Mort aux urgences de Hyères : le calvaire de Lucas, 25 ans

[Héloïse de Salm]

[Monsieur Trololo]

C'est encore un attentat islamiste ?

[Jeannot Lapin]

Ca m'étonne nullement. Il faut éviter les hôpitaux publics comme la peste. On n'y est pas bien traité. Aucune organisation destinée à soigner et personnel complètement je m'en-foutiste et imbu de lui-même. Mieux essayer survivre chez soi et attendre d'aller dans une clinique privée.

[Edouard de Montmonrency]

La France n'est plus ce qu'elle était, dans tous les domaines. (c'est la décadence, et les jeunes de moins de 30 ans ne peuvent pas connaître)

[Jeannot Lapin]

La France n'est plus ce qu'elle était, dans tous les domaines. (c'est la décadence, et les jeunes de moins de 30 ans ne peuvent pas connaître)

Je pense, en ayant assisté, de l'extérieur, que deux choses ont tué l'hôpital public :
- la montée en puissance du personnel soignant de base et de son autorité, de même que la bureaucratie qui prime sur le soin. C'est arrivé sous Mitterand à partir du milieu des années 80, du moins en ressenti.
- les 35h donc autour de l'an 2000. Là ça a été tout de suite plus rien qui marchait. Tout le monde a jeté l'éponge. Il faut savoir qu'avant c'était 40h + les heures sup pour tout le monde. Ca a fait en gros 1/4 des heures en moins à coûts à peine inférieur et les nouveaux engagés n'ont rien réglé. On est toujours plus efficace quand on a un travail et un suivi long qu'à venir sur un période plus courte.

En gros il faudrait remettre directement en vigueur les 48h hebdomadaires, standard Européen, sinon actuellement tout le monde va pas supporter de faire quelques heures en plus (à 40h) et tirer sur des heures sup. Il va falloir aussi faire tourner les hopitaux depuis tôt le matin à tard le soir en 2x8, histoire d'être disponible et d'amortir l'équipement. Donc classiquement 7h à 23 (au lieu d'un seul service 9h/17h actuel) + heures de garde sous forme  d'heures sup exceptionnelles à 56h/semaine (droit européen toujours). Dans le personnel, il y en a beaucoup d'inutiles qui ne font rien à part bavarder. C'est flagrant quand on visite un hôpital public.
Et puis il faudra virer le trésor public (doublon de surveillance inutile étatiste - soit 1/3 du personnel voire plus d'un hôpital public) et assurer une gestion indépendante pour chaque hôpital, un peu comme un hôpital privé. Dans le privé on voit pas de soignant se tourner les pouces pendant que des malades attendent.
Pourquoi les hôpitaux privés, conventionnés, c'est à dire à but non lucratif, vivant de dons pour s'équiper et remboursés par la sécu comme les hôpitaux publics, sont positifs dans leur gestion et leur fonctionnement beaucoup plus efficace, tout en demandant nettement moins d'investissements ??? C'est le modèle qu'il faudra imposer à l'hôpital public. Au lieu de ça on vient de faire le contraire depuis plusieurs années en les regroupant tous par région. L'irresponsabilité est aux commandes.

Bien sûr, si on fait ça, beaucoup de monde viré qui se la coulait douce va manifester... il faudra supporter et ils finiront pas se recaser ailleurs en se mettant à bosser.

[Edouard de Montmonrency]

La France n'est plus ce qu'elle était, dans tous les domaines. (c'est la décadence, et les jeunes de moins de 30 ans ne peuvent pas connaître)

Je pense, en ayant assisté, de l'extérieur, que deux choses ont tué l'hôpital public :
- la montée en puissance du personnel soignant de base et de son autorité, de même que la bureaucratie qui prime sur le soin. C'est arrivé sous Mitterand à partir du milieu des années 80, du moins en ressenti.
- les 35h donc autour de l'an 2000. Là ça a été tout de suite plus rien qui marchait. Tout le monde a jeté l'éponge. Il faut savoir qu'avant c'était 40h + les heures sup pour tout le monde. Ca a fait en gros 1/4 des heures en moins à coûts à peine inférieur et les nouveaux engagés n'ont rien réglé. On est toujours plus efficace quand on a un travail et un suivi long qu'à venir sur un période plus courte.

En gros il faudrait remettre directement en vigueur les 48h hebdomadaires, standard Européen, sinon actuellement tout le monde va pas supporter de faire quelques heures en plus (à 40h) et tirer sur des heures sup. Il va falloir aussi faire tourner les hopitaux depuis tôt le matin à tard le soir en 2x8, histoire d'être disponible et d'amortir l'équipement. Donc classiquement 7h à 23 (au lieu d'un seul service 9h/17h actuel) + heures de garde sous forme  d'heures sup exceptionnelles à 56h/semaine (droit européen toujours). Dans le personnel, il y en a beaucoup d'inutiles qui ne font rien à part bavarder. C'est flagrant quand on visite un hôpital public.
Et puis il faudra virer le trésor public (doublon de surveillance inutile étatiste - soit 1/3 du personnel voire plus d'un hôpital public) et assurer une gestion indépendante pour chaque hôpital, un peu comme un hôpital privé. Dans le privé on voit pas de soignant se tourner les pouces pendant que des malades attendent.
Pourquoi les hôpitaux privés, conventionnés, c'est à dire à but non lucratif, vivant de dons pour s'équiper et remboursés par la sécu comme les hôpitaux publics, sont positifs dans leur gestion et leur fonctionnement beaucoup plus efficace, tout en demandant nettement moins d'investissements ??? C'est le modèle qu'il faudra imposer à l'hôpital public. Au lieu de ça on vient de faire le contraire depuis plusieurs années en les regroupant tous par région. L'irresponsabilité est aux commandes.

Bien sûr, si on fait ça, beaucoup de monde viré qui se la coulait douce va manifester... il faudra supporter et ils finiront pas se recaser ailleurs en se mettant à bosser.

Avec les 3% de déficit budgétaire maxi de l'UE, ça a forcer la France de faire des coupes budgétaires drastiques depuis 20 ans sur le régalien ... avec ça, il y a des conséquences.

On n'avait pas de masques pour le covid à cause de ça aussi.

[Anaëlle de Saint-Bris]

Ca m'étonne nullement. Il faut éviter les hôpitaux publics comme la peste. On n'y est pas bien traité. Aucune organisation destinée à soigner et personnel complètement je m'en-foutiste et imbu de lui-même. Mieux essayer survivre chez soi et attendre d'aller dans une clinique privée.

Mais c'est totalement faux. Pourquoi salissez-vous les personnels qui pratiquent des métiers difficiles physiquement, psychologiquement, nerveusement ? des abrutis on peut en trouver partout, le soin public n'en abrite pas plus qu'ailleurs.

[Edouard de Montmonrency]

Ca m'étonne nullement. Il faut éviter les hôpitaux publics comme la peste. On n'y est pas bien traité. Aucune organisation destinée à soigner et personnel complètement je m'en-foutiste et imbu de lui-même. Mieux essayer survivre chez soi et attendre d'aller dans une clinique privée.

Mais c'est totalement faux. Pourquoi salissez-vous les personnels qui pratiquent des métiers difficiles physiquement, psychologiquement, nerveusement ? des abrutis on peut en trouver partout, le soin public n'en abrite pas plus qu'ailleurs.

Ca existe aussi, mais c'est encore très minoritaire.

[Minos de Rhadamanthe]

Ca m'étonne nullement. Il faut éviter les hôpitaux publics comme la peste. On n'y est pas bien traité. Aucune organisation destinée à soigner et personnel complètement je m'en-foutiste et imbu de lui-même. Mieux essayer survivre chez soi et attendre d'aller dans une clinique privée.

Oui et...non...
J'ai du tester les urgences d'un hôpital public durant un WE...
On constate un sous effectif flagrant, les infirmières et le peu de médecins (souvent étrangers) présent courent entre les patients et le bureau pour remplir les papiers administratifs, et franchement, je suis admiratif de ces gens qui ont encore la foi et sans qui l'hôpital public serait mort de puis longtemps car RIEN n'est fait par les autorités pour améliorer les choses (bien au contraire !)

Alors OUI, l'hôpital public est dangereux, mais ce n'est pas sa faute...
S'il faut pointer du doigt des responsables, il faut aller les chercher beaucoup plus haut, chez les traitres à la nation !!!

[Maledico Proditores]

Un aide-soignant de 54 ans, marié et père de famille, vient d’être écroué à Nice. Il est soupçonné d’avoir violé une patiente de l’hôpital Pasteur. Un infirmier, qui avait des doutes sur le comportement de son collègue, l’a surpris récemment en train d’agresser une malade qui était sédatée. Il aurait filmé l’aide-soignant en pleine agression dans le service de réanimation.

Cette pièce à conviction risque de peser très lourd. Placé en garde à vue mardi, le suspect aurait d’abord nié avant d’être confronté aux images accablantes. Déféré au parquet puis présenté à un juge d’instruction, il a été mis en examen pour viol sur personne vulnérable puis placé en détention provisoire dans la nuit de jeudi à vendredi.

La brigade criminelle de la sûreté départementale doit poursuivre les investigations avec le juge d’instruction pour identifier éventuellement d’autres victimes.

L’individu travaillerait de nuit, en service de réanimation, depuis au moins dix ans. En 2019, des soupçons auraient déjà pesé sur cet employé sans que des charges suffisantes, manifestement, n’aient pu être réunies contre lui.

++++++

En septembre 2024, un chirurgien comparaîtra à Vannes, accusé d’avoir violé ou agressé sexuellement 312 de ses jeunes patients entre 1986 et 2014.


++++++++++++++++++++++++++++

Il faut choisir dans ce métier " violer ou sauver ": eux, ils ont choisi la baise

[Anaëlle de Saint-Bris]

Un aide-soignant de 54 ans, marié et père de famille, vient d’être écroué à Nice. Il est soupçonné d’avoir violé une patiente de l’hôpital Pasteur. Un infirmier, qui avait des doutes sur le comportement de son collègue, l’a surpris récemment en train d’agresser une malade qui était sédatée. Il aurait filmé l’aide-soignant en pleine agression dans le service de réanimation.

Comment peut-on filmer la scène sans intervenir ? je crois qu'entre le téléphone portable et la bassine d'eau fraîche j'aurais vite fait mon choix.

[Jeannot Lapin]

La France n'est plus ce qu'elle était, dans tous les domaines. (c'est la décadence, et les jeunes de moins de 30 ans ne peuvent pas connaître)

Je pense, en ayant assisté, de l'extérieur, que deux choses ont tué l'hôpital public :
- la montée en puissance du personnel soignant de base et de son autorité, de même que la bureaucratie qui prime sur le soin. C'est arrivé sous Mitterand à partir du milieu des années 80, du moins en ressenti.
- les 35h donc autour de l'an 2000. Là ça a été tout de suite plus rien qui marchait. Tout le monde a jeté l'éponge. Il faut savoir qu'avant c'était 40h + les heures sup pour tout le monde. Ca a fait en gros 1/4 des heures en moins à coûts à peine inférieur et les nouveaux engagés n'ont rien réglé. On est toujours plus efficace quand on a un travail et un suivi long qu'à venir sur un période plus courte.

En gros il faudrait remettre directement en vigueur les 48h hebdomadaires, standard Européen, sinon actuellement tout le monde va pas supporter de faire quelques heures en plus (à 40h) et tirer sur des heures sup. Il va falloir aussi faire tourner les hopitaux depuis tôt le matin à tard le soir en 2x8, histoire d'être disponible et d'amortir l'équipement. Donc classiquement 7h à 23 (au lieu d'un seul service 9h/17h actuel) + heures de garde sous forme  d'heures sup exceptionnelles à 56h/semaine (droit européen toujours). Dans le personnel, il y en a beaucoup d'inutiles qui ne font rien à part bavarder. C'est flagrant quand on visite un hôpital public.
Et puis il faudra virer le trésor public (doublon de surveillance inutile étatiste - soit 1/3 du personnel voire plus d'un hôpital public) et assurer une gestion indépendante pour chaque hôpital, un peu comme un hôpital privé. Dans le privé on voit pas de soignant se tourner les pouces pendant que des malades attendent.
Pourquoi les hôpitaux privés, conventionnés, c'est à dire à but non lucratif, vivant de dons pour s'équiper et remboursés par la sécu comme les hôpitaux publics, sont positifs dans leur gestion et leur fonctionnement beaucoup plus efficace, tout en demandant nettement moins d'investissements ??? C'est le modèle qu'il faudra imposer à l'hôpital public. Au lieu de ça on vient de faire le contraire depuis plusieurs années en les regroupant tous par région. L'irresponsabilité est aux commandes.

Bien sûr, si on fait ça, beaucoup de monde viré qui se la coulait douce va manifester... il faudra supporter et ils finiront pas se recaser ailleurs en se mettant à bosser.

Avec les 3% de déficit budgétaire maxi de l'UE, ça a forcer la France de faire des coupes budgétaires drastiques depuis 20 ans sur le régalien ... avec ça, il y a des conséquences.

On n'avait pas de masques pour le covid à cause de ça aussi.

On avait 0 de déficit du temps où les hôpitaux marchaient et pas de dette. On faisait comment ?
On bossait, 40h/semaine, retraite à 65 ans, pas de RSA et le chômage on le touchait si on avait bossé avant, pendant un temps, et on touchait pas de retraite si on avait pas travaillé en France... et on avait des frontières surveillées.
Dans les hôpitaux il n'y avait que strictement le personnel nécessaire et je me rappelle pas de la bureaucratie délirante qu'on a commencé à avoir début des années 90, même au milieu des années 80.

Et puis le budget masques, qu'on fabriquait en France était de l'ordre de quelques dizaines de millions par an pour l'entretenir. Ca nous a coûté plusieurs centaines de milliards de dette de pas en avoir.... alors que quelques années plus tôt on était encore prêts, et d'ailleurs les seuls au monde.
Pour info, on a toujours pas les masques et on les fabrique toujours plus. Nouvelle épidémie, même topo... sauf que tout le monde a des masques chez lui (j'espère que la leçon est apprise - ne plus compter que sur soi-même - le gouvernement est contre nous).

Bref, on peut tout remettre en marche, et en sortant du Schengen de l'immigration, il n'y aurait plus que les 120% de dette contractés inutilement qu'on aurait à rembourser et puis réindustrialiser (mais c'est pas avec les aumônes d'Etat de Macron qu'on réindustrialise mais en attirant les capitaux).

[Jeannot Lapin]

Un aide-soignant de 54 ans, marié et père de famille, vient d’être écroué à Nice. Il est soupçonné d’avoir violé une patiente de l’hôpital Pasteur. Un infirmier, qui avait des doutes sur le comportement de son collègue, l’a surpris récemment en train d’agresser une malade qui était sédatée. Il aurait filmé l’aide-soignant en pleine agression dans le service de réanimation.

Comment peut-on filmer la scène sans intervenir ? je crois qu'entre le téléphone portable et la bassine d'eau fraîche j'aurais vite fait mon choix.

Compliqué. Il aurait jamais été pris sur le fait et celui qui l'en empêchait cru... et comme ça on peut regarder sa procédure et voir sur ce qu'il a pu faire par le passé (en général ces gens procèdent de la même manière). Par ailleurs il aurait pu laisser trainer son smartphone sans y être, pour pas se faire remarquer.

[Jeannot Lapin]

Ca m'étonne nullement. Il faut éviter les hôpitaux publics comme la peste. On n'y est pas bien traité. Aucune organisation destinée à soigner et personnel complètement je m'en-foutiste et imbu de lui-même. Mieux essayer survivre chez soi et attendre d'aller dans une clinique privée.

Mais c'est totalement faux. Pourquoi salissez-vous les personnels qui pratiquent des métiers difficiles physiquement, psychologiquement, nerveusement ? des abrutis on peut en trouver partout, le soin public n'en abrite pas plus qu'ailleurs.

Si justement, à ce que je vois, les hopitaux publics sont devenus, comme je l'ai déjà dit, l'hébergement des cancres du système soignant avec un fonctionnement on ne peut plus dilettante et orienté pour caser les amis et les glandeurs. Et je parle pas que des soignants, il y a 30% du personnel qui est du Trésor Public auquel on a affaire quand on va à l'hôpital public. L'exception aujourd'hui il est plutôt dans l'autre sens : malgré tout, des médecins, des infirmières dévouées.
Dès qu'un médecin, qui a fait ses armes dans le public, a galéré dans les intrigues, après être fraîchement sorti de fac de médecine, veut réussir, travailler pleinement dans son métier, il rejoint le secteur privé. Il fait certes 70h par semaine mais il fait son métier sans répit, s'améliore et travaille dans une ambiance motivée et lucrative, avec des gens comme lui.

Je rappelle quand même qu'avant l'arrivée des socialistes, Mitterrand, les hôpitaux publics abritaient tout un secteur privé, où les médecins faisaient leur sauce, avec leurs tarifs et parfois leur secteur assuré par leur service semi-privé. Au niveau des votes et des pouvoirs dans les hôpitaux , seuls les médecins décidaient. Le personnel soignant , c'est à dire l'aide soignante, même pas infirmière, n'avait aucun droit à la parole.
Ce système permettait de garder les talents et de très bien fonctionner dans le cadre de l'hôpital public.

Vous avez une explication pourquoi tout marchait très bien avant et tout marche mal aujourd'hui. Les hopitaux publics sont devenus un croisement de coopératives, où les aides soignants représentent la majorité des décisionnaires, et de bureaucrates du fisc. On a le pire fonctionnement possible et ça fait 40 ans que ça se dégrade.

D'ailleurs même topo dans l'éducation.

Alors pour en revenir à Lucas. Quand vous êtes amené aux urgences, contre votre gré, contre le gré de votre famille (constaté à titre personnel), vous êtes amené dans un mauvais endroit, casé dans un hopital public qui ne prendra pas soin de vous. Il faut tout faire pour ne pas atterrir dans ces lieux. En cas de problème, il faut avoir les numéros de téléphones utiles pour essayer de joindre le médecin ou le service privé qui ne vous amène surtout pas dans un hôpital public. Donc éviter de contacter les pompiers à tout prix (ce qu'on avait l'habitude de faire), car ceux-ci sont obligés de vous répartir, de même que le SAMU, sans vous demander votre avis, en vous mentant même si nécessaire sur où ils vous emmènent (encore du vécu). Il faut contacter un ambulancier et avoir son numéro, voire le numéro de plusieurs sociétés pur la disponibilité la plus rapide, comme pour les taxis. Après il faut déjà avoir des liaisons avec l'hopital privé en question et connaître un des médecins... bref, c'est pas simple d'échapper au public quand on a une urgence.

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