Petite enfance : coup de rabot sur l'allocation de base et la prime de naissance

[Invité]

Ce gouvernement rabote sur tout , merci Macron , s'il veut dissuader un peu plus d'avoir des enfants il a tout bon

Petite enfance : coup de rabot sur l'allocation de base et la prime de naissance
Par Le Parisien, 27 septembre 2017 | 18h37

Le gouvernement va aligner l'allocation versée aux parents de jeunes enfants sur les montants et plafonds de ressources du Complément familial. 

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/paje-coup-de-rabot-sur-l-allocation-de-base-et-la-prime-de-naissance-27-09-2017-7290795.php

[Merl1]

Si le gouvernement ne met pas en place une politique nataliste pour les familles françaises qui travaillent, d'autres ont des pratiques culturelles différentes qui se fichent du plafonds de ressources....

[Pierre Lequédec]

He oui Merl1, c'est une nouvelle société qui s'ouvre, plus métissée, plus jeune, plus dynamique, plus multiple.
Comme quoi, l'immigration vraiment a du bon. Elle permettra la transition démographique. Elle permettra l'avenir de nos emplois, et donc de l'avenir économique et social de notre pays.

[Merl1]

Non elle façonnera une société sans identité, sans racine, déboussolée, facilement manipulable, socialement déclassée...

[Frère Barnabé]

Non elle façonnera une société sans identité, sans racine, déboussolée, facilement manipulable, socialement déclassée...

en rajoutant le coup de rabot sur les retraité(e)s (moins d'APL  et plus de CSG  sans compensation )  , ont voit que  la France à macron   ressemble plus à la fournaise ou à un grand fourneau ,que de connaître un jour le paradis en France  !
c'est peut être du au réchauffement climatique comme un coup de soleil que Emmanuel macron et Edouard Philippe on reçu sur leur têtes , selon moi il faudrait les isoler pour éviter les chocs thermique ,!!

[Invité]

M. Olivier Véran, député de l’Isère et rapporteur général de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, remet même en cause l’universalité des allocations familiales, déjà malmenée par la récente mise sous condition de ressources. Alors que la branche « famille » de la Sécurité Sociale est excédentaire, il est injuste de continuer à matraquer les familles !

Alors que le taux de fécondité diminue encore en 2016, à 1,93 enfants par femme (INSEE, août 2017), on constate une nouvelle fois le lien fort entre le manque d’ambition de la politique familiale et la démographie française ! Alors que le nombre idéal d’enfants souhaités s’établit à 2,39 (UNAF, février 2017), on constate que les Français n’ont pas autant d’enfants qu’ils le désirent ! La politique familiale exprime la solidarité par laquelle les familles sans enfant s’associent à l’effort consenti par les familles qui accueillent des enfants.

Ce n’est pas en prenant en otage des familles contre d’autres que l’on améliorera la situation des familles monoparentales. Rappelons à ce titre - pour prendre des analyses de terrain (UDAF 77 Observatoires de familles) - que « la rupture conjugale après une période de vie commune (mariage ou vie maritale) concernait 73,7 % des familles monoparentales en 2005 (soit 24.055 familles sur 32.658) avec une progression de 27 % en cinq ans…

Ce gouvernement reste dans la même ligne que les précédents qui ont considérablement dégradé la vie des familles : abaissement par deux fois du plafond du quotient familial ; mise sous conditions de ressources des allocations familiales, imposition de la majoration de retraite dont bénéficient les retraités ayant élevé au moins 3 enfants ; abaissement des seuils de ressources pour bénéficier de la Prestation d’accueil de jeune enfant et réduction de son montant ; recul de la date de versement de la prime de naissance ; diminution de la durée du congé parental…

Par cette approche il a été demandé 4 milliards d’efforts annuels aux seules familles avec enfants !

Les AFC s’indignent de cet acharnement manifeste de nos gouvernants à pénaliser les familles, qui demeurent pourtant l’un des meilleurs lieux d’investissement pour l’avenir de notre pays

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