AU COIN DE LA CHANSON. LA CHANSON ENGAGÉE- Elle travaille les consciences humanisées pour ne pas être parmi les tièdes! TOUS peuvent participer (sauf les trolls hors sujet)-

[François d'Assise]

Méditation et réflexion sur les textes de chansons...

Pour les biographies se sera plus développé:
   
https://politique.forum-actif.net/t43524-avec-texte-la-chanson-engagee-2-avec-biographies#697476

[dany26]

François d'Assise" a dit C'est une question de bienveillance à toujours bien édifier par le meilleur de nous-même, 
   ce qui insufflera l'espérance à nous donner l'élan à réaliser une construction sociale et familiale où il fera bon vivre...

Exhortations et partages.

super enfin,  toi le grand  porte parole de  l'ECR, qui  fait des cours  magistraux pour  son compte!!!
Merci de passer le message à cette  fameuse église,   de   biene vouloir  vendre toutes   ses  richesses  afin de  les partager   avec tous les pauvres de  la planette , comme  voulait   le faire à l'époque  le pape Célestin V en 1294!!
tu as raison il faut  prêcher et surtout  pratiquer  le partage !!
Merci  d'avance


amicalement


_____________________________________
           Vous êtes

---

[François d'Assise]

Sujet replacé.
Ouvert à tous.

Quand on a quelque chose de beau à dire:  on veux le partager...




Seulement pour les intéressés, réservé aux partages appropriés selon le titre du sujet...


Partager vos vidéos des chansons à texte préférées...
Texte ou non... selon vos possibilités...

AVEC le texte.
           



Partageons nos textes et biographies des chateurs et interprètes...
Ici en abrégé et sur Université en extension avec les textes et les biographies (Je m'en chargerai)...

François le bienveillant.

[Clavier]

j'aime bien cette chanson engagée
Spéciale dédicace à Dédé le rouge .....


Paroles :

Ce monde vétuste et sans joie – faïlala,
Croulera demain devant notre foi – faïlala,
Et nos marches guerrières
Feront frémir la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)

Que nous font insultés prisons, – faïlala,
Un jour viendra où les traîtres paieront – faïlala,
Qu’ils freinent donc s’ils l’osent
Notre ascension grandiose
Que rythment les hauts tambours des lansquenets. (bis)

Nous luttons pour notre idéal, – faïlala,
Pour un ordre nouveau et IMPÉRIAL,
Et à notre heure dernière
Nous quitterons la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)

De tous nous seront les vainqueurs – faïlala,
Et nous marcheront de tout notre coeur – faïlala,
Et même s'ils sont de taille nous livererons bataille
Au rythme des hauts tambours des lansquenets (bis)

De tous nous seront les vainqueurs – faïlala,
Et nous marcheront de tout notre coeur – faïlala,
Et même s'ils sont de taille nous livererons bataille
Au rythme des hauts tambours des lansquenets (bis)

[Invité]

Moi, j'ai un faible pour celle-ci...


De plaines en forêts, de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine
Je n'en finirais pas d'écrire ta chanson
Ma France


Au grand soleil d'été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche
Quelque chose dans l'air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France


Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France


Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille
Ma France


Picasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes
Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu'il est temps que le malheur succombe
Ma France


Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une
Celle qui paie toujours vos crimes, vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France


Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche
À l'affiche qu'on colle au mur du lendemain
Ma France


Qu'elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle, la rebelle
Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France

[dany26]

pour moi ce sont les chansons de  Sardou , qui sont le plus engagées  de leur  époque !!
le reste n'est souvent que de la poésie !!

amicalement

[François d'Assise]

j'aime bien cette chanson engagée
Spéciale dédicace à Dédé le rouge .....

De même Clavier.
Pouvez-vous replacer (à l'avenir) votre vidéo pour le test, dans cette rubrique.
   
https://politique.forum-actif.net/t43524-partages-seulement-pour-et-avec-les-interesses-la-chanson-engagee-elle-travaille-les-consciences-humanisees-pour-ne-pas-etre-parmi-les-tiedes#697476

Si vous n'avez pas le texte, je le trouverai.

Ou continuez comme vous le faites...
En tout cas, avec  les paroles c'est comme écouter en même temps, qu'en suivant le texte,
doublement plus beau... Ça ajoute une plus grande présence.

F l b

[Clavier]

les chansons sont faites pour être écoutées

[François d'Assise]

les chansons sont faites pour être écoutées

Clavier,
Et les chansons à TEXTE, pour être méditées...
Ce sont les paroles qui captives, plus que la mélodie:
en fait, les deux sont inséparables...




Partagez vous chansons préférées, ou encore, avec seulement des instruments de musique...


F l b

Les biographies seront sur Université.

[François d'Assise]

La ville que j'aimais tant
Hugues Aufray


Dans mon cœur tambour il y aura toujours
Un battement pour la ville que j'ai tant aimée.
Je m'souviens des jours où je séchais les cours :
On jouait au ballon dans le chantier.
On rentrait le soir en courant sous la pluie
Et, pareille à l'eau de la fontaine au bout du square,
S'écoula ma vie, mes jours et mes nuits
Dans la ville que j'aimais tant.

Des matins d'orage, la sirène du barrage
Appelait à l'ouvrage les femmes de la cité
Et les hommes au chômage tenaient le ménage,
Préparaient aux enfants leur goûter.
La vie était dure, pas de pain dans le four,
Mais ils regardaient droit devant sans murmure.
Comme des vautours ils veillaient sur leurs tours
De la ville que j'aimais tant.

Il y avait dans l'air comme un hymne, un air,
Une chanson poitrinaire qui montait de l'arsenal.
Je n'étais pas peu fier le jour de mon premier salaire
Quand je jouais d'la guitare dans les bals.
Ainsi passait ma jeunesse, et, pour dire le moins,
Je ne chantais pas ou en montant dans l'express
Qui m'amenait loin comme un orphelin
De la ville que j'aimais tant.


Quand je m'en suis r'tourné après bien des années,
Les yeux m'ont brûlé de voir ma ville à genoux,
Les tanks, les blindés, les cafés bombardés
Et dans l'air, cette odeur de brisé.
L'armée a mis ses feux sur le vieux chantier
Et ces maudits, maudits remparts de barbelés !
Qu'ont-ils faits, mon Dieu, les vétérans et les bleus
De la ville que j'aimais tant ?

Et passe le temps et passent les ans.
Au loin, dans le vent, sont envolés mes regrets.
Le feu et le sang sont rentrés dans les rangs,
Et j'espère ne les revoir jamais.
Mais toi, mon p'tit frère, qui n'a pas connu ça,
Tes pistolets de plastique et tes sabres de bois,
Range-les au vestiaire : on ne joue pas à la guerre
Dans la ville que j'aime tant !

---.
Hugues Aufray, un  monument de la chanson.
Entre bien d'autres  titres de chansons:
« C'est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau, hisse et ho, Santiano »...
Depuis 1961, cette chanson d'Hugues Aufray résonne ans le coeur des amoureux de la mer,
des enfants du patronage et des scouts. L'interprète, qui continue à chanter, sculpter et peindre,
est ce soir sur le plateau de Lumière intérieure à l'occasion de la sortie de son nouvel album « Autoportrait ».
À 91 ans, l'homme est resté fidèle à ses valeurs et n'hésite pas
à nous parler de Dieu, de ses inspirations,
de ses réflexions sur la vie avec la poésie qui le caractérise.



F l b

[François d'Assise]

On découvre le troubadour Louis-Antoine.
D'abord:
Une interview avec Louis-Antoine:

[François d'Assise]

Puis une chanson qui fera plaisir aux royalistes:

[François d'Assise]

[François d'Assise]

Chanson pour la réconciliation



Histoire de cette chanson:

[François d'Assise]

--------------




À l'heure où la nuit passe au milieu des tranchées,
Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder,
Le froid pique et me glace et j'ai peur de tomber.
Je ne pense qu'à toi,
Mais je suis un soldat.
Mais surtout ne t'en fais pas,
Je serai bientôt là.
Et tu seras fière de moi.

À l'heure où la guerre chasse des garçons par milliers,
Si loin de la maison et la fleur au canon.
Ces autres que l'on tue sont les mêmes que moi.
Mais je ne pleure pas,
Car je suis un soldat
Mais surtout ne t'en fais pas,
Je serai bientôt là
Et tu seras fière de moi.

À l'heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds,
De la boue qui s'en va des godasses et des rats
Je revois tes yeux clairs, j'essaie d'imaginer
L'hiver auprès de toi,
Mais je suis un soldat,
Je ne sens plus mes bras,
Tout tourne autour de moi,
Mon Dieu sors moi de là.

Ma très chère Augustine, j'aimerai te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés.
Je crois pouvoir le dire nous nous sommes aimés.
Je t'aime une dernière fois.
Je ne suis qu'un soldat.
Non je ne reviendrai pas.
Je n'étais qu'un soldat.
Prends soin de toi.


Au cas où elle se bloque:
VIDÉO avec séquences... 
https://youtu.be/h9UFE-VBsIo


Merci pour ce beau texte!
Bienveillance!
F l b

[François d'Assise]

Pardon
Je viens vous demander
Pardon pour tous les hommes
Qui n'ont jamais appris
Le verbe aimer
Qui n'ont jamais compris
La force de l'amour
La beauté de la vie


Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Oh, pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé
Oh, pardon


Pardon
Je viens vous demander
Pardon pour tous les hommes
Qui ignorent le prix
De l'amitié
Qui n'ont jamais connu
Les larmes d'un enfant
Le sourire d'une femme


Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé
Oh, pardon


Donne-moi ton regard
Donne-moi ta lumière
Donne-moi de l'amour
Sans quoi, oui, je désesépre
Apprends-moi aimer
Apprends-moi la tendresse
Détruits mes habitudes
Détruits ma solitude
Oh, pardon

Pardon
Je viens vous demander
D'accorder votre grâce
À ceux que la vie
A blessé
Et lorsque le temps passe
Ils se retrouvent nus
Perdus désespérés


Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé

Pardon

[Contenu sponsorisé]