LES ESCROCS DE L’IMPOSTURE CLIMATIQUE

[Tanzor]

C’est le titre d’un article publié par la tribune financière AGORA. En voici un extrait.
« Officiellement, la COP28, l’ancien protocole de Kyoto et l’Accord de Paris sur le climat sont les « blocs de construction » d’un nouvel ordre mondial basé sur une hystérie entourant le climat et des mensonges concernant le rôle des émissions de CO2. Officieusement, la COP28 s’inscrit dans une opération de racket mondial visant à dépouiller les pays riches pour transférer des richesses aux pays pauvres. Ce transfert de plusieurs centaines de milliers de milliards de dollars est soi-disant destiné à aider les pays pauvres à faire face à l’impact du changement climatique provoqué par les émissions des pays riches. C’est absurde. Aucune preuve scientifique ne montre que les émissions générées par les activités humaines sont la cause du changement climatique. La « preuve » dont vous entendez parler est faite de données trafiquées bourrées dans des modèles erronés qui ne peuvent même pas produire un backtesting correct [NDLR : permet de tester la pertinence d’une modélisation en l’appliquant dans le passé] et encore moins une prévision.

La COP28 n’a été rien d’autre qu’un braquage mené par 70 000 escrocs se bousculant pour y participer, alors que l’on transfère de la richesse du nord au sud sans aucune bonne raison. La couverture médiatique post-COP28 a intégralement tourné autour d’une réunion historique convenant pour la première fois de la fin de l’usage des combustibles fossiles dans un délai raisonnable. C’est une absurdité de plus, car les vides laissés dans le communiqué final sont assez vastes pour qu’énormément de choses puissent s’y engouffrer.
En fait, les pays producteurs de pétrole, notamment les Émirats arabes unis qui accueillaient la conférence, ont pu y intégrer des éléments de langage selon lesquels toute transition vers la nouvelle imposture écologique devrait se faire de façon « ordonnée ». C’est un langage à peine codé signifiant « lent » et « non radical ». Heureusement, les pays producteurs de pétrole ont acheté du temps qui permettra de démasquer cette imposture climatique avant qu’elle ne provoque de nouveaux dégâts sur l’économie. Le bon sens a prévalu, à la COP28, mais il s’en est fallu de peu ».

Les dégâts sur l‘économie sont immenses

Venons-en aux explications techniques. Camille Veyres, Ingénieur Polytechnicien, corps des Mines, Telecom ParisTech, CPA (HEC), spécialiste en Radio – Rayonnement électro-magnétique – Fibre optique, écrit :

1.Moins de 6% du dioxyde de carbone de l’atmosphère vient des combustibles (pétrole, charbon et gaz), contre 94% qui viennent des dégazages naturels des océans et des sols, dégazages naturels pilotés par les températures ; le CO2 est une conséquence des températures qui font le dégazage de l’océan. Voilà qui suffit à détruire les fables du GIEC et de ses suppôts sur le péché de l’homme et la revanche de la déesse Gaïa.

2.Une énergie abondante et bon marché est indispensable à la survie de l’humanité.

3.Les catastrophes naturelles liées à la météo, inondations, tempêtes et ouragans, grands froids et grandes chaleurs ne coûtent chaque année que quelques millièmes de PIB, alors que les politiques de « transition écologique ou énergétique » coûtent par an, selon les évaluations, de 3% à 10% du PIB gaspillés en pur perte.

4.L’adaptation aux changements éventuels avec, par exemple, des digues, des barrages-réservoirs et des constructions plus robustes ne coûte que des dix-millièmes du PIB.

5.Des politiques ruineuses et absurdes de « transition » sans aucun effet possible sur la teneur de l’air en dioxyde de carbone ont pour conséquence une forte accélération de l’effondrement industriel, agricole et financier de nos pays.

C’est donc un gigantesque racket que subissent les populations

La tribune financière AGORA parle d’un « transfert de plusieurs centaines de milliers de milliards de dollars » détournés de ce qui devrait être leur objectif logique : assurer le bien commun.
Pourquoi en est-il ainsi ? Pour deux raisons principales : trouver un vivier d’investissements permettant de relancer une économie en panne depuis des années ; imposer ce projet en gouvernant par la peur.

Voilà la dictature mondiale que nous subissons

Ce n’est pas par les élections qu’un changement peut se faire. Ce n’est pas non plus par la violence. C’est par un large mouvement comme celui des Gilets jaunes, mais avec une solide organisation cette fois-ci.

[Jeannot Lapin]

C’est le titre d’un article publié par la tribune financière AGORA. En voici un extrait.
« Officiellement, la COP28, l’ancien protocole de Kyoto et l’Accord de Paris sur le climat sont les « blocs de construction » d’un nouvel ordre mondial basé sur une hystérie entourant le climat et des mensonges concernant le rôle des émissions de CO2. Officieusement, la COP28 s’inscrit dans une opération de racket mondial visant à dépouiller les pays riches pour transférer des richesses aux pays pauvres. Ce transfert de plusieurs centaines de milliers de milliards de dollars est soi-disant destiné à aider les pays pauvres à faire face à l’impact du changement climatique provoqué par les émissions des pays riches. C’est absurde. Aucune preuve scientifique ne montre que les émissions générées par les activités humaines sont la cause du changement climatique. La « preuve » dont vous entendez parler est faite de données trafiquées bourrées dans des modèles erronés qui ne peuvent même pas produire un backtesting correct [NDLR : permet de tester la pertinence d’une modélisation en l’appliquant dans le passé] et encore moins une prévision.

La COP28 n’a été rien d’autre qu’un braquage mené par 70 000 escrocs se bousculant pour y participer, alors que l’on transfère de la richesse du nord au sud sans aucune bonne raison. La couverture médiatique post-COP28 a intégralement tourné autour d’une réunion historique convenant pour la première fois de la fin de l’usage des combustibles fossiles dans un délai raisonnable. C’est une absurdité de plus, car les vides laissés dans le communiqué final sont assez vastes pour qu’énormément de choses puissent s’y engouffrer.
En fait, les pays producteurs de pétrole, notamment les Émirats arabes unis qui accueillaient la conférence, ont pu y intégrer des éléments de langage selon lesquels toute transition vers la nouvelle imposture écologique devrait se faire de façon « ordonnée ». C’est un langage à peine codé signifiant « lent » et « non radical ». Heureusement, les pays producteurs de pétrole ont acheté du temps qui permettra de démasquer cette imposture climatique avant qu’elle ne provoque de nouveaux dégâts sur l’économie. Le bon sens a prévalu, à la COP28, mais il s’en est fallu de peu ».

Les dégâts sur l‘économie sont immenses

Venons-en aux explications techniques. Camille Veyres, Ingénieur Polytechnicien, corps des Mines, Telecom ParisTech, CPA (HEC), spécialiste en Radio – Rayonnement électro-magnétique – Fibre optique, écrit :

1.Moins de 6% du dioxyde de carbone de l’atmosphère vient des combustibles (pétrole, charbon et gaz), contre 94% qui viennent des dégazages naturels des océans et des sols, dégazages naturels pilotés par les températures ; le CO2 est une conséquence des températures qui font le dégazage de l’océan. Voilà qui suffit à détruire les fables du GIEC et de ses suppôts sur le péché de l’homme et la revanche de la déesse Gaïa.

2.Une énergie abondante et bon marché est indispensable à la survie de l’humanité.

3.Les catastrophes naturelles liées à la météo, inondations, tempêtes et ouragans, grands froids et grandes chaleurs ne coûtent chaque année que quelques millièmes de PIB, alors que les politiques de « transition écologique ou énergétique » coûtent par an, selon les évaluations, de 3% à 10% du PIB gaspillés en pur perte.

4.L’adaptation aux changements éventuels avec, par exemple, des digues, des barrages-réservoirs et des constructions plus robustes ne coûte que des dix-millièmes du PIB.

5.Des politiques ruineuses et absurdes de « transition » sans aucun effet possible sur la teneur de l’air en dioxyde de carbone ont pour conséquence une forte accélération de l’effondrement industriel, agricole et financier de nos pays.

C’est donc un gigantesque racket que subissent les populations

La tribune financière AGORA parle d’un « transfert de plusieurs centaines de milliers de milliards de dollars » détournés de ce qui devrait être leur objectif logique : assurer le bien commun.
Pourquoi en est-il ainsi ? Pour deux raisons principales : trouver un vivier d’investissements permettant de relancer une économie en panne depuis des années ; imposer ce projet en gouvernant par la peur.

Voilà la dictature mondiale que nous subissons

Ce n’est pas par les élections qu’un changement peut se faire. Ce n’est pas non plus par la violence. C’est par un large mouvement comme celui des Gilets jaunes, mais avec une solide organisation cette fois-ci.

Là tu dis la vérité, mais en face tu aura des types qui vont d'avancer des arguments bidons et des millions de tarés qui vont les suivre, et d'autres qui vont obéir et devenir la cheville ouvrier de cet endoctrinement.
Et parmi cette cheville ouvrière, on retrouve des ingénieurs polytechniciens. Le problème c'est l'attitude. Du moment qu'en haut on a décidé que, ce genre d'individu (le polytechnicien lambda) s'exécute sans se poser de question. Et tu pourras lui dire que "oui mais.." et lui prouver ce que tu veux, lui te dira que c'est dans la nouvelle norme qu'il doit appliquer.

Conclusion : pour compter, il faut faire partie des lobbies qui influencent.

J'en ai déjà parlé : Musk par exemple est en lui-même un énorme lobby pro-électricté et anti-nucléaire et anti-hydrocarbures aux Etats-Unis. Il fait tellement de bénéfices avec ses entreprises, notamment d'électricté, qu'il pèse désormais plus lourd que les mastodontes du pétrole. Il a ainsi réussi à virer les compagnies de pétrole au Texas, Exxon and Co, de la production d'électricté pour se mettre à leur place avec du solaire mais surtout des stockages de batteries. Ca te donne une idée du poids qu'il faut avoir pour influencer. Il faut aligner les milliards du jour au lendemain, acheter les politiciens, leurs influenceurs.
J'ai donné l'exemple de son business des fusées Falcon 9 (c'est à dire pas le Starship qu'il prépare). Il en lance une par jour facturée 60 millions, des fois un Big Falcon facturée 200 millions. En tout autour de 30 milliards de chiffre d'affaire. C'est pas énorme. Sauf que lui tire 75% de bénéfice de son entreprise parce qu'avec le réutilisable il a réussi à faire très fortement baisser le prix. Ca lui laisse plus de 20 milliards de dollars par an, dont il peut faire ce qu'il veut (et sur lesquels il va payer un peu d'impôts), y compris développer le Starship, qui lui a coûté pour l’instant moins de 10 milliards de $ en 3 ans.
Mais ça c'est rien. Il attend un retour dès l'année prochaine de sa constellation Starlink de près de 100 milliards de dollars. En gros il va gagner, dans sa poche, chaque année, la fortune totale de ce qu'affichent les autres super-milliardaires (qui ne gagnent tous les ans qu'une petite fraction de cette fortune dans laquelle souvent ils n'ont qu'une petite part de pouvoir). Ce type, Elon Musk, d'ici quelques années, va bientôt atteindre des bénéfices à hauteur du budget des USA. D'ailleurs j'ai un gros doute sur l'évaluation faite de sa fortune, parce que ses entreprises ont l'air complètement sous-cotées en réalité, au vu de leur croissance exponentielle.

Ah oui, et dans tout ça j'ai même pas parlé de son business mondial de l’électricité, qu'il a développé en douce via ses stations de charge pour les véhicules Tesla...

Tiens, Stellantis (PSA+Fiat+Chrysler), ils ont fait 18 milliards de bénéfs, qu'ils vont en très grande partie réinvestir. Donc pour le lobbying, ils auront pas grand chose, même en faisant un effort, face à Musk.
Tesla est aussi ultra-bénéficiaire. Tout est fait pour être low cost dans une Tesla. Il a décu le marché parce que dernièrement il n'était plus beaucoup plus bénéficiaire que d'autres constructeurs... grosse déception, du coup Musk investit dans autre chose, l'industrie de production et de stockage d'électricté (les mêmes batteries qu'ils produit que pour ses voitures) parce que 20% de bénéf, à peine deux fois plus que Stellantis, c'est pas supportable chez lui.

Stellantis ou Toyota ou Vokswagen... voilà pourquoi les constructeurs traductionnels de voitures n'arrivent pas à faire passer le message, totalement vrai, qu'une voiture hybride même non rechargeable est moins polluante qu'une voiture électrique. Ils font pas assez de marge pour avoir un pouvoir financier suffisant au niveau du lobbying.
Et attention, à côté de Musk, il y a les chinois qui visent le même objectif : détruire la structure automobile existante européenne, américaine ou japonaise.