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La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
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La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
La guerre mondiale qui vient, qui la veut?
Le danger de guerre actuel provient exclusivement des États-Unis qui ont obtenu leur hégémonie mondiale en gagnant les trois précédentes (on peut considérer la Guerre froide en comptant les conflits localisés qui l’ont accompagné (Viet Nam, Proche Orient) comme la troisième), et qui sont tentés de la conserver en s’engageant dans une quatrième.
Aucune autre puissance n’est en mesure de menacer la paix. Le terrorisme, notamment, n’est qu’un instrument au service des États-Unis, soit un allié direct comme en Syrie, soit un adversaire idéal qui ne présente aucun danger réel, et qui joue son rôle dans la mise en condition militaire des peuples occidentaux, et leur acceptation, au rebours de leurs valeurs individualistes, d’un État policier et d’une société de contrôle total.
Les États-Unis du capitalisme en déclin de l’année 2017 peuvent croire qu'ils ont objectivement intérêt à la guerre dans cette décennie. Leur équipement militaire hypertrophié et leur expérience du combat réel leur donnent la certitude trompeuse d'une victoire dans n’importe quel conflit armé classique, à condition qu’ils puissent construire le consentement de leur opinion à une telle démarche sanguinaire, mais cette avance est financée par la contribution du reste du monde à commencer par la Chine, qui comble les déficits abyssaux de l'économie américaine, et d’ici dix ou vingt ans elle aura disparu.
Depuis la crise de 2008, ils sont entrés dans une phase agressive, s’attaquant à des nations petites ou moyennes, le plus souvent en utilisant des collaborateurs locaux, des séparatistes, des réactionnaires religieux, des intermédiaires en apparence non étatiques et des auxiliaires étrangers, une « société civile » ad hoc cultivées dans leurs universités et recrutée dans un certain nombre de pays stratégiques.
Mais ils ont aussi mené des guerres directes dont le but réel semble bien tout simplement de maintenir en état opérationnel leurs forces armées et de tester leurs armements. Ils sont déjà lancés dans une cyber-guerre ouverte avec le reste du monde.
Il faut bien comprendre que la déclaration officielle de guerre au terrorisme en septembre 2001 a une importance fondamentale dans l’histoire de l’Empire américain : il s’agit d’une revendication de souveraineté qui porte sur l’ensemble du territoire mondial, et qui met fin à la politique internationale telle qu’elle était pratiquée depuis les traités de Westphalie au moins (1648). Ils revendiquent le statut et rang de seul État souverain.
Mais les moyens indirects ont eu leur préférence depuis leur relatif échec en Irak et en Afghanistan.
Ils ont réussi à prendre le contrôle du gouvernement de plusieurs États en instrumentalisant une opposition stipendiée de longue date, et en pratiquant avec l’aide des grands groupes de médias une déstabilisation intérieure de grande échelle. Comme l'a symboliquement établi la destruction de l'ambassade à Belgrade en 1999, l’ennemi principal des États-Unis est bien entendu la Chine, dont le surgissement prochain au premier rang économique mondial épouvante l’oligarchie occidentale. Les actions erratiques de l’Occident piloté par les États-Unis ont paradoxalement renforcé ce rival, en consolidant son alliance avec la Russie, et l’effondrement annoncé de la présidence Trump n’a fait qu’accélérer ce mouvement.
Une guerre directe contre la Chine, sous la forme de pression externes et de blocus maritime et aérien de son territoire, dont le littoral est étroitement verrouillé par les bases américaines, est techniquement possible et même jouable, pour gagner, mais au prix de provoquer une très forte crise économique internationale dont les effets seraient imprévisibles. Les militaires ne font rien d’imprévisible. Mais ils ont une certaine tendance à la surestimation de leurs capacités, qui en l’occurrence sont incontestablement très fortes, et la tentation de chercher des solutions technologiques à des problèmes stratégiques, notamment pour neutraliser les armes nucléaires.
Cependant, les États-Unis eux-mêmes ne sont pas un sujet géopolitique pleinement souverain, et le pouvoir réel va se chercher dans un milieu international où leurs ressortissants sont les plus influents mais non exclusivement. Milieu composé des institutions financières et des banques, des cadres dirigeants des multinationales et des ONG qui recrutent leurs cadres dirigeants dans les mêmes écoles, des médias internationaux, etc. Dans ces milieux, la perspective d’une guerre qui ne soit plus une guerre asymétrique à zéro mort dans son camp crée un malaise. Ils conservent parfois la culture historique suffisante pour comprendre que la guerre ouverte comme solution des contradictions du capitalisme n’est pas la meilleure option, parce qu'elle peut déboucher sur la révolution. Ils soutiendront toutes les guerres néocoloniales ou contre-révolutionnaires, mais chercheront à éviter un conflit majeur avec les puissances émergentes capitalistes. En cas de guerre mondiale ouverte et déclarée, l'expérience historique montre que la puissance qui en a pris l'initiative perd la mise.
Certains alliés secondaires (Grande Bretagne, France, Israël, Arabie saoudite) peuvent être tentés de jeter de l'huile sur le feu pour acquérir un rang de « senior partner » dans l’alliance occidentale.
Tout ce qui contribue à affaiblir la résistance à l'hégémonie des États-Unis rend la guerre plus probable, car elle crédibilise chez les pions qui nous gouvernent l'idée d'une guerre technologique victorieuse propre et rapide. L'effondrement de la Libye a rapproché le monde de la catastrophe. La résistance de la Syrie, mais aussi de la Corée, face aux ingérences impériales, éloigne la guerre.
Contrairement aux apparences, un va-t-en guerre brouillon et impulsif à la tête des États-Unis dans le genre Donald Trump est moins dangereux qu'un politicien consensuel comme son adversaire Hillary Clinton, qui n'engagera de guerre contre la pays visé qu'à la suite d'une longue préparation médiatique et d'une subversion interne à grande échelle, mais qui ne lâchera pas sa proie facilement, pour ne pas perdre la face. Et cela, même s'il peut être à titre individuel réticent face aux aventures militaires, comme c'était le cas d'Obama.
Cela dit s'il y a un pays où les contradictions du capitalisme s'aiguisent de manière décisive, ce sont bien les États-Unis.
L'anti-impérialisme et le mouvement international pour la paix sont donc redevenus les priorités existentielles pour l’avenir de l’humanité.
La guerre mondiale qui vient, qui la veut?
Le danger de guerre actuel provient exclusivement des États-Unis qui ont obtenu leur hégémonie mondiale en gagnant les trois précédentes (on peut considérer la Guerre froide en comptant les conflits localisés qui l’ont accompagné (Viet Nam, Proche Orient) comme la troisième), et qui sont tentés de la conserver en s’engageant dans une quatrième.
Aucune autre puissance n’est en mesure de menacer la paix. Le terrorisme, notamment, n’est qu’un instrument au service des États-Unis, soit un allié direct comme en Syrie, soit un adversaire idéal qui ne présente aucun danger réel, et qui joue son rôle dans la mise en condition militaire des peuples occidentaux, et leur acceptation, au rebours de leurs valeurs individualistes, d’un État policier et d’une société de contrôle total.
Les États-Unis du capitalisme en déclin de l’année 2017 peuvent croire qu'ils ont objectivement intérêt à la guerre dans cette décennie. Leur équipement militaire hypertrophié et leur expérience du combat réel leur donnent la certitude trompeuse d'une victoire dans n’importe quel conflit armé classique, à condition qu’ils puissent construire le consentement de leur opinion à une telle démarche sanguinaire, mais cette avance est financée par la contribution du reste du monde à commencer par la Chine, qui comble les déficits abyssaux de l'économie américaine, et d’ici dix ou vingt ans elle aura disparu.
Depuis la crise de 2008, ils sont entrés dans une phase agressive, s’attaquant à des nations petites ou moyennes, le plus souvent en utilisant des collaborateurs locaux, des séparatistes, des réactionnaires religieux, des intermédiaires en apparence non étatiques et des auxiliaires étrangers, une « société civile » ad hoc cultivées dans leurs universités et recrutée dans un certain nombre de pays stratégiques.
Mais ils ont aussi mené des guerres directes dont le but réel semble bien tout simplement de maintenir en état opérationnel leurs forces armées et de tester leurs armements. Ils sont déjà lancés dans une cyber-guerre ouverte avec le reste du monde.
Il faut bien comprendre que la déclaration officielle de guerre au terrorisme en septembre 2001 a une importance fondamentale dans l’histoire de l’Empire américain : il s’agit d’une revendication de souveraineté qui porte sur l’ensemble du territoire mondial, et qui met fin à la politique internationale telle qu’elle était pratiquée depuis les traités de Westphalie au moins (1648). Ils revendiquent le statut et rang de seul État souverain.
Mais les moyens indirects ont eu leur préférence depuis leur relatif échec en Irak et en Afghanistan.
Ils ont réussi à prendre le contrôle du gouvernement de plusieurs États en instrumentalisant une opposition stipendiée de longue date, et en pratiquant avec l’aide des grands groupes de médias une déstabilisation intérieure de grande échelle. Comme l'a symboliquement établi la destruction de l'ambassade à Belgrade en 1999, l’ennemi principal des États-Unis est bien entendu la Chine, dont le surgissement prochain au premier rang économique mondial épouvante l’oligarchie occidentale. Les actions erratiques de l’Occident piloté par les États-Unis ont paradoxalement renforcé ce rival, en consolidant son alliance avec la Russie, et l’effondrement annoncé de la présidence Trump n’a fait qu’accélérer ce mouvement.
Une guerre directe contre la Chine, sous la forme de pression externes et de blocus maritime et aérien de son territoire, dont le littoral est étroitement verrouillé par les bases américaines, est techniquement possible et même jouable, pour gagner, mais au prix de provoquer une très forte crise économique internationale dont les effets seraient imprévisibles. Les militaires ne font rien d’imprévisible. Mais ils ont une certaine tendance à la surestimation de leurs capacités, qui en l’occurrence sont incontestablement très fortes, et la tentation de chercher des solutions technologiques à des problèmes stratégiques, notamment pour neutraliser les armes nucléaires.
Cependant, les États-Unis eux-mêmes ne sont pas un sujet géopolitique pleinement souverain, et le pouvoir réel va se chercher dans un milieu international où leurs ressortissants sont les plus influents mais non exclusivement. Milieu composé des institutions financières et des banques, des cadres dirigeants des multinationales et des ONG qui recrutent leurs cadres dirigeants dans les mêmes écoles, des médias internationaux, etc. Dans ces milieux, la perspective d’une guerre qui ne soit plus une guerre asymétrique à zéro mort dans son camp crée un malaise. Ils conservent parfois la culture historique suffisante pour comprendre que la guerre ouverte comme solution des contradictions du capitalisme n’est pas la meilleure option, parce qu'elle peut déboucher sur la révolution. Ils soutiendront toutes les guerres néocoloniales ou contre-révolutionnaires, mais chercheront à éviter un conflit majeur avec les puissances émergentes capitalistes. En cas de guerre mondiale ouverte et déclarée, l'expérience historique montre que la puissance qui en a pris l'initiative perd la mise.
Certains alliés secondaires (Grande Bretagne, France, Israël, Arabie saoudite) peuvent être tentés de jeter de l'huile sur le feu pour acquérir un rang de « senior partner » dans l’alliance occidentale.
Tout ce qui contribue à affaiblir la résistance à l'hégémonie des États-Unis rend la guerre plus probable, car elle crédibilise chez les pions qui nous gouvernent l'idée d'une guerre technologique victorieuse propre et rapide. L'effondrement de la Libye a rapproché le monde de la catastrophe. La résistance de la Syrie, mais aussi de la Corée, face aux ingérences impériales, éloigne la guerre.
Contrairement aux apparences, un va-t-en guerre brouillon et impulsif à la tête des États-Unis dans le genre Donald Trump est moins dangereux qu'un politicien consensuel comme son adversaire Hillary Clinton, qui n'engagera de guerre contre la pays visé qu'à la suite d'une longue préparation médiatique et d'une subversion interne à grande échelle, mais qui ne lâchera pas sa proie facilement, pour ne pas perdre la face. Et cela, même s'il peut être à titre individuel réticent face aux aventures militaires, comme c'était le cas d'Obama.
Cela dit s'il y a un pays où les contradictions du capitalisme s'aiguisent de manière décisive, ce sont bien les États-Unis.
L'anti-impérialisme et le mouvement international pour la paix sont donc redevenus les priorités existentielles pour l’avenir de l’humanité.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Date d'inscription : 18/05/2017
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB a écrit:La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
La guerre mondiale qui vient, qui la veut?
Le danger de guerre actuel provient exclusivement des États-Unis qui ont obtenu leur hégémonie mondiale en gagnant les trois précédentes (on peut considérer la Guerre froide en comptant les conflits localisés qui l’ont accompagné (Viet Nam, Proche Orient) comme la troisième), et qui sont tentés de la conserver en s’engageant dans une quatrième.
Aucune autre puissance n’est en mesure de menacer la paix. Le terrorisme, notamment, n’est qu’un instrument au service des États-Unis, soit un allié direct comme en Syrie, soit un adversaire idéal qui ne présente aucun danger réel, et qui joue son rôle dans la mise en condition militaire des peuples occidentaux, et leur acceptation, au rebours de leurs valeurs individualistes, d’un État policier et d’une société de contrôle total.
Les États-Unis du capitalisme en déclin de l’année 2017 peuvent croire qu'ils ont objectivement intérêt à la guerre dans cette décennie. Leur équipement militaire hypertrophié et leur expérience du combat réel leur donnent la certitude trompeuse d'une victoire dans n’importe quel conflit armé classique, à condition qu’ils puissent construire le consentement de leur opinion à une telle démarche sanguinaire, mais cette avance est financée par la contribution du reste du monde à commencer par la Chine, qui comble les déficits abyssaux de l'économie américaine, et d’ici dix ou vingt ans elle aura disparu.
Depuis la crise de 2008, ils sont entrés dans une phase agressive, s’attaquant à des nations petites ou moyennes, le plus souvent en utilisant des collaborateurs locaux, des séparatistes, des réactionnaires religieux, des intermédiaires en apparence non étatiques et des auxiliaires étrangers, une « société civile » ad hoc cultivées dans leurs universités et recrutée dans un certain nombre de pays stratégiques.
Mais ils ont aussi mené des guerres directes dont le but réel semble bien tout simplement de maintenir en état opérationnel leurs forces armées et de tester leurs armements. Ils sont déjà lancés dans une cyber-guerre ouverte avec le reste du monde.
Il faut bien comprendre que la déclaration officielle de guerre au terrorisme en septembre 2001 a une importance fondamentale dans l’histoire de l’Empire américain : il s’agit d’une revendication de souveraineté qui porte sur l’ensemble du territoire mondial, et qui met fin à la politique internationale telle qu’elle était pratiquée depuis les traités de Westphalie au moins (1648). Ils revendiquent le statut et rang de seul État souverain.
Mais les moyens indirects ont eu leur préférence depuis leur relatif échec en Irak et en Afghanistan.
Ils ont réussi à prendre le contrôle du gouvernement de plusieurs États en instrumentalisant une opposition stipendiée de longue date, et en pratiquant avec l’aide des grands groupes de médias une déstabilisation intérieure de grande échelle. Comme l'a symboliquement établi la destruction de l'ambassade à Belgrade en 1999, l’ennemi principal des États-Unis est bien entendu la Chine, dont le surgissement prochain au premier rang économique mondial épouvante l’oligarchie occidentale. Les actions erratiques de l’Occident piloté par les États-Unis ont paradoxalement renforcé ce rival, en consolidant son alliance avec la Russie, et l’effondrement annoncé de la présidence Trump n’a fait qu’accélérer ce mouvement.
Une guerre directe contre la Chine, sous la forme de pression externes et de blocus maritime et aérien de son territoire, dont le littoral est étroitement verrouillé par les bases américaines, est techniquement possible et même jouable, pour gagner, mais au prix de provoquer une très forte crise économique internationale dont les effets seraient imprévisibles. Les militaires ne font rien d’imprévisible. Mais ils ont une certaine tendance à la surestimation de leurs capacités, qui en l’occurrence sont incontestablement très fortes, et la tentation de chercher des solutions technologiques à des problèmes stratégiques, notamment pour neutraliser les armes nucléaires.
Cependant, les États-Unis eux-mêmes ne sont pas un sujet géopolitique pleinement souverain, et le pouvoir réel va se chercher dans un milieu international où leurs ressortissants sont les plus influents mais non exclusivement. Milieu composé des institutions financières et des banques, des cadres dirigeants des multinationales et des ONG qui recrutent leurs cadres dirigeants dans les mêmes écoles, des médias internationaux, etc. Dans ces milieux, la perspective d’une guerre qui ne soit plus une guerre asymétrique à zéro mort dans son camp crée un malaise. Ils conservent parfois la culture historique suffisante pour comprendre que la guerre ouverte comme solution des contradictions du capitalisme n’est pas la meilleure option, parce qu'elle peut déboucher sur la révolution. Ils soutiendront toutes les guerres néocoloniales ou contre-révolutionnaires, mais chercheront à éviter un conflit majeur avec les puissances émergentes capitalistes. En cas de guerre mondiale ouverte et déclarée, l'expérience historique montre que la puissance qui en a pris l'initiative perd la mise.
Certains alliés secondaires (Grande Bretagne, France, Israël, Arabie saoudite) peuvent être tentés de jeter de l'huile sur le feu pour acquérir un rang de « senior partner » dans l’alliance occidentale.
Tout ce qui contribue à affaiblir la résistance à l'hégémonie des États-Unis rend la guerre plus probable, car elle crédibilise chez les pions qui nous gouvernent l'idée d'une guerre technologique victorieuse propre et rapide. L'effondrement de la Libye a rapproché le monde de la catastrophe. La résistance de la Syrie, mais aussi de la Corée, face aux ingérences impériales, éloigne la guerre.
Contrairement aux apparences, un va-t-en guerre brouillon et impulsif à la tête des États-Unis dans le genre Donald Trump est moins dangereux qu'un politicien consensuel comme son adversaire Hillary Clinton, qui n'engagera de guerre contre la pays visé qu'à la suite d'une longue préparation médiatique et d'une subversion interne à grande échelle, mais qui ne lâchera pas sa proie facilement, pour ne pas perdre la face. Et cela, même s'il peut être à titre individuel réticent face aux aventures militaires, comme c'était le cas d'Obama.
Cela dit s'il y a un pays où les contradictions du capitalisme s'aiguisent de manière décisive, ce sont bien les États-Unis.
L'anti-impérialisme et le mouvement international pour la paix sont donc redevenus les priorités existentielles pour l’avenir de l’humanité.
guerre mondial , guerre mondial , nous n'y sommes pas , même les chinois et russes comprennent la position des U§A , bref c'est officieusement qu'ils y sont solidaire !!!
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Si dans les années 30, nos radicaux-socialistes, nos socialistes et nos communistes avaient compris les buts que poursuivait Hitler et fait en sorte de l'empêcher d'arriver à ses fins, par la force si possible, nous n'aurions pas connu la défaite de juin 1940 et les malheurs qui ont suivi !
Mais ils ont paralysé la France dans le pacifisme, les congés payés et les 40 heures au lieu de forger une armée moderne !
Ne jetons pas sur les USA la responsabilité d'une guerre qu'ils ne veulent pas contre la Corée du Nord ! La responsabilité elle vient de Pyong Yang, pas de Washington !
Mais ils ont paralysé la France dans le pacifisme, les congés payés et les 40 heures au lieu de forger une armée moderne !
Ne jetons pas sur les USA la responsabilité d'une guerre qu'ils ne veulent pas contre la Corée du Nord ! La responsabilité elle vient de Pyong Yang, pas de Washington !
Dernière édition par El seductor le Mer 20 Sep 2017 - 16:56, édité 1 fois
El seductor- Maître
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
El seductor a écrit:Si dans les années 30, nos radicaux-socialistes, nos socialistes et nos communistes avaient compris les buts que poursuivait Hitler et fait en sorte de l'empêcher d'arriver à ses fins, pas la force si possible, nous n'aurions pas connu la défaite de juin 1940 et les malheurs qui ont suivi !
Mais ils ont paralysé la France dans le pacifisme, les congés payés et les 40 heures au lieu de forger une armée moderne !
Ne jetons pas sur les USA la responsabilité d'une guerre qu'ils ne veulent pas contre la Corée du Nord ! La responsabilité elle vient de Pyong Yang, pas de Washington !
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
El seductor a écrit:Si dans les années 30, nos radicaux-socialistes, nos socialistes et nos communistes avaient compris les buts que poursuivait Hitler et fait en sorte de l'empêcher d'arriver à ses fins, par la force si possible, nous n'aurions pas connu la défaite de juin 1940 et les malheurs qui ont suivi !
Mais ils ont paralysé la France dans le pacifisme, les congés payés et les 40 heures au lieu de forger une armée moderne !
Ne jetons pas sur les USA la responsabilité d'une guerre qu'ils ne veulent pas contre la Corée du Nord ! La responsabilité elle vient de Pyong Yang, pas de Washington !
Tu racontes des conneries.
La bourgeoisie et les patrons chantaient sur touts les toits :
PLUTÔT HITLER QUE LE FRONT POPULAIRE. ... Ils préféraient Hitler au Front populaire.
D'abord ouvertement, voire clandestinement par sociétés écrans interposées. Dans les années trente, Plutôt Hitler que le Front Populaire fut le slogan d'une droite soutenue financièrement par le grand patronat.
et toi tu dis pareil en crachant sur le front populaire,
tu es d'extrême droite néo nazi.
.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Date d'inscription : 18/05/2017
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB a écrit:La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
La guerre mondiale qui vient, qui la veut?
Le danger de guerre actuel provient exclusivement des États-Unis qui ont obtenu leur hégémonie mondiale en gagnant les trois précédentes (on peut considérer la Guerre froide en comptant les conflits localisés qui l’ont accompagné (Viet Nam, Proche Orient) comme la troisième), et qui sont tentés de la conserver en s’engageant dans une quatrième.
Aucune autre puissance n’est en mesure de menacer la paix. Le terrorisme, notamment, n’est qu’un instrument au service des États-Unis, soit un allié direct comme en Syrie, soit un adversaire idéal qui ne présente aucun danger réel, et qui joue son rôle dans la mise en condition militaire des peuples occidentaux, et leur acceptation, au rebours de leurs valeurs individualistes, d’un État policier et d’une société de contrôle total.
Les États-Unis du capitalisme en déclin de l’année 2017 peuvent croire qu'ils ont objectivement intérêt à la guerre dans cette décennie. Leur équipement militaire hypertrophié et leur expérience du combat réel leur donnent la certitude trompeuse d'une victoire dans n’importe quel conflit armé classique, à condition qu’ils puissent construire le consentement de leur opinion à une telle démarche sanguinaire, mais cette avance est financée par la contribution du reste du monde à commencer par la Chine, qui comble les déficits abyssaux de l'économie américaine, et d’ici dix ou vingt ans elle aura disparu.
Depuis la crise de 2008, ils sont entrés dans une phase agressive, s’attaquant à des nations petites ou moyennes, le plus souvent en utilisant des collaborateurs locaux, des séparatistes, des réactionnaires religieux, des intermédiaires en apparence non étatiques et des auxiliaires étrangers, une « société civile » ad hoc cultivées dans leurs universités et recrutée dans un certain nombre de pays stratégiques.
Mais ils ont aussi mené des guerres directes dont le but réel semble bien tout simplement de maintenir en état opérationnel leurs forces armées et de tester leurs armements. Ils sont déjà lancés dans une cyber-guerre ouverte avec le reste du monde.
Il faut bien comprendre que la déclaration officielle de guerre au terrorisme en septembre 2001 a une importance fondamentale dans l’histoire de l’Empire américain : il s’agit d’une revendication de souveraineté qui porte sur l’ensemble du territoire mondial, et qui met fin à la politique internationale telle qu’elle était pratiquée depuis les traités de Westphalie au moins (1648). Ils revendiquent le statut et rang de seul État souverain.
Mais les moyens indirects ont eu leur préférence depuis leur relatif échec en Irak et en Afghanistan.
Ils ont réussi à prendre le contrôle du gouvernement de plusieurs États en instrumentalisant une opposition stipendiée de longue date, et en pratiquant avec l’aide des grands groupes de médias une déstabilisation intérieure de grande échelle. Comme l'a symboliquement établi la destruction de l'ambassade à Belgrade en 1999, l’ennemi principal des États-Unis est bien entendu la Chine, dont le surgissement prochain au premier rang économique mondial épouvante l’oligarchie occidentale. Les actions erratiques de l’Occident piloté par les États-Unis ont paradoxalement renforcé ce rival, en consolidant son alliance avec la Russie, et l’effondrement annoncé de la présidence Trump n’a fait qu’accélérer ce mouvement.
Une guerre directe contre la Chine, sous la forme de pression externes et de blocus maritime et aérien de son territoire, dont le littoral est étroitement verrouillé par les bases américaines, est techniquement possible et même jouable, pour gagner, mais au prix de provoquer une très forte crise économique internationale dont les effets seraient imprévisibles. Les militaires ne font rien d’imprévisible. Mais ils ont une certaine tendance à la surestimation de leurs capacités, qui en l’occurrence sont incontestablement très fortes, et la tentation de chercher des solutions technologiques à des problèmes stratégiques, notamment pour neutraliser les armes nucléaires.
Cependant, les États-Unis eux-mêmes ne sont pas un sujet géopolitique pleinement souverain, et le pouvoir réel va se chercher dans un milieu international où leurs ressortissants sont les plus influents mais non exclusivement. Milieu composé des institutions financières et des banques, des cadres dirigeants des multinationales et des ONG qui recrutent leurs cadres dirigeants dans les mêmes écoles, des médias internationaux, etc. Dans ces milieux, la perspective d’une guerre qui ne soit plus une guerre asymétrique à zéro mort dans son camp crée un malaise. Ils conservent parfois la culture historique suffisante pour comprendre que la guerre ouverte comme solution des contradictions du capitalisme n’est pas la meilleure option, parce qu'elle peut déboucher sur la révolution. Ils soutiendront toutes les guerres néocoloniales ou contre-révolutionnaires, mais chercheront à éviter un conflit majeur avec les puissances émergentes capitalistes. En cas de guerre mondiale ouverte et déclarée, l'expérience historique montre que la puissance qui en a pris l'initiative perd la mise.
Certains alliés secondaires (Grande Bretagne, France, Israël, Arabie saoudite) peuvent être tentés de jeter de l'huile sur le feu pour acquérir un rang de « senior partner » dans l’alliance occidentale.
Tout ce qui contribue à affaiblir la résistance à l'hégémonie des États-Unis rend la guerre plus probable, car elle crédibilise chez les pions qui nous gouvernent l'idée d'une guerre technologique victorieuse propre et rapide. L'effondrement de la Libye a rapproché le monde de la catastrophe. La résistance de la Syrie, mais aussi de la Corée, face aux ingérences impériales, éloigne la guerre.
Contrairement aux apparences, un va-t-en guerre brouillon et impulsif à la tête des États-Unis dans le genre Donald Trump est moins dangereux qu'un politicien consensuel comme son adversaire Hillary Clinton, qui n'engagera de guerre contre la pays visé qu'à la suite d'une longue préparation médiatique et d'une subversion interne à grande échelle, mais qui ne lâchera pas sa proie facilement, pour ne pas perdre la face. Et cela, même s'il peut être à titre individuel réticent face aux aventures militaires, comme c'était le cas d'Obama.
Cela dit s'il y a un pays où les contradictions du capitalisme s'aiguisent de manière décisive, ce sont bien les États-Unis.
L'anti-impérialisme et le mouvement international pour la paix sont donc redevenus les priorités existentielles pour l’avenir de l’humanité.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB a écrit:
Tu racontes des conneries.
La bourgeoisie et les patrons chantaient sur touts les toits :
PLUTÔT HITLER QUE LE FRONT POPULAIRE. ... Ils préféraient Hitler au Front populaire.
D'abord ouvertement, voire clandestinement par sociétés écrans interposées. Dans les années trente, Plutôt Hitler que le Front Populaire fut le slogan d'une droite soutenue financièrement par le grand patronat.
et toi tu dis pareil en crachant sur le front populaire,
tu es d'extrême droite néo nazi.
.
et si je te disait que c'est la France et la grande bretagne qui a poussé Mussolini dans les bras d'Hitler malgré lui , tu me croirais ????
Dernière édition par aPOTRE le Mer 20 Sep 2017 - 17:47, édité 2 fois
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
aPOTRE a écrit:
et si je te disait que c'est la France et la grande bretagne qui a poussé Mussolini dans les bras d'Hitler malgré lui , tu me croirais ????
Tu sais pas mon p'tit gars, au lieu d'écrire des merdes sur mes fils, commence donc par poster un sujet.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB a écrit:
Tu sais pas mon p'tit gars, au lieu d'écrire des merdes sur mes fils, commence donc par poster un sujet.
ton fil , tes enfants (sic)?? ce fil là est public et non pas de l'ordre privé , ni réservé qu'à toi! tu veux t'allier à Pyongyang ???
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
aPOTRE a écrit:
ton fil , tes enfants (sic)?? ce fil là est public et non pas de l'ordre privé , ni réservé qu'à toi! tu veux t'allier à Pyongyang ???
Non le sujet, c'est le mien, il n'est pas attribué à tes élucubrations de Q béni en perdition.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
si ton arrière train n'est plus vierge , va faire tes réclamations à celui qui te l'a rendu ainsi !STUNENEB a écrit:
Non le sujet, c'est le mien, il n'est pas attribué à tes élucubrations de Q béni en perdition.
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Le pacifisme est une saloperie, il conduit toujours à la guerre en montrant sa faiblesse morale.
Merl1- Vénérable
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Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Merl1 a écrit:Le pacifisme est une saloperie, il conduit toujours à la guerre en montrant sa faiblesse morale.
Normal pour un nostalgique du traître pétain. Tu préfère surement l'invasion de la france par les boche en 39-45.....
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
ton Mélenchon encarté socialiste comme Pierre LavalSTUNENEB a écrit:
Normal pour un nostalgique du traître pétain. Tu préfère surement l'invasion de la france par les boche en 39-45.....
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
aPOTRE a écrit:
ton Mélenchon encarté socialiste comme Pierre Laval
Quand je m'adresse au charcutier, c'est pas à l’andouille de me répondre.
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB a écrit:
Quand je m'adresse au charcutier, c'est pas à l’andouille de me répondre.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
C'est le pacifisme républicain français qui a désarmé la France et permis la monté en puissance de l'Allemagne. L'Action française a toujours voué son existence au salut matériel de la patrie française. C'est dans cette logique qu'elle a toujours dénoncé le désarmement car pour elle, le désarmement tue la paix. Elle s'explique entre autres dans un numéro spécial pour les élections législatives d'avril 1932 :STUNENEB a écrit:Normal pour un nostalgique du traître pétain. Tu préfère surement l'invasion de la france par les boche en 39-45.....
« Tous les candidats vous diront qu'ils sont partisans de la paix. Mais pour faire la paix, il faut en prendre les moyens ! Ces moyens sont au nombre de deux : La force qui empêche les agressions et la sagesse qui prévient les causes de conflit »
Maurras explique plus en détail son idée du pacifisme dans un article consacré aux rapports franco-allemands dans l'entre-deux-guerres :
« Les temps de l'arme haute sont ceux qui nous font respecter. Les temps de l'arme basse sont ceux qui nous font envahir. La guerre vient de l'arme basse. La paix vient du relèvement de notre arme. Il est inutile de tenter de soutenir le contraire. Le mot de paix armée signifie la paix respectée. Paix désarmée veut dire paix violée »
Merl1- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Non pas le pacifisme mais le doctrine de sécurité collective merci.
Kirov- Postulant
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
STUNENEB est parti en vacances 60 jours , c'est à nous que ça va faire des vacances .
Ceci dit TRUMP qui veut vitrifier toute une population pour le plaisir de montrer ses muscles on peut se demander s'il est sain d'esprit lui même .
Ceci dit TRUMP qui veut vitrifier toute une population pour le plaisir de montrer ses muscles on peut se demander s'il est sain d'esprit lui même .
Invité- Invité
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
sain???? trump lui même , cheveux taillé façon elvis et l'autre de Pyongyang cheveux taillé en bombe atomique , rien que cela montre leur despotisme et tyranieLysliane a écrit: STUNENEB est parti en vacances 60 jours , c'est à nous que ça va faire des vacances .
Ceci dit TRUMP qui veut vitrifier toute une population pour le plaisir de montrer ses muscles on peut se demander s'il est sain d'esprit lui même .
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Il ne faudrait pas confondre un des pays les plus libres du monde avec l'idéologie du Juche. Il faut laisser crever les nord coréens a petit feu ou en tuer quelqu’un pour mettre fin à ce régime communiste abominable ?
Merl1- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
en faisant ce parallèle ça serait de défendre ce peuple !Merl1 a écrit:Il ne faudrait pas confondre un des pays les plus libres du monde avec l'idéologie du Juche. Il faut laisser crever les nord coréens a petit feu ou en tuer quelqu’un pour mettre fin à ce régime communiste abominable ?
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
J'évite de donner un avis sur la Corée du Nord. Les médias occidentaux sont tellement partisan, pro capitaliste pro américain et Pro occident (#Russe et chinois = méchant) que l'on ne sait plus ce qui est vrai ou faux.
Kirov- Postulant
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Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
Le Juche est une idéologie tout à fait transparente, vous pouvez y adhérer, permettez moi de la considérer comme abominable.
Merl1- Vénérable
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Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La guerre mondiale qui vient sera provoquée par les États-Unis.
La Corée du Nord est la dernière dictature communiste de la planète. Son maître ne cesse de provoquer le monde libre. Et ce seraient les USA qui porteraient la responsabilité d'une guerre "mondiale" ?
C'est comme ceux qui disaient que si on empêchait Hitler de faire ce qu'il voulait en Europe, on déclencherait une guerre mondiale ! On ne l'a pas empêché et on a eu quand même la guerre mondiale !
Voilà les futurs collabos de l'Islam en pleine action. Ceux-là on les appellera les "dhimmis"...
Non je ne mélange pas. On sait très bien que ceux qui supportent, passivement, le régime de Pyongyang sont aussi les supports, passifs, de l'islamisation...
C'est comme ceux qui disaient que si on empêchait Hitler de faire ce qu'il voulait en Europe, on déclencherait une guerre mondiale ! On ne l'a pas empêché et on a eu quand même la guerre mondiale !
Voilà les futurs collabos de l'Islam en pleine action. Ceux-là on les appellera les "dhimmis"...
Non je ne mélange pas. On sait très bien que ceux qui supportent, passivement, le régime de Pyongyang sont aussi les supports, passifs, de l'islamisation...
El seductor- Maître
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