Le danger de la monnaie numérique

[Elena de Chanteplume]

Le danger de la monnaie numérique
C'est grave écoutez


CLIC ICI

[Edouard de Montmonrency]

Voici un résumé des principaux dangers de la monnaie numérique :

### Risques liés à la nature décentralisée et non réglementée
- Absence de régulation : Le Bitcoin et les autres cryptomonnaies ne sont pas soumis à des règles strictes comme les banques traditionnelles. Cela augmente les risques pour les investisseurs et les utilisateurs [3].

- Volatilité : Les prix des cryptomonnaies varient rapidement et de manière imprévisible, exposant les détenteurs à des pertes important.
Par exemple :
- En décembre 2017, le Bitcoin atteint un pic à 19 666$, puis chute à 13 000$ en janvier 2018 [4].
- En mars 2020, le Bitcoin passe de 7 000$ à 60 000$ en quelques mois seulement [4].

- Risque juridique : Pas de garantie légale de remboursement, pas de protection des dépôts, etc.
- Si une plateforme d'échange ou un portefeuille est hacké, les utilisateurs peuvent perdre leurs fonds an espoir de récupération [3].
- L'absence de régulation signifie qu'il n'y a pas de mécanisme légal pour résoudre les conflits entre parties [3].

- Risque de manipulation du marché : La nature décentralisée permet aux acteurs mal intentionnés de manipuler les prix de manière discrète[5].

### Menaces pour la vie privée

- Suivi des transactions : Sur une blockchain publique, les transactions peuvent être suivies et analysées par d'autres parties [1].
- Par exemple, en 2019, un chercheur a réussi à identifier les propriétaires de certains comptes Bitcoin grâce à leur adresse IP [6].
- Des entreprises comme Chainalysis ont développé des outils pour analyser les flux financiers sur les blockchains [7].

- Accès aux comptes : Des fonctionnaires pourraient avoir accès facilement aux comptes de citoyens sans procédure judiciaire [1].
- En 2021, le gouvernement indien a demandé à l'Union européenne de fournir des informations sur les comptes Bitcoin des Indiens [8].

### Perte de libertés individuelles

- Contrôle des transactions : Un État pourrait bloquer ou censurer des transactions [1].
- Par exemple, en Iran, les autorités ont bloqué l'accès au site web de Binance en 2021 pour empêcher les transactions financières illégales [9].

- Capacité de blocage des comptes : Un fonctionnaire pourrait interrompre complètement l'accès à un compte [1].
- En Chine, le gouvernement a bloqué l'accès au site web de Binance en 2017 et à celui d'Okex en 2021 [10].

### Risques techniques

- Sécurité des coffres-forts électroniques : Pas de garde sécurité robuste pour protéger les cryptocoins [3].
- Les attaques par force brute sont fréquentes, comme celle qui a permis de voler 7 000 Bitcoin en 2018 11].
- Des failles de sécurité dans les logiciels peuvent permettre aux hackers d'accéder aux fonds [12].

- Convertibilité aléatoire : Difficulté à convertir les cryptomonnaies en monnaie courante [3].
- La volatilité des prix rend difficile la conversion à un moment précis [13].
- L'absence de régulation peut entraîner des problèmes lors de la conversion entre différentes plateformes [14].

- Risque de fork : Une modification du protocole peut créer une nouvelle chaîne de blocs, divisant la communauté [15].
- Par exemple, le fork de Bitcoin Cash en 2017 a créé une nouvelle blockchain avec ses propres règles [16].

### Autres dangers potentiels

- Concurrence monétaire : Une multiplication des monnaies numériques pourrait créer de l'instabilité [1].
- Plusieurs milliers de cryptomonnaies existent déjà, ce qui peut rendre difficile la comparaison et l'utilisation [17].

- Dépendance excessive : Une utilisation trop intensive pourrait rendre les sociétés vulnérables [1].
- Le Bitcoin est souvent utilisé comme moyen de paiement, mais son prix fluctuant peut rendre les entreprises dépendantes de sa valeur [18].

- Risque de réputation : Une mauvaise gestion ou une violation de données peut endommager la réputation d'une entreprise [19].

- Risque de centralisation : Bien que décentralisé, certaines plateformes peuvent devenir centralisées, ce qui va à l'encontre des principes de la technologie [20].

Il est important de noter que ces dangers sont particulièrement marqués pour les monnaies numériques émises par des banques centrales, qui seraient potentiellement très centralisées et contrôlées [1]. Les cryptomonnaies décentralisées comme le Bitcoin représentent une approche différente, bien que toujours portant des risques spécifiques.Voici un résumé des principaux dangers de la monnaie numérique dé
centralisée non réglementée, en abordant les aspects mentionnés dans votre question :

### Volatilité

La volatilité des prix des cryptomonnaies est un risque majeur :

- Les prix varient rapidement et de manière imprévisible, pouvant causer des pertes important en peu de temps [7].
- Par exemple, en décembre 2017, le Bitcoin passa de 3 500 $ à 19 666 $ en quelques semaines, puis chuta à 13 000 $ en janvier 2018 [7].
- Cette volatilité rend difficile la planification financière à long terme et expose les investisseurs à des risques importants [7].

### Risque juridique

L'absence de régulation et de garantie légale de remboursement pose des problèmes :

- Pas de protection des dépôts comme dans les banques traditionnelles [7].
- Si une plateforme d'échange ou un portefeuille est hacké, les utilisateurs peuvent perdre leurs fonds an espoir de récupération [7].
- L'absence de réglementation signifie qu'il n'y a pas de mécanisme légal pour résoudre les conflits entre parties [7].

### Vie privée

Le caractère public des transactions sur les blockchains pose des risques :

- Les transactions peuvent être suivies et analysées par d'autres parties [7].
- Des entreprises comme Chainalysis ont développé des outils pour analyser les flux financiers sur les blockchains [7].
- Cela peut compromettre la confidentialité des transactions et des propriétaires de cryptoactifs [7].

### Sécurité technique

Les risques liés à la sécurité des portefeuilles et des plateformes sont importants :

- Pas de garde sécurité robuste pour protéger les cryptocoins [7].
- Les attaques par force brute sont fréquentes, comme celle qui a permis de voler 7 000 Bitcoin en 2018 [7].
- Des failles de sécurité dans les logiciels peuvent permettre aux hackers d'accéder aux fonds [7].

### Convertibilité

La difficulté à convertir les cryptomonnaies en monnaie courante pose des problèmes :

- La volatilité des prix rend difficile la conversion à un moment précis [0].
- L'absence de régulation peut entraîner des problèmes lors de la conversion entre différentes plateformes [0].
- Cela peut rendre difficile l'utilisation pratique des cryptoactifs comme moyen de paiement [0].

### Fork

Le risque de fork (division) de la blockchain est un danger potentiel :

- Une modification du protocole peut créer une nouvelle chaîne de blocs, divisant la communauté [0].
- Par exemple, le fork de Bitcoin Cash en 2017 a créé une nouvelle blockchain avec ses propres règles [0].

### Concurrence et dépendance

L'émergence de nombreuses cryptomonnaies crée des problèmes :

- Une multiplication excessive pourrait créer de l'instabilité financière [0].
- Le caractère fluctuant des prix peut rendre les entreprises dépendantes de la valeur des cryptoactifs [0].

### Réputation et centralisation

Les risques liés à la réputation et à la centralisation sont importants :

- Une mauvaise gestion ou une violation de données peut endommager la réputation d'une entreprise [0].
- Bien que décentralisé, certaines plateformes peuvent devenir centralisées, ce qui va à l'encontre des principes de la technologie [0].

Il est important de noter que ces dangers sont particulièrement marqués pour les monnaies numériques émises par des banques centrales, qui seraient potentiellement très centralisées et contrôlées [0]. Les cryptomonnaies décentralisées comme le Bitcoin représentent une approche différente, bien que toujours portant des risques spécifiques.

[Jeannot Lapin]

Voici un résumé des principaux dangers de la monnaie numérique :

### Risques liés à la nature décentralisée et non réglementée
- Absence de régulation : Le Bitcoin et les autres cryptomonnaies ne sont pas soumis à des règles strictes comme les banques traditionnelles. Cela augmente les risques pour les investisseurs et les utilisateurs [3].

- Volatilité : Les prix des cryptomonnaies varient rapidement et de manière imprévisible, exposant les détenteurs à des pertes important.
Par exemple :
- En décembre 2017, le Bitcoin atteint un pic à 19 666$, puis chute à 13 000$ en janvier 2018 [4].
- En mars 2020, le Bitcoin passe de 7 000$ à 60 000$ en quelques mois seulement [4].

- Risque juridique : Pas de garantie légale de remboursement, pas de protection des dépôts, etc.
- Si une plateforme d'échange ou un portefeuille est hacké, les utilisateurs peuvent perdre leurs fonds an espoir de récupération [3].
- L'absence de régulation signifie qu'il n'y a pas de mécanisme légal pour résoudre les conflits entre parties [3].

- Risque de manipulation du marché : La nature décentralisée permet aux acteurs mal intentionnés de manipuler les prix de manière discrète[5].

### Menaces pour la vie privée

- Suivi des transactions : Sur une blockchain publique, les transactions peuvent être suivies et analysées par d'autres parties [1].
- Par exemple, en 2019, un chercheur a réussi à identifier les propriétaires de certains comptes Bitcoin grâce à leur adresse IP [6].
- Des entreprises comme Chainalysis ont développé des outils pour analyser les flux financiers sur les blockchains [7].

- Accès aux comptes : Des fonctionnaires pourraient avoir accès facilement aux comptes de citoyens sans procédure judiciaire [1].
- En 2021, le gouvernement indien a demandé à l'Union européenne de fournir des informations sur les comptes Bitcoin des Indiens [8].

### Perte de libertés individuelles

- Contrôle des transactions : Un État pourrait bloquer ou censurer des transactions [1].
- Par exemple, en Iran, les autorités ont bloqué l'accès au site web de Binance en 2021 pour empêcher les transactions financières illégales [9].

- Capacité de blocage des comptes : Un fonctionnaire pourrait interrompre complètement l'accès à un compte [1].
- En Chine, le gouvernement a bloqué l'accès au site web de Binance en 2017 et à celui d'Okex en 2021 [10].

### Risques techniques

- Sécurité des coffres-forts électroniques : Pas de garde sécurité robuste pour protéger les cryptocoins [3].
- Les attaques par force brute sont fréquentes, comme celle qui a permis de voler 7 000 Bitcoin en 2018 11].
- Des failles de sécurité dans les logiciels peuvent permettre aux hackers d'accéder aux fonds [12].

- Convertibilité aléatoire : Difficulté à convertir les cryptomonnaies en monnaie courante [3].
- La volatilité des prix rend difficile la conversion à un moment précis [13].
- L'absence de régulation peut entraîner des problèmes lors de la conversion entre différentes plateformes [14].

- Risque de fork : Une modification du protocole peut créer une nouvelle chaîne de blocs, divisant la communauté [15].
- Par exemple, le fork de Bitcoin Cash en 2017 a créé une nouvelle blockchain avec ses propres règles [16].

### Autres dangers potentiels

- Concurrence monétaire : Une multiplication des monnaies numériques pourrait créer de l'instabilité [1].
- Plusieurs milliers de cryptomonnaies existent déjà, ce qui peut rendre difficile la comparaison et l'utilisation [17].

- Dépendance excessive : Une utilisation trop intensive pourrait rendre les sociétés vulnérables [1].
- Le Bitcoin est souvent utilisé comme moyen de paiement, mais son prix fluctuant peut rendre les entreprises dépendantes de sa valeur [18].

- Risque de réputation : Une mauvaise gestion ou une violation de données peut endommager la réputation d'une entreprise [19].

- Risque de centralisation : Bien que décentralisé, certaines plateformes peuvent devenir centralisées, ce qui va à l'encontre des principes de la technologie [20].

Il est important de noter que ces dangers sont particulièrement marqués pour les monnaies numériques émises par des banques centrales, qui seraient potentiellement très centralisées et contrôlées [1]. Les cryptomonnaies décentralisées comme le Bitcoin représentent une approche différente, bien que toujours portant des risques spécifiques.Voici un résumé des principaux dangers de la monnaie numérique dé
centralisée non réglementée, en abordant les aspects mentionnés dans votre question :

### Volatilité

La volatilité des prix des cryptomonnaies est un risque majeur :

- Les prix varient rapidement et de manière imprévisible, pouvant causer des pertes important en peu de temps [7].
- Par exemple, en décembre 2017, le Bitcoin passa de 3 500 $ à 19 666 $ en quelques semaines, puis chuta à 13 000 $ en janvier 2018 [7].
- Cette volatilité rend difficile la planification financière à long terme et expose les investisseurs à des risques importants [7].

### Risque juridique

L'absence de régulation et de garantie légale de remboursement pose des problèmes :

- Pas de protection des dépôts comme dans les banques traditionnelles [7].
- Si une plateforme d'échange ou un portefeuille est hacké, les utilisateurs peuvent perdre leurs fonds an espoir de récupération [7].
- L'absence de réglementation signifie qu'il n'y a pas de mécanisme légal pour résoudre les conflits entre parties [7].

### Vie privée

Le caractère public des transactions sur les blockchains pose des risques :

- Les transactions peuvent être suivies et analysées par d'autres parties [7].
- Des entreprises comme Chainalysis ont développé des outils pour analyser les flux financiers sur les blockchains [7].
- Cela peut compromettre la confidentialité des transactions et des propriétaires de cryptoactifs [7].

### Sécurité technique

Les risques liés à la sécurité des portefeuilles et des plateformes sont importants :

- Pas de garde sécurité robuste pour protéger les cryptocoins [7].
- Les attaques par force brute sont fréquentes, comme celle qui a permis de voler 7 000 Bitcoin en 2018 [7].
- Des failles de sécurité dans les logiciels peuvent permettre aux hackers d'accéder aux fonds [7].

### Convertibilité

La difficulté à convertir les cryptomonnaies en monnaie courante pose des problèmes :

- La volatilité des prix rend difficile la conversion à un moment précis [0].
- L'absence de régulation peut entraîner des problèmes lors de la conversion entre différentes plateformes [0].
- Cela peut rendre difficile l'utilisation pratique des cryptoactifs comme moyen de paiement [0].

### Fork

Le risque de fork (division) de la blockchain est un danger potentiel :

- Une modification du protocole peut créer une nouvelle chaîne de blocs, divisant la communauté [0].
- Par exemple, le fork de Bitcoin Cash en 2017 a créé une nouvelle blockchain avec ses propres règles [0].

### Concurrence et dépendance

L'émergence de nombreuses cryptomonnaies crée des problèmes :

- Une multiplication excessive pourrait créer de l'instabilité financière [0].
- Le caractère fluctuant des prix peut rendre les entreprises dépendantes de la valeur des cryptoactifs [0].

### Réputation et centralisation

Les risques liés à la réputation et à la centralisation sont importants :

- Une mauvaise gestion ou une violation de données peut endommager la réputation d'une entreprise [0].
- Bien que décentralisé, certaines plateformes peuvent devenir centralisées, ce qui va à l'encontre des principes de la technologie [0].

Il est important de noter que ces dangers sont particulièrement marqués pour les monnaies numériques émises par des banques centrales, qui seraient potentiellement très centralisées et contrôlées [0]. Les cryptomonnaies décentralisées comme le Bitcoin représentent une approche différente, bien que toujours portant des risques spécifiques.

Tu t'es trompé de sujet. On parle pas de cryptomonaie ici, mais de numérisation des échanges et de la disparition de la monnaie papier et donc le contrôle total sur votre portefeuille.
On le constate tous : on peut plus retirer le liquide de nos propre comptes bancaires ! LCL a même institué une ponction sur tout trait en liquide au-delà de 3 par an. Je parle de votre carte bleue.
Il faut savoir que ce genre de principe tue le commerce et le secteur financier à tel point qu'en Suède, les Suédois sont revenus à la monnaie papier.

Déjà tout compte à l'étranger doit être déclaré sous peine d'amende ou de forte amende.

[Edouard de Montmonrency]

....Ben non ... ça en fait partie. Les bitcoins and Co sont virtuels et numérisés aussi.

[Jeannot Lapin]

....Ben non ... ça en fait partie. Les bitcoins and Co sont virtuels et numérisés aussi.

C'est le contraire : les cryptomonnaies c'est la liberté, les monnaies qui échappent au gouvernement et au fisc. Vous détenez une clé. C'est pour ça qu'elles sont combattues comme on peut ou bien on essaie de les légaliser en les intégrant, sous peine de déclaration.

Là, ce dont on parle sous couvert de numérisation de la monnaie, c'est de n'avoir plus qu'un compte en banque avec disparition de la monnaie. En gros c'est pas vous qui possédez ce que vous avez mais votre banque. C'est comme les actions titres. Vous n'avez pas les titres en main, ils sont en banque ou autre société financière. L'émission titres au porteur "papier" ne sont de mémoire plus reconnus depuis une dizaine d'années et les anciens titres papier ont été automatiquement convertis en titres dématérialisés. Donc le titre au porteur, vous ne l'avez plus : il est en banque. L'existence de votre propriété, c'est juste une créance de la banque envers vous, soit quelques octets dans leur fichier. La banque est en faillite : vos titres seront utilisés en premier pour solder ses déconvenues. Sans que vous vous en rendiez compte, on vient de vous déposséder de votre titre de propriété.
Et bien c'est désormais pareil pour tout ce que vous avez en monnaie...

Ah oui, un détail : vous aviez l'habitude de donner de l'argent de poche à vos enfants, parfois un peu plus à 20 ans, pour qu'ils s'achètent un meuble ou gèrent leur fin de mois d'étudiant, déjà plus une voiture car ça dépasserait les 1000 euros en liquide d'une trasaction. Désormais, ces petits coups de pouce va s'appeler donation, puisque le fisc pourra suivre ça jusqu'au moindre centime, et ça sera rapidement taxé. D'ailleurs le NFP y pense : toute propriété mobilière et immobilière doit être déclarée en vue d'être taxée...
D’ailleurs le fisc y pense. les enfants adultes vivant chez leurs parents, c'est une moins value pour le fisc, alors qu'ils pourraient payer un loyer : invention d'une nouvelle taxe sur le loyer non payé (les Pays-Bas l'ont déjà instauré et d'autres pays où on vit à l'étroit vont suivre).

La disparition de la monnaie papier c'est du fiscalisme socialiste baveux !

[Edouard de Montmonrency]

... Je ne fais pas la même analyse que toi, la monnaie pour moi fait partie de la souveraineté d'un peuple, elle doit être maîtrisée (numérique ou pas). C'est du régalien ... donc ça n'a pas a être livré au "à ma guise libertarien" du plus offrant Fric First. (le gens comptent plus que l'argent)

[Jeannot Lapin]

... Je ne fais pas la même analyse que toi, la monnaie pour moi fait partie de la souveraineté d'un peuple, elle doit être maîtrisée (numérique ou pas). C'est du régalien ... donc ça n'a pas a être livré au "à ma guise libertarien" du plus offrant Fric First. (le gens comptent plus que l'argent)

Je ne comprends pas de quoi tu veux parler. Ce n'est pas le sujet.
Le sujet c'est qu'on impose la monnaie numérique à la place du papier pour pouvoir tout te piquer sans que tu puisses rien dire. On va commencer par te taxer tout ce que tu faits avec... tu fais passer d'un compte à un autre, ça sera taxe sur les donation et taxe sur les transactions, et la banque pour être encouragée à participer et pourra piocher dedans, puis si la banque fait faillit, c'est ton compte qui couvrira. Et si la France fait faillite, c'est à dire si les fonctionaires qui se servent dans ta poche tout le temps à volonté arrivent quand même à mettre en faillite l'administration, on ira piocher sur les comptes bancaires, comme à Chypre.

Comme ça en plus ils peuvent endetter l'administration à tour de bras, puisqu'ils garantissent qu'ils ont la main sur tout ce que tu possède et produit.... en fait c'est eux qui dépensent et toi qui couvre en dettes, directes. Ton compte en baque que tu crois t'appartenir, c'est en, fait leurs futurs remboursements de dépenses, déjà couverts.

Compris, où il faut que je te le dessines ?  

[Edouard de Montmonrency]

... Je ne fais pas la même analyse que toi, la monnaie pour moi fait partie de la souveraineté d'un peuple, elle doit être maîtrisée (numérique ou pas). C'est du régalien ... donc ça n'a pas a être livré au "à ma guise libertarien" du plus offrant Fric First. (le gens comptent plus que l'argent)

Je ne comprends pas de quoi tu veux parler. Ce n'est pas le sujet...

Ah bon. C'est le concept que tu ne comprends pas ?
Une monnaie souveraine c'est une frontière de souveraineté, ça se protège aussi (comme les frontières géographiques, ou l'entrée de ta maison et son code d'entrée).

[Henri-Gatien Bertrand]

Pour moi, je vrai problème, c'est le bugs informatiques.
Une anecdote qui nous est arrivé avec mon collègue :

Nous souhaitions acheter un truc à manger à midi, nous sommes rentrés dans une boulangerie et il y avait la queue et pas une petite queue mais avec plusieurs personnes, pourquoi ? Parce que toutes ces personnes voulaient payer par cartes ou avec leur téléphone, mais voilà il y avait un problème informatique et donc, les paiement électroniques étaient impossibles, sauf que nous, on avait du liquide et on est passé devant tout le monde.
Je crois que depuis, les gens sont rentrés chez eux ou sont morts de faim.

[Edouard de Montmonrency]

Pour moi, je vrai problème, c'est le bugs informatiques.
Une anecdote qui nous est arrivé avec mon collègue :

Nous souhaitions acheter un truc à manger à midi, nous sommes rentrés dans une boulangerie et il y avait la queue et pas une petite queue mais avec plusieurs personnes, pourquoi ? Parce que toutes ces personnes voulaient payer par cartes ou avec leur téléphone, mais voilà il y avait un problème informatique et donc, les paiement électroniques étaient impossibles, sauf que nous, on avait du liquide et on est passé devant tout le monde.
Je crois que depuis, les gens sont rentrés chez eux ou sont morts de faim.

Même sans problème informatique, on ne donne pas son digicode de sa carte bancaire à tout le monde, la frontière numérique monétaire souveraine se protège (comme les frontières géographiques).

[Jeannot Lapin]

Pour moi, je vrai problème, c'est le bugs informatiques.
Une anecdote qui nous est arrivé avec mon collègue :

Nous souhaitions acheter un truc à manger à midi, nous sommes rentrés dans une boulangerie et il y avait la queue et pas une petite queue mais avec plusieurs personnes, pourquoi ? Parce que toutes ces personnes voulaient payer par cartes ou avec leur téléphone, mais voilà il y avait un problème informatique et donc, les paiement électroniques étaient impossibles, sauf que nous, on avait du liquide et on est passé devant tout le monde.
Je crois que depuis, les gens sont rentrés chez eux ou sont morts de faim.

Non mais c'est très simple : si vous jouez en bourse, il faut avoir les yeux en 4 pour tout calculer de toutes les opé réalisées dans l'année car votre banque se goure très fréquemment. Du coupe vire déclaration peut être caduque et vous êtes censés la vérifier. Votre banque n'en a rien à cirer de ses fautes, sauf que c'est la preuve que vous produisez auprès du comptable pour le fisc. Mon père qui est chez 2 opérateurs de bourse français très connus s'est pris deux fautes graves (qui lui aurait valu de payer beaucoup d'impôts en plus), heureusement décelées par son comptable et qui est intervenu pour rectification et ça a été compliqué. Quand ça sera numérisé, on vous enverra même plus les bilans et d'ailleurs on est en train de se passer du comptable de plus en plus, car il n'est plus là que pour valider un papier numérique certifié...

Quand on lit sur les forums liés à ces sujets, ce genre de problème est courant.

[Henri-Gatien Bertrand]

Non mais c'est très simple : si vous jouez en bourse, il faut avoir les yeux en 4 pour tout calculer de toutes les opé réalisées dans l'année car votre banque se goure très fréquemment. Du coupe vire déclaration peut être caduque et vous êtes censés la vérifier. Votre banque n'en a rien à cirer de ses fautes, sauf que c'est la preuve que vous produisez auprès du comptable pour le fisc. Mon père qui est chez 2 opérateurs de bourse français très connus s'est pris deux fautes graves (qui lui aurait valu de payer beaucoup d'impôts en plus), heureusement décelées par son comptable et qui est intervenu pour rectification et ça a été compliqué. Quand ça sera numérisé, on vous enverra même plus les bilans et d'ailleurs on est en train de se passer du comptable de plus en plus, car il n'est plus là que pour valider un papier numérique certifié...

Quand on lit sur les forums liés à ces sujets, ce genre de problème est courant.

Ca promet un beau bordel le futur et c'est tant mieux.

[Jeannot Lapin]

Non mais c'est très simple : si vous jouez en bourse, il faut avoir les yeux en 4 pour tout calculer de toutes les opé réalisées dans l'année car votre banque se goure très fréquemment. Du coupe vire déclaration peut être caduque et vous êtes censés la vérifier. Votre banque n'en a rien à cirer de ses fautes, sauf que c'est la preuve que vous produisez auprès du comptable pour le fisc. Mon père qui est chez 2 opérateurs de bourse français très connus s'est pris deux fautes graves (qui lui aurait valu de payer beaucoup d'impôts en plus), heureusement décelées par son comptable et qui est intervenu pour rectification et ça a été compliqué. Quand ça sera numérisé, on vous enverra même plus les bilans et d'ailleurs on est en train de se passer du comptable de plus en plus, car il n'est plus là que pour valider un papier numérique certifié...

Quand on lit sur les forums liés à ces sujets, ce genre de problème est courant.

Ca promet un beau bordel le futur et c'est tant mieux.

Surtout qu'en France on a mis plusieurs impôts sur les valeurs boursières et qu'on peut appliquer différemment selon la comptabilité qu'on mène, notre résidence et notre nationalité. Si par exemple on a des actions auprès du courtier De Giro (le plus gros européen en ligne - basé en Hollande mais détenu par une banque allemande), ils envoient une liasse fiscale précise, mais tout est à faire par nous-mêmes pour calculer les impôts et les justifier. Même un comptable va galérer dessus. Il y a tellement de situations inutilement différentes auprès du fisc français et changeant tout le temps, parce qu'avec le nombre de fonctionnaires dans nos administrations fiscales il faut qu'ils s'occupent. Du coup, De Giro est connu pour envoyer des données très précises et bien faites, pas erronées, mais c'est à nous de tout calculer pour le fisc français. Et bien évidemment, De Giro ne se lance pas dans les PEA français... comme l'a fait Saxo (banque danoise) dont j'ai eu vent qu'ils se sont planté dans les calculs PEA.

En gros, en France, le compliqué c'est pas de spéculer en bourse, à la portée des IA, mais de payer les impôts après. Même un IA n'y arrive pas.

En plus dans les banques françaises il y a quand même l'histoire des Marocains qu'on va chercher chez eux pour les faire bosser dans les banques françaises, parce que chez eux, il faut encore avoir fait des maths pour avoir son bac. L'options math n'est plus prise (il parait que ça se redresse en 2024) et le niveau n'a plus rien avoir avec celui d'antan.
Je vois ça dans les sociétés avec lesquelles je travaille. Quand il y a un problème ardu de math, ce sont ceux de 60 ans qui s'y collent. C'est à dire que leurs futurs remplaçants n'en sont pas capables.

[Contenu sponsorisé]