Le racket macroniste

[Vladimir de Volog]

Allez, vous prendrez bien un p'tit C/C pour la journée !!!


+10% pour l’électricité, +3% pour les péages, -6% pour le livret d’épargne :

un 1ᵉʳ février marqué par le racket macroniste.

Après une hausse de 45% des factures d’électricité en deux ans, Emmanuel Macron a acté une nouvelle hausse de 10% des tarifs qui s’applique dès aujourd’hui. En novembre, Bruno Le Maire promettait qu’il n’y aurait pas de hausse de 10% du prix de l’électricité. Trois mois plus tard, le même ministre a annoncé une hausse de… 9,8% et s’en félicite alors que les ménages sont déjà pris à gorge par la hausse des prix qui sévit sur tous les postes de dépenses : 20% sur les produits alimentaires, pendant que les marges de l’agro-industrie ont bondi de 71% en un an et demi.

En ce 1ᵉʳ février 2024, chaque ménage a déjà les yeux rivés sur les compteurs et les tickets de caisse. Le prix de l’électricité augmente alors que la production est stable et que rien ne justifie une telle hausse. Le tarif des péages bondit de 3%, alors que les bénéfices nets de sociétés concessionnaires a explosé de 47% en 2019 pour atteinte 3,9 milliards d’euros en 2021, avec la distribution de 3 milliards d’euros de dividende. Le livret d’épargne populaire, destiné aux revenus modestes, voit son taux de rémunération baissé de 5% à 6%.

Dans le monde parallèle du CAC 40, les actionnaires ont empoché 97,1 milliards d’euros en dividendes ou rachats, soit 20% de plus qu’en 2022 : des fortunes colossales s’accumulent au détriment des 10 millions de pauvres que compte le pays. Malgré les faits, Gabriel Attal considère que tout va bien dans le meilleur des mondes possible. En témoigne son discours de propagande générale de mardi dernier. Face à l’urgence, les insoumis lui ont répondu, et ont rappelé ce jour les mesures d’urgence qui s’imposent : blocage des prix, taxation des dividendes et des superprofits, renationalisation des autoroutes, construction d’un pôle public bancaire. Notre brève.
https://linsoumission.fr/2024/02/01/electricite-fevrier-racket-organise/

[Vladimir de Volog]

LFI lance une pétition contre la hausse de l'électricité:


Électricité : non à la nouvelle hausse de 10% !

https://www.change.org/p/%C3%A9lectricit%C3%A9-non-%C3%A0-la-nouvelle-hausse-de-10?recruiter=1326800245&recruited_by_id=7cb25180-b3ce-11ee-ac40-a145ca29a828&utm_source=share_petition&utm_campaign=share_petition&utm_term=share_for_starters_page&utm_medium=copylink&utm_content=cl_sharecopy_37836017_fr-FR%3A5


Vou en faites ce que vous voulez, mais vous ne pourrez pas dire que vous ne savez pas !!!

[Edouard de Montmonrency]

C'est l'U€ qui a fixé les règles (anti-trust EDF) ... faut se plaindre à Bruxelles aussi (comme pour les agriculteurs français, c'est au même échelon que ça se passe pour les consommateurs d'électricité français).

Bref, tu te goures d'échelon.

[Vladimir de Volog]

C'est l'U€ qui a fixé les règles (anti-trust EDF) ... faut se plaindre à Bruxelles aussi (comme pour les agriculteurs français, c'est au même échelon que ça se passe pour les consommateurs d'électricité français).

Bref, tu te goures d'échelon.

Un pays peut refuser de se coucher devant Bruxelles, question de courage politique, d'où cette pétition pour appeler les gens à dire NON au diktat.

[Frère Barnabé]

mais ça c'est une politique de gauche depuis françois  hiollande par moscouvici  à aujourd'hui , on taxe plus et moins de service public  ou plus exactement tombent en délabrassions de l'école aux hopitaux ,des service d'urgence ,en passant par les profs , medecins généralistes , infirmer(e) en pénurie XXL ! !
faut aussi payer la dette colossale de l'EPR qui ne fonctionne pas ordonné depuis sarko à nos jours au lieu de dire sous françois hiollande :stop c'est une ruine pour la France et les contribuables !

Le billet de Jean-Christophe Féraud  
Le fiasco des EPR et la fuite en avant du «nouveau nucléaire» de Macron
Article réservé aux abonnés
Après les déboires de Flamanville, EDF doit faire face à la dérive des coûts du chantier d’Hinkley Point outre-Manche. Et voilà que le chef de l’Etat charge encore la barque en demandant à l’électricien non plus six mais quatorze nouveaux réacteurs EPR.homas Piquemal avait raison. Le 7 mars 2016, le directeur financier d’EDF démissionnait en son âme et conscience, refusant d’endosser la responsabilité d’un projet nucléaire pharaonique mené par l’électricien français : la construction de deux réacteurs EPR sur le site d’Hinkley Point C (HPC), dans le sud-ouest de l’Angleterre, moyennant 18 milliards de livres (24 milliards d’euros à l’époque). Pure folie selon lui, car le groupe, déjà englué dans le chantier sans fin du premier EPR français à Flamanville (Manche) et ployant sous une dette de 37 milliards, s’avérerait incapable de faire face à ses engagements. Un peu plus tard, Piquemal expliquait en ces termes devant les députés pourquoi il avait décidé de partir «en désespoir de cause et par désespoir tout court» : «Qui investirait 70 % de son patrimoine sur une technologie dont nous ne savons toujours pas si elle fonctionne ?»

Perte stratosphérique
A l’époque, un certain Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, avait balayé d’un revers de la main cet avertissement, qualifiant Hinkley Point de «très bon investissement» qui sera «très rentable» pour EDF… Huit ans plus t

[Frère Barnabé]

mais ça c'est une politique de gauche depuis françois  hiollande par moscouvici  à aujourd'hui , on taxe plus et moins de service public  ou plus exactement tombent en délabrassions de l'école aux hopitaux ,des service d'urgence ,en passant par les profs , medecins généralistes , infirmer(e) en pénurie XXL ! !
faut aussi payer la dette colossale de l'EPR qui ne fonctionne pas ordonné depuis sarko à nos jours au lieu de dire sous françois hiollande :stop c'est une ruine pour la France et les contribuables !

Le billet de Jean-Christophe Féraud  
Le fiasco des EPR et la fuite en avant du «nouveau nucléaire» de Macron
Article réservé aux abonnés
Après les déboires de Flamanville, EDF doit faire face à la dérive des coûts du chantier d’Hinkley Point outre-Manche. Et voilà que le chef de l’Etat charge encore la barque en demandant à l’électricien non plus six mais quatorze nouveaux réacteurs EPR.homas Piquemal avait raison. Le 7 mars 2016, le directeur financier d’EDF démissionnait en son âme et conscience, refusant d’endosser la responsabilité d’un projet nucléaire pharaonique mené par l’électricien français : la construction de deux réacteurs EPR sur le site d’Hinkley Point C (HPC), dans le sud-ouest de l’Angleterre, moyennant 18 milliards de livres (24 milliards d’euros à l’époque). Pure folie selon lui, car le groupe, déjà englué dans le chantier sans fin du premier EPR français à Flamanville (Manche) et ployant sous une dette de 37 milliards, s’avérerait incapable de faire face à ses engagements. Un peu plus tard, Piquemal expliquait en ces termes devant les députés pourquoi il avait décidé de partir «en désespoir de cause et par désespoir tout court» : «Qui investirait 70 % de son patrimoine sur une technologie dont nous ne savons toujours pas si elle fonctionne ?»

Perte stratosphérique
A l’époque, un certain Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, avait balayé d’un revers de la main cet avertissement, qualifiant Hinkley Point de «très bon investissement» qui sera «très rentable» pour EDF… Huit ans plus t

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/12/20/les-derapages-de-l-epr-de-flamanville-en-graphiques-le-cout-multiplie-par-5-la-duree-du-chantier-par-4_5480745_4355771.html

Les dérapages de l’EPR de Flamanville en graphiques : le coût multiplié par 5, la durée du chantier par 4
Par Pierre Breteau
Publié le 20 décembre 2022 à 14h39 (republication de l’article du 24 juin 2019 à 12h06)

DÉCRYPTAGEEn 2007, le chantier devait durer cinq ans, pour un coût de 3,3 milliards d’euros. Il devrait finalement durer au moins dix-sept ans, pour une facture désormais estimée à 19,1 milliards.

La mise en service de l’EPR de Flamanville est à nouveau retardée : EDF a annoncé le vendredi 16 décembre un décalage au premier semestre 2024, là où le « premier chargement de combustible » était, aux dernières nouvelles de janvier 2022, prévu entre la fin de l’année 2022, voire jusqu’au deuxième trimestre 2023.

La centrale aurait initialement dû être mise en service en 2012, sa création ayant été autorisée par décret le 11 avril 2007. Mais en raison de diverses difficultés (soudures défectueuses, dalles de béton à renforcer, durcissement de normes après la catastrophe nucléaire de Fukushima, etc.), le chantier a été décalé à de multiples reprises.

La mise en service de l’EPR de Flamanville devrait coûter 19,1 milliards selon les calculs de la Cour des comptes, soit près de six fois plus cher que prévu au lancement du projet. Initialement, cette centrale nucléaire aurait dû être construite en cinq ans, pour un coût de 3,3 milliards d’euros.

[André de Montalembert]

L'électricité et le gaz augmente....les profits aussi, entendu hier, les investisseurs (sic) s'inquiète du conflit au proche orient.
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-coup-de-frein-se-poursuit-sur-les-profits-de-totalenergies-apres-une-annee-2022-hors-normes-971230.html
https://www.liberation.fr/economie/totalenergies-enregistre-un-benefice-record-colossal-de-205-milliards-de-dollars-20230208_BU5YLOTLIBBTJGL5HIXNTAAHTA/

[Edouard de Montmonrency]

C'est l'U€ qui a fixé les règles (anti-trust EDF) ... faut se plaindre à Bruxelles aussi (comme pour les agriculteurs français, c'est au même échelon que ça se passe pour les consommateurs d'électricité français).

Bref, tu te goures d'échelon.

Un pays peut refuser de se coucher devant Bruxelles, question de courage politique, d'où cette pétition  pour appeler les gens à dire NON au diktat.

Ce n'est pas une question de courage politique ... mais de contreparties.

En contrepartie de l'exception culturelle française , ou quoi d'autres ...?

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