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Tarik Ramadan
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Napoléon III
Merl1
El seductor
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Re: Tarik Ramadan
aPOTRE a écrit:tout ce qui est né convaincu de l'idéologie théologique de Mahomet , est à mettre à la poubelle y compris tarik!!
Je lui ai écrit sur FaceBook pour l'inviter à apostasier l'idéologie mahométane car là il est dans un égarement évident.
PBSL ne peut être le Beau Modèle étant donné que c'est un multi assassin, un multi violeur et un multi voleur.
Re: Tarik Ramadan
Si il va en prison il sera le roi des musulmans.
Guillaume Kané- Habitué
- Messages : 119
Date d'inscription : 24/01/2018
Re: Tarik Ramadan
cela ce pourrait , en effet !Guillaume Kané a écrit:Si il va en prison il sera le roi des musulmans.
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Tarik Ramadan
Il sera Le prédicateur maître ! Dans la droite ligne des Frères Musulmans !
Alpha55- Connaisseur
- Messages : 855
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Les Angles
Re: Tarik Ramadan
Tarik Ramadan devra surveiller ses arrières.Alpha55 a écrit:Il sera Le prédicateur maître ! Dans la droite ligne des Frères Musulmans !
Re: Tarik Ramadan
Pourquoi il convient de se méfier à l’égard des accusations de viol contre Tariq Ramadan
L’islamologue genevois Tariq Ramadan, petits-fils du fondateur des Frères musulmans Hassan el-Banna, est pris dans une tempête médiatique depuis quelques jours en raison des accusations de viols qui se succèdent à son encontre. Deux femmes ont effectivement déposé plainte contre lui en France et une troisième s’est confiée aux médias.
Tariq Ramadan est une personnalité publique qui possède une certaine notoriété dans le monde francophone et au delà. Ses idées politiques et sa vision du monde sont bien entendu critiquables mais ce n’est pas l’objet de cet éditorial. Dans l’affaire qui nous occupe, il s’agit avant tout de faire une distinction entre le personnage privé et le personnage public. Il ne serait pas honnête de lier les deux choses car rien dans son discours public ne laisse penser qu’il pourrait cautionner de tels agissements. Il s’agit plutôt d’examiner quelle était la réputation de Tariq Ramadan dans la sphère privée avant ce déferlement médiatique et de comprendre ce qui pourrait se cacher derrière ces accusations tonitruantes.
Avant d’entamer une carrière académique internationale, qui l’a menée à Londres ou au Qatar notamment, Tariq Ramadan a enseigné à l’Université de Fribourg ainsi qu’au Collège de Saussure à Genève jusqu’en 2004. J’ai moi-même fréquenté l’Université de Genève à partir de 2004 et je me souviens d’une anecdote que m’avait racontée une étudiante que je fréquentais sur les bancs de l’Université et qui avait eu Tariq Ramadan comme enseignant au Collège de Saussure. Elle m’avait rapporté qu’une de ses camarades de classe s’était amusée à aguicher Tariq Ramadan en plein cours en le fixant dans les yeux de manière continue. Celui-ci avait réagi de manière parfaitement professionnelle en ne se laissant pas intimider et en refusant d’entrer dans un jeu de séduction avec l’adolescente. Tout ceci ne colle pas exactement avec le profil d’un prédateur sexuel. Aucune collègue enseignante de l’islamologue genevois ne s’est jamais plainte du comportement de ce dernier au cours de ses nombreuses années d’enseignement.
La thèse de la culpabilité de Tariq Ramadan est également mise en doute par le décalage entre les faits présumés et le dépôt de plainte. Après tout les jeunes femmes auraient pu porter plainte au lendemain des faits. La police aurait ainsi été en mesure de mener une enquête avec des preuves matérielles qui inculpent ou disculpent l’accusé. Or, ces plaintes surviennent toutes peu de temps après le scandale de l’affaire Weinstein, comme s’il s’agissait de détourner l’attention sur un spectre plus large de personnalités publiques.
Sans surprise, la militante LGBT Caroline Fourest, qui a construit une grande partie de sa carrière médiatique en s’attaquant à Tariq Ramadan, s’est délectée de cette actualité en affirmant dans Marianne qu’elle était au courant depuis plusieurs années de la « double vie » de l’essayiste genevois. Régulièrement promue par Bernard-Henri Lévy, qui semble lui même embarrassé par l’affaire Weinstein, Caroline Fourest est régulièrement accusée d’énoncer des mensonges dans la sphère publique. Malgré cette réputation, la RTS lui donne largement la parole dans un sujet du JT du 28.10.17. La féministe de combat semble avoir trouvé le scénario idéal : « Tout d’abord le cruel « islamo-violeur » s’en prend à de pauvres femmes qui étaient sous l’emprise salafiste. Puis celles-ci finissent par se libérer du poids de l’oppression masculine en épousant l’idéologie féministe de Caroline Fourest et osent enfin porter plainte contre l’homme qui les a souillées. »
Le tribunal médiatique semble avoir choisi d’accorder beaucoup d’importance et de crédibilité à ces accusations qui relèvent d’actes sordides et qui surviennent à un moment bien précis, comme nous l’avons relevé plus haut. Si les tribunaux donnent en fin de compte gain de cause à Tariq Ramadan, peut-on espérer des excuses publiques de la part de Caroline Fourest? La question reste ouverte mais il est permis d’en douter au vu de son parcours qui démontre qu’elle préfère s’entêter dans ses certitudes plutôt que d’admettre ses erreurs.
Alimuddin Usmani
Re: Tarik Ramadan
Sauvons le frère Tariq, victime d’un complot sioniste
Selon le coran et les hadiths, un mahométan ne doit être jugé par un non mahométan (un mécréant). Actuellement, le prédicateur Tariq Ramadan de nationalité suisse et d’origine égyptienne est incarcéré à la prison de Fleury Mérogis, dans une aile particulière qui est réservée aux détenus sensibles. Il est accusé d’agression sexuelle et de viol aggravé sur personne vulnérable. Selon le droit français, il est toujours considéré comme innocent jusqu’à preuve du contraire. Mais là où le bât blesse, c’est la réaction des islamistes de leurs alliés islamo-gauchistes qui demandent sa libération immédiate et sans condition. Car il semblerait que la justice française soit inapte à le juger. Cette justice, ils savent seulement l’instrumentaliser pour faire taire toute critique de l’idéologie mahométane. Le djihad judiciaire, ils l’apprécient pour défendre leur idéologie mais quand cette même justice va à l’encontre de leurs intérêts, ils n’hésitent pas une seconde à la traiter de partiale. Ils crient haut et fort qu’elle est suspecte et qu’elle ne juge pas selon la charia. Et leur frère Tariq n’est pas n’importe qui, c’est un savant émérite de l’idéologie mahométane, et par conséquent, il est au-dessus des lois des kouffars, seule la justice d’Allah pourrait le juger, le cas échéant…
Le maintien en détention de Tarek Ramadan par la justice malgré sa maladie imaginaire, le jeudi 22 février 2018, a mis en colère ses amis et ses supporteurs islamistes. Publiée par le journal en ligne Médiapart (comme par hasard), une tribune de personnalités françaises et étrangères (tiens, tiens) réclame une justice équitable comme si la justice française était devenue subitement partiale et encore moins indépendante car elle a refusé de mettre en liberté le prédicateur islamique Tariq Ramadan accusé de viol.
Cette tribune est signée par des intellectuels notoirement connus pour être des islamophiles avérés tels qu’Alain Gresh et François Burgat mais aussi des islamistes adeptes de l’islamisation de la France comme Marwan Mohammed (ancien gourou du CCIF-collectif contre l’islamophobie en France, à croire que l’islamophobie est une maladie contagieuse) et Siham Assbague, une pasionaria du communautarisme.
Dans cette tribune, il est écrit : « Il est de notre devoir aujourd’hui de nous inquiéter d’un traitement judiciaire d’exception à l’endroit de Tarik Ramadan et de sonner l’alarme contre les motivations politiques qui pourraient contrevenir au bon fonctionnement de la procédure judiciaire…. »
Pour ces messieurs-dames, la justice française quand elle ne sert pas l’islamisation de la France et le djihad judiciaire, elle est soupçonnée de partialité. Rien que ça !
Ont sonné aussi le tocsin islamique pour sauver le frère Tariq Ramadan de la justice des kouffars, Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République, une racialiste confirmée, Nabil Ennasri, le porte-étendard et propagandiste du Qatar en France, Amar Lasfar, président des Musulmans de France (ex-UOIF, les frères musulmans qui veulent islamiser la planète toute entière) qui a dit : « Tariq Ramadan, c’est notre frère et jusqu’à preuve du contraire, il est innocent ». Pour lui, les femmes qui se disent avoir été violées par son frère Tariq, ne sont que quantité négligeable et ne méritent pas qu’on s’y attarde comme le lui enseigne sa religion de paix et d’amour… D’ailleurs, pour l’idéologie mahométane, la femme représente Satan, c’est une tentatrice, et tout ce qu’elle dit ne doit pas d’être pris au sérieux. En un mot, elle n’a qu’à rester emmurée chez elle pour éviter d’être agressée et violée. Tout ce qui lui arrive en dehors de son territoire (le haram), elle le mérite amplement.
Plus tartuffe que moi, tu crèves, c’est ça, l’idéologie mahométane quoiqu’en disent les islamo-gauchistes qui scandent pas d’amalgame.
Cette mobilisation islamique est renforcée par le recteur de la mosquées de Lyon, Kamel Kabtane qui a dit pour faire la jonction avec les frères musulmans : « que Tariq Ramadan subit un lynchage politico-médiatique. Ce sont ces raisons humanitaires qui nous ont conduits à prendre position ». Sans oublier aussi, le recteur de la mosquée de Villeurbanne, le ‘frèriste’ Azzedine Gaci au visage libéral pour tromper l’ennemi européen. Et à ces voix, il faut ajouter celle de l’imam Ismail Abou Ibrahim de Marseille.
Il ne faut pas perdre de vue que l’islamiste costume, cravate et rasé de près est un soldat d’Allah efficace, parce qu’il arrive à provoquer l’endormissement de ceux qui l’écoutent. Et bonjour les dégâts !
Pourtant, ces dignitaires de l’idéologie mahométane n’ont pas excommunié les soldats de Daech (état islamique) quand ils vendaient les femmes yazédies sur les marchés à esclaves de Raqqa et de Mossoul. Il est vrai que ces dernières ne sont que des mécréantes, impures et méritent largement leurs conditions d’esclaves sexuelles, car c’est l’idéologie mahométane qui le recommande. Pendant que ces femmes yazédies subissaient l’enfer sur terre au nom de l’idéologie mahométane, eux sont restés muets. Ils savent manier à la perfection le double discours et la duplicité. L’art de la taqquiyah est un domaine dans lequel ils excellent.
Ne manquait à cet aréopage islamiste que le président du CFCM Ahmet Ogras, un proche de l’AKP, et allié de fait du président turc Erdogan d’obéissance frèriste qui rêve de restaurer le califat islamique, un dictateur confirmé qui terrorise les Européens frileux, qui subissent ses menaces en faisant la politique de l’autruche.
Pour toutes ces personnalités de l’idéologie mahométane, l’incarcération du frère Tariq est un complot ourdi par le sionisme mondial pour le faire taire parce qu’il participe activement à l’éveil islamique.
Cette mobilisation générale islamique pour sauver le soldat d’Allah Tariq Ramadan confirme que le djihad est lancé pour conquérir la France et par conséquent l’Europe tout entière. Ce n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité qui se confirme de jour en jour.
Pour le moment, la caste politico-médiatique hors sol ne croit pas à cette conquête. C’est un mensonge propagé par les islamophobes pour salir l’idéologie mahométane, lit-on ici et là. Les bien-pensants, chantres de la morale des salons parisiens, ne croient pas une seconde à l’islamisation de la France qui est pour eux une farce, diffusée pour ternir l’image de la belle religion de paix et d’amour.
En attendant que cette conquête soit totale, continuez à sonner les matines, braves gens de France et d’ailleurs.
Hamdane Ammar
Selon le coran et les hadiths, un mahométan ne doit être jugé par un non mahométan (un mécréant). Actuellement, le prédicateur Tariq Ramadan de nationalité suisse et d’origine égyptienne est incarcéré à la prison de Fleury Mérogis, dans une aile particulière qui est réservée aux détenus sensibles. Il est accusé d’agression sexuelle et de viol aggravé sur personne vulnérable. Selon le droit français, il est toujours considéré comme innocent jusqu’à preuve du contraire. Mais là où le bât blesse, c’est la réaction des islamistes de leurs alliés islamo-gauchistes qui demandent sa libération immédiate et sans condition. Car il semblerait que la justice française soit inapte à le juger. Cette justice, ils savent seulement l’instrumentaliser pour faire taire toute critique de l’idéologie mahométane. Le djihad judiciaire, ils l’apprécient pour défendre leur idéologie mais quand cette même justice va à l’encontre de leurs intérêts, ils n’hésitent pas une seconde à la traiter de partiale. Ils crient haut et fort qu’elle est suspecte et qu’elle ne juge pas selon la charia. Et leur frère Tariq n’est pas n’importe qui, c’est un savant émérite de l’idéologie mahométane, et par conséquent, il est au-dessus des lois des kouffars, seule la justice d’Allah pourrait le juger, le cas échéant…
Le maintien en détention de Tarek Ramadan par la justice malgré sa maladie imaginaire, le jeudi 22 février 2018, a mis en colère ses amis et ses supporteurs islamistes. Publiée par le journal en ligne Médiapart (comme par hasard), une tribune de personnalités françaises et étrangères (tiens, tiens) réclame une justice équitable comme si la justice française était devenue subitement partiale et encore moins indépendante car elle a refusé de mettre en liberté le prédicateur islamique Tariq Ramadan accusé de viol.
Cette tribune est signée par des intellectuels notoirement connus pour être des islamophiles avérés tels qu’Alain Gresh et François Burgat mais aussi des islamistes adeptes de l’islamisation de la France comme Marwan Mohammed (ancien gourou du CCIF-collectif contre l’islamophobie en France, à croire que l’islamophobie est une maladie contagieuse) et Siham Assbague, une pasionaria du communautarisme.
Dans cette tribune, il est écrit : « Il est de notre devoir aujourd’hui de nous inquiéter d’un traitement judiciaire d’exception à l’endroit de Tarik Ramadan et de sonner l’alarme contre les motivations politiques qui pourraient contrevenir au bon fonctionnement de la procédure judiciaire…. »
Pour ces messieurs-dames, la justice française quand elle ne sert pas l’islamisation de la France et le djihad judiciaire, elle est soupçonnée de partialité. Rien que ça !
Ont sonné aussi le tocsin islamique pour sauver le frère Tariq Ramadan de la justice des kouffars, Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République, une racialiste confirmée, Nabil Ennasri, le porte-étendard et propagandiste du Qatar en France, Amar Lasfar, président des Musulmans de France (ex-UOIF, les frères musulmans qui veulent islamiser la planète toute entière) qui a dit : « Tariq Ramadan, c’est notre frère et jusqu’à preuve du contraire, il est innocent ». Pour lui, les femmes qui se disent avoir été violées par son frère Tariq, ne sont que quantité négligeable et ne méritent pas qu’on s’y attarde comme le lui enseigne sa religion de paix et d’amour… D’ailleurs, pour l’idéologie mahométane, la femme représente Satan, c’est une tentatrice, et tout ce qu’elle dit ne doit pas d’être pris au sérieux. En un mot, elle n’a qu’à rester emmurée chez elle pour éviter d’être agressée et violée. Tout ce qui lui arrive en dehors de son territoire (le haram), elle le mérite amplement.
Plus tartuffe que moi, tu crèves, c’est ça, l’idéologie mahométane quoiqu’en disent les islamo-gauchistes qui scandent pas d’amalgame.
Cette mobilisation islamique est renforcée par le recteur de la mosquées de Lyon, Kamel Kabtane qui a dit pour faire la jonction avec les frères musulmans : « que Tariq Ramadan subit un lynchage politico-médiatique. Ce sont ces raisons humanitaires qui nous ont conduits à prendre position ». Sans oublier aussi, le recteur de la mosquée de Villeurbanne, le ‘frèriste’ Azzedine Gaci au visage libéral pour tromper l’ennemi européen. Et à ces voix, il faut ajouter celle de l’imam Ismail Abou Ibrahim de Marseille.
Il ne faut pas perdre de vue que l’islamiste costume, cravate et rasé de près est un soldat d’Allah efficace, parce qu’il arrive à provoquer l’endormissement de ceux qui l’écoutent. Et bonjour les dégâts !
Pourtant, ces dignitaires de l’idéologie mahométane n’ont pas excommunié les soldats de Daech (état islamique) quand ils vendaient les femmes yazédies sur les marchés à esclaves de Raqqa et de Mossoul. Il est vrai que ces dernières ne sont que des mécréantes, impures et méritent largement leurs conditions d’esclaves sexuelles, car c’est l’idéologie mahométane qui le recommande. Pendant que ces femmes yazédies subissaient l’enfer sur terre au nom de l’idéologie mahométane, eux sont restés muets. Ils savent manier à la perfection le double discours et la duplicité. L’art de la taqquiyah est un domaine dans lequel ils excellent.
Ne manquait à cet aréopage islamiste que le président du CFCM Ahmet Ogras, un proche de l’AKP, et allié de fait du président turc Erdogan d’obéissance frèriste qui rêve de restaurer le califat islamique, un dictateur confirmé qui terrorise les Européens frileux, qui subissent ses menaces en faisant la politique de l’autruche.
Pour toutes ces personnalités de l’idéologie mahométane, l’incarcération du frère Tariq est un complot ourdi par le sionisme mondial pour le faire taire parce qu’il participe activement à l’éveil islamique.
Cette mobilisation générale islamique pour sauver le soldat d’Allah Tariq Ramadan confirme que le djihad est lancé pour conquérir la France et par conséquent l’Europe tout entière. Ce n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité qui se confirme de jour en jour.
Pour le moment, la caste politico-médiatique hors sol ne croit pas à cette conquête. C’est un mensonge propagé par les islamophobes pour salir l’idéologie mahométane, lit-on ici et là. Les bien-pensants, chantres de la morale des salons parisiens, ne croient pas une seconde à l’islamisation de la France qui est pour eux une farce, diffusée pour ternir l’image de la belle religion de paix et d’amour.
En attendant que cette conquête soit totale, continuez à sonner les matines, braves gens de France et d’ailleurs.
Hamdane Ammar
Re: Tarik Ramadan
Affaire Ramadan : le saisissant témoignage de la 3e plaignante
11h39 , le 14 mars 2018, modifié à 12h56 , le 14 mars 2018
Actuellement en détention après avoir été accusé de viols par deux femmes, Tariq Ramadan est également mis en cause par une troisième plaignante. Celle-ci livre un témoignage glaçant dans l'Express.
Tariq Ramadan est accusé de trois viols en France. (Abaca)
Elle a été la troisième personne en France à briser le silence. Marie* a décidé de porter plainte samedi contre le prédicateur mahométan Tariq Ramadan. Selon l'Express, la plaignante accuse Tariq Ramadan de 9 viols commis à Paris, Roissy, Lille, Londres et Bruxelles entre février 2013 et juin 2014. Cette Française musulmane d'une quarantaine d'années dit avoir été sous "l'emprise" du théologien suisse pendant plusieurs mois. Après un premier contact initié par Tariq Ramadan, Marie et lui commencent à converser en privé. Très vite, la mère de famille commence à se confier à Tariq Ramadan en particulier sur le fait qu'elle a eu des relations sexuelles avec Dominique Strauss-Kahn. Son nom apparaît alors dans le dossier du Carlton à Lille.
Lire aussi : Affaire Ramadan : le JDD a retrouvé le magistrat qui avait rencontré "Christelle" en 2009
"Tariq Ramadan agissait comme un gourou sectaire", selon une source proche de l'enquête
Un premier rendez-vous a lieu dès le 15 février 2013, selon elle, dans l'hôtel Radisson Blu Hotel à Bruxelles où Tariq Ramadan donne une conférence. Marie retrouve alors l’universitaire dans la chambre d'hôtel où elle dit avoir été "surprise, contrainte et frappée" et évoque deux relations sexuelles non consenties. Elle parle ainsi d'une fellation de force durant laquelle l'islamologue lui aurait attrapé les cheveux. Puis une "pénétration vaginale" nue dans la baignoire où elle se serait fait uriner dessus et insulter. Malgré ce premier rendez-vous très violent, Marie, sous l'emprise de l'islamologue, continue à le voir et subit, selon elle, plusieurs autres viols. "Tariq Ramadan agissait comme un gourou sectaire. Quand Marie se plaignait de sa brutalité, il lui répondait de se taire, d'obéir et de reprendre sa soumission", explique une source proche du dossier à l'Express.
Marie avait également confié à Europe 1 son désarroi : "Il fallait que je lui obéisse, que je sois disponible 24H/24, que je fasse tout ce qu'il me dise, prendre des photos dans des positions de soumission, à genoux pour lui demander pardon, l'appeler 'maître' [...] Au départ, il y a eu des sentiments sinon je n'aurais pas accepté de le voir. C'est une fois l'avoir rencontré que je me suis dit 'comment faire marche arrière?"' et c'est là que j'ai perdu les pédales". Selon la plaignante, Tariq Ramadan se serait servi de son passé avec DSK pour la menacer.
Tariq Ramadan a été mis en examen le 2 février pour un viol en 2012 à Paris et pour un autre sur personne vulnérable en 2009 à Lyon, après ces premières plaintes fin octobre qui ont débouché sur une information judiciaire confiée à trois juges parisiens. Au moins trois femmes témoignant sous X ont aussi rapporté des "comportements sexuels brutaux", selon une source proche de l'enquête.
Les dénégations de Tariq Ramadan
L'islamologue, lui, nie tout rapport intime avec ces femmes. Dans un enregistrement vidéo datant de novembre mais diffusé mercredi par le site communautaire Le Muslim Post, il s'exprime pour la première fois sur les faits. "Nous saurons qui a dit la vérité, qui a menti et qui, au fond, est innocent", estime-t-il. "Comme je suis le diable, la parole qui m’accuse est forcement la parole de l’ange, une parole d’évangile", accuse-t-il. Tariq Ramadan écarte toutefois la thèse du "complot" mais estime que "ceux dont [il] était l’ennemi y ont vu une aubaine extraordinaire et s’y sont jetés tête baissée en pensant : ‘Voilà, on va le finir.’"
Sans ironie aucune Tariq Ramadan rappelle qu'il a toujours prôné "la défense des femmes, la défense de leurs droits, l’égalité sociale, la lutte contre la violence, contre les mariages forcés et le droit de pouvoir porter plainte quand il y a violence ou harcèlement ou viol." Tariq Ramadan est écroué à la prison de Fleury-Mérogis (Essonne) depuis le 2 février, la justice craignant des risques de fuite, de pressions sur les plaignantes ou de réitération des faits.
*Le nom de la plaignante a été changé
11h39 , le 14 mars 2018, modifié à 12h56 , le 14 mars 2018
Actuellement en détention après avoir été accusé de viols par deux femmes, Tariq Ramadan est également mis en cause par une troisième plaignante. Celle-ci livre un témoignage glaçant dans l'Express.
Tariq Ramadan est accusé de trois viols en France. (Abaca)
Elle a été la troisième personne en France à briser le silence. Marie* a décidé de porter plainte samedi contre le prédicateur mahométan Tariq Ramadan. Selon l'Express, la plaignante accuse Tariq Ramadan de 9 viols commis à Paris, Roissy, Lille, Londres et Bruxelles entre février 2013 et juin 2014. Cette Française musulmane d'une quarantaine d'années dit avoir été sous "l'emprise" du théologien suisse pendant plusieurs mois. Après un premier contact initié par Tariq Ramadan, Marie et lui commencent à converser en privé. Très vite, la mère de famille commence à se confier à Tariq Ramadan en particulier sur le fait qu'elle a eu des relations sexuelles avec Dominique Strauss-Kahn. Son nom apparaît alors dans le dossier du Carlton à Lille.
Lire aussi : Affaire Ramadan : le JDD a retrouvé le magistrat qui avait rencontré "Christelle" en 2009
"Tariq Ramadan agissait comme un gourou sectaire", selon une source proche de l'enquête
Un premier rendez-vous a lieu dès le 15 février 2013, selon elle, dans l'hôtel Radisson Blu Hotel à Bruxelles où Tariq Ramadan donne une conférence. Marie retrouve alors l’universitaire dans la chambre d'hôtel où elle dit avoir été "surprise, contrainte et frappée" et évoque deux relations sexuelles non consenties. Elle parle ainsi d'une fellation de force durant laquelle l'islamologue lui aurait attrapé les cheveux. Puis une "pénétration vaginale" nue dans la baignoire où elle se serait fait uriner dessus et insulter. Malgré ce premier rendez-vous très violent, Marie, sous l'emprise de l'islamologue, continue à le voir et subit, selon elle, plusieurs autres viols. "Tariq Ramadan agissait comme un gourou sectaire. Quand Marie se plaignait de sa brutalité, il lui répondait de se taire, d'obéir et de reprendre sa soumission", explique une source proche du dossier à l'Express.
Marie avait également confié à Europe 1 son désarroi : "Il fallait que je lui obéisse, que je sois disponible 24H/24, que je fasse tout ce qu'il me dise, prendre des photos dans des positions de soumission, à genoux pour lui demander pardon, l'appeler 'maître' [...] Au départ, il y a eu des sentiments sinon je n'aurais pas accepté de le voir. C'est une fois l'avoir rencontré que je me suis dit 'comment faire marche arrière?"' et c'est là que j'ai perdu les pédales". Selon la plaignante, Tariq Ramadan se serait servi de son passé avec DSK pour la menacer.
Tariq Ramadan a été mis en examen le 2 février pour un viol en 2012 à Paris et pour un autre sur personne vulnérable en 2009 à Lyon, après ces premières plaintes fin octobre qui ont débouché sur une information judiciaire confiée à trois juges parisiens. Au moins trois femmes témoignant sous X ont aussi rapporté des "comportements sexuels brutaux", selon une source proche de l'enquête.
Les dénégations de Tariq Ramadan
L'islamologue, lui, nie tout rapport intime avec ces femmes. Dans un enregistrement vidéo datant de novembre mais diffusé mercredi par le site communautaire Le Muslim Post, il s'exprime pour la première fois sur les faits. "Nous saurons qui a dit la vérité, qui a menti et qui, au fond, est innocent", estime-t-il. "Comme je suis le diable, la parole qui m’accuse est forcement la parole de l’ange, une parole d’évangile", accuse-t-il. Tariq Ramadan écarte toutefois la thèse du "complot" mais estime que "ceux dont [il] était l’ennemi y ont vu une aubaine extraordinaire et s’y sont jetés tête baissée en pensant : ‘Voilà, on va le finir.’"
Sans ironie aucune Tariq Ramadan rappelle qu'il a toujours prôné "la défense des femmes, la défense de leurs droits, l’égalité sociale, la lutte contre la violence, contre les mariages forcés et le droit de pouvoir porter plainte quand il y a violence ou harcèlement ou viol." Tariq Ramadan est écroué à la prison de Fleury-Mérogis (Essonne) depuis le 2 février, la justice craignant des risques de fuite, de pressions sur les plaignantes ou de réitération des faits.
*Le nom de la plaignante a été changé
Re: Tarik Ramadan
Tariq Ramadan sur le point d'être mis en examen en Suisse
VIDÉO. Le prédicateur est accusé de « séquestration, contrainte sexuelle, viol avec circonstance aggravante de cruauté », des faits remontant à octobre 2008. De notre correspondant à Genève, Ian Hamel
Tariq Ramadan va bientôt faire face à un nouveau front judiciaire, en Suisse cette fois. À Genève, le palais de justice explique en termes choisis que « le seuil nécessaire pour justifier l'ouverture d'une instruction pénale est largement atteint, et ce, depuis le début de la procédure déjà ». Comprenez que les enquêteurs genevois, à la suite de la plainte déposée le 13 avril 2018 par une Suissesse, ont recueilli suffisamment d'éléments pour que le parquet procède la semaine prochaine à une « mise en prévention » de Tariq Ramadan. Ce qui correspond, en France, à une mise en examen pour viol.
Après les trois plaintes pour viol déposées en France et la plainte pour agression sexuelle venant des États-Unis, une Suissesse, âgée d'une quarantaine d'années au moment des faits, convertie à l'idéologie mahométane dans sa jeunesse, a accusé en avril dernier le prédicateur de l'avoir violée en 2008 dans un hôtel de la rive droite de Genève. Le 28 octobre de cette année-là, Tariq Ramadan lui aurait proposé d'aller boire un café. Puis, sous prétexte de l'aider à monter une planche à repasser et un fer, en prévision d'une émission de télévision, il l'aurait entraînée dans sa chambre. Elle décrit ensuite des scènes d'horreur comparables à ce qu'auraient subi les victimes présumées du prédicateur en France.
Lire aussi Révélations sur l'affaire Tariq Ramadan
Une confrontation en octobre prochain à Paris
La Suissesse, qui accuse Tariq Ramadan de « séquestration, contrainte sexuelle, viol avec circonstance aggravante de cruauté », affirme avoir été également insultée, battue et menacée. « Il me disait qu'il y avait deux catégories de femmes qui refusaient de l'embrasser : les prostituées et les espionnes. Il m'a alors redemandé si j'étais des RG [Renseignements généraux] », avait-elle expliqué en avril dernier dans La Tribune de Genève. Contacté mercredi, maître Romain Jordan, l'avocat principal de la plaignante genevoise, n'a pas souhaité faire de commentaires à ce sujet. D'autres proches du dossier indiquent toutefois que l'audition de Tariq Ramadan apparaît comme la suite logique d'une instruction pénale, de façon à ce que le « prévenu puisse prendre position sur les charges pesant sur lui ». Selon toute vraisemblance, cette audition se déroulera à Paris, vraisemblablement en octobre, le prédicateur étant actuellement détenu.
Par ailleurs, Myriam Ramadan, la fille aînée de Tariq Ramadan, serait également dans la ligne de mire de la justice helvétique. Début août, dans un tweet, elle a révélé partiellement l'identité de la plaignante, ce qui constitue une infraction en droit suisse.
Contrairement à la France, la justice de l'autre côté du Jura travaille depuis des semaines dans le plus grand secret. Il s'agit d'éviter à l'accusatrice du prédicateur de subir le sort des trois femmes qui ont déposé une plainte contre Tariq Ramadan en France et qui sont depuis quotidiennement insultées et menacées de mort.
VIDÉO. Le prédicateur est accusé de « séquestration, contrainte sexuelle, viol avec circonstance aggravante de cruauté », des faits remontant à octobre 2008. De notre correspondant à Genève, Ian Hamel
Tariq Ramadan va bientôt faire face à un nouveau front judiciaire, en Suisse cette fois. À Genève, le palais de justice explique en termes choisis que « le seuil nécessaire pour justifier l'ouverture d'une instruction pénale est largement atteint, et ce, depuis le début de la procédure déjà ». Comprenez que les enquêteurs genevois, à la suite de la plainte déposée le 13 avril 2018 par une Suissesse, ont recueilli suffisamment d'éléments pour que le parquet procède la semaine prochaine à une « mise en prévention » de Tariq Ramadan. Ce qui correspond, en France, à une mise en examen pour viol.
Après les trois plaintes pour viol déposées en France et la plainte pour agression sexuelle venant des États-Unis, une Suissesse, âgée d'une quarantaine d'années au moment des faits, convertie à l'idéologie mahométane dans sa jeunesse, a accusé en avril dernier le prédicateur de l'avoir violée en 2008 dans un hôtel de la rive droite de Genève. Le 28 octobre de cette année-là, Tariq Ramadan lui aurait proposé d'aller boire un café. Puis, sous prétexte de l'aider à monter une planche à repasser et un fer, en prévision d'une émission de télévision, il l'aurait entraînée dans sa chambre. Elle décrit ensuite des scènes d'horreur comparables à ce qu'auraient subi les victimes présumées du prédicateur en France.
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Une confrontation en octobre prochain à Paris
La Suissesse, qui accuse Tariq Ramadan de « séquestration, contrainte sexuelle, viol avec circonstance aggravante de cruauté », affirme avoir été également insultée, battue et menacée. « Il me disait qu'il y avait deux catégories de femmes qui refusaient de l'embrasser : les prostituées et les espionnes. Il m'a alors redemandé si j'étais des RG [Renseignements généraux] », avait-elle expliqué en avril dernier dans La Tribune de Genève. Contacté mercredi, maître Romain Jordan, l'avocat principal de la plaignante genevoise, n'a pas souhaité faire de commentaires à ce sujet. D'autres proches du dossier indiquent toutefois que l'audition de Tariq Ramadan apparaît comme la suite logique d'une instruction pénale, de façon à ce que le « prévenu puisse prendre position sur les charges pesant sur lui ». Selon toute vraisemblance, cette audition se déroulera à Paris, vraisemblablement en octobre, le prédicateur étant actuellement détenu.
Par ailleurs, Myriam Ramadan, la fille aînée de Tariq Ramadan, serait également dans la ligne de mire de la justice helvétique. Début août, dans un tweet, elle a révélé partiellement l'identité de la plaignante, ce qui constitue une infraction en droit suisse.
Contrairement à la France, la justice de l'autre côté du Jura travaille depuis des semaines dans le plus grand secret. Il s'agit d'éviter à l'accusatrice du prédicateur de subir le sort des trois femmes qui ont déposé une plainte contre Tariq Ramadan en France et qui sont depuis quotidiennement insultées et menacées de mort.
Re: Tarik Ramadan
Tariq Ramadan, accusé de viols, obtient sa mise en liberté sous conditions
Tariq Ramadan, accusé de viols, obtient sa mise en liberté sous conditions
"Je n'ai pas à fuir, je suis totalement innocent de ce dont on m'accuse": après près de dix mois de détention en France dans une affaire de viols, Tariq Ramadan a obtenu ce jeudi sa mise en liberté sous contrôle judiciaire après avoir lui-même plaidé sa cause devant la cour d'appel de Paris.
La remise en liberté de l'islamologue suisse de 56 ans reste cependant soumise au versement préalable d'une caution de 300.000 euros, selon l'arrêt de la chambre de l'instruction rapporté par son avocat Emmanuel Marsigny.
Une fois libéré de la prison de Fresnes, près de Paris, où il est détenu, Tariq Ramadan, qui devra remettre son passeport suisse, aura interdiction de quitter le territoire, d'entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra aussi pointer une fois par semaine au commissariat.
Figure longtemps influente et controversée de l'idéologie mahométane francophone, le professeur Ramadan avait été mis en examen et incarcéré le 2 février pour le viol de deux femmes, Henda Ayari et celle que les médias surnomment "Christelle", dont les plaintes successives ont lancé l'affaire à l'automne 2017.
Toutes deux affirment avoir subi un rapport sexuel d'une extrême violence, en 2012 à Paris pour la première et en 2009 à Lyon pour l'autre.
"J'irais fuir où ? Alors que tout va vers mon innocence. (...) Je vais rester en France et défendre mon honneur et mon innocence", a-t-il déclaré à l'audience, sous le regard de sa fille et d'une dizaine de ses partisans, vêtus de tee-shirt "Free Tariq Ramadan".
La chambre de l'instruction avait en effet accepté, à la demande de la défense, de ne pas ordonner le huis clos, pourtant quasi systématique à Paris en matière de détention, offrant à l'intellectuel sa première apparition en public depuis son incarcération.
Vêtu d'une polaire rouge, lunettes, barbe légère, Tariq Ramadan a saisi cette occasion pour plaider lui-même son innocence pendant une vingtaine de minutes, énergique et volubile, debout dans le box.
"Je viens de passer dix mois en prison, je suis innocent, je le paye de ma santé, je ne peux plus marcher normalement", a défendu M. Ramadan, atteint d'une sclérose en plaques dont le traitement a cependant été jugé compatible avec la détention.
«Une bêtise»
Cette demande de mise en liberté, la quatrième, avait été rejetée la semaine dernière par les juges qui craignaient notamment des pressions sur les plaignantes, argument à nouveau invoqué jeudi par le parquet général.
Elle avait été déposée dans la foulée d'une audition, fin octobre, où M. Ramadan avait finalement admis des relations sexuelles "consenties" avec ses accusatrices. Après un an de totales dénégations, la révélation d'échanges par SMS sans ambiguïté l'avait contraint à changer de version.
"Je n'ai jamais violé, je ne suis pas un violeur. C'est vrai que j'ai commis une erreur, j'ai pensé à protéger ma famille. C'était une erreur et une bêtise de ma part que ce mensonge", s'est-il justifié. "Mais qui a menti le plus ? Qui a instrumentalisé le mouvement #MeToo ?", s'est défendu M. Ramadan, reprochant à ses accusatrices de "se répandre dans les médias".
"Je voudrais que vous décidiez en votre âme, en conscience, non pas parce que je m'appelle Tariq Ramadan et qu'on m'a diabolisé dans ce pays", a-t-il lancé aux juges.
À tour de rôle, les avocats de la défense et des deux plaignantes s'étaient auparavant renvoyé les accusations de menaces sur les protagonistes du dossier et leur entourage. "Ces deux femmes sont régulièrement menacées, injuriées. M. Ramadan prend en otage sa communauté", s'était indigné Me Francis Szpiner, avocat de Henda Ayari.
"La remise en liberté de Tariq Ramadan est logique au regard des derniers développements du dossier qui démontrent que les accusations de viols s'effondrent", a affirmé son avocat, Me Marsigny, jeudi soir.
Mais pour l'avocat de "Christelle", "tout le monde a pu entendre que la cour n'allait pas se prononcer sur sa culpabilité ou son innocence". Au contraire, "il est évident que les aveux de M. Ramadan après neuf mois de mensonges ont joué dans cette décision" de le remettre en liberté, a ajouté Me Eric Morain.
Tariq Ramadan, accusé de viols, obtient sa mise en liberté sous conditions
"Je n'ai pas à fuir, je suis totalement innocent de ce dont on m'accuse": après près de dix mois de détention en France dans une affaire de viols, Tariq Ramadan a obtenu ce jeudi sa mise en liberté sous contrôle judiciaire après avoir lui-même plaidé sa cause devant la cour d'appel de Paris.
La remise en liberté de l'islamologue suisse de 56 ans reste cependant soumise au versement préalable d'une caution de 300.000 euros, selon l'arrêt de la chambre de l'instruction rapporté par son avocat Emmanuel Marsigny.
Une fois libéré de la prison de Fresnes, près de Paris, où il est détenu, Tariq Ramadan, qui devra remettre son passeport suisse, aura interdiction de quitter le territoire, d'entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra aussi pointer une fois par semaine au commissariat.
Figure longtemps influente et controversée de l'idéologie mahométane francophone, le professeur Ramadan avait été mis en examen et incarcéré le 2 février pour le viol de deux femmes, Henda Ayari et celle que les médias surnomment "Christelle", dont les plaintes successives ont lancé l'affaire à l'automne 2017.
Toutes deux affirment avoir subi un rapport sexuel d'une extrême violence, en 2012 à Paris pour la première et en 2009 à Lyon pour l'autre.
"J'irais fuir où ? Alors que tout va vers mon innocence. (...) Je vais rester en France et défendre mon honneur et mon innocence", a-t-il déclaré à l'audience, sous le regard de sa fille et d'une dizaine de ses partisans, vêtus de tee-shirt "Free Tariq Ramadan".
La chambre de l'instruction avait en effet accepté, à la demande de la défense, de ne pas ordonner le huis clos, pourtant quasi systématique à Paris en matière de détention, offrant à l'intellectuel sa première apparition en public depuis son incarcération.
Vêtu d'une polaire rouge, lunettes, barbe légère, Tariq Ramadan a saisi cette occasion pour plaider lui-même son innocence pendant une vingtaine de minutes, énergique et volubile, debout dans le box.
"Je viens de passer dix mois en prison, je suis innocent, je le paye de ma santé, je ne peux plus marcher normalement", a défendu M. Ramadan, atteint d'une sclérose en plaques dont le traitement a cependant été jugé compatible avec la détention.
«Une bêtise»
Cette demande de mise en liberté, la quatrième, avait été rejetée la semaine dernière par les juges qui craignaient notamment des pressions sur les plaignantes, argument à nouveau invoqué jeudi par le parquet général.
Elle avait été déposée dans la foulée d'une audition, fin octobre, où M. Ramadan avait finalement admis des relations sexuelles "consenties" avec ses accusatrices. Après un an de totales dénégations, la révélation d'échanges par SMS sans ambiguïté l'avait contraint à changer de version.
"Je n'ai jamais violé, je ne suis pas un violeur. C'est vrai que j'ai commis une erreur, j'ai pensé à protéger ma famille. C'était une erreur et une bêtise de ma part que ce mensonge", s'est-il justifié. "Mais qui a menti le plus ? Qui a instrumentalisé le mouvement #MeToo ?", s'est défendu M. Ramadan, reprochant à ses accusatrices de "se répandre dans les médias".
"Je voudrais que vous décidiez en votre âme, en conscience, non pas parce que je m'appelle Tariq Ramadan et qu'on m'a diabolisé dans ce pays", a-t-il lancé aux juges.
À tour de rôle, les avocats de la défense et des deux plaignantes s'étaient auparavant renvoyé les accusations de menaces sur les protagonistes du dossier et leur entourage. "Ces deux femmes sont régulièrement menacées, injuriées. M. Ramadan prend en otage sa communauté", s'était indigné Me Francis Szpiner, avocat de Henda Ayari.
"La remise en liberté de Tariq Ramadan est logique au regard des derniers développements du dossier qui démontrent que les accusations de viols s'effondrent", a affirmé son avocat, Me Marsigny, jeudi soir.
Mais pour l'avocat de "Christelle", "tout le monde a pu entendre que la cour n'allait pas se prononcer sur sa culpabilité ou son innocence". Au contraire, "il est évident que les aveux de M. Ramadan après neuf mois de mensonges ont joué dans cette décision" de le remettre en liberté, a ajouté Me Eric Morain.
Re: Tarik Ramadan
Tariq Ramadan : la justice maintient ses deux mises en examen pour viols
La justice a annoncé maintenir les deux mises en examen de Tariq Ramadan pour viols jeudi 14 mars. La chambre de l'instruction a confirmé la décision des juges qui avaient considéré l'été dernier cette requête "prématurée".
Me Eric Morain, l'avocat de Christelle, une des plaignantes de Tariq Ramadan Crédit Image : Kathy Willens/SIPA | Crédit Média : Thomas Prouteau/RTL | Durée : 00:55 | Date : 14/03/2019
Éléonore Merlin
Tariq Ramadan est sorti de prison mais reste mis en examen. Ainsi en a décidé la justice jeudi 14 mars. La cour d'appel de Paris a annoncé maintenir les deux mises en examen de l'islamologue pour viols.
Le célèbre islamologue suisse, est mis en examen depuis le 2 février 2018 pour deux viols, dont un sur personne vulnérable : le 9 octobre 2009 à Lyon sur une femme surnommée Christelle dans les médias et, au printemps 2012 à Paris, sur une ancienne salafiste devenue militante laïque, Henda Ayari.
Après avoir longtemps nié toute relation sexuelle avec ses plaignantes, Tariq Ramadan, 56 ans, a finalement défendu des relations de domination consenties. La position de l'islamologue était devenu intenable depuis la révélation en septembre de centaines de SMS sans ambiguïté exhumés d'un vieux téléphone de Christelle, l'une des plaignantes.
La justice a annoncé maintenir les deux mises en examen de Tariq Ramadan pour viols jeudi 14 mars. La chambre de l'instruction a confirmé la décision des juges qui avaient considéré l'été dernier cette requête "prématurée".
Me Eric Morain, l'avocat de Christelle, une des plaignantes de Tariq Ramadan Crédit Image : Kathy Willens/SIPA | Crédit Média : Thomas Prouteau/RTL | Durée : 00:55 | Date : 14/03/2019
Éléonore Merlin
Tariq Ramadan est sorti de prison mais reste mis en examen. Ainsi en a décidé la justice jeudi 14 mars. La cour d'appel de Paris a annoncé maintenir les deux mises en examen de l'islamologue pour viols.
Le célèbre islamologue suisse, est mis en examen depuis le 2 février 2018 pour deux viols, dont un sur personne vulnérable : le 9 octobre 2009 à Lyon sur une femme surnommée Christelle dans les médias et, au printemps 2012 à Paris, sur une ancienne salafiste devenue militante laïque, Henda Ayari.
Après avoir longtemps nié toute relation sexuelle avec ses plaignantes, Tariq Ramadan, 56 ans, a finalement défendu des relations de domination consenties. La position de l'islamologue était devenu intenable depuis la révélation en septembre de centaines de SMS sans ambiguïté exhumés d'un vieux téléphone de Christelle, l'une des plaignantes.
Re: Tarik Ramadan
Pourquoi l’Europe a honte de ses racines chrétiennes par Salem Ben Ammar
Les musulmans sont en droit de défendre les racines musulmanes de leurs pays en dépit des évidences historiques et anthropologues et les dégâts dévastateurs de l'idéologie mahométane et les Européens ne peuvent jamais en dire autant alors qu'ils n'ont jamais été dans le déni de leurs autres racines particulièrement grecques et romaines. Sans eux jamais les Égyptiens, les Iraniens et les Nord-Africains n'auraient découvert leur passé pré-islamique chargé d'une histoire glorieuse et monumentale.
L'Europe semble avoir honte de se référer à ses racines chrétiennes. La France elle-même a été enfantée par la chrétienté.
Comme s'il s'agissait d'un passé noir que l'on ne veut pas étaler, peur de l'assumer, on le nie et on le cache du regard de l'histoire, à moins que l'on ne veuille pas froisser la sensibilité des "nouveaux" européens importés des pays majoritairement musulmans. Un choix qui est en train de basculer l'Europe romaine dans les fonds abyssaux de l'histoire.
Dès qu'une voix s'élève pour défendre l'identité chrétienne de l'Europe elle provoque un tollé général et une vague d'indignation comme si c'était un sacrilège que de rappeler une réalité historique incontestable.
On doit taire cet heritage chrétien et le passer en pertes et profits. Un voile est mis sur l'histoire de l'Europe à l'image du voile des femmes musulmanes.
Un sujet tabou que Chirac s'était empressé d'enterrer à l'époque où l'on avait voulu l'inscrire dans la Charte européenne. Il aurait certainement changé d'avis si l'on avait proclamé aussi les racines musulmanes de l'Europe.
Elle ne doit rien à l'idéologie mahométane. Et ce n'est pas la présence de l'idéologie mahométane en Andalousie et pas sur tout le territoire espagnol qui aurait servi de catalyseur à sa renaissance non plus. L'Europe est sortie de son Moyen-Âge contrairement à l'idéologie mahométane qui n'est jamais sorti du sien depuis 1441ans depuis que l'Eglise s'est recentrée sur son rôle d'Eglise. L'idéologie mahométane n'y est pas encore et jamais il ne se résoudra à séparer le temporel de l'intemporel, c'est signer son propre arrêt de mort.
Il n'est pas chez lui en Europe. Mais on ne fait rien pour le cantonner à son seul domaine cultuel. On lui laisse les coudées franches pour imposer sa propre vision de l'histoire et son mode de vie au nom de la prééminence de son système de valeurs sur tous les autres.
L'Europe n'a pas à lui dérouler le tapis rouge et à chercher à le ménager. C'est un conquérant et doit être traité sans management ni réserve.
Il faut une Europe décomplexée, forte et unie autour des valeurs communes sinon c'est le glas pour elle.
Ce n'est pas de la haine que de ne pas céder aux desseins hégémoniques de l'idéologie mahométane et ce n'est pas de la haine non plus que de revebdiquer l'identité chrétienne de l'Occident.
L'Occident c'est l'Occident et l'Orient mahométan c'est l' Orient mahométan
Les musulmans sont en droit de défendre les racines musulmanes de leurs pays en dépit des évidences historiques et anthropologues et les dégâts dévastateurs de l'idéologie mahométane et les Européens ne peuvent jamais en dire autant alors qu'ils n'ont jamais été dans le déni de leurs autres racines particulièrement grecques et romaines. Sans eux jamais les Égyptiens, les Iraniens et les Nord-Africains n'auraient découvert leur passé pré-islamique chargé d'une histoire glorieuse et monumentale.
L'Europe semble avoir honte de se référer à ses racines chrétiennes. La France elle-même a été enfantée par la chrétienté.
Comme s'il s'agissait d'un passé noir que l'on ne veut pas étaler, peur de l'assumer, on le nie et on le cache du regard de l'histoire, à moins que l'on ne veuille pas froisser la sensibilité des "nouveaux" européens importés des pays majoritairement musulmans. Un choix qui est en train de basculer l'Europe romaine dans les fonds abyssaux de l'histoire.
Dès qu'une voix s'élève pour défendre l'identité chrétienne de l'Europe elle provoque un tollé général et une vague d'indignation comme si c'était un sacrilège que de rappeler une réalité historique incontestable.
On doit taire cet heritage chrétien et le passer en pertes et profits. Un voile est mis sur l'histoire de l'Europe à l'image du voile des femmes musulmanes.
Un sujet tabou que Chirac s'était empressé d'enterrer à l'époque où l'on avait voulu l'inscrire dans la Charte européenne. Il aurait certainement changé d'avis si l'on avait proclamé aussi les racines musulmanes de l'Europe.
Elle ne doit rien à l'idéologie mahométane. Et ce n'est pas la présence de l'idéologie mahométane en Andalousie et pas sur tout le territoire espagnol qui aurait servi de catalyseur à sa renaissance non plus. L'Europe est sortie de son Moyen-Âge contrairement à l'idéologie mahométane qui n'est jamais sorti du sien depuis 1441ans depuis que l'Eglise s'est recentrée sur son rôle d'Eglise. L'idéologie mahométane n'y est pas encore et jamais il ne se résoudra à séparer le temporel de l'intemporel, c'est signer son propre arrêt de mort.
Il n'est pas chez lui en Europe. Mais on ne fait rien pour le cantonner à son seul domaine cultuel. On lui laisse les coudées franches pour imposer sa propre vision de l'histoire et son mode de vie au nom de la prééminence de son système de valeurs sur tous les autres.
L'Europe n'a pas à lui dérouler le tapis rouge et à chercher à le ménager. C'est un conquérant et doit être traité sans management ni réserve.
Il faut une Europe décomplexée, forte et unie autour des valeurs communes sinon c'est le glas pour elle.
Ce n'est pas de la haine que de ne pas céder aux desseins hégémoniques de l'idéologie mahométane et ce n'est pas de la haine non plus que de revebdiquer l'identité chrétienne de l'Occident.
L'Occident c'est l'Occident et l'Orient mahométan c'est l' Orient mahométan
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