20 aôut 1955 en Algérie
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ganem
FAB42
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20 aôut 1955 en Algérie
Ce jour là, c'était un Samedi si je me souviens bien, les fellaghas massacrent des dizaines d'Européens et de Musulmans à Philippeville et à El Halia, femmes, enfants ne sont pas épargnés, bébés jetés contre les murs, victimes égorgées ou massacrées à coups de haches... C'est la barbarie aveugle du terrorisme !
El seductor- Maître
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Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Le 20 août 1955, les indépendantistes algériens du FLN (Front de Libération Nationale) organisent des manifestations violentes dans le Constantinois. Ils prennent prétexte du deuxième anniversaire de la déposition du sultan du Maroc.
Des émeutiers investissent les rues de Philippeville et El-Alia. Cette fois, les colons européens sont directement visés. Plusieurs dizaines d'hommes, de femmes, d'enfants et de nourrissons sont tués dans des conditions atroces. Au total 123 morts dont 71 Européens.
Piégés par la colère et l'émotion, les colons et les militaires réagissent en massacrant à leur tour des musulmans pris au hasard dans la rue, faisant officiellement plusieurs centaines de victimes innocentes (1273 morts selon le bilan officiel).
Le résultat de cette répression est immédiat. De très nombreux musulmans modérés, qui étaient restés jusque-là réfractaires aux thèses indépendantistes des groupuscules FLN, basculent de leur côté. C'est l'échec des tentatives d'intégration des musulmans algériens dans la République française et le véritable commencement de la guerre d'indépendance.
Dès le 23 août 1955, le gouvernement français décide le rappel du demi-contingent libéré en avril et le maintien sous les drapeaux du premier contingent de 1954. Le processus de guerre est dès lors enclenché.
En janvier 1956, à Paris, le socialiste Guy Mollet accède à la présidence du Conseil. Il se propose d'entamer des réformes de structure, de mettre fin à la vague de terrorisme engagée et enfin d'entamer des négociations avec les plus conciliants des indépendantistes. Il rappelle en premier lieu Jacques Soustelle, gouverneur général de l'Algérie, coupable de prôner une intégration totale dans la République française.
Le 6 février 1956, le Président du Conseil débarque impromptu à Alger afin de prendre le pouls de la population et de lui présenter le nouveau ministre résident d'Algérie, le général Georges Catroux (79 ans), un vieux résistant de grand prestige. Mais son arrivée mal préparée et le rappel de Jacques Soustelle, garant du maintien de l'Algérie dans la République, débouchent sur une manifestation violente des Français d'Alger. C'est la « journée des tomates ».
Pris au dépourvu, le président du Conseil renonce à la nomination de Catroux. Il propose à sa place Robert Lacoste, un député socialiste qui a la faveur des partisans de l'Algérie française. Les réformes de structure sont repoussées aux calendes grecques si ce n'est la création le 28 juin 1956 de 12 départements au lieu et place des 3 départements de 1848.
Guy Mollet met tout en oeuvre pour éradiquer le terrorisme et en premier lieu ses bases arrières à l'étranger : le 12 mars 1956, il obtient de l'Assemblée nationale une loi sur les pouvoirs spéciaux en Algérie, par 455 voix contre 76 (l'essentiel de la gauche et les communistes votent en faveur de cette loi de répression, de même que la droite).
Le FLN riposte en durcissant ses attaques. Le 30 septembre 1956, il commet les premiers attentats aveugles au centre d'Alger. Les bombes font un mort et 62 blessés dans deux bars de la ville, le Milk Bar et la Cafétéria.
Le 22 octobre 1956, débordant les consignes du gouvernement, les services secrets français arraisonnent en plein ciel un avion qui transporte les principaux chefs de la rébellion algérienne : Ben Bella, Boudiaf... Le scandale est immense et n'arrange en rien les affaires du gouvernement. Le mois suivant, celui-ci monte avec la Grande-Bretagne et Israël une attaque contre l'Égypte du général Nasser, sous le prétexte de la nationalisation du canal de Suez. L'opération se solde par un fiasco.
Enfin, en janvier 1957, Guy Mollet fait appel au général Massu pour en finir avec les bombes et les morts d'innocents qui traumatisent les habitants de l'Algérie, musulmans et Européens confondus.
L'historien René Rémond explique ces options par les convictions socialistes et laïques du chef du gouvernement. Selon lui, « les positions que les circonstances ont contraint Guy Mollet à adopter n'étaient pas contraires à sa philosophie: le refus de l'indépendance était conforme et à la tradition républicaine et à l'idéologie socialiste (...). La gauche démocratique et laïque avait une certaine idée de la France qui lui conférait une mission de valeur universelle : conduire sur la voie du progrès les peuples les moins évolués, diffuser les valeurs démocratiques, affranchir les esprits de la superstition (...), écrit-il. Pourquoi la France de 1789 encouragerait-elle un phénomène archaïque ? L'avenir est dans les grands ensembles... ».
L'historien aurait pu ajouter qu'en réprimant l'insurrection indépendantiste, la gauche socialiste était aussi en phase avec les électeurs d'Algérie, massivement laïcs et de gauche.
Le général Massu gagnera la bataille d'Alger. Mais cette victoire ternie par des procédés contestables (tortures, exécutions sans jugement) va relancer dans la métropole l'opposition à la guerre et aboutir en définitive à la victoire politique des indépendantistes.
Des émeutiers investissent les rues de Philippeville et El-Alia. Cette fois, les colons européens sont directement visés. Plusieurs dizaines d'hommes, de femmes, d'enfants et de nourrissons sont tués dans des conditions atroces. Au total 123 morts dont 71 Européens.
Piégés par la colère et l'émotion, les colons et les militaires réagissent en massacrant à leur tour des musulmans pris au hasard dans la rue, faisant officiellement plusieurs centaines de victimes innocentes (1273 morts selon le bilan officiel).
Le résultat de cette répression est immédiat. De très nombreux musulmans modérés, qui étaient restés jusque-là réfractaires aux thèses indépendantistes des groupuscules FLN, basculent de leur côté. C'est l'échec des tentatives d'intégration des musulmans algériens dans la République française et le véritable commencement de la guerre d'indépendance.
Dès le 23 août 1955, le gouvernement français décide le rappel du demi-contingent libéré en avril et le maintien sous les drapeaux du premier contingent de 1954. Le processus de guerre est dès lors enclenché.
En janvier 1956, à Paris, le socialiste Guy Mollet accède à la présidence du Conseil. Il se propose d'entamer des réformes de structure, de mettre fin à la vague de terrorisme engagée et enfin d'entamer des négociations avec les plus conciliants des indépendantistes. Il rappelle en premier lieu Jacques Soustelle, gouverneur général de l'Algérie, coupable de prôner une intégration totale dans la République française.
Le 6 février 1956, le Président du Conseil débarque impromptu à Alger afin de prendre le pouls de la population et de lui présenter le nouveau ministre résident d'Algérie, le général Georges Catroux (79 ans), un vieux résistant de grand prestige. Mais son arrivée mal préparée et le rappel de Jacques Soustelle, garant du maintien de l'Algérie dans la République, débouchent sur une manifestation violente des Français d'Alger. C'est la « journée des tomates ».
Pris au dépourvu, le président du Conseil renonce à la nomination de Catroux. Il propose à sa place Robert Lacoste, un député socialiste qui a la faveur des partisans de l'Algérie française. Les réformes de structure sont repoussées aux calendes grecques si ce n'est la création le 28 juin 1956 de 12 départements au lieu et place des 3 départements de 1848.
Guy Mollet met tout en oeuvre pour éradiquer le terrorisme et en premier lieu ses bases arrières à l'étranger : le 12 mars 1956, il obtient de l'Assemblée nationale une loi sur les pouvoirs spéciaux en Algérie, par 455 voix contre 76 (l'essentiel de la gauche et les communistes votent en faveur de cette loi de répression, de même que la droite).
Le FLN riposte en durcissant ses attaques. Le 30 septembre 1956, il commet les premiers attentats aveugles au centre d'Alger. Les bombes font un mort et 62 blessés dans deux bars de la ville, le Milk Bar et la Cafétéria.
Le 22 octobre 1956, débordant les consignes du gouvernement, les services secrets français arraisonnent en plein ciel un avion qui transporte les principaux chefs de la rébellion algérienne : Ben Bella, Boudiaf... Le scandale est immense et n'arrange en rien les affaires du gouvernement. Le mois suivant, celui-ci monte avec la Grande-Bretagne et Israël une attaque contre l'Égypte du général Nasser, sous le prétexte de la nationalisation du canal de Suez. L'opération se solde par un fiasco.
Enfin, en janvier 1957, Guy Mollet fait appel au général Massu pour en finir avec les bombes et les morts d'innocents qui traumatisent les habitants de l'Algérie, musulmans et Européens confondus.
L'historien René Rémond explique ces options par les convictions socialistes et laïques du chef du gouvernement. Selon lui, « les positions que les circonstances ont contraint Guy Mollet à adopter n'étaient pas contraires à sa philosophie: le refus de l'indépendance était conforme et à la tradition républicaine et à l'idéologie socialiste (...). La gauche démocratique et laïque avait une certaine idée de la France qui lui conférait une mission de valeur universelle : conduire sur la voie du progrès les peuples les moins évolués, diffuser les valeurs démocratiques, affranchir les esprits de la superstition (...), écrit-il. Pourquoi la France de 1789 encouragerait-elle un phénomène archaïque ? L'avenir est dans les grands ensembles... ».
L'historien aurait pu ajouter qu'en réprimant l'insurrection indépendantiste, la gauche socialiste était aussi en phase avec les électeurs d'Algérie, massivement laïcs et de gauche.
Le général Massu gagnera la bataille d'Alger. Mais cette victoire ternie par des procédés contestables (tortures, exécutions sans jugement) va relancer dans la métropole l'opposition à la guerre et aboutir en définitive à la victoire politique des indépendantistes.
FAB42- Chef
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Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
La photo qui est publiée n'a rien à voir avec le 20 août 1955. Cette photo a été prise après les événements de mai 1945 devant le stade de Sétif. Elle est reproduite dans toutes les publications qui veulent insister sur la sauvagerie de la répression française...
Le 20 août c'était aussi la date de l'ouverture du débat à l'ONU sur la question algérienne. Mais il faut aussi savoir que l'initiative de ce qui s'est passé à Philippeville a été prise par le responsable de la Willaya locale, Zighoud Youssef, qui n'avait plus de contact avec l'état-major et a décidé lui-même de ce qu'il fallait faire. Ensuite, il faut également savoir que il y eut de nombreuses victimes musulmanes de l'ALN ce jour là. Parce qu'ils refusèrent de se joindre aux émeutiers !
N'oublions pas non plus que le gouverneur de l'Algérie, Jacques Soustelle, nommé par Mendès-France qui était alors le chef du gouvernement, en janvier 1955 était arrivé à Alger avec des idées très progressistes, accompagné d'ethnologues comme Germaine Tillion. Il se rendit sur place, et devant la sauvagerie des actes commis, changea de politique, demandant des renforts militaires pour châtier le FLN.
Mais il est faux de dire que les colons et les militaires réagirent en massacrant les indigènes "pris dans les rues" faisant des centaines de victimes innocentes. Non, les opérations qui suivirent furent montées par l'armée contre les bandes qui s'étaient reliées dans le djebell avec les hommes qui les avaient suivis. Et aucun "colon" n'y participa, malgré la colère légitime qu'ils ressentaient.
Le 20 août c'était aussi la date de l'ouverture du débat à l'ONU sur la question algérienne. Mais il faut aussi savoir que l'initiative de ce qui s'est passé à Philippeville a été prise par le responsable de la Willaya locale, Zighoud Youssef, qui n'avait plus de contact avec l'état-major et a décidé lui-même de ce qu'il fallait faire. Ensuite, il faut également savoir que il y eut de nombreuses victimes musulmanes de l'ALN ce jour là. Parce qu'ils refusèrent de se joindre aux émeutiers !
N'oublions pas non plus que le gouverneur de l'Algérie, Jacques Soustelle, nommé par Mendès-France qui était alors le chef du gouvernement, en janvier 1955 était arrivé à Alger avec des idées très progressistes, accompagné d'ethnologues comme Germaine Tillion. Il se rendit sur place, et devant la sauvagerie des actes commis, changea de politique, demandant des renforts militaires pour châtier le FLN.
Mais il est faux de dire que les colons et les militaires réagirent en massacrant les indigènes "pris dans les rues" faisant des centaines de victimes innocentes. Non, les opérations qui suivirent furent montées par l'armée contre les bandes qui s'étaient reliées dans le djebell avec les hommes qui les avaient suivis. Et aucun "colon" n'y participa, malgré la colère légitime qu'ils ressentaient.
El seductor- Maître
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Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
La photo que j'ai publié correspond à une répression dans la région de Constantine après le soulèvement de Philippeville (1955).
FAB42- Chef
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Date d'inscription : 17/08/2013
Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Non, je suis désolé mais cette photo n'a rien à voir avec la répression d'août 1955... Elle avait été publiée dans la presse 10 ans plutôt. Regarde l'arrière plan. Il s'agit d'un stade de football. Et ce stade est parfaitement identifiable. Je vais d'ailleurs rechercher dans mes archives une source fiable... Si je me suis trompé, je le reconnaitrai !
Cela dit il est certain que la répression fut sévère et je m'en tiendrai aux chiffres donnés par les différentes sources que j'ai consulté: entre 2.000 et 5.000 morts, rebelles et insurgés confondus. Que des Européens aient eu la vengeance facile, c'est fort possible, mais il n'y eut pas de formation de milices comme à Guelma en 1945, et nous avions affaire à des actes isolés.
Cela dit il est certain que la répression fut sévère et je m'en tiendrai aux chiffres donnés par les différentes sources que j'ai consulté: entre 2.000 et 5.000 morts, rebelles et insurgés confondus. Que des Européens aient eu la vengeance facile, c'est fort possible, mais il n'y eut pas de formation de milices comme à Guelma en 1945, et nous avions affaire à des actes isolés.
Dernière édition par El seductor le Lun 21 Aoû 2017 - 11:08, édité 1 fois (Raison : au)
El seductor- Maître
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Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Mea Culpa ! Tu as raison Fab. Cette photo a bien été prise devant le stade municipal de Philippeville où avaient été déposés les cadavres de 134 membres du FLN abattus par les forces de l'ordre sur les 1.500 hommes arrêtés le 20 août ou le lendemain, parmi les assaillants. Le cliché, pris par un journaliste local et revendu a été reproduit dans Life qui l'a un peu "améliorée"...
Source: "Services spéciaux, Algérie 1955-1957" du Général Aussaresses. Editons Perrin.
A ma décharge, une photo similaire prise en 1945 devant le stade de Sétif et publiée par Historia Magazine d'Yves Courrière.
Source: "Services spéciaux, Algérie 1955-1957" du Général Aussaresses. Editons Perrin.
A ma décharge, une photo similaire prise en 1945 devant le stade de Sétif et publiée par Historia Magazine d'Yves Courrière.
El seductor- Maître
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Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Pas de problème El seductor l'erreur est humaine...El seductor a écrit:Mea Culpa ! Tu as raison Fab. Cette photo a bien été prise devant le stade municipal de Philippeville où avaient été déposés les cadavres de 134 membres du FLN abattus par les forces de l'ordre sur les 1.500 hommes arrêtés le 20 août ou le lendemain, parmi les assaillants. Le cliché, pris par un journaliste local et revendu a été reproduit dans Life qui l'a un peu "améliorée"...
Source: "Services spéciaux, Algérie 1955-1957" du Général Aussaresses. Editons Perrin.
A ma décharge, une photo similaire prise en 1945 devant le stade de Sétif et publiée par Historia Magazine d'Yves Courrière.
FAB42- Chef
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Date d'inscription : 17/08/2013
Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Philippe Conrad reçoit l’africaniste de renom, Bernard Lugan, pour son nouvel ouvrage intitulé : « Algérie, l’histoire à l’endroit ».
Qu’est ce qu’il en est réellement de cette période algérienne au delà de la période de la colonisation ? Qu’est-ce-que l’Algérie et quelles sont ses origines historiques ? Bernard Lugan répond en 10 points précis à l’ensemble de ces questions.
Extrait de TVLibertés :
http://www.tvlibertes.com/2017/04/18/...
Pour prolonger :
Les début de l'Histoire de l'Algérie dans ses frontières issues de la présence Française :
https://youtu.be/c5Xct7eDrx8
Lettre ouverte de Bernard Lugan au président de la République Française :
https://www.polemia.com/lettre-ouvert...
https://youtu.be/s4x8CrSCuog
Qu’est ce qu’il en est réellement de cette période algérienne au delà de la période de la colonisation ? Qu’est-ce-que l’Algérie et quelles sont ses origines historiques ? Bernard Lugan répond en 10 points précis à l’ensemble de ces questions.
Extrait de TVLibertés :
http://www.tvlibertes.com/2017/04/18/...
Pour prolonger :
Les début de l'Histoire de l'Algérie dans ses frontières issues de la présence Française :
https://youtu.be/c5Xct7eDrx8
Lettre ouverte de Bernard Lugan au président de la République Française :
https://www.polemia.com/lettre-ouvert...
https://youtu.be/s4x8CrSCuog
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Tout est dit !
El seductor- Maître
- Messages : 2452
Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Cet historien africaniste a été chassé des écoles militaires par le gouvernement de Hollande.
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Oui, et justement parce que cet historien, qui fut tout de même désigné comme expert par le TPI de La Haye pour le Rwanda, connaît parfaitement l'Histoire de l'Afrique et des Berbères entre autres. C'est certainement l'Historien qui en parle avec le plus de vérité !
Il faut lire sa publication "L'Afrique réelle" sur le net pour le constater.
Il faut lire sa publication "L'Afrique réelle" sur le net pour le constater.
El seductor- Maître
- Messages : 2452
Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
AH Ces Socialistes ET em de pierre laval à hollande , plongé dans l'oublis et le ,négationnisme !ganem a écrit:Cet historien africaniste a été chassé des écoles militaires par le gouvernement de Hollande.
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
En matière d'Histoire, on peut dire en effet que les véritables "négationnistes" de l'histoire ne sont pas ceux à qui l'on pense ! IL faut lire les excellents ouvrages de:
- Jacques Heers "L'Histoire assassinée" aux Editions de Paris. Juin 2006.
- Jean Sévillia "Historiquement correct". Editions Perrin. Avril 2003.
pour en être convaincu !
- Jacques Heers "L'Histoire assassinée" aux Editions de Paris. Juin 2006.
- Jean Sévillia "Historiquement correct". Editions Perrin. Avril 2003.
pour en être convaincu !
El seductor- Maître
- Messages : 2452
Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Jean Sevilla je connais, j'ai un de ses livres mais Jacques Heers pas du tout.
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
L'histoire est écrite par les vainqueurs.
Kirov- Postulant
- Messages : 277
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
il peut ce déclarer 2 vainqueurs dans le même combat en étant adversaire dans ce même combat ! mais bon si Waterloo m'était compté aussi !!Kirov a écrit:L'histoire est écrite par les vainqueurs.
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Le vainqueur écrit toujours l'histoire de la manière qui l'arrange.
Les capitalistes vont cracher les communistes
Les Républiques vont cracher sur la monarchie dire que c'était une période abominable et tous le tralala.
Les capitalistes vont cracher les communistes
Les Républiques vont cracher sur la monarchie dire que c'était une période abominable et tous le tralala.
Kirov- Postulant
- Messages : 277
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: 20 aôut 1955 en Algérie
Kirov a écrit:L'histoire est écrite par les vainqueurs.
En effet la guerre d'Algérie était gagné sur le terrain, c'est la forfaiture de la grande Zohra qui donna l'indépendance à un territoire ou six générations de français originaires de métropole avaient vécu.
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
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