Le Maire : la continuité d’une sale politique

[Vladimir de Volog]

« Le plus dur est devant nous ! », a déclaré le ministre de l’Économie Bruno Le Maire le 8 janvier, se prenant pour Churchill qui, lors de la Deuxième Guerre mondiale, promettait aux Britanniques du sang et des larmes : « Nous devons trouver au minimum 12 milliards d’euros d’économies en 2025. »

Pour l’instant, Le Maire n’a pas encore précisé où il compte trouver cette somme, seules quelques pistes ont été évoquées : réduire le chômage, revoir les dispositifs d’aides sociales et fiscales pour ce que le gouvernement appelle les classes moyennes, c’est-à-dire, en clair, les travailleurs ayant un salaire qui leur permet encore de vivre sans trop se priver ; ou, pourquoi pas, en rédui­sant le nombre d’enseignants, sous prétexte d’une baisse du nombre d’élèves. En résumé, Le Maire entend poursuivre la même politique qui est de pressurer les travailleurs et d’attaquer encore plus les services publics, afin de pouvoir continuer à arroser les parasites que sont les capitalistes.

À supposer que 12 milliards soient réellement indispensables pour équilibrer le budget, Le Maire n’aurait pourtant aucune difficulté à les trouver… à condition de regarder dans la bonne direction. Cette somme correspond exactement à l’accroissement de la fortune du milliardaire Bernard Arnault quand, le 14 avril dernier, il avait suffi au groupe d’annoncer une hausse de 17 % sur la vente de ses produits de luxe pour lui permettre de l’empocher. Ou encore, la suppression de l’ISF (impôt sur la fortune) sur quatre ans, où les plus riches contribuables n’étaient plus taxés que sur leur fortune immobilière, correspond à la somme qui ferait défaut aux finances publiques.

Pourtant, ces 12 milliards dont profitent les plus riches ne sont que de la petite bière face à tous les cadeaux faits aux entreprises ces dernières années, comme le CICE, la baisse de l’impôt sur les sociétés, celle des impôts de production, etc. Sans parler des hausses du budget militaire qui vont directement dans les coffres-forts des Thales, Dassault et Safran, pour ne citer qu’un échantillon de la grande fratrie des profiteurs de guerre.

source : article de Marianne LAMIRAL

[Jeannot Lapin]

Le Maire est le type le moins écouté du gouvernement. Il se couche devant n'importe quelle autre affirmation de Macron ou d'un autre ministre. Ses déclaration comptent pour du beurre et ses prévisions sont bidon.

Le meilleur exemple a été le moment du Covid et les différents enjeux économiques de la France.
Absolument tout ce qu'il souhaitait comme une nécessité a été nié ou renié par une autre ministère qui a eu gain de cause, contre nos intérêts (c'est Le Maire qui avait raison).

[Vladimir de Volog]

Le Maire est le type le moins écouté du gouvernement. Il se couche devant n'importe quelle autre affirmation de Macron ou d'un autre ministre. Ses déclaration comptent pour du beurre et ses prévisions sont bidon.

Le meilleur exemple a été le moment du Covid et les différents enjeux économiques de la France.
Absolument tout ce qu'il souhaitait comme une nécessité a été nié ou renié par une autre ministère qui a eu gain de cause, contre nos intérêts (c'est Le Maire qui avait raison).

C'est bien le sujet de ce topic :


Le Maire : la continuité d’une sale politique

[Clavier]

Le Maire est un génie qui a voulu mettre l'économie de la Russie à genoux ....et a mis la nôtre par terre
Le roi du billard à deux bandes

[Vladimir de Volog]

Le Maire est un génie qui a voulu mettre l'économie de la Russie à genoux ....et a mis la nôtre par terre  
Le roi du billard à deux bandes  

"""Le Maire est un génie """,



pour moi, ce n'est qu'un valet de l'ultralibéralisme, qui mène une politique dans l'intérêt de ses maitres.

[Jeannot Lapin]

Le Maire est un génie qui a voulu mettre l'économie de la Russie à genoux ....et a mis la nôtre par terre  
Le roi du billard à deux bandes  

On est pas franchement affectés, surtout qu'en fait l'Ukraine n'a quasiment rien reçu de nous. On s'est débarrassé d'une ferraille qu'on sait pas recycler par manque d'industrie sidérurgique, et qu'on a requalifié en valeur du neuf (ça a fait tiquer pas mal de monde). Quand aux Césars, ils coûtent pas cher et ce sont les pays qu'on livrait qui leur ont donné en grande partie.

Par contre, il faut pas croire, la Russie est sérieusement affectée, mais en même temps, elle se sert intelligemment de cette situation pour mobiliser manu militari une population traditionnellement léthargique et paresseuse.

Si on avait été intelligents, en France... on en aurait même profité durant la crise énergétique, au lieu d'importer le rab d'électricté nécessaire d'Allemagne au prix exponentiel du gaz et du charbon alors qu'on se refusait d'ouvrir nos propres centrales équivalentes, et si on avait vraiment mis les bouchées doubles on serait en train de livrer tout le monde en armement. Mais tout ce qui n'a pas été fait sur ce point, c'est Macron qui en est directement responsable.
Je n'en dirai pas plus sur comment on a laissé pourrir la situation face aux coups d'Etats en Afrique orchestrés par la Russie, au grand jour, alors qu'on avait mis du temps à mettre en place des dirigeants élus et un semblant de démocratie.

[Frelon]

Tu rêves jeannot Lapin l'industrie de l'armement française, elle est morte avec Mitterand au siècle passé . Disparition des groupes Thomson, Luchaire, Gevelot ,Matra armement, etc etc etc. Les machines ont été revendues aux pays d'Europe de l'est comme la tchequie, ou réintégré en Allemagne ou en Suisse.
Il n'y a plus d'industrie d'armement hors aéronautique en France.

[Vladimir de Volog]

« Le plus dur est devant nous ! », a déclaré le ministre de l’Économie Bruno Le Maire le 8 janvier, se prenant pour Churchill qui, lors de la Deuxième Guerre mondiale, promettait aux Britanniques du sang et des larmes : « Nous devons trouver au minimum 12 milliards d’euros d’économies en 2025. »

Pour l’instant, Le Maire n’a pas encore précisé où il compte trouver cette somme, seules quelques pistes ont été évoquées : réduire le chômage, revoir les dispositifs d’aides sociales et fiscales pour ce que le gouvernement appelle les classes moyennes, c’est-à-dire, en clair, les travailleurs ayant un salaire qui leur permet encore de vivre sans trop se priver ; ou, pourquoi pas, en rédui­sant le nombre d’enseignants, sous prétexte d’une baisse du nombre d’élèves. En résumé, Le Maire entend poursuivre la même politique qui est de pressurer les travailleurs et d’attaquer encore plus les services publics, afin de pouvoir continuer à arroser les parasites que sont les capitalistes.

À supposer que 12 milliards soient réellement indispensables pour équilibrer le budget, Le Maire n’aurait pourtant aucune difficulté à les trouver… à condition de regarder dans la bonne direction. Cette somme correspond exactement à l’accroissement de la fortune du milliardaire Bernard Arnault quand, le 14 avril dernier, il avait suffi au groupe d’annoncer une hausse de 17 % sur la vente de ses produits de luxe pour lui permettre de l’empocher. Ou encore, la suppression de l’ISF (impôt sur la fortune) sur quatre ans, où les plus riches contribuables n’étaient plus taxés que sur leur fortune immobilière, correspond à la somme qui ferait défaut aux finances publiques.

Pourtant, ces 12 milliards dont profitent les plus riches ne sont que de la petite bière face à tous les cadeaux faits aux entreprises ces dernières années, comme le CICE, la baisse de l’impôt sur les sociétés, celle des impôts de production, etc. Sans parler des hausses du budget militaire qui vont directement dans les coffres-forts des Thales, Dassault et Safran, pour ne citer qu’un échantillon de la grande fratrie des profiteurs de guerre.

source  :  article de Marianne LAMIRAL

[Revanchisti]

C'est clair que le maire a plus le costard d'un paillassons que d'un décideur.

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