Hausse de la CSG : « Trop, c’est trop, les retraités ne sont pas des vaches à lait »

[Invité]

Hausse de la CSG : « Trop, c’est trop, les retraités ne sont pas des vaches à lait »

[Bens]

Si les fonctionnaires, retraités, chômeurs, précaires se rassemblaient, peut-être que ça irait mieux.

Là en attendant, on est dans le piège du capitalisme : les immigrés, précaires, chômeurs, fonctionnaires, retraités se tapent dessus et pendant ce temps le patronat rigole.

[El seductor]

Ce n'est pas le "patronat" qui rigole, non, mais les nouveaux "nobles" de la Haute fonction publique et la caste des politiques ! 
Les "patrons", je parle surtout des patrons... français et qui entendent le rester, les patrons des PME qui sont la majorité et qui font tourner la France, se demandent comment ils vont finir l'année et s'il seront toujours là à la fin de l'année prochaine...

[Invité]

Si les fonctionnaires, retraités, chômeurs, précaires se rassemblaient, peut-être que ça irait mieux.

Là en attendant, on est dans le piège du capitalisme : les immigrés, précaires, chômeurs, fonctionnaires, retraités se tapent dessus et pendant ce temps le patronat rigole.

 Tu n'as pas tort c'est trop chacun pour soi en France et c'est pourquoi nous n'arriverons à rien .
Dans un match de sports à plusieurs joueurs il faut jouer collectif .

[Bens]

Ce n'est pas le "patronat" qui rigole, non, mais les nouveaux "nobles" de la Haute fonction publique et la caste des politiques ! 
Les "patrons", je parle surtout des patrons... français et qui entendent le rester, les patrons des PME qui sont la majorité et qui font tourner la France, se demandent comment ils vont finir l'année et s'il seront toujours là à la fin de l'année prochaine...

Patronat, nobles, politiques... tout ça c'est le même champ de mauvaises herbes. A mettre tous dans le même baraquement au goulag.

(Je parle pas des petits patrons, mais du MEDEF et cie)

[El seductor]

Le "MEDEF", ne représente absolument pas (et ne défend pas),le patronat français ! Ce sont des gens qui défendent la mondialisation économique et sont pour l'Europe de Merkel... Moi je ne parle pas de ce "patronat" là !

[Bens]

Le "MEDEF", ne représente absolument pas (et ne défend pas),le patronat français ! Ce sont des gens qui défendent la mondialisation économique et sont pour l'Europe de Merkel... Moi je ne parle pas de ce "patronat" là !

Et pourtant, ce sont eux qui ont imposé leur Loi Travail aux salariés (et aux petits patrons)

[Invité]

Disons qu'il défend le mondialisme économique qui profite surtout aux grands patrons , ça vous va comme ça les loulous ?

[Merl1]

La majeure partie des retraités actuels sont des baby-boomers, ils ont reçu de leur parent un pays reconstruit et ont connu les "Trente glorieuse". Ils ont déconstruit les valeurs morales après les événement de 1968, ont voté comme des cons pendant des décennies. Il est inacceptable qu'ils ne participent pas au redressement financier de la France. La hausse de la CSG c'est du pipi de chat, il faut plafonner toutes les retraites de cette génération à 2000 € .

Génération gâtée, les "baby-boomers" ont tout eu hier mais ne veulent rien céder aujourd'hui. Je ne comprend pas leur égoïsme, le gouvernement a tort de préserver la classe la plus riche de France. Je pense qu'il y a une injustice profonde à ne rien leur demander.

Une étude de l'Insee publiée fin 2008 montrait que la courbe du bonheur atteint un pic vers l'âge de 65-70 ans. "Le niveau de patrimoine des plus de 50 ans excède de plus de 50% le patrimoine moyen, leur revenu disponible net excède de plus de 15% le revenu moyen", soulignaient les auteurs du document. Un rapport du Conseil d'orientation des retraites (Cor) note pour sa part que le sort des retraités français est l'un des plus enviables des pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en Europe.

Aujourd'hui nous sommes confrontés à un égoïsme générationnel tout à fait choquant de la part "baby boomers" qui ont eu la chance de naître au moment où ils sont nés", je le déplore. Née à la sortie de la Seconde guerre mondiale, cette classe d'âge a pleinement profité du boom économique des "Trente glorieuses". Leurs parents ont reconstruit la France, ils sont entrés sur un marché du travail en pleine croissance économique (les années 1960) ,il n'ont pas eu de difficulté à trouver du boulot.

Dans un contexte de plein emploi, il était facile pour eux de faire la révolution en Mai 68. Cinquante ans plus tard, plus d'un jeune sur quatre est au chômage dans un contexte de crise et de précarité. Tout le contraire des années actives des "baby-boomers" qui ont bénéficié d'une progression de salaires forte parce que la génération précédente disparaissait, sans oublier un accès à un marché de l'immobilier extrêmement favorable dans un contexte d'inflation élevé. Aujourd'hui ces gens-là sont parti en retraite avec de bonnes pensions et un patrimoine. Ils refusent de participer à la solidarité collective qui nécessiterait aujourd'hui d'investir dans les jeunes qui sont trois fois plus pauvres qu'eux, et dans les enfants. Or il serait dans l'intérêt de tous, y compris les retraités, de s'assurer que les jeunes puissent avoir un bon boulot demain pour financer les retraites. Il est très paradoxal que le gouvernement trouve en face de lui un refus d'augmenter la cotisation sociale généralisée (CSG) des retraités tout en faisant des économies dans l'éducation.

http://www.comite-mfga.fr/hausse-de-la-csg-trop-cest-trop-les-retraites-ne-sont-pas-des-vaches-a-lait-un-refrain-totalement-egoiste/

[Pierre Lequédec]

Mais que les retraités arrêtent de se plaindre, bon sang. Christophe Barbier a raison lorsqu'il dit que ce sont des pourris gâtés. Ils préfèrent penser à leur petit confort plutôt qu'à l'avenir de la jeunesse.

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