Parler d’extrême-droite est vide de sens

par **Tancrède de Hauteville** Dim 31 Oct - 6:59

Commençons par faire un peu de sémantique. Quand on parle sens, en politique, on évoque le projet de société. Mais qu’est-ce qu’un projet de société ? Il ne faut pas le confondre avec le programme. Ce qu’on appelle habituellement « programme », c’est l’ensemble des mesures qu’envisage de mettre en œuvre le parti concerné le lendemain de sa prise de pouvoir. Alors que le « projet de société » traduit comment ledit parti souhaite que soit la France dix ans après la prise du pouvoir.

Ces définitions étant rappelées, je précise que, dans le débat qui aura sans doute lieu sur ces questions dans ce forum, je ne répondrai à aucune objection faisant référence à l’histoire. En effet, il existe en France ce qu’on appelle « les lois mémorielles » interdisant, de fait, d’évoquer certains pans de l’histoire : Loi Pleven, votée en 1972, créant un délit d’incitation ou de provocation à la haine raciale et religieuse qui introduisit les notions nouvelles de provocation à la haine et provocation à la discrimination, Loi Gayssot, votée en 1980, introduisant un délit de contestation de l’existence de crimes contre l’humanité ; Loi Perben et la HALDE (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité), votée en 2004.

Venons-en au concret. Il est de coutume, dans certains milieux de gauche, de qualifier d’extrême-droite, voire de fasciste, les personnes ou les organisations politiques qu’ils voudraient exclure du champ politique, en clair, les interdire d’exister. Mais ce sont là des phantasmes ! En effet, qui parle d’extrême-droite se réfère à un échiquier politique classant les partis en droite et gauche. Mais ces notions sont en voie de disparition. On le voit bien dans les sondages publiés actuellement en prévision des prochaines élections présidentielles : les partis, et les personnes, qui se réclament de la droite ou de la gauche se situent à 10 ou 15% des voix. Si tant est qu’elles les atteignent. Pourquoi ? Parce que ces partis, ou personnes, sont incapables de défendre un quelconque projet de société. Alors, a fortiori, ceux qu’on qualifie d’extrême-droite. Je défie quiconque de me présenter un projet de société d’extrême-droite porté par une quelconque organisation politique. Cela n’existe pas. Eric Zemmour et Marine Le Pen ont un programme, mais pas de projet de société.

Pourquoi cette situation ? Parce que le vrai clivage politique est ailleurs. Commençons par les gens qui sont au pouvoir. Mais quel est ce pouvoir ? Ce n’est ni celui de Macron, ni celui de ses prédécesseurs, Sarkozy et Hollande. Non. C’est celui de l’oligarchie mondialiste, celle qui, notamment, se réunit chaque année au forum de Davos. D’ailleurs le fondateur de ce forum, Klaus Schwab, a co-écrit un livre, « The Great Reset » (la grande réinitialisation) dans lequel, en 200 pages, il présente le projet de société mondialiste. On l’appelle ainsi car il correspond à une idéologie et à des organisations qui la portent. Cette idéologie se concrétise par trois objectifs : mettre en place un gouvernement mondial, détruire le christianisme et réduire la population mondiale à 500 millions d’habitants. Trois pouvoirs mettent en œuvre déjà depuis des années cette idéologie :
• Un pouvoir économique, constitué du cartel des grandes banques internationales et des grandes multinationales ;
• Un pouvoir politique dont le fer de lance est la triade Royaume Uni / Etats-Unis / Israël ;
• Un pouvoir idéologique, dont les deux principales branches sont la franc-maçonnerie et des sociétés de pensée telles que le CFR, Bilderberg, la Trilatérale et, pour la France, le Siècle.
Les chefs d’Etat, tels Emmanuel Macron ou Angela Merkel, ne sont que les valets de cette oligarchie mondialiste.

Klaus Schwab attaque, dans son livre, ceux qu’il considère comme des opposants : les nationalistes. Mais ceux-ci, dans la réalité, ne sont que des groupuscules sans aucun projet de société. Considérons-les néanmoins comme une opposition, ce qui amène à dire que le réel clivage politique, en France et dans le monde, est entre les mondialistes et les nationalistes.
Mais qu’entend-on exactement par « nationaliste » aujourd’hui ? Des personnes et des organisations qui se disent patriotes. Est-ce un crime ? Certainement pas. Mais, encore une fois, c’est perdre son temps que de les attaquer car ils n’ont pas de projet de société.
Structurer une opposition au mondialisme est un objectif qui reste à réaliser.

par JPP Dim 31 Oct - 9:29

Caricaturer en évoquant à jets continus le "néfaste d'une extrême droite" hypothétique qui n'effraie essentiellement que nos "semeurs de désordre politique et social" se réclamant d'une "Gauche" fantomatique et anachronique, ce qui ne fera, à terme, qu'amener cette VRAIE DROITE PATRIOTIQUE AUX MANETTES D'UNE FRANCE QUI SE MEURE SURTOUT FINANCIEREMENT ET SOCIALEMENT PAR LE MANQUE HONTEUX DE PATRIOTISME ET DE NATIONALISME DE SES DIRIGEANTS SUCCESSIFS, AVEUGLES PAR LE MIRAGE DE CETTE "EUROPE PATCHWORK", INCONSTRUCTIBLE EN CET ETAT AUSSI PLETHORIQUE QUE DISPARATE !!!...

par **Vladimir de Volog** Dim 31 Oct - 10:45

Oui, Marine Le Pen est d’extrême droite

On connaissait les grosses ficelles de Jean Marie Le Pen, voici les câbles de Marine. Depuis aujourd’hui, la voilà qui menace même d’attaquer en justice « tous ceux qui diront qu’elle est d’extrême droite ». Incroyable et loufoque. On aurait presqu'envie de lui dire "Non mais allo quoi !" C’est presque risible tellement c’est ridicule.

Elle ose même dire que « les origines du FN ne sont pas d’extrême droite ». Connaît-elle l’histoire de son parti fondé le 5 octobre 1972 par une poignée de militants de l’extrême droite néo fasciste (comme François Duprat), ex collaborateur (comme François Brigneau), ex PPF (comme Victor Bathélémy), OAS ou autres groupuscules de la galaxie de l’extrême droite de l’époque (tel Jean-Pierre Stirbois) ? Ou, peut-être, se moque-t-elle tout simplement de nous ?

Ne soyons pas étonné toutefois par cette astuce. Elle n’est pas originale. Depuis toujours l’extrême droite ne veut pas qu’on l’appelle extrême droite. Jamais elle n’a assumé ce terme et surtout depuis l’horreur de la seconde guerre mondiale. A quelques exceptions près, les fascistes français des années 30 refusaient aussi qu’on les appelle fascistes.

Toujours, cette famille politique a cherché à camoufler sa véritable identité. Elle prospère dans la confusion. Son slogan, c’est « ni droite, ni gauche ». Moins les frontières politiques sont nettes, plus l’extrême droite est en forme. Parlant de lui, Jean Marie Le Pen, refusait systématiquement ce qualificatif et disait même parfois : « je suis, dans le fond, un démocrate churchillien ».

Dans les années 80 et 90, personne ne le croyait bien sûr et cela ne faisait pas de doute qu’il était d’extrême droite (et même un vieux facho) pour la très grande majorité de notre pays.

Et voici que pour sa fille, les choses semblent moins nettes pour beaucoup de nos concitoyens, de journalistes ou observateurs. Où est né ce changement de perception ?

Pourtant, Marine Le Pen s’est toujours revendiquée de la continuité de son père. Il n’existe aucune déclaration de sa part qui prendrait des distances avec les 60 ans d’engagement politique de papa (ici en photo dans un des premiers meetings du FN avec François Brigneau ancien militant du parti collabo RNP de Marcel Déat, que Mme Le Pen ne qualifiera peut être pas d'extrême droite, qui sait ?).

Elle a également été élue présidente du FN en 2011 avec le soutien actif de son père et non contre lui ni ses idées. Elle l’a ensuite toujours défendu, affirmant qu'il "avait toujours eu raison". Toujours, avec une belle constance et fidélité, elle s'est placée dans son sillage. Sans cela, sa carrière politique n'aurait d'ailleurs jamais existé. Elle est une pure héritière, qui a essentiellement bénéficié de son nom pour faire de la politique.

La suite sur : https://blogs.mediapart.fr/edition/entre-republique-et-bastille/article/041013/oui-marine-le-pen-est-d-extreme-droite

par **Vladimir de Volog** Dim 31 Oct - 10:46

Pourquoi les gens d'extrême droite refusent-ils d'être dans l'extrême droite ?

par **lambertini** Dim 31 Oct - 10:54

Volog a écrit:Pourquoi les gens d'extrême droite refusent-ils d'être dans l'extrême droite ?

moi je suis fiers d être d extrême droite
surtout que l extrême gauche, na aucun honneur
vouloir détruire le société pour installé
un système gauchiste que le monde entier vomis

par **Vladimir de Volog** Dim 31 Oct - 10:57

Volog a écrit:Oui, Marine Le Pen est d’extrême droite

On connaissait les grosses ficelles de Jean Marie Le Pen, voici les câbles de Marine. Depuis aujourd’hui, la voilà qui menace même d’attaquer en justice « tous ceux qui diront qu’elle est d’extrême droite ». Incroyable et loufoque. On aurait presqu'envie de lui dire "Non mais allo quoi !" C’est presque risible tellement c’est ridicule.

Elle ose même dire que « les origines du FN ne sont pas d’extrême droite ». Connaît-elle l’histoire de son parti fondé le 5 octobre 1972 par une poignée de militants de l’extrême droite néo fasciste (comme François Duprat), ex collaborateur (comme François Brigneau), ex PPF (comme Victor Bathélémy), OAS ou autres groupuscules de la galaxie de l’extrême droite de l’époque (tel Jean-Pierre Stirbois) ? Ou, peut-être, se moque-t-elle tout simplement de nous ?

Ne soyons pas étonné toutefois par cette astuce. Elle n’est pas originale. Depuis toujours l’extrême droite ne veut pas qu’on l’appelle extrême droite. Jamais elle n’a assumé ce terme et surtout depuis l’horreur de la seconde guerre mondiale. A quelques exceptions près, les fascistes français des années 30 refusaient aussi qu’on les appelle fascistes.

Toujours, cette famille politique a cherché à camoufler sa véritable identité. Elle prospère dans la confusion. Son slogan, c’est « ni droite, ni gauche ». Moins les frontières politiques sont nettes, plus l’extrême droite est en forme. Parlant de lui, Jean Marie Le Pen, refusait systématiquement ce qualificatif et disait même parfois : « je suis, dans le fond, un démocrate churchillien ».

Dans les années 80 et 90, personne ne le croyait bien sûr et cela ne faisait pas de doute qu’il était d’extrême droite (et même un vieux facho) pour la très grande majorité de notre pays.

Et voici que pour sa fille, les choses semblent moins nettes pour beaucoup de nos concitoyens, de journalistes ou observateurs. Où est né ce changement de perception ?

Pourtant, Marine Le Pen s’est toujours revendiquée de la continuité de son père. Il n’existe aucune déclaration de sa part qui prendrait des distances avec les 60 ans d’engagement politique de papa (ici en photo dans un des premiers meetings du FN avec François Brigneau ancien militant du parti collabo RNP de Marcel Déat, que Mme Le Pen ne qualifiera peut être pas d'extrême droite, qui sait ?).

Elle a également été élue présidente du FN en 2011 avec le soutien actif de son père et non contre lui ni ses idées. Elle l’a ensuite toujours défendu, affirmant qu'il "avait toujours eu raison". Toujours, avec une belle constance et fidélité, elle s'est placée dans son sillage. Sans cela, sa carrière politique n'aurait d'ailleurs jamais existé. Elle est une pure héritière, qui a essentiellement bénéficié de son nom pour faire de la politique.

La suite sur : https://blogs.mediapart.fr/edition/entre-republique-et-bastille/article/041013/oui-marine-le-pen-est-d-extreme-droite

par JPP Dim 31 Oct - 11:26

Par les "manipulations des uns et des autres", malheureusement notre système électoral EST DE MOINS EN MOINS REPRESENTATIF d'une exacte répartition nationale des courants de la pensée POPULAIRE actuelle !!!... Une "certaine presse" inféodée à un pouvoir autoritaire idéologiquement et prétendumment "majoritaire" sans qu'il corresponde effectivement aux aspirations populaires, ce par l'artifice d'une "très savante et complice interprétation médiatique", parvient ainsi à mener nos consultations électorales nationales dans le sens QU'ELLE VEUT SANS QUE CELA SOIT LA REPRESENTATION POPULAIRE EFFECTIVE!!!...

par **lambertini** Dim 31 Oct - 11:30

de toutes façons , si les idées de l extrême gauche, ne vous conviennes pas
vous devenez extrême droite

par **Minos de Rhadamanthe** Dim 31 Oct - 13:39

Volog a écrit:Pourquoi les gens d'extrême droite refusent-ils d'être dans l'extrême droite ?

Surement pour les mêmes raisons que les gens d'extrême gauche refusent d'être dans l'extrême Gauche... Parler d’extrême-droite est vide de sens 518364

Vous devriez le savoir... Parler d’extrême-droite est vide de sens 518364

par **Tancrède de Hauteville** Dim 31 Oct - 15:32

Volog a écrit:Oui, Marine Le Pen est d’extrême droite

On connaissait les grosses ficelles de Jean Marie Le Pen, voici les câbles de Marine. Depuis aujourd’hui, la voilà qui menace même d’attaquer en justice « tous ceux qui diront qu’elle est d’extrême droite ». Incroyable et loufoque. On aurait presqu'envie de lui dire "Non mais allo quoi !" C’est presque risible tellement c’est ridicule.

Elle ose même dire que « les origines du FN ne sont pas d’extrême droite ». Connaît-elle l’histoire de son parti fondé le 5 octobre 1972 par une poignée de militants de l’extrême droite néo fasciste (comme François Duprat), ex collaborateur (comme François Brigneau), ex PPF (comme Victor Bathélémy), OAS ou autres groupuscules de la galaxie de l’extrême droite de l’époque (tel Jean-Pierre Stirbois) ? Ou, peut-être, se moque-t-elle tout simplement de nous ?

Ne soyons pas étonné toutefois par cette astuce. Elle n’est pas originale. Depuis toujours l’extrême droite ne veut pas qu’on l’appelle extrême droite. Jamais elle n’a assumé ce terme et surtout depuis l’horreur de la seconde guerre mondiale. A quelques exceptions près, les fascistes français des années 30 refusaient aussi qu’on les appelle fascistes.

Toujours, cette famille politique a cherché à camoufler sa véritable identité. Elle prospère dans la confusion. Son slogan, c’est « ni droite, ni gauche ». Moins les frontières politiques sont nettes, plus l’extrême droite est en forme. Parlant de lui, Jean Marie Le Pen, refusait systématiquement ce qualificatif et disait même parfois : « je suis, dans le fond, un démocrate churchillien ».

Dans les années 80 et 90, personne ne le croyait bien sûr et cela ne faisait pas de doute qu’il était d’extrême droite (et même un vieux facho) pour la très grande majorité de notre pays.

Et voici que pour sa fille, les choses semblent moins nettes pour beaucoup de nos concitoyens, de journalistes ou observateurs. Où est né ce changement de perception ?

Pourtant, Marine Le Pen s’est toujours revendiquée de la continuité de son père. Il n’existe aucune déclaration de sa part qui prendrait des distances avec les 60 ans d’engagement politique de papa (ici en photo dans un des premiers meetings du FN avec François Brigneau ancien militant du parti collabo RNP de Marcel Déat, que Mme Le Pen ne qualifiera peut être pas d'extrême droite, qui sait ?).

Elle a également été élue présidente du FN en 2011 avec le soutien actif de son père et non contre lui ni ses idées. Elle l’a ensuite toujours défendu, affirmant qu'il "avait toujours eu raison". Toujours, avec une belle constance et fidélité, elle s'est placée dans son sillage. Sans cela, sa carrière politique n'aurait d'ailleurs jamais existé. Elle est une pure héritière, qui a essentiellement bénéficié de son nom pour faire de la politique.

La suite sur : https://blogs.mediapart.fr/edition/entre-republique-et-bastille/article/041013/oui-marine-le-pen-est-d-extreme-droite

C'est vrai ce que vous dites. Mais c'est un combat d'arrière garde. Se polariser sur le clivage droite-gauche - et donc du rôle de l'extrême-droite - c'est perdre son temps.
Le véritable ennemi, c'est Klaus Schwab et ses amis. Son livre "The Great Reset" est la version moderne d'un livre nauséabond d'une autre époque, en plus subtile.
Combattez l'oligarchie mondialiste et pas l'extrême-droite, qui est, comme disaient les chinois, un "tigre de papier".

par **Vladimir de Volog** Dim 31 Oct - 17:32

NON, le véritable ennemi c'est le capitalisme, ce que vous appelez l'oligarchie mondialiste, qui convient parfaitement à l'extrême droite, car ni les lepen, ni zemmour ou d'autre ne mettent en cause les fondements du capitalisme qui sont le profit avant tout, et qui nous a mené là où nous en sommes.

Faut ouvrir les yeux, alors que le nombre de pauvres augmente en France, que le pouvoir d'achat est à la baisse que le chômage est au plus haut, la France bat les records de versement de dividendes aux actionnaires, c'est bien que les richesses sont mal réparties, mais silence dans les rangs des droites.

par **Francis XV** Dim 31 Oct - 18:02

Volog a écrit:
Faut ouvrir les yeux, alors que le nombre de pauvres augmente en France, que le pouvoir d'achat est à la baisse que le chômage est au plus haut, la France bat les records de versement de dividendes aux actionnaires, c'est bien que les richesses sont mal réparties, mais silence dans les rangs des droites.

Ils vous suffit juste d'éliminer 6 millions de personnes et le problème sera résolu. Après les critères de sélection pour l'abatage c'est vous qui voyez, les goûts et les couleurs ...

Avec Macron on élimine les vieux de préférence
Avec Zemmour les basanés

De prime abord je dirais que le choix de Macron semble plus rationnel d'un point de vu capitaliste. Mais le choix Zemmour va fortement booster le chiffre d'affaire de l'industrie de l'armement et de la sécurité ça mérite réflexion.

par **Tancrède de Hauteville** Dim 31 Oct - 21:02

Volog a écrit:NON, le véritable ennemi c'est le capitalisme, ce que vous appelez l'oligarchie mondialiste, qui convient parfaitement à l'extrême droite, car ni les lepen, ni zemmour ou d'autre ne mettent en cause les fondements du capitalisme qui sont le profit avant tout, et qui nous a mené là où nous en sommes.

Faut ouvrir les yeux, alors que le nombre de pauvres augmente en France, que le pouvoir d'achat est à la baisse que le chômage est au plus haut, la France bat les records de versement de dividendes aux actionnaires, c'est bien que les richesses sont mal réparties, mais silence dans les rangs des droites.

Vous vous trompez. Au-dessus de l'économie, il y a la politique, c'est-à-dire le pouvoir.
Les lois sur la liberté de l'avortement, le mariage homosexuel, la PMA et la GPA ne ressortent pas d'une logique économique.

Au-delà du capitalisme, il y a "The Great Reset"

par **Francis XV** Dim 31 Oct - 22:14

Thésée a écrit:
Vous vous trompez. Au-dessus de l'économie, il y a la politique, c'est-à-dire le pouvoir.
Les lois sur la liberté de l'avortement, le mariage homosexuel, la PMA et la GPA ne ressortent pas d'une logique économique.

Ces lois s'intègrent au contraire a un point de vue économique parfaitement rationnel :
- L'avortement permet d'éviter la surpopulation, et de libèrer la gent féminine pour le travail.
- La PMA nous permet d'envisager le choix des de "meilleurs gènes" pour avoir des enfants plus performants et moins malades.
- La GPA est intégrable à l'économie marchande et permet de donner un emploi aux cassoces

par **Tancrède de Hauteville** Lun 1 Nov - 9:36

Francis XV a écrit:
Thésée a écrit:
Vous vous trompez. Au-dessus de l'économie, il y a la politique, c'est-à-dire le pouvoir.
Les lois sur la liberté de l'avortement, le mariage homosexuel, la PMA et la GPA ne ressortent pas d'une logique économique.

Ces lois s'intègrent au contraire a un point de vue économique parfaitement rationnel :
- L'avortement permet d'éviter la surpopulation, et de libérer la gent féminine pour le travail.
- La PMA nous permet d'envisager le choix des de "meilleurs gènes" pour avoir des enfants plus performants et moins malades.
- La GPA est intégrable à l'économie marchande et permet de donner un emploi aux cassoces

Vous confortez mon point de vue en présentant des causes autres que la recherche du profit.
Car c'était cela, la question.

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