et mes amis motards me disent que c'est très dangereux pour eux alors qu'on incite littéralement toute personne travaillant et devant se déplacer à passer à la moto, qui par ailleurs n'est jamais produite en France (on avait un minimum de jugeotte avant pour orienter la population là où on avait une expertise).
- les revêtements. On passe que ce soit sur route ou sur les trottoirs à des dallages ou des pavages, parfois de pierres mal dégrossies, notamment pour le piéton et même pas scellées, déjà déformés peu de temps après la pose. On a l'impression d'un manque de jugement ou d'une volonté de nuisance, et en tout cas d'une manque de savoir faire d'un pays arriéré qui en serait à inventer la voirie. Inutile de dire que les personnes âgées ou avec des problèmes, se déplacent difficilement et chutent et que les voitures, motos, vélos font du bruit en passant sur ces caillous, en plus de l'inconfort, voire du danger pour les vélos pour qui ces revêtements glissants peuvent provoquer des chutes sur mouillé.
- le nettoyage et l'entretien. Les villes ne nettoient plus leurs voiries. Et pour cause, avec les murets, bordurettes, pavés même pas scellés, nids de poules, le nettoyage automatique qui naguère passait très bien et était radical, quotidien, n'a plus aucun effet. Les maries, le sachant, envoient désormais des balayeurs balayer à la main comme au XiXe siècle, sans se poser plus de question que ça. La crasse, les rats, la poussière qui vous rentre dans les yeux au moindre vent sont omniprésents, et les particules que ce soit du pollen, des plastiques ou autres imports des pays limitrophes sont indéfiniment stockés sur la voirie et les voitures à part les soulever régulièrement n'y sont pour rien (on le sait).
L'entretien de la voirie est par ailleurs une catastrophe. Les aménagements multiples, mal réalisés, mal pensés, demandent des interventions très variées et bien plus nombreuses, qui n'ont pas lieu, bien évidemment et peu de temps après leur réalisation approximative ces aménagements de défont et rendent les déplacements cauchemardesques, avec notamment des obligations d'encercler des trottoirs entiers pour "protéger" les piétons qui sont obligés de faire des détours permanents (pour les voitures on le fait bien plus confortablement même si c'est une source de retards). Naguère (il y a encore une vingtaine d'années), la France, spécialistes des asphaltes et des ciments, fabriquaient elles-mêmes, ce qui permettait des interventions immédiates. Les ruptures de contrat en cascades ont fait décamper cette industrie de France et aujourd'hui il faut attendre des mois pour le moindre pavé ou dallage, quand on n'est pas obligé de refaire autrement le tour par manque du matériau choisit opportunément sur l'étalage mondial au moment des travaux sans penser à son entretien, et qui ne se fait plus. les asphaltes et les ciments n'ont plus aucune science et on prend ce qui traine alors que par exemple Paris, utilisait un asphalte drainant et acoustique (faible bruit) pour la route et un asphalte gris ou un ciment spécial, souple, chauffant moins au soleil pour les trottoirs, depuis Chirac maire, années 70.
D'ailleurs on a supprimé un nombre de bouches d'égoût à Paris, sous peine qu'elles étaient bouchés (pour cause de manque d'entretien (à savoir faire couler l'eau régulièrement dans les caniveaux - chose que les divers socialos-écolos ont arrêté de faire), et à la place des ralentisseurs viennent faire tampon : à la moindre pluie les rues se remplissent d'eau (menaçant dangereusement les RDC), avec des maires qui s'en servent pour argument pour crier au changement climatique alors qu'ils sont 100% responsables de la situation. On a aussi supprimé beaucoup d'égoûts haussmanniens pour les remplacer par des systèmes de campagne suédois. Haussmann c'est la bête noire d'Anne Hidalgo qui rêve d'un Paris "moderne" composé de barres HLM en bois. Résultat, en dehors de contrats d'entretien extravagants avec ces compagnies étrangères, une obligation de casser le trottoir pour toucher au moindre réseau défaillant (autant dire des travaux incessants en perspective).
- les transports en commun. On fait appel à des tramway, même là, comme à Paris pour le petite ceinture, où tout était prêt pour recevoir une ligne de métro. On a préféré transformer les couloirs du petit train décaissé qui n'attendait qu'un recouvrement des parties découvertes pour devenir un métro, en zone abandonnée à la nature, où désormais des millions de rats y trouvent refuge à côté des égouts et des carrières qui ne sont plus explorées et dératisées. Le rat, qu'il faut désormais appeler surmulot car le terme rat serait trop dégradant pour ce gentil animal aimé des écolo-socialstes.
Au niveau de la voirie le tramway est au service d'une occupation exhubérante de la surface de transport et qu'on recouvre de gazon protégé (interdit de traverser), quitte à raser des arbres pour permettre le passage du tramway. Inutile de dire qu'à la moindre panne, plus fréuqnete en surface qu'en souterrain, ces transports sur rail sont bloqués. Au même titre les autobus sont devenus énormes (ils ont même des dérogations pour leur gabarit à Paris, car au contraire du bon sens, ces autobus énormes permettent d'en réduire le nombre et donc la cadence gênant ainsi les transports à pied en plus de déranger toute la circulation voiture, car obligés souvent de chevaucher les trottoirs et murets particulièrement mal dimensionnés par le "nouvel" urbanisme. L'augmentation de taille des autobus n'est pas allée avec leur confort. En effet ceux-ci sont susceptibles d'entasser plus de monde, donc debout, et on a ainsi fait disparaitre bon nombre de sièges, notamment dans le sens de la marche pour des sièges latéraux. les dossiers en tissus rigide sont censés résister aux coups de canif mais ont perdu leur moelleux et semble-t-il leur tissus est une aubaine pour les punaises et leur transmission par rapport aux anciens sièges mousse-skai. De même si vous cherchez une climatisation en été, il faudra préférer la Suède, car en France on est écolo et on a un système de rafraichissement (particulièrement inefficace qui vous fait des autobus parisiens bondés à plus de 40°C quand il fait plus de 30°C à l'extérieur).
A noter que pour le moindre déménagement les maries, à l'image de Paris, autorisent des occupations de rue d'une journée entière avec dégagement en force des voiture face à l'immeuble dans les 24h à l'aide de la police municipale venant faire des faux constats (ils dressent des constats de véhicules laissés en place au petit matin alors qu'un panneau anti-daté de 48h de la veille au soir est posé en guise d'avertissement), donc amende plus mise en fourrière pour des voitures laissées dans leur bon droit pour la semaine sous parking résidentiel payé. Donc blocage des rues, déménagements en fourrière abusifs avec l'aide de faux de la police municipale. A noter que cette procédure n'est en principe à utiliser qu'en cas de force majeure (j'ai consulté la loi et les décrets municipaux), qui n'a rien avoir avec un déménagement, mais visiblement c'est devenu la règle, constaté sur deux rues proches de chez moi.
Tout ça étant couvert et encouragé par les préfets macronistes, preuve que tout ce petit monde est de mèche contre NOUS.
La destruction de la France avance plus vite qu'on ne le pense.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9233
Date d'inscription : 31/07/2021
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