La présidente Hongroise Katalin Novak démissionne...

par **Jeannot Lapin** Mar 13 Fév - 12:37

Voilà une actualité du jour... française. Explication.

En fait on va faire un rappel des pratiques françaises (rampantes car elles n'ont pas toujours eu cours).

François Mitterrand arrive au pouvoir en France et gracie Action Directe, un groupement terroriste communiste, composé de criminels, tous libérés, sous les applaudissements de toute la gauche. On connait la suite qui finit après de multiples attentats, de mèche avec les terroristes palestiniens et les diverses branches européennes des bridages rouges, dont certains meurtriers ou par exemple la pose d'une bombe à côté d'un lycée qui blessent plus ou moins grièvement une centaine de lycéens (dont certains n'étant plus en aptitude de finir normalement le lycée), dont faisait partie votre posteur.
Il finissent par être repris dix ans plus tard. Aucune excuse des autorités responsables (à part un bref soutient moral du ministère de l'éducation - un télégramme), mais au contraire de nouvelles manifs régulièrement de l'extrême gauche, les Vologs et Dédés, pour qu'on les relibère et Rouillan, leur chef, finit par être libéré sous la pression du CEDH européen (pour bien voir à qui on a affaire avec cette cour des "Droits de l'Homme" en fait des "privilèges des criminels"). Le CEDH a même volé à son secours quand il a proféré le soutien au terrorisme, ce qui l'avait refait condamner, pour potéger sa liberté d'expression, et donc le CEDH, désormais au-dessus du droit français, l'a fait libérer.
Aujourd'hui la justice relâche des violeurs et des meurtriers qui tuent et violent le lendemain ou dans les mois qui suivent avant d'être relâchés à nouveau. Ca ne choque même plus.

Aucun des énarques qui nous dirige n'est responsable et encore moins coupable.

Maintenant, le cas de la présidente hongroise Katalin Novak.
Ancienne ministre des familles d'Orban, en lutte pour rétablir la natalité hongroise, promouvoir la famille naturelle, issue de mariages d'hommee et de femmes, elle fait son cheval de bataille de combattre la pédocriminalité.
Elle devient présidente de la république en 2022.
Lors du passage du pape François, magnanime, elle amnistie quelques personnes, dont un responsable d'un foyer pour enfants jugé pour brutalités envers ceux-ci. Mal lui en prend, celui-ci est jugé aujourd'hui pour avoir participé à un cercle pédophile.
Résultat : la présidente hongroise démissionne, et elle est accompagnée de la ministre de la justice, et aussi de ses conseillers...
Katalin Novak est de formation Sciences Po, ENA... ça ne s'invente pas ! Sauf que ça ne protège pas d'en être en Hongrie. Tout au plus les hongrois ont-ils peut-être jugé que ça pourrait leur servir dans les relations avec la France, dans l'UE. Elle devra après sa démission se trouver un emploi comme tout démissionnaire. Nul doute que son CV l'aidera, ou pas. On va voir jusqu'où nos énarques sont près à s'impliquer pour aider un des leurs. Ca mérite attention pour juger de la portée de leurs tentacules. Macron, par exemple, en récompense d'avoir défoncé la France, se verrait bien parait-il président de l'UE...