Le 2septembre 1792

[Invité]

• le 2 septembre 1792 : massacres révolutionnaires, début de la Terreur.

1532 personnes sont massacrées à Paris dans le but de terroriser la population et de réduire les indécis ou les modérés au silence. C'est le début de la Terreur. Pendant quatre jours, des Parisiens, encouragés par quelques personnalités politiques (Danton, Marat, Fréron) massacrent sans pitié.

« Sans cette journée, la révolution ne se serait jamais accomplie […] il n'y aurait pas de Convention nationale. » (*)

Comme le vote qui suit peut-il être encore considéré comme valide. 90% des inscrits ne vont pas voter. Parmi les victimes sont assassinée des personnes qui auraient pu être gênantes lors du procès du Roi auquel les révolutionnaires pensent déjà.

Et le décret de béatification des Martyrs de septembre affirme :

« On ne pourra jamais assez déplorer ce noir et misérable fléau qui, à la fin du XVIII siècle, caché sous le nom mensonger de philosophie, avait perverti les esprits et corrompus les mœurs et rempli avant tout la France de meurtres et de ruines. L'âme est émue d'horreur au souvenir des inexprimables spectacles de cruauté et de barbarie qu'exhibèrent pendant la révolution française, des hommes impies et scélérats, à peine dignes de ce nom d'hommes : les temples sacrés dépeuplés, les signes sacrés de la religion catholique violés, des évêques, des prêtres, de pieux laïques immolés arbitrairement, pour avoir refusé de prononcer une formule de serment décrétée par la puissance laïque et ouvertement opposée aux droits de l'Eglise, à la liberté de conscience, ou pour s'être montrés moins bienveillants envers ces nouvelles institutions politiques.

Parmi tant de prêtres illustres et de chrétiens remarquables qui, durant cette noire tempête, furent livrés à la mort, brille certes au premier rang cette insigne légion d'hommes qui à Paris, au mois de septembre 1792, furent immolés avec une souveraine et une infâme barbarie. » (*)

(*) François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et de mœurs, (Editions de Chiré pages 74 et 75)

*

Les Tabibans révolutionnaires commencent leur travail de destruction ...

• le 2 septembre 1793 : la Convention ordonne de détruire les portraits et effigies des Rois.

Du passé il faut faire table rase ; voir la chronique du 12 mai pour comprendre à quel point la haine peut rendre stupide. Sans le courage d'agents municipaux strasbourgeois la cathédrale aurait été défigurée.

*

[Frère Barnabé]

c'est le portrait tout craché de daesh , ! la prise de la France par ces personnes qui ce sont dit droit ! comme danton et compagnie ! c'est pas en massacrant, agressant et terrorisant que l'on est des hommes et des personnes à respecter , ce sont des monstres pour ne pas dire des ogres!!

[El seductor]

La comparaison entre les Conventionnels de 1792 et Daesch est pertinente... Même dévotion à "l'Etre suprême", même sauvagerie à l'égard des "mécréants"...

[FAB42]

Ouais... enfin le but n'est pas le même...

[Frère Barnabé]

Ouais... enfin le but n'est pas le même...

les conceptions par la force  de ces idéologies sont là , comme  le massacre en Vendée ,pour donner leçon aux autres qui serait tenter de ce mettre contre  la révolution française !
voyant en cela des mécréants oups des brigands !
Décret de la Convention
des 1er et 2 octobre 1793



"Soldats de la liberté,
Il faut que les brigands de la Vendée soient exterminés avant la fin du mois d'octobre; le salut de la patrie l'exige; l'impatience du peuple François le commande. Son courage doit l'accomplir. La reconnaissance nationale attend à cette époque tous ceux dont la valeur et le patriotisme auront affermi sans retour la liberté et la République…"


bref le dialogue social était interdit chez ces républicains là !

[Invité]

• le 03 septembre 1792 : discours d'un certain Philip au club des Jacobins :

« Le lundi soir, à 10 heures, un homme, nommé Philip, demeurant dans 1 rue du Temple, vint au club des jacobins dont il était membre. Il portait sous le bras une grande cassette. Il monte à la tribune, fait un long discours sur le patriotisme, et conclut, que tout citoyen qui préfère les liens du sang à ceux du patriotisme, doit être regardé comme un aristocrate ; et que tout bon jacobin doit se défaire de ses amis et de ses proches parents, s'ils ne pensent pas en patriotes. A ces mots ouvrant la cassette, il en tire la tête de son père et celle de sa mère qu'il avait coupées, dit-il, parce qu'il n'avait jamais pu les persuader d'entendre la messe d'un prêtre constitutionnel. De longs et bruyants applaudissements s'élèvent de toutes parts, et il fut décidé que les deux têtes seraient enterrées dans la salle même, sous les bustes de Brutus et d'Ankerstrom, l'assassin de Gustave. »

Cité par François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et de mœurs note, page 75 et tiré de Martyrs et bourreaux de 1793, de l'Abbé Alphonse Cordier Editions La source d'or, tome 1, page 247

• le 03 septembre 1792 : au Temple, on oblige Marie-Antoinette à voir la tête, au bout d'une pique, de son amie la princesse de Lamballe.

Cette princesse, amie de la Reine, qui lui expliquait que la Maçonnerie dont elle faisait partie était un moyen merveilleux d'aider son prochain…

Ces tentatives de séduction ayant échouées, la Maçonnerie va lancer l'affaire du collier ; voir Marie Antoinette et le complot maçonnique de Louis Dasté aux éditions La Renaissance française.

[Frère Barnabé]

• le 03 septembre 1792 : discours d'un certain Philip au club des Jacobins :

« Le lundi soir, à 10 heures, un homme, nommé Philip, demeurant dans 1 rue du Temple, vint au club des jacobins dont il était membre. Il portait sous le bras une grande cassette. Il monte à la tribune, fait un long discours sur le patriotisme, et conclut, que tout citoyen qui préfère les liens du sang à ceux du patriotisme, doit être regardé comme un aristocrate ; et que tout bon jacobin doit se défaire de ses amis et de ses proches parents, s'ils ne pensent pas en patriotes. A ces mots ouvrant la cassette, il en tire la tête de son père et celle de sa mère qu'il avait coupées, dit-il, parce qu'il n'avait jamais pu les persuader d'entendre la messe d'un prêtre constitutionnel. De longs et bruyants applaudissements s'élèvent de toutes parts, et il fut décidé que les deux têtes seraient enterrées dans la salle même, sous les bustes de Brutus et d'Ankerstrom, l'assassin de Gustave. »

Cité par François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et de mœurs note, page 75 et tiré de Martyrs et bourreaux de 1793, de l'Abbé Alphonse Cordier Editions La source d'or, tome 1, page 247

• le 03 septembre 1792 : au Temple, on oblige Marie-Antoinette à voir la tête, au bout d'une pique, de son amie la princesse de Lamballe.

Cette princesse, amie de la Reine, qui lui expliquait que la Maçonnerie dont elle faisait partie était un moyen merveilleux d'aider son prochain…

Ces tentatives de séduction ayant échouées, la Maçonnerie va lancer l'affaire du collier ; voir Marie Antoinette et le complot maçonnique de Louis Dasté aux éditions La Renaissance française.

et dire que Marie Antoinette était pour l'ouverture d'esprit ,  en acceptant les représentations théâtrale de Molière et autres comme Beaumarchais !!!

[Pierre Lequédec]

Marie-Antoinette se goinfrait derrière le dos du peuple.

[Invité]

Allez vous rendormir vous devez être épuisé de tant d'efforts d'un seul coup .

[Pierre Lequédec]

Allez vous rendormir vous devez être épuisé de tant d'efforts d'un seul coup .

Je ne comprends pas le sens de votre message.

[Invité]

Pas grave je peux vous MP si vous voulez .

[El seductor]

Marie-Antoinette se goinfrait derrière le dos du peuple.

C'est de qui çà ? De Robespierre ? De Fouquier Tinville ? Ou de Staline ?
Lysliane a raison. Tu dois être très fatigué ! Pense à tes ancêtres Bretons et Vendéens... Massacrés parce qu'ils se "goinfraient" ?

[Frère Barnabé]

Marie-Antoinette se goinfrait derrière le dos du peuple.

AH bon, tu as des preuves de tes dires ???
Je sais aussi que son mari  voulait s'adressé au Peuple de France dans toute la France  , par tract ,et que  ces révolutionnaires ont fait que cela ne se fassent pas , en incendiant les convois  qui devaient les expédier et les distribuer !!!ils ce sont comporté en fascistes djihadistes  ceux que tu défend  !! donc suite à tes dire tu es  un fasciste    qui défend l'indéfendable (les barbares de cette époque là ce sont comporter similaire à des nazis ) !

[El seductor]

Il répète ce que l'éducation dite nationale et les médias ne cessent de rabâcher à longueurs d'années pour défendre la "république" !
Louis XVI fut un très bon Roi, un peu naïf peut-être il aimait son peuple et il était prêt à transformer sa monarchie "de Droit divin" en monarchie constitutionnelle, mais les bourgeois assoiffés de pouvoir et de sang ne l'entendirent pas ainsi.
N'oublions pas que 1789 a enfanté 1917 et la révolution russe !

[Kirov]

Louis XVI ne fut pas un bon roi. Il avait de la bonne volonté mais pas les capacités, le talent nécessaire à cette période.

Tu dit Legrand que Louis XVI était prêt à accepter la monarchie constitutionnelle, c'est faux et prouvé depuis longtemps.

Par contre je suis persuadé que Varenne était un complot républicain.

Ensuite de là à dire que 1789 a enfanté celle de 1917... pour moi celle de 1848 ainsi que le putsch manqué de 1905 ont eu bien plus d'effet.

[El seductor]

Louis XVI ne fut pas un bon roi. Il avait de la bonne volonté mais pas les capacités, le talent nécessaire à cette période.

Tu dit Legrand que Louis XVI était prêt à accepter la monarchie constitutionnelle, c'est faux et prouvé depuis longtemps.

Qui est Legrand ? Qui a prouvé quoi et depuis longtemps ?

Par contre je suis persuadé que Varenne était un complot républicain.

Ensuite de là à dire que 1789 a enfanté celle de 1917... pour moi celle de 1848 ainsi que le putsch manqué de 1905  ont eu bien plus d'effet.

L'origine de 1917 est toute entière dans 1789 et 1793. 1848 et 1905 n'ont pas engendré de génocides et de terreur, alors que la révolution bolchevique, oui !

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