Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
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Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
L’apprentissage de l’arabe est inutile pour lutter contre l’islamisme (mais essentiel pour islamiser la France)
Publié par Jean-Patrick Grumberg le 14 septembre 2018
Lorsque j’ai entendu que la France veut enseigner l’arabe à l’école, ma première pensée a été : « tant qu’à faire les choses, autant les faire bien ».
Les fonctionnaires se sont donc enfin décidés à faire les choses correctement. Puisqu’ils ont décidé, par l’immigration musulmane massive, et avec l’assentiment des Français (qui ne dit mot consent) de transformer et d’islamiser la France, ils n’avaient pas le droit de laisser la langue arabe à la traîne.
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Le président le plus immigrationniste, Emmanuel Macron, affine ainsi la future création du Frankistan.
Je lis un peu partout que l’idéologie mahométane devrait devenir majoritaire en France vers la moitié du 21e siècle, et au train où les musulmans font des enfants, où les Français de souche n’en font plus, et où l’immigration avance, la prévision me semble plutôt réaliste. Ce qui achève de me convaincre de cette vraisemblable issue est que les médias immigrationnistes jurent que cela n’est pas le cas. Ils veulent l’immigration tout en disant qu’elle ne change rien ? Il y a longtemps que j’ai passé l’âge d’écouter les idiots et leurs idioties !
Avec l’enseignement de l’arabe, l’islamisation va se poursuivre harmonieusement.
Les Français, régulièrement appelés à manifester contre l’islamisation, ne semblent pas avoir le moindre problème avec ça. Certes, dans les sondages, une majorité se dit hostile, voire inquiète, mais pour ce qui est d’agir, ils étaient 400 à la dernière manifestation nationale contre l’islamisation organisée par Riposte laïque, ils élisent des gouvernements immigrationnistes, ils achètent des journaux, et financent en tournant le poste, des chaînes de télévision et des radios qui leur disent que la diversité est une chose formidable sans jamais expliquer en quoi. Soyez 20 millions à éteindre la télé et la radio pendant 8 jours et croyez-moi, vous verrez vite un changement.
Ceux qui marchent sur la tête expliquent à ceux qui l’ont gardée froide qu’ils ont la fièvre
Nous vivons une époque d’immense absurdité où le bon sens et la décence sont classés parmi les idées d’extrême droite.
Ceux qui marchent sur la tête expliquent à ceux qui l’ont gardée froide qu’ils ont la fièvre. Il n’est pas étonnant, en ce contexte, que pour vendre la langue de l’idéologie mahométane à l’école, on nous jure que cela luttera contre l’idéologie mahométane.
D’ailleurs qui doute ? Qui a publiquement demandé en quoi la diversité est une bonne chose ? Marion Maréchal Le Pen ? Je ne crois pas.
Razika Adnani : l’arabisation n’a pas empêché le Maroc et l’Algérie de sombrer dans le salafisme et le radicalisme
La philosophe et islamologue Razika Adnani, parce qu’elle porte un nom arabe, a le droit de poser des questions sur l’idéologie mahométane sans être attaquée pour islamophobie. Bien-sûr, personne ne va lui répondre. Les multiculturalistes laissent les personnes d’origine musulmanes parler sans leur prêter attention, après tout, ils ont l’Union européenne de leur côté, Adnani le sait.
Dans le Figaro (1) Adnadi ne résiste pas à laisser parler son bon sens, et dit que l’enseignement de l’arabe à l’école ne permettra pas de lutter contre l’idéologie mahométane, bien au contraire.
« Apprendre l’arabe serait donc un moyen pour lutter contre l’islamisme, dit-elle, ce qui est tout à fait absurde. Il suffit de regarder les pays du sud de la Méditerranée, l’Algérie ou le Maroc par exemple, pour réaliser que l’arabisation ne les a pas empêchés de sombrer dans le salafisme et le radicalisme. C’est même le contraire qui est vrai. »
J’ai un problème avec ce constat. Il est que la philosophe s’appuie sur la réalité pour démontrer l’absurdité d’une hypothèse. Cependant la réalité ne fait plus autorité. Elle n’a plus la moindre valeur. Ce sont les propositions, les prévisions des experts, les promesses des politiques, qui pèsent, et priment sur le réel. Les suppositions ont plus de valeur que les faits. Un tient vaut maintenant moins que deux tu l’auras.
Si l’institut Montaigne déclare que l’apprentissage de l’arabe à l’école va contre « la fabrique de l’islamisme », vous n’avez pas le droit de demander en quoi. Et encore moins de dire qu’il ne s’agit que d’une hypothèse, et que les experts qui l’ont formulée ne savent absolument pas si l’expérience aura du succès ou se révélera catastrophique. D’ailleurs ils ne seront jamais inquiétés, ils sont irresponsables. Personne ne demande jamais de comptes aux élites qui prennent les mauvaises décisions. Ce serait la disparition des élites.
La philosophe continue, et hélas, elle n’exprime que des idées frappées au coin du bon sens – c’est hautement coupable :
« la langue arabe est la langue du Coran, elle est liée à l’idéologie mahométane et celui-ci est depuis des siècles dominé par le discours salafiste et fondamentaliste… celle-ci demeure le premier vecteur de leur pensée. L’apprentissage de la langue arabe pour les musulmans de France réduira la distance entre eux et le discours salafiste et fondamentaliste s’exprimant majoritairement en langue arabe et accentuera le problème de leur intégration. »
Elle poursuit :
« Selon [les auteurs du rapport], l’apprentissage de la langue arabe à l’école empêcherait les enfants de confession musulmane d’aller à la mosquée pour apprendre la langue arabe, ce qui les expose au discours radicaliste islamiste. Or, les parents n’envoient pas leurs enfants à la mosquée pour qu’ils apprennent la langue arabe, mais la religion musulmane. »
A-t-elle en deux phrases exposé le pot-aux-roses que des hypocrites ont tenté d’enfouir sous une étude savante ? « Affirmatif », aurait répondu Gainsbourg.
« L’apprentissage de la langue arabe à l’école n’empêchera donc pas les parents de continuer à envoyer leurs enfants à la mosquée. La preuve en est que cette langue est déjà dispensée dans les écoles françaises sans que cela ne détourne les jeunes musulmans de la mosquée. »
Là encore, l’islamologue se fourvoie en donnant pour exemple la réalité. Il n’est pas acceptable de laisser la réalité se mettre en travers de l’endoctrinement, expliquait habilement l’idéologue Jean Ziegler.
L’idéologie mahométane de France, l’idéologie mahométane français, un projet contre-productif
Parce qu’elle connaît l’idéologie mahométane (contrairement aux conseillers du président Macron, des laïques qui ne connaissent pas plus les religions que lui), la philosophe explique qu’il n’existe qu’un seul idéologie mahométane, mondial, et que l’idée d’un grand imam de France est absurde :
« Quant à l’idée d’un clergé ou d’un grand «imam de France» qui unifierait la voix des musulmans, tout d’abord, il faut rappeler que le monde chiite a toujours eu un clergé (des imams et des ayatollahs). Pourtant, la situation de l’idéologie mahométane chez les chiites n’est pas meilleure que chez des sunnites.
Ensuite, si on ne reconnaît pas dans le sunnisme une autorité suprême, cela ne signifie pas qu’elle soit inexistante. La mosquée al-Azhar au Caire par exemple occupe en quelque sorte ce rôle. Pourtant, le monde sunnite n’a pas pu sortir de l’impasse dans laquelle il s’est retrouvé.
Enfin, parce que le clergé tient, presque par nature, un discours traditionaliste, l’instauration d’une telle institution serait une entrave, si elle dispose d’une autorité, pour l’émergence d’un discours moderniste au sein de l’idéologie mahométane en France. »
En résumé, le projet du président Macron sur l’idéologie mahométane de France ne tient pas la route, et Macron le sait :
Il y a 800 000 chiites en France, ils ne s’unifieront pas sous un clergé sunnite.
L’idée d’un grand imam n’a pas permis aux chiites, qui en ont un, d’être dans une meilleure situation que les sunnites.
Les sunnites ont déjà une autorité suprême, la mosquée al-Azhar du Caire, pourtant les sunnites sont dans l’impasse.
C’est précisément un clergé mahométan créé par Macron qui s’opposera au projet de Macron d’apporter un discours moderniste au sein de l’idéologie mahométane de France. Le clergé islamique a toujours un discours traditionaliste, et non moderniste.
« Ni l’apprentissage de la langue arabe ni l’instauration d’un clergé ne permettront de contrer le radicalisme et le salafisme », explique en conclusion Razika Adnadi à des oreilles totalement fermées.
Elle ajoute que « seule une ‘véritable réforme’ de l’idéologie mahométane le permettra en France et ailleurs ».
Elle pouvait sans risque ajouter que cette réforme ne se produira pas. Le très puissant Président égyptien al Sissi l’a réclamée de l’université al-Azhar, cette réforme, après avoir sauvé son pays contre les terroristes Frères musulmans. Il a reçu une fin de non-recevoir en réponse. J’imagine mal un iman nommé par Jupiter recevoir autre chose que les foudres d’al-Azhar. C’est une clownerie.
L’islamologue dit encore que « La ‘véritable réforme’ ne se fera pas en France indépendamment des pays musulmans », car il n’existe ni d’idéologie mahométane français, ni d’idéologie mahométane de France, qui soit différent de l’idéologie mahométane de Belgique, mais un seul idéologie mahométane. Mondial.
Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, et le président Macron je vous l’assure, va continuer comme un aveugle sa marche forcée vers l’idéologie mahométane de France qui ne peut pas exister, sous la direction d’un imam de France intégriste, afin de coiffer des chiites et des sunnites qui n’arrivent à rien de positif sous la guidance de leurs clergés respectifs.
Mais Emmanuel Macron est tellement beau et intelligent…
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
(1) http://premium.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/13/31003-20180913ARTFIG00310-l-apprentissage-de-l-arabe-est-inutile-pour-lutter-contre-l-islamisme.php
Publié par Jean-Patrick Grumberg le 14 septembre 2018
Lorsque j’ai entendu que la France veut enseigner l’arabe à l’école, ma première pensée a été : « tant qu’à faire les choses, autant les faire bien ».
Les fonctionnaires se sont donc enfin décidés à faire les choses correctement. Puisqu’ils ont décidé, par l’immigration musulmane massive, et avec l’assentiment des Français (qui ne dit mot consent) de transformer et d’islamiser la France, ils n’avaient pas le droit de laisser la langue arabe à la traîne.
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Le président le plus immigrationniste, Emmanuel Macron, affine ainsi la future création du Frankistan.
Je lis un peu partout que l’idéologie mahométane devrait devenir majoritaire en France vers la moitié du 21e siècle, et au train où les musulmans font des enfants, où les Français de souche n’en font plus, et où l’immigration avance, la prévision me semble plutôt réaliste. Ce qui achève de me convaincre de cette vraisemblable issue est que les médias immigrationnistes jurent que cela n’est pas le cas. Ils veulent l’immigration tout en disant qu’elle ne change rien ? Il y a longtemps que j’ai passé l’âge d’écouter les idiots et leurs idioties !
Avec l’enseignement de l’arabe, l’islamisation va se poursuivre harmonieusement.
Les Français, régulièrement appelés à manifester contre l’islamisation, ne semblent pas avoir le moindre problème avec ça. Certes, dans les sondages, une majorité se dit hostile, voire inquiète, mais pour ce qui est d’agir, ils étaient 400 à la dernière manifestation nationale contre l’islamisation organisée par Riposte laïque, ils élisent des gouvernements immigrationnistes, ils achètent des journaux, et financent en tournant le poste, des chaînes de télévision et des radios qui leur disent que la diversité est une chose formidable sans jamais expliquer en quoi. Soyez 20 millions à éteindre la télé et la radio pendant 8 jours et croyez-moi, vous verrez vite un changement.
Ceux qui marchent sur la tête expliquent à ceux qui l’ont gardée froide qu’ils ont la fièvre
Nous vivons une époque d’immense absurdité où le bon sens et la décence sont classés parmi les idées d’extrême droite.
Ceux qui marchent sur la tête expliquent à ceux qui l’ont gardée froide qu’ils ont la fièvre. Il n’est pas étonnant, en ce contexte, que pour vendre la langue de l’idéologie mahométane à l’école, on nous jure que cela luttera contre l’idéologie mahométane.
D’ailleurs qui doute ? Qui a publiquement demandé en quoi la diversité est une bonne chose ? Marion Maréchal Le Pen ? Je ne crois pas.
Razika Adnani : l’arabisation n’a pas empêché le Maroc et l’Algérie de sombrer dans le salafisme et le radicalisme
La philosophe et islamologue Razika Adnani, parce qu’elle porte un nom arabe, a le droit de poser des questions sur l’idéologie mahométane sans être attaquée pour islamophobie. Bien-sûr, personne ne va lui répondre. Les multiculturalistes laissent les personnes d’origine musulmanes parler sans leur prêter attention, après tout, ils ont l’Union européenne de leur côté, Adnani le sait.
Dans le Figaro (1) Adnadi ne résiste pas à laisser parler son bon sens, et dit que l’enseignement de l’arabe à l’école ne permettra pas de lutter contre l’idéologie mahométane, bien au contraire.
« Apprendre l’arabe serait donc un moyen pour lutter contre l’islamisme, dit-elle, ce qui est tout à fait absurde. Il suffit de regarder les pays du sud de la Méditerranée, l’Algérie ou le Maroc par exemple, pour réaliser que l’arabisation ne les a pas empêchés de sombrer dans le salafisme et le radicalisme. C’est même le contraire qui est vrai. »
J’ai un problème avec ce constat. Il est que la philosophe s’appuie sur la réalité pour démontrer l’absurdité d’une hypothèse. Cependant la réalité ne fait plus autorité. Elle n’a plus la moindre valeur. Ce sont les propositions, les prévisions des experts, les promesses des politiques, qui pèsent, et priment sur le réel. Les suppositions ont plus de valeur que les faits. Un tient vaut maintenant moins que deux tu l’auras.
Si l’institut Montaigne déclare que l’apprentissage de l’arabe à l’école va contre « la fabrique de l’islamisme », vous n’avez pas le droit de demander en quoi. Et encore moins de dire qu’il ne s’agit que d’une hypothèse, et que les experts qui l’ont formulée ne savent absolument pas si l’expérience aura du succès ou se révélera catastrophique. D’ailleurs ils ne seront jamais inquiétés, ils sont irresponsables. Personne ne demande jamais de comptes aux élites qui prennent les mauvaises décisions. Ce serait la disparition des élites.
La philosophe continue, et hélas, elle n’exprime que des idées frappées au coin du bon sens – c’est hautement coupable :
« la langue arabe est la langue du Coran, elle est liée à l’idéologie mahométane et celui-ci est depuis des siècles dominé par le discours salafiste et fondamentaliste… celle-ci demeure le premier vecteur de leur pensée. L’apprentissage de la langue arabe pour les musulmans de France réduira la distance entre eux et le discours salafiste et fondamentaliste s’exprimant majoritairement en langue arabe et accentuera le problème de leur intégration. »
Elle poursuit :
« Selon [les auteurs du rapport], l’apprentissage de la langue arabe à l’école empêcherait les enfants de confession musulmane d’aller à la mosquée pour apprendre la langue arabe, ce qui les expose au discours radicaliste islamiste. Or, les parents n’envoient pas leurs enfants à la mosquée pour qu’ils apprennent la langue arabe, mais la religion musulmane. »
A-t-elle en deux phrases exposé le pot-aux-roses que des hypocrites ont tenté d’enfouir sous une étude savante ? « Affirmatif », aurait répondu Gainsbourg.
« L’apprentissage de la langue arabe à l’école n’empêchera donc pas les parents de continuer à envoyer leurs enfants à la mosquée. La preuve en est que cette langue est déjà dispensée dans les écoles françaises sans que cela ne détourne les jeunes musulmans de la mosquée. »
Là encore, l’islamologue se fourvoie en donnant pour exemple la réalité. Il n’est pas acceptable de laisser la réalité se mettre en travers de l’endoctrinement, expliquait habilement l’idéologue Jean Ziegler.
L’idéologie mahométane de France, l’idéologie mahométane français, un projet contre-productif
Parce qu’elle connaît l’idéologie mahométane (contrairement aux conseillers du président Macron, des laïques qui ne connaissent pas plus les religions que lui), la philosophe explique qu’il n’existe qu’un seul idéologie mahométane, mondial, et que l’idée d’un grand imam de France est absurde :
« Quant à l’idée d’un clergé ou d’un grand «imam de France» qui unifierait la voix des musulmans, tout d’abord, il faut rappeler que le monde chiite a toujours eu un clergé (des imams et des ayatollahs). Pourtant, la situation de l’idéologie mahométane chez les chiites n’est pas meilleure que chez des sunnites.
Ensuite, si on ne reconnaît pas dans le sunnisme une autorité suprême, cela ne signifie pas qu’elle soit inexistante. La mosquée al-Azhar au Caire par exemple occupe en quelque sorte ce rôle. Pourtant, le monde sunnite n’a pas pu sortir de l’impasse dans laquelle il s’est retrouvé.
Enfin, parce que le clergé tient, presque par nature, un discours traditionaliste, l’instauration d’une telle institution serait une entrave, si elle dispose d’une autorité, pour l’émergence d’un discours moderniste au sein de l’idéologie mahométane en France. »
En résumé, le projet du président Macron sur l’idéologie mahométane de France ne tient pas la route, et Macron le sait :
Il y a 800 000 chiites en France, ils ne s’unifieront pas sous un clergé sunnite.
L’idée d’un grand imam n’a pas permis aux chiites, qui en ont un, d’être dans une meilleure situation que les sunnites.
Les sunnites ont déjà une autorité suprême, la mosquée al-Azhar du Caire, pourtant les sunnites sont dans l’impasse.
C’est précisément un clergé mahométan créé par Macron qui s’opposera au projet de Macron d’apporter un discours moderniste au sein de l’idéologie mahométane de France. Le clergé islamique a toujours un discours traditionaliste, et non moderniste.
« Ni l’apprentissage de la langue arabe ni l’instauration d’un clergé ne permettront de contrer le radicalisme et le salafisme », explique en conclusion Razika Adnadi à des oreilles totalement fermées.
Elle ajoute que « seule une ‘véritable réforme’ de l’idéologie mahométane le permettra en France et ailleurs ».
Elle pouvait sans risque ajouter que cette réforme ne se produira pas. Le très puissant Président égyptien al Sissi l’a réclamée de l’université al-Azhar, cette réforme, après avoir sauvé son pays contre les terroristes Frères musulmans. Il a reçu une fin de non-recevoir en réponse. J’imagine mal un iman nommé par Jupiter recevoir autre chose que les foudres d’al-Azhar. C’est une clownerie.
L’islamologue dit encore que « La ‘véritable réforme’ ne se fera pas en France indépendamment des pays musulmans », car il n’existe ni d’idéologie mahométane français, ni d’idéologie mahométane de France, qui soit différent de l’idéologie mahométane de Belgique, mais un seul idéologie mahométane. Mondial.
Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, et le président Macron je vous l’assure, va continuer comme un aveugle sa marche forcée vers l’idéologie mahométane de France qui ne peut pas exister, sous la direction d’un imam de France intégriste, afin de coiffer des chiites et des sunnites qui n’arrivent à rien de positif sous la guidance de leurs clergés respectifs.
Mais Emmanuel Macron est tellement beau et intelligent…
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
(1) http://premium.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/13/31003-20180913ARTFIG00310-l-apprentissage-de-l-arabe-est-inutile-pour-lutter-contre-l-islamisme.php
Dernière édition par ganem le Mar 28 Mai - 14:19, édité 1 fois
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Enseignement de la langue arabe en France : la polémique enfle
Depuis quatre jours, le ministre français de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, fait l’objet de vives critiques d’élus de droite et d’extrême droite. Invité lundi à commenter une proposition d’un rapport de l’Institut Montaigne concernant la relance de « l’apprentissage de la langue arabe » pour lutter contre l’islamisme, il s’est attiré les foudres de députés de droite et d’extrême droite.
Il a été notamment accusé de vouloir faire « entrer » l’islamisme « dans l’Education nationale » et de promouvoir une « idéologie de soumission ».
Dans une interview publiée par 20 minutes, Claude Lelièvre, historien de l’Education, a estimé que cette polémique traduit « les tensions » et « les peurs » de la société française actuelle, favorisées par une « récupération politique ».
L’historien a rappelé que l’agrégation de l’arabe « classique » a été créée il y a un certain nombre d’années puisque seules quatre langues l’ont précédé. Instituée dès 1905, cette distinction intervient bien avant celle accordée au russe (1947), au portugais en 1973, à l’hébreu en 1977, au polonais en 1978, au Japonais en 1984 ou au chinois bien plus récemment encore.
Elle a été instituée après l’allemand et l’anglais puis l’espagnol et l’Italien. A l’époque, on considérait cette langue, fort littéraire et philosophique, comme une grande langue de civilisation.
L’historien de l’Education explique la crispation actuelle par un déplacement d’une hostilité raciste contre les Arabes. Cela en dit long sur les angoisses et les peurs qui traversent la société. Cette nouvelle polémique s’explique également, selon lui, par la tournure employée dans le rapport de l’Institut Montaigne et que le ministre de l’Education nationale a fait sienne.
L’institut propose de « relancer l’apprentissage de la langue arabe » pour lutter contre le fondamentalisme islamiste. On ne favorise pas l’enseignement de l’arabe pour des raisons culturelles et intellectuelles mais pour lutter contre une peur et ça, c’est un fait nouveau, a-t-il fait remarquer.
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Waleed al-Husseini : “La France a cédé à l’islamisation”
Waleed al-Husseini, auteur d’Une trahison française, sonne l’alarme : le djihad menace la France et notre démocratie laïque pourrait succomber. Entretien.
Vous revenez, dans votre dernier ouvrage, sur les liens étroits entre terrorisme et fondamentalisme mahométan. Comment l’idéologie mahométane radical se développe-t-il aujourd’hui en France ?
Il existe de nombreuses filières à travers lesquelles s’introduit et s’amplifie l’islamisation en France. À titre d’exemple, je cite quelques affaires qui ont défrayé la chronique ces dernières années. Il y va des connexions de certains élus locaux et nationaux avec l’idéologie mahométane politique. Le plus douloureux et le plus surprenant réside dans le fait que ces connexions se font avec des personnalités et des mouvements se revendiquant de la gauche progressiste et de la laïcité mais qui, pour des raisons électoralistes, caressent l’idéologie mahométane politique dans le sens du poil. Ces personnes contribuent à faire le lit du radicalisme. Depuis l’éclatement de la première affaire du voile à Creil à la fin des années 1980 (sous la gauche progressiste), la France n’a cessé de céder devant l’islamisation déguisée pour sauvegarder la paix civile. Mais ce faisant, elle a piétiné ses valeurs, elle perd progressivement mais irréversiblement sa liberté, sans pour autant gagner la paix civile.
Quelles sont ces « connexions insoupçonnables » que vous avez remontées ?
Cela peut être des associations culturelles subventionnées par les mairies, tout en sachant qu’il s’agit d’associations essentiellement cultuelles. Il y a également le cas des associations caritatives qui surfent sur la misère pour répandre l’idéologie mahométane. Et parmi les cas les plus “insoupçonnables” figure l’exemple d’un certain syndicat qui, avant les élections syndicales, distribuait des calendriers avec les heures des prières dans les usines. Pour gagner les voix des musulmans, ce syndicat avait introduit la prière au travail. Enfin, pour couronner le tout, une complaisance de certains médias existe avec l’idéologie mahométane politique. Au nom du “vivre-ensemble”, ces médias travestissent la réalité et occultent la menace.
Vous relevez trois formes de djihad : le djihad politique global, le djihad économique collectif et enfin, le djihad individuel. De quoi s’agit-il ?
Les organisations terroristes ont développé plusieurs stratégies pour atteindre leur objectif, à savoir l’islamisation par la force. Cependant, les djihadistes ne sont pas les seuls à militer dans ce sens. Tout mahométan est tenu de répandre son idéologie, et cela relève du djihad individuel censé, de par ses initiateurs, épuiser l’ennemi. Prenons l’exemple de la France. Depuis l’affaire Merah, qui incarne la “troisième génération de djihadistes”, il y a eu plusieurs cas de djihad individuel comme à Saint-Étienne-du-Rouvray (prêtre décapité), à Magnanville (couple de policiers assassiné), à Saint-Quentin-Fallavier (un livreur qui décapite son patron)…
Ces affaires, ajoutées aux attaques contre Charlie Hebdo et le Bataclan, mobilisent des milliers d’agents en France pour lutter contre le terrorisme, au prix d’un épuisement certain. Le djihad individuel a été théorisé par le Syrien Abou Moussab al-Souri, de son vrai nom Moustapha Abdelkader Sitt Mariam Nassar. Marié à une Espagnole et détenteur du passeport hispanique, il fut l’organisateur des attentats de Madrid du 11 mars 2004. Son livre Appel à la résistance islamique mondiale est devenu la référence en la matière. Par ailleurs, ce terrorisme individuel se traduit par une détérioration du climat des affaires et, outre l’éreintement des forces de l’ordre, contribue à l’affaiblissement économique, répondant au djihad économique. Quant au djihad politique global, il est incarné par l’idéologie mahométane politique à travers ses différents mouvements de prédication, lesquels formatent les fidèles et préparent les esprits au djihad sous toutes ses formes.
Selon vous, il faut aider l’idéologie mahométane à se réformer. Comment ? Les intellectuels musulmans parlent peu au peuple des mosquées…
Effectivement, il faut aider l’idéologie mahométane à se réformer. Mais le renouveau de l’idéologie mahométane ne se limite pas aux textes. L’enjeu est avant tout l’introduction de la culture laïque (ou laïcisante) et civile, susceptibles de modifier le regard des musulmans vis-à-vis des textes fondateurs. En effet, ceux-ci sont des textes historiques et il est inconcevable de les appliquer en l’état dans tous les temps et tous les lieux… Quant aux mosquées, elles doivent uniquement servir de lieux de prière et ne pas se transformer en tribunes politiques ou lieux d’endoctrinement, comme c’est le cas aujourd’hui en France.
Propos recueillis par Rachel Binhas le 10/06/2017
Une trahison française, de Waleed al-Husseini, Ring, 300 pages, 18 €.
Waleed al-Husseini, auteur d’Une trahison française, sonne l’alarme : le djihad menace la France et notre démocratie laïque pourrait succomber. Entretien.
Vous revenez, dans votre dernier ouvrage, sur les liens étroits entre terrorisme et fondamentalisme mahométan. Comment l’idéologie mahométane radical se développe-t-il aujourd’hui en France ?
Il existe de nombreuses filières à travers lesquelles s’introduit et s’amplifie l’islamisation en France. À titre d’exemple, je cite quelques affaires qui ont défrayé la chronique ces dernières années. Il y va des connexions de certains élus locaux et nationaux avec l’idéologie mahométane politique. Le plus douloureux et le plus surprenant réside dans le fait que ces connexions se font avec des personnalités et des mouvements se revendiquant de la gauche progressiste et de la laïcité mais qui, pour des raisons électoralistes, caressent l’idéologie mahométane politique dans le sens du poil. Ces personnes contribuent à faire le lit du radicalisme. Depuis l’éclatement de la première affaire du voile à Creil à la fin des années 1980 (sous la gauche progressiste), la France n’a cessé de céder devant l’islamisation déguisée pour sauvegarder la paix civile. Mais ce faisant, elle a piétiné ses valeurs, elle perd progressivement mais irréversiblement sa liberté, sans pour autant gagner la paix civile.
Quelles sont ces « connexions insoupçonnables » que vous avez remontées ?
Cela peut être des associations culturelles subventionnées par les mairies, tout en sachant qu’il s’agit d’associations essentiellement cultuelles. Il y a également le cas des associations caritatives qui surfent sur la misère pour répandre l’idéologie mahométane. Et parmi les cas les plus “insoupçonnables” figure l’exemple d’un certain syndicat qui, avant les élections syndicales, distribuait des calendriers avec les heures des prières dans les usines. Pour gagner les voix des musulmans, ce syndicat avait introduit la prière au travail. Enfin, pour couronner le tout, une complaisance de certains médias existe avec l’idéologie mahométane politique. Au nom du “vivre-ensemble”, ces médias travestissent la réalité et occultent la menace.
Vous relevez trois formes de djihad : le djihad politique global, le djihad économique collectif et enfin, le djihad individuel. De quoi s’agit-il ?
Les organisations terroristes ont développé plusieurs stratégies pour atteindre leur objectif, à savoir l’islamisation par la force. Cependant, les djihadistes ne sont pas les seuls à militer dans ce sens. Tout mahométan est tenu de répandre son idéologie, et cela relève du djihad individuel censé, de par ses initiateurs, épuiser l’ennemi. Prenons l’exemple de la France. Depuis l’affaire Merah, qui incarne la “troisième génération de djihadistes”, il y a eu plusieurs cas de djihad individuel comme à Saint-Étienne-du-Rouvray (prêtre décapité), à Magnanville (couple de policiers assassiné), à Saint-Quentin-Fallavier (un livreur qui décapite son patron)…
Ces affaires, ajoutées aux attaques contre Charlie Hebdo et le Bataclan, mobilisent des milliers d’agents en France pour lutter contre le terrorisme, au prix d’un épuisement certain. Le djihad individuel a été théorisé par le Syrien Abou Moussab al-Souri, de son vrai nom Moustapha Abdelkader Sitt Mariam Nassar. Marié à une Espagnole et détenteur du passeport hispanique, il fut l’organisateur des attentats de Madrid du 11 mars 2004. Son livre Appel à la résistance islamique mondiale est devenu la référence en la matière. Par ailleurs, ce terrorisme individuel se traduit par une détérioration du climat des affaires et, outre l’éreintement des forces de l’ordre, contribue à l’affaiblissement économique, répondant au djihad économique. Quant au djihad politique global, il est incarné par l’idéologie mahométane politique à travers ses différents mouvements de prédication, lesquels formatent les fidèles et préparent les esprits au djihad sous toutes ses formes.
Selon vous, il faut aider l’idéologie mahométane à se réformer. Comment ? Les intellectuels musulmans parlent peu au peuple des mosquées…
Effectivement, il faut aider l’idéologie mahométane à se réformer. Mais le renouveau de l’idéologie mahométane ne se limite pas aux textes. L’enjeu est avant tout l’introduction de la culture laïque (ou laïcisante) et civile, susceptibles de modifier le regard des musulmans vis-à-vis des textes fondateurs. En effet, ceux-ci sont des textes historiques et il est inconcevable de les appliquer en l’état dans tous les temps et tous les lieux… Quant aux mosquées, elles doivent uniquement servir de lieux de prière et ne pas se transformer en tribunes politiques ou lieux d’endoctrinement, comme c’est le cas aujourd’hui en France.
Propos recueillis par Rachel Binhas le 10/06/2017
Une trahison française, de Waleed al-Husseini, Ring, 300 pages, 18 €.
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Pour moi, il y a un bug dans l'analyse, vous négligez totalement le concept scientifique de culture cumulative et vous passez à côté l'idée que la culture légitime en France est encore tenue par les Institutions, quand bien même elles sont remises en cause du fait de leur manque d'égard pour l'égalité de traitement.
Culture cumulative signifiant, pour aller vite, que l'arrivée de nouvelles données culturelles n'efface pas forcément les anciennes. Cela peut se cumuler et agrandir le stock de données.
Et la mainmise des institutions sur la culture légitime, ça s'appelle l'éducation nationale, ou encore les autres bâtiments publics comme les bibliothèques ou encore les musées etc. Et cela implique pour quiconque soumis à ces accaparateurs de culture légitime, un rapport intrasubjectif. Même un rapport de rejet est forcément imbriqué dans une relation dialectique, et donc n'est pas totalement indépendant du rôle des institutions. Et cela fait que l'immigration connait une trajectoire culturelle empreinte d'hybridité, de réflexivité.
Bon après je passe sur l'homogénéité supposée de l'immigration que suggère votre crainte. Pour craindre le remplacement, l'envahissement, il faut être attaché à une homogénéité du profil du migrant qui l'amènerait à se rallier du seul fait qu'il soit migrant. Si je suis d'accord sur le fait que l'expérience aide à créer un désir et un sens d'appartenance, vous la réduisez caricaturalement au champ que vos craintes dessinent.
Culture cumulative signifiant, pour aller vite, que l'arrivée de nouvelles données culturelles n'efface pas forcément les anciennes. Cela peut se cumuler et agrandir le stock de données.
Et la mainmise des institutions sur la culture légitime, ça s'appelle l'éducation nationale, ou encore les autres bâtiments publics comme les bibliothèques ou encore les musées etc. Et cela implique pour quiconque soumis à ces accaparateurs de culture légitime, un rapport intrasubjectif. Même un rapport de rejet est forcément imbriqué dans une relation dialectique, et donc n'est pas totalement indépendant du rôle des institutions. Et cela fait que l'immigration connait une trajectoire culturelle empreinte d'hybridité, de réflexivité.
Bon après je passe sur l'homogénéité supposée de l'immigration que suggère votre crainte. Pour craindre le remplacement, l'envahissement, il faut être attaché à une homogénéité du profil du migrant qui l'amènerait à se rallier du seul fait qu'il soit migrant. Si je suis d'accord sur le fait que l'expérience aide à créer un désir et un sens d'appartenance, vous la réduisez caricaturalement au champ que vos craintes dessinent.
DonaldDuck007- Touriste
- Messages : 4
Date d'inscription : 24/02/2019
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Pour être mahométan, il faut parler arabe car les 5 prières par jour se font en arabe, pas en français. Encourager l'apprentissage de l'arabe revient à encourager l'islamisation. Qu'on le veuille ou pas.
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Je comprends pas très bien le fond de votre post.
L'arabe n'est pas synonyme d'idéologie mahométane. Puis il n'y a pas qu'une seule façon d'être croyant et la modernité distingue la croyance (interne) et l'appartenance (aux institutions officielles). Ce sont des processus cognitifs et sociaux complexes, qu'il s'agit de ne pas réduire du fait de craintes irrationnelles ou racistes.
L'arabe n'est pas synonyme d'idéologie mahométane. Puis il n'y a pas qu'une seule façon d'être croyant et la modernité distingue la croyance (interne) et l'appartenance (aux institutions officielles). Ce sont des processus cognitifs et sociaux complexes, qu'il s'agit de ne pas réduire du fait de craintes irrationnelles ou racistes.
DonaldDuck007- Touriste
- Messages : 4
Date d'inscription : 24/02/2019
Re: Apprentissage de la langue arabe voie royale de l'islamisation
Un français de souche gauloise converti à la RATP ne peut faire ses 5 prières en langue française, il doit les faire en arabe, la langue d'Allah Puissant et Sage.
La langue arabe fait donc partie de l'idéologie mahométane mais nous savons que les arabes chrétiens s'expriment en langue arabe. Ceux du Liban ont proposé une modernisation de la langue qui n'a pas été accepté.
La langue arabe fait donc partie de l'idéologie mahométane mais nous savons que les arabes chrétiens s'expriment en langue arabe. Ceux du Liban ont proposé une modernisation de la langue qui n'a pas été accepté.
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