Pas de quoi être fiers !
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Pas de quoi être fiers !
Bonjour,
Petit rappel historique.
L’armée française, sous équipée de par la volonté de Léon Blum, Président du conseil depuis 1936 (Front Populaire) : « Pas un sous, pas un soldat pour la défense nationale » (Léon Blum), vaincue, il ne restait plus raisonnablement que demander l’armistice le 22 juin 1940.
Mais les députés et ministres, face à leur dramatique incompétence, confièrent le pouvoir au maréchal Pétain.
Voici les résultats du vote :
POUR : 569
CONTRE 80
Abstentions : 20.
Comme quoi, les démocrates devraient être satisfaits !
Hélas, et sous la pression allemande, le maréchal dû prendre le traître Pierre Laval, âme damnée entièrement dévouée à Hitler.
Il faut bien être conscient que le chef de l’exécrable régime de Vichy, ce fut Pierre Laval, Pétain devant se contenter de jouer les hommes de paille bien que certaines de ses déclarations (imposées !) puissent en faire douter.
S’ensuivi l’Occupation.
Et c’est là où une immense tristesse m’envahit ayant été le témoin de ces heures cauchemardesques.!
En effet, et passons sur le fait que les communistes furent bel et bien les premiers collaborateurs des Nazis (voir les accords Molotov-Ribbentrop), la désertion de Maurice Thorez et du « déserteur de la Mer rouge » Marty, et sur le fait bien caché que les premiers Résistants furent des royalistes.
C’est alors que fut constitué la division Charlemagne formée de Français engagés sous l’uniforme allemand pour aller combattre sur le front russe.
Simultanément fut créée la LVF (Légion des Volontaires Français) qui a été envoyée sous l’uniforme français combattre elle aussi sur le front russe au côté des troupes nazies.
N’oublions pas non plus les dizaines de milliers de miliciens responsables d’exactions arbitraires et pourchasseurs particulièrement zélés des « terroristes » ainsi qu’étaient ainsi nommés les Résistants par Laval et ses nervis.
Et enfin, la multitude (je pèse mes mots !) de collabos dans lesquels on pouvait trouver moult artistes en tous genres.
Et puis il faut compter aussi tous ceux qui s’étaient accommodés de la situation et en profitaient pour s’enrichir « au marché noir », parfois même par l’intermédiaire de l’Occupant !
La France comptait à l’époque 40 millions d’habitants. Pratiquement tous acclamaient le gouvernement de Vichy.
Un beau jour, pratiquement le lendemain, ces mêmes 40 millions acclamaient de Gaulle.
Sans commentaire.
Petit rappel historique.
L’armée française, sous équipée de par la volonté de Léon Blum, Président du conseil depuis 1936 (Front Populaire) : « Pas un sous, pas un soldat pour la défense nationale » (Léon Blum), vaincue, il ne restait plus raisonnablement que demander l’armistice le 22 juin 1940.
Mais les députés et ministres, face à leur dramatique incompétence, confièrent le pouvoir au maréchal Pétain.
Voici les résultats du vote :
POUR : 569
CONTRE 80
Abstentions : 20.
Comme quoi, les démocrates devraient être satisfaits !
Hélas, et sous la pression allemande, le maréchal dû prendre le traître Pierre Laval, âme damnée entièrement dévouée à Hitler.
Il faut bien être conscient que le chef de l’exécrable régime de Vichy, ce fut Pierre Laval, Pétain devant se contenter de jouer les hommes de paille bien que certaines de ses déclarations (imposées !) puissent en faire douter.
S’ensuivi l’Occupation.
Et c’est là où une immense tristesse m’envahit ayant été le témoin de ces heures cauchemardesques.!
En effet, et passons sur le fait que les communistes furent bel et bien les premiers collaborateurs des Nazis (voir les accords Molotov-Ribbentrop), la désertion de Maurice Thorez et du « déserteur de la Mer rouge » Marty, et sur le fait bien caché que les premiers Résistants furent des royalistes.
C’est alors que fut constitué la division Charlemagne formée de Français engagés sous l’uniforme allemand pour aller combattre sur le front russe.
Simultanément fut créée la LVF (Légion des Volontaires Français) qui a été envoyée sous l’uniforme français combattre elle aussi sur le front russe au côté des troupes nazies.
N’oublions pas non plus les dizaines de milliers de miliciens responsables d’exactions arbitraires et pourchasseurs particulièrement zélés des « terroristes » ainsi qu’étaient ainsi nommés les Résistants par Laval et ses nervis.
Et enfin, la multitude (je pèse mes mots !) de collabos dans lesquels on pouvait trouver moult artistes en tous genres.
Et puis il faut compter aussi tous ceux qui s’étaient accommodés de la situation et en profitaient pour s’enrichir « au marché noir », parfois même par l’intermédiaire de l’Occupant !
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Sans commentaire.
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