Le syndrome de Diogène, un probable trouble psycho-social qui touche de plus en plus de monde.

[Edouard de Montmonrency]

Le syndrome de Diogène, un probable trouble psycho-social qui touche de plus en plus de monde.

Dans une France de plus en plus dépressive, usant et abusant de psychotropes voir de drogues, l'exclusion des individus (ou l'isolement social) génère de plus en plus de troubles de ce genre.

La France a besoin d'un fort programme de resocialisation des gens, un fort besoin d'unité et de partage, car depuis le covid, les smartphones, etc les individus vivent de plus en plus que dans leurs bulles, s'isolant de plus en plus dans un entre-soi ou dans leur bulle personnelle.

Que faire pour éviter cette pandémie grimpante sur un plan sociétal ... la balle est dans le camp des partis politiques afin de proposer des programmes politiques cohérents et remettre beaucoup de français dans une synergie salvatrice ...

A vos propositions les politiques ...



--------------

https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04146746v1/file/M2_BEHAGHEL_Augustin_DUMAS.pdf

"Titre : Le syndrome de Diogène, une problématique transdisciplinaire : discussion
des enjeux éthiques en fonction du champ de compétence des différents
intervenant
Résumé :
Le syndrome de Diogène correspond à une accumulation au domicile, associée à de l’insalubrité, et,
souvent, à une exclusion sociale. Il existe un contraste dans ces situations où la personne au domicile
n’exprime pas de demande alors qu’elle est potentiellement en danger et que le voisinnage, au
contraire, se plaint. Il n’existe que peu de recommandations claires pour diriger les acteurs intervenant
au domicile dans cette situation. Entre respect de l’autonomie et protection de la personne et de son
environnement, entre problématiques de santé publique et relation de soins duelle, à l’intersection
entre le sociale, le médicale et le juridique, l’intervention au quotidien se négocie autour de ces notions
dans un équilibre fragile. Les intervenants, forts de leur identité professionnelle, qui se modèle de leur
expérience passée et présente, perçoivent, chacun de leur point de vue, ces situations qui les
interrogent. Dans la rencontre avec le bénéficiaire, le professionnel se dévoile, et laisse paraître son
identité personnelle afin de construire un lien, une confiance. Il s’agit d’un engagement fort auprès du
patient qui n’est pas sans conséquence, l’intervenant se met parfois en danger physique, psychique ou
professionnel, et établit un certain nombre de stratégies adaptatives. Dans ces situations la décision
et l’acte posé sont vécus comme des risques, de déclencher un effondrement suicidaire, ou de mettre
fin au lien de confiance, synonyme probable de la nécessité de l’usage de la contrainte. Ces choix,
conduits par la subjectivité du professionnel et aux conséquences importantes, au risque de la
culpabilité personnelle, fondent une tension éthique fondamentale, dont le spectre s’étend tout au
long de ce type d’intervention."

....

"Conclusion
En conclusion, l’ensemble des intervenants auprès des personnes en situation de syndrome de
Diogène, jonglant sans cesse entre les périls que représenteraient la perte de l’autonomie ou la mise
en danger du bénéficiaire, se retrouvent en position de danger, physique, psychique et professionnel,
et de vulnérabilité, qu’ils partagent avec le bénéficiaire.
Afin de faire des choix, ils doivent sans cesse se référer à une éthique déontologie plutôt qu’à des
recommandations ou des lois, défaillantes dans ce type d’intervention. Cette éthique est propre à
chaque intervenant, elle tient, à la fois, à son identité professionnelle, mais également à son identité
propre, afin de hiérarchiser les valeurs qui le guide. Ces difficultés sont vécues de façon d’autant plus
intense que ces prises en charge nécessitent l’établissement d’un lien de confiance. Pour ce faire, nous
avons observé que la plupart des professionnels cherchent à faire une rencontre avec le patient,
s’engageant à la fois professionnellement mais aussi personnellement. Les tensions sont vécues ainsi,
avec d’autant plus d’intensité que l’on reconnait l’autre et que l’on s’engage à ses côtés. En cela, la
question du domicile, acceuil dans le lieu le plus intime du patient, a un rôle catalyseur de ces émotions
si intenses vécues par le professionnel.
Cette tension éthique est globalement commune aux différents intervenants, mais s’exprime de façon
plus intense pour ceux qui sont plus « sur le terrain », auprès du bénéficiaire plus régulièrement, et qui
vivent plus fréquemment le traumatisme que représente la visite à domicile chez une personne en
situation de syndrome de Diogène. Là aussi, il s’agit d’un invariant, cette visite renvoie les intervenants
à des peurs archaïques que nous pourrions qualifier de terreurs.
Il convient dès lors d’accompagner les professionnels du domicile, de leur fournir les clefs nécessaires
à une prise en charge dépassionnée, tout en restant teintée de leur sensibilité propre. Cela peut se
faire de multiples façons, nous encourageons tout particulièrement ces professionnels à trouver un
lieu d’échange avec quelqu’un d’extérieur à la prise en charge, sur le mode de la supervision ou de
l’analyse des pratiques. Il faut également proposer à ces professionnels des formations en éthique,
outil nécessaire face à ce type de dilemme, par défintion, insoluble que de choisir entre 2 des 4 valeurs
de Childress et Beauchamp : le respect de l’autonomie ou la non-malfaisance."

[Edouard de Montmonrency]

L'hypothèse de chatgpt (IA) : (Un lâcher prise existentiel.)

╭─ Bot
Le syndrome de Diogène, également connu sos le nom de syndrome de Diogène de Cynicopolis, est une condition rare qui se caractérise souvent par l'accumulation excessive d'objets dans un espace résidentiel au point de rendre cet espace inhabitable. Cette accumulation peut inclure des objets bruts, des déchets, des animaux domestiques mal entretenus, et souvent, une grande quantité de nourriture non consommée.

Sur un plan psycho-social, plusieurs facteurs peuvent contribuer à ce comportement :

1. **Troubles du spectre de l'autisme** : Certains individus atteints de troubles du spectre de l'autisme peuvent avoir des difficultés à organiser leur environnement ou à comprendre comment les autres perçoivent leur espace.

2. **Dépression** : Les personnes souffrant de dépression peuvent perdre l'intérêt pour leurs activités quotidiennes, y compris la maintenance de leur habitat, ce qui peut conduire à une accumulation d'objets.

3. **Troubles obsessionnels-compulsifs (TOC)** : Les TOC peuvent entraîner des accumulations excessives si les individus ont des obsessions spécifiques liées aux objets ou à la collecte.

4. **Anxiété** : L'anxiété peut également jouer un rôle, car certaines personn peuvent accumuler des objets comme une forme de contrôle ou de sécurité face à des situations stressantes.

5. **Problèmes de motivation** : Des problèmes de motivation ou de fatigue mentale peuvent empêcher les individus de prendre les mesures nécessaires pour gérer leur espace de manière efficace.

6. **Manque de ressources** : Dans certains cas, le manque de ressources financières ou de soutien social peut entraver la capacité des individus à maintenir leur environnement propre.

7. **Difficultés relationnelles** : Des problèmes de relations sociales ou des expériences traumatisantes peuvent également influencer le comportement d'un individu envers son espace personnel.

Il est important de noter que ces facteurs peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et qu'il n'y a pas de cause unique universelle pour le syndrome de Diogène. La prise en charge de cette condition implique généralement une approche multidimensionnelle qui peut inclure des thérapies cognitivo-comportementales, des interventions familiales, et parfois des soins médicamenteux.

[Jeannot Lapin]

L'hypothèse de chatgpt (IA) : (Un lâcher prise existentiel.)

╭─ Bot
Le syndrome de Diogène, également connu sos le nom de syndrome de Diogène de Cynicopolis, est une condition rare qui se caractérise souvent par l'accumulation excessive d'objets dans un espace résidentiel au point de rendre cet espace inhabitable. Cette accumulation peut inclure des objets bruts, des déchets, des animaux domestiques mal entretenus, et souvent, une grande quantité de nourriture non consommée.

Sur un plan psycho-social, plusieurs facteurs peuvent contribuer à ce comportement :

1. **Troubles du spectre de l'autisme** : Certains individus atteints de troubles du spectre de l'autisme peuvent avoir des difficultés à organiser leur environnement ou à comprendre comment les autres perçoivent leur espace.

2. **Dépression** : Les personnes souffrant de dépression peuvent perdre l'intérêt pour leurs activités quotidiennes, y compris la maintenance de leur habitat, ce qui peut conduire à une accumulation d'objets.

3. **Troubles obsessionnels-compulsifs (TOC)** : Les TOC peuvent entraîner des accumulations excessives si les individus ont des obsessions spécifiques liées aux objets ou à la collecte.

4. **Anxiété** : L'anxiété peut également jouer un rôle, car certaines personn peuvent accumuler des objets comme une forme de contrôle ou de sécurité face à des situations stressantes.

5. **Problèmes de motivation** : Des problèmes de motivation ou de fatigue mentale peuvent empêcher les individus de prendre les mesures nécessaires pour gérer leur espace de manière efficace.

6. **Manque de ressources** : Dans certains cas, le manque de ressources financières ou de soutien social peut entraver la capacité des individus à maintenir leur environnement propre.

7. **Difficultés relationnelles** : Des problèmes de relations sociales ou des expériences traumatisantes peuvent également influencer le comportement d'un individu envers son espace personnel.

Il est important de noter que ces facteurs peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et qu'il n'y a pas de cause unique universelle pour le syndrome de Diogène. La prise en charge de cette condition implique généralement une approche multidimensionnelle qui peut inclure des thérapies cognitivo-comportementales, des interventions familiales, et parfois des soins médicamenteux.

Ils ont avec qui discuter pour se socialiser, n'est-ce pas Edouard ? Leur ami chatGPT.

[Edouard de Montmonrency]

... Oui, un pansement sur une jambe de bois ;-) ... un genre d'androïd.

M'étonnerais pas que ça soit plébiscité en zone "progressiste" ;-)

[Darbut]

Le principal contact , d'une majorité de Français , avec le monde extérieur , passe par leurs TV , ils ne sortent pratiquement plus de chez eux !!!

[Edouard de Montmonrency]

Le principal contact , d'une majorité de Français , avec le monde extérieur , passe par leurs TV , ils ne sortent pratiquement plus de chez eux !!!

Oui, ça joue aussi ... les gens ont peurs des gens, ça n'aide pas à la sociabilisation.

[Jeannot Lapin]

Le principal contact , d'une majorité de Français , avec le monde extérieur , passe par leurs TV , ils ne sortent pratiquement plus de chez eux !!!

J'en doute. La télé c'était le monde d'avant. Aujourd'hui c'est internet.
Je vois mon père, près de 90 ans. En dehors de 2 séries télé ou un vieux film qu'il voit pour le n-ième fois, il est la moitié du temps sur les sites de bourse à lire les nouvelles et les commentaires des connectés (contre lesquels je le mets en garde car ça sent le manipulation à plein nez), et sinon il va s'imprimer sa liasse de sudoku diaboliques qu'il fait à raison d'1 toutes les 5 minutes et va se chercher des mots croisés parmi les plus difficiles pour finir la journée. Ca c'est quand je lui donne pas du boulot qu'il faut que je lui paie en liquide, ce qui me vaut à chaque fois les mises en garde de ma banque (ben oui - on n'est plus libre de retirer son propre argent de son propre compte aujourd'hui en France). Depuis je me suis rabattu sur ses frais de santé à lui et à ma mère et autres dépenses personnelles.

[Contenu sponsorisé]