ARGENTINE : le nouveau président ultralibéral Javier MILEI, doit déjà faire face à de nombreuses manifestations

[Vladimir de Volog]

ARGENTINE : le nouveau président ultralibéral Javier MILEI, doit déjà faire face à de nombreuses manifestations.

En Argentine, « une partie de la classe moyenne qui a voté Javier Milei s’y oppose déjà »

À peine élu, le président ultralibéral argentin, Javier Milei, doit déjà faire face à de nombreuses manifestations. Un appel à la grève générale a été lancé pour le 24 janvier 2024. Maricel Rodriguez Blanco, docteure en sociologie et maîtresse de conférence à l’Institut Catholique de Paris, explique la raison de la colère en Argentine. Entretien.

Le 24 janvier 2024, les Argentines et Argentins sont appelés à une grève générale. La raison de la colère ? Les premières mesures annoncées par le tout nouveau président ultralibéral, Javier Milei, élu en novembre 2023. Un décret de « nécessité et d’urgence », publié le 20 décembre, est techniquement déjà entré en vigueur, mais sous réserve d’approbation ultérieure par le parlement.

Le 24 janvier 2024, les Argentines et Argentins sont appelés à une grève générale. La raison de la colère ? Les premières mesures annoncées par le tout nouveau président ultralibéral, Javier Milei, élu en novembre 2023. Un décret de « nécessité et d’urgence », publié le 20 décembre, est techniquement déjà entré en vigueur, mais sous réserve d’approbation ultérieure par le parlement.

Un autre vaste train de réformes, appelé « loi omnibus », doit lui aussi être examiné par le parlement. Plusieurs manifestations ont déjà eu lieu un peu partout dans le pays pour s’opposer à ces textes. Comment expliquer une telle mobilisation ?

Explications avec Maricel Rodriguez Blanco, docteure en sociologie et maîtresse de conférence à l’Institut Catholique de Paris.

la suite sur  :

https://www.ouest-france.fr/monde/argentine/javier-milei/entretien-en-argentine-une-partie-de-la-classe-moyenne-qui-a-vote-javier-milei-sy-oppose-deja-fd20d960-a657-11ee-bd70-78fa15e16d04

[Jeannot Lapin]

C'est ce que disent les journalistes (ou les gauchistes mais c'est pareil) en France.
En attendant, les meneurs des manifs devront payer la casse. Une très bonne mesure dont on devrait s'inspirer.

[Revanchisti]

Revendications claires et précises?

[Revanchisti]

O.K ce sont des traumatisé du FMI (et l'argentine il y en a des traumatisé du FMI plus que du Peronisme.)

Et un soulèvent contre une violation de la constitution.
Sans parler de la concertation du pouvoir présidentiel.

Preuve que les libertariens en cette matière ne sont pas si différents des libéraux : hypocrites.
Des dictateurs en herbes.

[Vladimir de Volog]

C'est ce que disent les journalistes (ou les gauchistes mais c'est pareil)  

Ha bon et depuis quand West France est gauchiste  ??


Jeannot Lapin à 2:41 du mat, n'est pas bien clair semble-t-il ..........

[Jeannot Lapin]

C'est ce que disent les journalistes (ou les gauchistes mais c'est pareil)  

Ha bon et depuis quand West France est gauchiste  ??


Jeannot Lapin à 2:41  du mat,  n'est pas bien clair semble-t-il ..........          

Je sais pas je le lis pas.

[Vladimir de Volog]

ARGENTINE : le nouveau président ultralibéral Javier MILEI, doit déjà faire face à de nombreuses manifestations.

En Argentine, « une partie de la classe moyenne qui a voté Javier Milei s’y oppose déjà »

À peine élu, le président ultralibéral argentin, Javier Milei, doit déjà faire face à de nombreuses manifestations. Un appel à la grève générale a été lancé pour le 24 janvier 2024. Maricel Rodriguez Blanco, docteure en sociologie et maîtresse de conférence à l’Institut Catholique de Paris, explique la raison de la colère en Argentine. Entretien.

Le 24 janvier 2024, les Argentines et Argentins sont appelés à une grève générale. La raison de la colère ? Les premières mesures annoncées par le tout nouveau président ultralibéral, Javier Milei, élu en novembre 2023. Un décret de « nécessité et d’urgence », publié le 20 décembre, est techniquement déjà entré en vigueur, mais sous réserve d’approbation ultérieure par le parlement.

Le 24 janvier 2024, les Argentines et Argentins sont appelés à une grève générale. La raison de la colère ? Les premières mesures annoncées par le tout nouveau président ultralibéral, Javier Milei, élu en novembre 2023. Un décret de « nécessité et d’urgence », publié le 20 décembre, est techniquement déjà entré en vigueur, mais sous réserve d’approbation ultérieure par le parlement.

Un autre vaste train de réformes, appelé « loi omnibus », doit lui aussi être examiné par le parlement. Plusieurs manifestations ont déjà eu lieu un peu partout dans le pays pour s’opposer à ces textes. Comment expliquer une telle mobilisation ?

Explications avec Maricel Rodriguez Blanco, docteure en sociologie et maîtresse de conférence à l’Institut Catholique de Paris.

la suite sur  :

https://www.ouest-france.fr/monde/argentine/javier-milei/entretien-en-argentine-une-partie-de-la-classe-moyenne-qui-a-vote-javier-milei-sy-oppose-deja-fd20d960-a657-11ee-bd70-78fa15e16d04

Des manifestants protestent à Buenos Aires, mercredi 27 décembre 2023,
contre le décret de nécessité et d’urgence (DNU) pris par le Président Javier Milei.

[Vladimir de Volog]

Des manifestants réunis devant le palais de justice de Buenos Aires, mercredi 27 décembre 2023

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