Malgr éle Brexit le RU se transforme en musulmanistan.

[Revanchisti]

https://youtu.be/so90akcXP1Q

[Maledico Proditores]

La force du nombre est la plus brutale des forces, n'ayant même pas pour elle l'audace et le talent.

Paul Bourget

CQFD

[Jeannot Lapin]

Sans parler des types enturbanés armés de sabres qui défilent sur des chevaux, concurrençant ainsi la police montée et les gardes royaux.
Ca fait déjà des années que les écoles à majorité musulmanes imposent aux élèves non musulmanes anglaises le voile à l'école...

La première chose c'est que le Royaume-Uni est un pays libéral, ou la liberté individuelle est reine. Ce n'est pas le cas en France, même si les délits d'opinion apparus fin des années 80, et renforcés depuis sont quelque chose de nouveau, anti-français et davantage digne de l'Union Soviétique. En France depuis toujours, l'appartenance clanique y est pourchassée, au contraire du Royaume-Uni.

La deuxième chose c'est que le Royaume-Uni est non seulement non laïque mais que ce sont les croyants qui dominent, mais sans être nommés, même si la Reine est de religion anglicane, alors que c'est de moins en moins strict, avec le catholicisme qui s'invite de plus en plus autour de la famille royale. En gros, au Royaume-Uni, tous les croyants se rangent aux cotés des islamistes contre les non croyants. De ce point de vue, les Etats-Unis sont sur le même pied que le Royaume-Uni.

En France, les islamistes ont au contraire le profil assez clair d'anti-français. On voit bien que "la culture française n'existe pas" d’Emmanuel Macron ne passe pas du tout. De plus le gallicanisme a la caractéristique de s'organiser autour de la laïcité, c'est à dire des externes à l'église, et l'Inquisition n'a jamais vraiment sévi sous aucune forme en France. Donc il y a une tradition autre que la Révolution française qui pousse à ne pas s'associer au prosélytisme militant.

Bon, mais Bruxelles fait presque mieux, puisque désormais des députés européens en campagne, qui ne sont pas dans la ligne de l'islamisme, sont désormais exclus de la ville. La campagne européenne ne s'exerce donc plus librement à Bruxelles, censément capitale de l'UE. Strasbourg pourrait redevenir une alternative pertinente.

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