Le poison des vaccins
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Le poison des vaccins
Onze vaccins obligatoires !
Lors de son discours de politique
générale prononcé mardi devant la
nouvelle Assemblée nationale, le Premier
ministre Edouard Philippe a
annoncé plusieurs mesures de « santé
publique ». Il a notamment confirmé
la volonté du gouvernement de
rendre onze vaccins obligatoires pour
les enfants, contre trois aujourd’hui.
Cette annonce suit le rapport publié
en novembre dernier par un comité
d’experts. Il y a quelques jours,
deux cents médecins et professionnels
de santé signaient également
une tribune dans Le Parisien pour réclamer
l’obligation de la vaccination
dans ces onze cas.
Les détracteurs n’ont pas tardé à se
faire entendre : effets secondaires, efficacité,
business de l’industrie pharmaceutique…
leurs questions sont
bien plus nombreuses que les réponses
qu’ils obtiennent.
Aujourd’hui, seuls trois vaccins infantiles
sont obligatoires en France :
contre la diphtérie, le tétanos et la
poliomyélite. Huit autres sont aujourd’hui
recommandés par certains
experts, et seront demain obligatoires
à en croire le Premier ministre :
coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole,
hépatite B, bactérie Haemophilus
influenzae, pneumocoque,
méningocoque C.
Les deux cents noms qui préconisent
aujourd’hui ces vaccins dans les
colonnes du Parisien sont professionnels
de santé en effet, mais le pharmacien
Serge Rader – spécialisé depuis
quelques années dans la question
vaccinale – apporte une autre
précision : « Tous ces gens-là doivent
leur carrière à l’industrie pharmaceutique.
Ils ne seraient pas devenus
professeurs, ou autre, s’ils n’avaient
pas signé toutes les conventions.
Pour ne citer que le professeur Guy
Madit, il a 72 conventions avec les
laboratoires. Mais, c’est la même
chose pour toute la liste (…) C’est
tout à fait scandaleux. »
Certains pointent en effet une précipitation
du ministre de la Santé
qu’aucune urgence sanitaire ne justifie
et relèvent que cette annonce se
fait en France quelques jours seulement
après que la Suède a décidé de
rendre anticonstitutionnelle l’obligation
vaccinale…
Serge Rader est sans doute l’un des
plus déterminés à faire entendre une
voix discordante, d’autant plus intéressante
qu’il n’est pas « anti-vaccin »
a priori.
« Les vaccins sont nécessaires, mais
ils posent des problèmes aujourd’hui,
notamment dans leur composition.
Des doses astronomiques
d’aluminium sont injectées dans ces
petits êtres innocents que sont les
nourrissons. (…) Plus récemment,
des études publiées dans des revues
scientifiques américaines ont révélé
qu’ils sont bourrés de nanoparticules
métalliques toxiques qui, une fois injectées,
ne sont pas biodégradables.
Elles sont toxiques, les vaccins en
sont pleins, mais “circulez il n’y a
rien à voir”. C’est inadmissible ! »
Il a écrit plusieurs fois au ministère
de la Santé, sans obtenir l’ombre
d’une réponse. Certaines questions
seraient-elles réellement gênantes ? A
constater les milliards d’euros que
brasse l’industrie pharmaceutique, la
question est permise.
MARIE POMMERET
marie-pommeret@present.fr
Lors de son discours de politique
générale prononcé mardi devant la
nouvelle Assemblée nationale, le Premier
ministre Edouard Philippe a
annoncé plusieurs mesures de « santé
publique ». Il a notamment confirmé
la volonté du gouvernement de
rendre onze vaccins obligatoires pour
les enfants, contre trois aujourd’hui.
Cette annonce suit le rapport publié
en novembre dernier par un comité
d’experts. Il y a quelques jours,
deux cents médecins et professionnels
de santé signaient également
une tribune dans Le Parisien pour réclamer
l’obligation de la vaccination
dans ces onze cas.
Les détracteurs n’ont pas tardé à se
faire entendre : effets secondaires, efficacité,
business de l’industrie pharmaceutique…
leurs questions sont
bien plus nombreuses que les réponses
qu’ils obtiennent.
Aujourd’hui, seuls trois vaccins infantiles
sont obligatoires en France :
contre la diphtérie, le tétanos et la
poliomyélite. Huit autres sont aujourd’hui
recommandés par certains
experts, et seront demain obligatoires
à en croire le Premier ministre :
coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole,
hépatite B, bactérie Haemophilus
influenzae, pneumocoque,
méningocoque C.
Les deux cents noms qui préconisent
aujourd’hui ces vaccins dans les
colonnes du Parisien sont professionnels
de santé en effet, mais le pharmacien
Serge Rader – spécialisé depuis
quelques années dans la question
vaccinale – apporte une autre
précision : « Tous ces gens-là doivent
leur carrière à l’industrie pharmaceutique.
Ils ne seraient pas devenus
professeurs, ou autre, s’ils n’avaient
pas signé toutes les conventions.
Pour ne citer que le professeur Guy
Madit, il a 72 conventions avec les
laboratoires. Mais, c’est la même
chose pour toute la liste (…) C’est
tout à fait scandaleux. »
Certains pointent en effet une précipitation
du ministre de la Santé
qu’aucune urgence sanitaire ne justifie
et relèvent que cette annonce se
fait en France quelques jours seulement
après que la Suède a décidé de
rendre anticonstitutionnelle l’obligation
vaccinale…
Serge Rader est sans doute l’un des
plus déterminés à faire entendre une
voix discordante, d’autant plus intéressante
qu’il n’est pas « anti-vaccin »
a priori.
« Les vaccins sont nécessaires, mais
ils posent des problèmes aujourd’hui,
notamment dans leur composition.
Des doses astronomiques
d’aluminium sont injectées dans ces
petits êtres innocents que sont les
nourrissons. (…) Plus récemment,
des études publiées dans des revues
scientifiques américaines ont révélé
qu’ils sont bourrés de nanoparticules
métalliques toxiques qui, une fois injectées,
ne sont pas biodégradables.
Elles sont toxiques, les vaccins en
sont pleins, mais “circulez il n’y a
rien à voir”. C’est inadmissible ! »
Il a écrit plusieurs fois au ministère
de la Santé, sans obtenir l’ombre
d’une réponse. Certaines questions
seraient-elles réellement gênantes ? A
constater les milliards d’euros que
brasse l’industrie pharmaceutique, la
question est permise.
MARIE POMMERET
marie-pommeret@present.fr
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14240
Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Le poison des vaccins
Je ne sais pas trop quoi en penser... J'espère que le gouvernement et les responsables de la santé publique sont absolument certains de leurs vaccins, ça n'a pas toujours été le cas... Après ça peut-être une bonne chose, je ne sais pas, on a pas assez de recul sur la question.
FAB42- Chef
- Messages : 1762
Date d'inscription : 17/08/2013
Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: Le poison des vaccins
Je vais jouer les mauvaises langues ce ne serait pas un renvoi d'ascenseur aux laboratoires pharmaceutiques ?
Il paraît que dans beaucoup de pays , notamment de l'UE il n'y a pas de vaccination obligatoire , sans qu'il y ait plus de périls sanitaires dus a cette absence .
Il paraît que dans beaucoup de pays , notamment de l'UE il n'y a pas de vaccination obligatoire , sans qu'il y ait plus de périls sanitaires dus a cette absence .
Invité- Invité
Re: Le poison des vaccins
Ca ce voit que vous n'êtes pas mort de la rougeolle. C'est normal qu'ils fassent du fric. C'est comme bill gates. Faites votre ordinateur vous mêmes
bbking- Habitué
- Messages : 175
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: Le poison des vaccins
Je n'ai jamais souscrit au dictat de la vaccination pour mon fils et il n'est pas mort encore .
C'est vrai que parfois les ordinateurs attrapent des virus faut-il les vacciner ?
Et si demain il n'y avait plus d'ordinateurs personne n'en mourrait non plus
Plus sérieusement certains vaccins sont sûrement des bonnes choses d'autres non .
C'est vrai que parfois les ordinateurs attrapent des virus faut-il les vacciner ?
Et si demain il n'y avait plus d'ordinateurs personne n'en mourrait non plus
Plus sérieusement certains vaccins sont sûrement des bonnes choses d'autres non .
Invité- Invité
Re: Le poison des vaccins
La ministre de la Santé annonce un douzième vaccin pour protéger les enfants contre les onze autres
Article du passé
Confrontée à l’inquiétude d’une partie de l’opinion publique, la ministre de la Santé Agnès Buzyn a tenu à se montrer rassurante en annonçant l’arrivée d’un douzième vaccin obligatoire qui aura pour objectif de protéger les enfants contre les onze autres vaccins.
Pour la ministre de la Santé, c’est l’application stricte du principe de précaution. « Il est difficile d’anticiper l’impact de tous ces vaccins consécutifs et on ne peut pas totalement exclure l’hypothèse d’une réaction en chaîne qui conduirait à l’apparition de nouvelles maladies très résistantes ou à des mutations génétiques majeures. C’est donc une décision de bon sens ».
Pour ne prendre aucun risque, le gouvernement a donc décidé d’imposer ce nouveau vaccin préventif ainsi qu’un treizième pour les enfants qui réagiraient mal au douzième. La ministre de la Santé envisage également d’augmenter graduellement le nombre de vaccins, pour atteindre les 2500 vaccins obligatoires à l’horizon 2022. Le projet à terme étant de placer l’ensemble de la population sous perfusion constante d’anticorps.
Le président de la République est monté au créneau pour apporter son soutien à sa ministre et à ce qui apparaît désormais comme un véritable projet de société. « L’organisme des Français est trop faible. Notre objectif est d’avoir une population active qui ne tombe plus malade, qui n’a plus besoin de se reposer et qui peut travailler sans interruption pour cotiser davantage et ainsi financer la suppression de l’ISF ».
Mots clés : prévention, santé, vaccins.
Invité- Invité
Vaccin hépatite B: La Cour européenne reconnaît le lien avec la sclérose en plaques
Vaccin hépatite B: La Cour européenne reconnaît le lien avec la sclérose en plaques
Le vaccin contre l’hépatite B peut-il causer la sclérose en plaques et ouvrir droit à une réparation du préjudice? La Cour de Cassation hésitait à le dire… la Cour de Justice de l’Union Européenne vient de lui confirmer qu’elle avait le droit de le reconnaître. Une décision qui va compliquer l’entrée en vigueur de la vaccination obligatoire annoncée par la ministre Buzyn…
Agnès Buzyn se serait probablement bien passée de cette décision qui va compliquer la mise en oeuvre de sa politique de vaccination obligatoire. La Cour de Justice de l’Union Européenne vient de considérer, dans le cadre d’une question préjudicielle, qu’il était conforme au droit de l’Union Européenne de reconnaître un lien de causalité entre un vaccin de Sanofi Pasteur contre l’hépatite B et la sclérose en plaques.
L’affaire visait un cas français. Un homme en parfaite santé avait déclaré une sclérose après une vaccination. Il est décédé en 2011.
Jusqu’ici, la directive de l’Union sur le sujet imposait aux plaignants d’établir la preuve de la causalité entre la vaccination et la maladie. La CJUE vient de reconnaître que cette preuve ne supposait pas forcément un consensus scientifique, mais pouvait simplement s’appuyer sur des présomptions fortes et sérieuses. Il appartiendra à chaque juridiction nationale de vérifier ce sérieux.
Cette réponse ouvre la voie à une indemnisation des victimes par les fabricants de vaccins incriminés.
Une très mauvaise nouvelle pour Sanofi… et pour Agnès Buzyn.
Extrait du communiqué de presse de la Cour de justice de l’Union Européenne du 21 juin 2017:
« Dans son arrêt de ce jour, la Cour estime comme compatible avec la directive un régime probatoire qui autorise le juge, en l’absence de preuves certaines et irréfutables, à conclure au défaut d’un vaccin et à l’existence d’un lien causal entre celui-ci et une maladie sur la base d’un faisceau d’indices graves, précis et concordants, dès lors que ce faisceau d’indices lui permet de considérer, avec un degré suffisamment élevé de probabilité, qu’une telle conclusion correspond à la réalité. En effet, un tel régime n’est pas de nature à entraîner un renversement de la charge de la preuve incombant à la victime, puisqu’il revient à cette dernière d’établir les différents indices dont la conjonction permettra au juge saisi de se convaincre de l’existence du défaut du vaccin et du lien de causalité entre celui-ci et le dommage subi.
En outre, exclure tout mode de preuve autre que la preuve certaine issue de la recherche médicale aurait pour effet de rendre excessivement difficile voire, lorsque la recherche médicale ne permet pas d’établir ni d’infirmer l’existence d’un lien causal, impossible la mise en cause de la responsabilité du producteur, ce qui compromettrait l’effet utile de la directive ainsi que les objectifs de celle-ci (à savoir protéger la sécurité et la santé des consommateurs et assurer une juste répartition des risques inhérents à la production technique moderne entre la victime et le producteur).
La Cour précise néanmoins que les juridictions nationales doivent veiller à ce que les indices produits soient effectivement suffisamment graves, précis et concordants pour permettre de conclure que l’existence d’un défaut du produit apparaît, compte tenu également des éléments et des arguments présentés en défense par le producteur, comme étant l’explication la plus plausible de la survenance du dommage. Le juge national doit en outre préserver sa propre liberté d’appréciation quant au point de savoir si une telle preuve a ou non été apportée à suffisance de droit, jusqu’au moment où il se considère en mesure de former sa conviction définitive. »
http://www.entreprise.news/vaccin-contre-lhepatite-b-cour-de-luxembourg-reconnait-lien-sclerose-plaques/
Invité- Invité
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