Partagez vos références politiques majeures.

[Plaristes Evariste]

L'incompréhension vient de la méconnaissance, donc je voudrais savoir qui a lu ou écouté Jhon Perkins ici?
Et si vous avez des références que vous pensez qui méritent d'être connue (même si objectivement les lire c'est une perte de temps tellement que c'est de la merde.) partagez-les qu'on en discute.

[Francis XV]

John Perkins ? Ca ne me dit rien

Des références poltiques ? Je peux te suggérer ça c'est relativement actuel

[Merl1]

Un par un.....

Rédigé en 1920, Jacques Bainville dénonce le traité de Versailles de 1919 en ces termes célèbres: "Une paix trop douce pour ce qu'elle a de dur, et trop dure pour ce qu'elle a de doux." Bainville estime en effet que le traité risque de n'être qu'une armistice de courte durée. Complément des livres de Keynes et de Mantoux, cet essai impressionnera le lecteur d'aujourd'hui tant ses prédictions se sont révélées exactes.

=> http://classiques.uqac.ca/classiques/bainville_jacques/consequences_pol_paix/consequences_pol_paix_2019.pdf

[Plaristes Evariste]

John Perkins ? Ca ne me dit rien

Des références poltiques ? Je peux te suggérer ça c'est relativement actuel

L'ancien assassin économique, il est keynésien, mais ce qu'il a à dire doit être entendu ça évite de se comporter comme un gas de conspiracy watch.
Ses témoignages sont à écouter, tout ceux qui l'ont vu en vidéo, en conférence, ou bien lu, vous dirons que ça vaut le coup, il y a une vidéo de 22 minutes où il explique sa vie.Il a des choses à dire sur la guerre en Irak, l'opération Ajax, les république bananière et beaucoup d'opération de la CIA.

[Plaristes Evariste]

Merlu toujours dans la germanophobie crasse.

Perkins soutient qu'une certaine élite aux États-Unis souhaite construire un empire planétaire, défini par les présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon. Pour ce faire, ils ont constitué un groupe de consultants qui utilisent les organisations financières internationales pour créer les conditions permettant d'assujettir des nations à cet empire par l'endettement économique auprès d'organismes comme le FMI et la Banque mondiale. La tâche de ces consultants est de justifier et d'argumenter la conclusion par des États d'énormes prêts internationaux dont l'argent finira, déduction faite des sommes destinées à la corruption des élites locales, sur les comptes en banques de grandes sociétés d'ingénierie et de construction américaines. Les besoins en liquidités ayant été au préalable surévalués par ces consultants, l'État se révèle incapable de payer sa dette et en sujétion vis-à-vis du créancier. Cette position de pouvoir permettant ensuite d'exiger à l'état sujet l'établissement de bases militaires, un vote favorable aux Nations unies ainsi qu'une loyauté politique en général ou l'accès à d'éventuelles richesses pétrolières et autres ressources naturelles. Il qualifie ces méthodes de mafieuses.

Parfois ces prêts prennent la forme pernicieuse d'une aide au développement, ce que critique Perkins comme étant motivée par la cupidité. Il s'attaque d'ailleurs au bien-fondé de cet idéal, se demandant si le monde entier peut vivre avec le même train de vie que les États-Unis en sachant que les ressources sont limitées et exprime des doutes sur la viabilité et le suprématisme du système dominant, étant donnée sa piètre qualité de vie et ses hauts taux statistiques de suicides, divorces, abus de drogues, dépressions et crimes.

Il désigne le dollar comme pierre angulaire de l'empire global en expliquant que c'est le fait qu'il soit la principale monnaie internationale qui permet la pérennité de ce système. Car tous ces prêts à fonds perdus risqueraient, pour un autre créancier, de provoquer une banqueroute. Mais les États-Unis impriment de l'argent qui n'est pas soutenu par l'étalon-or, juste par la confiance internationale dans l'économie américaine et, précisément, son empire global. Les États-Unis peuvent ainsi accumuler une immense dette nationale (début 2003, 6 trillions de $). Il prévoit un possible effondrement de ce système si une nouvelle monnaie internationale devait remplacer le dollar comme monnaie de transaction et si les créanciers des États-Unis demandaient le remboursement de leur dette dans une autre monnaie, par exemple l'euro.

Il explique que lorsque les « assassins financiers » comme lui échouent dans leurs plans, des tueurs à gages font leur apparition, les « chacals » et assassinent les personnes faisant obstacle aux ambitions américaines. Puis, en dernier recours, si les assassins échouent aussi, des soldats américains sont envoyés au combat, suivant une stratégie d'impérialisme classique.

Pour Perkins, l'invasion de l'Irak en 1990 fut décidée avec la libération du Koweït comme prétexte, non comme but, le but étant de détrôner Saddam Hussein qui n'avait pas accepté de jouer un rôle de marionnette de cette stratégie de sujétion à l'empire global à cause de son nationalisme.

Perkins s'oppose à l'idéologie de la Destinée manifeste visant à justifier l'expansionisme américain.

Il nie tout apport aux théories du complot, soutenant que nous ne pouvons jeter le blâme sur une conspiration quelconque car bien que l'empire global dépende de l'efficacité des banques, des compagnies et des gouvernements, c'est nous même qui en permettons l'existence étant donné que nous travaillons aussi pour ces sociétés et consommons les produits qu’elles commercialisent, bien qu'il soit plus facile de jeter le blâme sur un bouc émissaire. Pour lui, l'élite qui travaille pour l'empire global est une simple association d'intérêts et de croyances communes, non de comploteurs maléfiques.

Il soutient la vision politique du président américain Jimmy Carter, considéré comme le président américain le plus proche des idéaux des insurgés de 1776 et raille celle de Ronald Reagan qualifié « d'acteur habitué à se faire diriger ». Il dénonce Robert McNamara comme étant l'homme qui a permis de transformer la Banque mondiale en un moyen d'asservissement du tiers monde à l'empire global.

[Plaristes Evariste]

Je rêve ou bien l'un de mes posts vient d'être censuré?

[tataouine]

-Le pourfendeur du politiquement correct   et de la bien-pensance Michel Onfray démontre   à nouveau, le déroulement d'un mode d'emploi   de la dictature. Cette œuvre est construite à   partir d'un auteur de référence incontournable,   Georges Orwell, spécialiste des dictatures   traditionnelles et historiques. Michel Onfray   dépeint le portrait de notre société faisant   apparaître les contours familiers des régimes   autoritaires.C'est le déroulé d'une   démocratie qui n'a que le nom et qui cache   les affres d'une dictature en marche. Subtil   et inquiétant, ce livre, aux couleurs du monde   Orwellien est un accès sur la libre pensée   contre les égarements de la république.

[Frelon]

Je rêve ou bien l'un de mes posts vient d'être censuré?

que manque t'il à ton précédent message?

[Plaristes Evariste]

-Le pourfendeur du politiquement correct   et de la bien-pensance Michel Onfray démontre   à nouveau, le déroulement d'un mode d'emploi   de la dictature. Cette œuvre est construite à   partir d'un auteur de référence incontournable,   Georges Orwell, spécialiste des dictatures   traditionnelles et historiques. Michel Onfray   dépeint le portrait de notre société faisant   apparaître les contours familiers des régimes   autoritaires.C'est le déroulé d'une   démocratie qui n'a que le nom et qui cache   les affres d'une dictature en marche. Subtil   et inquiétant, ce livre, aux couleurs du monde   Orwellien est un accès sur la libre pensée   contre les égarements de la république.

J'ai discuté avec un royaliste d'extrême droite Breton Francophobe.
Et il a reconnu que Michel Onfray était une Fraude qui ne disait pas ce qu'il pense, et que c'était bien 'lapprenti de BHL, mais qu'ils jouaient des rôles différents.

Je te conseil Zizek, c'est de lui que vient la théorie à la base, enfin ça vient de Michel Clouscard et son néo-fascisme de l'idéologie du désir, mais le Philosophe Yougoslave va plus profondément, il examine le politiquement correct plus en détail, tout simplement car il en quelque chose à foutre il ne dit pas ça pour se faire mousser et vous brosser dans le sens du poil.
Au contraire, il va examiner en détail ce politiquement correct et produire des concepts avancés qui viennent vous caresser dans le sens inverse du poil.
Vous vous souvenez de la blague juive que j'ai posté dans humour juif?
Je l'ai de Zizek, c'est son analyse de l'autophobie libérale, qui n'est autophobique qu'en apparence, car c'est du pur narcissisme.


Il a aussi une autre qui est mieux mais qui est en anglais.

Et cette série de vidéos qui est pas mal :



J'aime bien ses termes d'hédonisme spirituel, de bouddhisme des lumières occidentales. (Enlighten western Buddhsim)
Et son commentaire sur le fait que Maintenant si t'es fidèle c'est interprété comme un pathologie alors qu'avant c'était l'inverse.

que manque t'il à ton précédent message?

Tout un passage de Perkins, enfin sa page wikipédia.

« Les assassins financiers sont des professionnels grassement payés qui escroquent des milliards de dollars à divers pays du globe. Ils dirigent l’argent de la Banque mondiale, de l’Agence américaine du développement international (US Agency for International Development – USAID) et d’autres organisations « humanitaires » vers les coffres de grandes compagnies et vers les poches de quelques familles richissimes qui contrôlent les ressources naturelles de la planète. Leurs armes principales: les rapports financiers frauduleux, les élections truquées. les pots-de-vin, l’extorsion, le sexe et le meurtre. Ils jouent un jeu vieux comme le monde, mais qui a atteint des proportions terrifiantes en cette époque de mondialisation.
Je sais très bien de quoi je parle... car j’ai été moi-même un assassin financier. »

Perkins soutient qu'une certaine élite aux États-Unis souhaite construire un empire planétaire, défini par les présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon. Pour ce faire, ils ont constitué un groupe de consultants qui utilisent les organisations financières internationales pour créer les conditions permettant d'assujettir des nations à cet empire par l'endettement économique auprès d'organismes comme le FMI et la Banque mondiale. La tâche de ces consultants est de justifier et d'argumenter la conclusion par des États d'énormes prêts internationaux dont l'argent finira, déduction faite des sommes destinées à la corruption des élites locales, sur les comptes en banques de grandes sociétés d'ingénierie et de construction américaines. Les besoins en liquidités ayant été au préalable surévalués par ces consultants, l'État se révèle incapable de payer sa dette et en sujétion vis-à-vis du créancier. Cette position de pouvoir permettant ensuite d'exiger à l'état sujet l'établissement de bases militaires, un vote favorable aux Nations unies ainsi qu'une loyauté politique en général ou l'accès à d'éventuelles richesses pétrolières et autres ressources naturelles. Il qualifie ces méthodes de mafieuses.

Parfois ces prêts prennent la forme pernicieuse d'une aide au développement, ce que critique Perkins comme étant motivée par la cupidité. Il s'attaque d'ailleurs au bien-fondé de cet idéal, se demandant si le monde entier peut vivre avec le même train de vie que les États-Unis en sachant que les ressources sont limitées et exprime des doutes sur la viabilité et le suprématisme du système dominant, étant donnée sa piètre qualité de vie et ses hauts taux statistiques de suicides, divorces, abus de drogues, dépressions et crimes.

Il désigne le dollar comme pierre angulaire de l'empire global en expliquant que c'est le fait qu'il soit la principale monnaie internationale qui permet la pérennité de ce système. Car tous ces prêts à fonds perdus risqueraient, pour un autre créancier, de provoquer une banqueroute. Mais les États-Unis impriment de l'argent qui n'est pas soutenu par l'étalon-or, juste par la confiance internationale dans l'économie américaine et, précisément, son empire global. Les États-Unis peuvent ainsi accumuler une immense dette nationale (début 2003, 6 trillions de $). Il prévoit un possible effondrement de ce système si une nouvelle monnaie internationale devait remplacer le dollar comme monnaie de transaction et si les créanciers des États-Unis demandaient le remboursement de leur dette dans une autre monnaie, par exemple l'euro.

Il explique que lorsque les « assassins financiers » comme lui échouent dans leurs plans, des tueurs à gages font leur apparition, les « chacals » et assassinent les personnes faisant obstacle aux ambitions américaines. Puis, en dernier recours, si les assassins échouent aussi, des soldats américains sont envoyés au combat, suivant une stratégie d'impérialisme classique.

Pour Perkins, l'invasion de l'Irak en 1990 fut décidée avec la libération du Koweït comme prétexte, non comme but, le but étant de détrôner Saddam Hussein qui n'avait pas accepté de jouer un rôle de marionnette de cette stratégie de sujétion à l'empire global à cause de son nationalisme.

Perkins s'oppose à l'idéologie de la Destinée manifeste visant à justifier l'expansionisme américain.

Il nie tout apport aux théories du complot, soutenant que nous ne pouvons jeter le blâme sur une conspiration quelconque car bien que l'empire global dépende de l'efficacité des banques, des compagnies et des gouvernements, c'est nous même qui en permettons l'existence étant donné que nous travaillons aussi pour ces sociétés et consommons les produits qu’elles commercialisent, bien qu'il soit plus facile de jeter le blâme sur un bouc émissaire. Pour lui, l'élite qui travaille pour l'empire global est une simple association d'intérêts et de croyances communes, non de comploteurs maléfiques.

Il soutient la vision politique du président américain Jimmy Carter, considéré comme le président américain le plus proche des idéaux des insurgés de 1776 et raille celle de Ronald Reagan qualifié « d'acteur habitué à se faire diriger ». Il dénonce Robert McNamara comme étant l'homme qui a permis de transformer la Banque mondiale en un moyen d'asservissement du tiers monde à l'empire global.

[oscar]

C’est ce qui va plomber, à la finale  Mr Macron et son gouvernement  d’annonces…

A force de culpabiliser le citoyen en noircissant en permanence la situation générale
« Les citoyens n’ont plus envie d’avoir envie ! »

Cette conséquence va entraîner un monstrueux  chômage.
Lire le livre  de Viviane Forrester – 1996 « L’horreur économique »
tout est déjà écrit sur notre devenir.
 

En résumé…
" Nous vivons au sein d'un leurre magistral, d'un monde disparu que des politiques artificielles prétendent perpétuer.

Nos concepts du travail et par là du chômage, autour desquels la politique se joue (ou prétend se jouer) n'ont plus de substance : des millions de vies sont ravagées, des destins sont anéantis par cet anachronisme.

L'imposture générale continue d'imposer les systèmes d'une société périmée afin que passe inaperçue une nouvelle forme de civilisation qui déjà pointe, où seul un très faible pourcentage de la population terrestre trouvera des fonctions.

L'extinction du travail passe pour une simple éclipse alors que, pour la première fois dans l'Histoire, l'ensemble des êtres humains est de moins en moins nécessaire au petit nombre qui façonne l'économie et détient le pouvoir.
Nous découvrons qu'au-delà de l'exploitation des hommes, il y avait pire, et que, devant le fait de n'être plus même exploitable, la foule des hommes tenus pour superflus peut trembler, et chaque homme dans cette foule.
De l'exploitation à l'exclusion, de l'exclusion à l'élimination...

Sans douter part le COVID ???


Bonjour chez vous !

[Plaristes Evariste]

Pas mal, mais ça ne rempalcera jamais le manifeste et le Capital même si Marx n'avait pas vu que le capitalisme détruirai même les genres, il avait envisagé les identités de genre, mais pas les gens en eux-même.
Et l’impérialisme de Lénine.

[Jean Jaurès]

Le monde sensible, que nous voyons, que nous touchons, où nous vivons, est-il réel ? La question semblera puérile aux hommes d’action, et je compte parmi eux les hommes de pensée qui acceptent d’emblée les choses pour en étudier sans retard les rapports et l’enchaînement.

https://fr.wikisource.org/wiki/De_la_r%C3%A9alit%C3%A9_du_monde_sensible/Chapitre_I

[Francis XV]

Puisque on est dans les classiques :





Après faut voir les édition j'ai lu celle de la pléiade (Gallimard), qu'est pas mal par contre c'est l'intégrale et tous les textes de Marx ne sont pas forcément intéressants et je n'ai même pas tout lu d'ailleurs.

Par contre les textes que je viens de citer "Salaire prix profit) et "Le Capital" je les ai lus et je vous les  conseille donc.

"Salaire prix profit" est une bonne entrée en matière ...

[oscar]

Pas mal, mais ça ne rempalcera jamais le manifeste et le Capital même si Marx n'avait pas vu que le capitalisme détruirai même les genres, il avait envisagé les identités de genre, mais pas les gens en eux-même.
Et l’impérialisme de Lénine.

Chacun ses lectures  mon cher "Plaristes" !

Je m'attarde jamais sur les références de base obsolètes de l’histoire.
Les époques changent le sillon de la vie prend une autre rainure...
Un autre paradigme de destination de bifurcation.  


J'aime bien les auteurs qui tentent de faire du prédictible sur notre devenir .
Ils imaginent avec une attention toute particulière  l'observation des petits signes avant coureurs du présent.

Raisonnablement, ils explorent les  options possibles de notre futur destin fragile d'humain ...

Étonnamment, certains auteurs  ont fait preuve d'une clairvoyance visionnaire.
L’imagination hasardeuse ?
Où, le décryptage subtil  de la fameuse théorie de "l'effet papillon "

Bonjour chez vous !

[Plaristes Evariste]

@Paravec j'ai un topic sur ce forum qui est au sujet d'une partie du manifeste du capital, tu lis ça c'est l’actualité.

[oscar]

@Paravec j'ai un topic sur ce forum qui est au sujet d'une partie du manifeste du capital, tu lis ça c'est l’actualité.

Bonjour Plaristes !

Ma conclusion sur le principe du capitalisme d'aujourd'hui est la suivante:

ETES-VOUS: 0 où 1 ?...

Étrange rhétorique dans une réunion, de brain-storming aux Etats-Unis.
Un manager hystérique s’écrit en s’adressant aux employés de sa société:

« ETES-VOUS « 0 » OU « 1 » ? »

L’ULTIME MÉTAPHORE : Si vous n’êtes pas économiquement viable "VOUS ETES 0 !"
Zéro, virtuellement vous n’êtes plus rien !...
Vous êtes jeté ! (Chômage)

« Une obsession récurrente comme un challenge sportif, où bien l’exacerbation, d’un défi ultralibéral des jeux boursiers ? »

En attendant, la compétition est sauvage autour de la PART DE MARCHE.

Pareil à une religion, son dogme principal est d’une simplicité incontournable.
Trois composantes dans ce monde marchand :
JE PRODUIS !
JE VENDS !
J’INVESTIS !.

Dans un univers de chiffres, de sondages, de courbes de croissances exponentielles, les décideurs savent manipuler, inconsciemment vos affects de désirs, rebondir
sur vos frustrations.

La consommation ne serait-elle le seul pansement dérisoire sur notre mal de vivre ?
« Parait-il que consommer…c’est vivre ! »

La société est-elle pas sous l’influence manichéenne, d’un vaste
management global ?

Le constat est là : Le système subit des désordres d’équilibres, par saturation de ses propres concepts et des failles dans l’angle mort de son organisation.

Le système capitaliste libéral doit digérer la multiplicité du monde et les singularités individuelles infantilisées par les doutes et les peurs.  (merci le Covid)

Alors, il se défend, en canalisant les différents lobbys, des courants d’opinions contradictoires, les mettant les uns contre les autres.

La grande force actuelle, de l’économie mondialiste réside dans sa complexité et surtout sa capacité de générer des dépendances.

« C’est une redoutable entité dominante ! ».
oscar
"Bonjour chez vous !"

[Plaristes Evariste]

Le monde sensible, que nous voyons, que nous touchons, où nous vivons, est-il réel ? La question semblera puérile aux hommes d’action, et je compte parmi eux les hommes de pensée qui acceptent d’emblée les choses pour en étudier sans retard les rapports et l’enchaînement.

https://fr.wikisource.org/wiki/De_la_r%C3%A9alit%C3%A9_du_monde_sensible/Chapitre_I

Jaurès a empêtré le socialisme dans une réformisme qui s'est très vite mut en social traitrise, mais il était vraiment socialiste, lui ne voulait pas moraliser le capitalisme comme certains.

[oscar]

Commentaire politique: « il le faut ! »

La crise du chômage mesure à prendre :
 (Commentaire politique) « Il faut ! »  

La crise de l’immigration  mesure à prendre :
(Commentaire politique) « Il faut ! »

La crise de la sécurité des français
mesure à prendre :
(Commentaire politique) « Il faut ! »

La crise du chômage  mesure à prendre :
(Commentaire politique) « Il faut ! »

La crise sanitaire du Covid mesure à prendre :
(Commentaire politique) « Il faut ! »

Un faux
Deux faux  
Trois faux
Quatre faux
Cinq faux...

Mais qui est le fautif de la crise générale ?
Si vous avez « une info » qui ne soit pas fausse.

Messieurs et mesdames on pourrait peut-être faire quelque chose…
Car, il le faut !

[Plaristes Evariste]

Il faut mais on ne fait rien.

[oscar]

Il faut mais on ne fait rien.

Comment vous faites pour perdre votre temps avec la politique !
La politique n'existe plus au sens noble du terme.

Vous pouvez toujours sortir vos références hystériques du passé du placard de l'histoire.

Elle vous donne la sensation d'exister sur les forums...
Cela ne sert à rien...

"Tout le monde s'en fout , ils ont le hochet miraculeux le smartphone/narcissique."

Le politique se moque du peuple...
Le "politique" tente de  gérer comme un vulgaire DRH d'une grande entreprise...
Sa vocation est de calmer le jeu de leurs  chroniques insuffisances...  
Bonsoir chez vous !

[Plaristes Evariste]

Encore un qui s'est fait raptorisé.

[oscar]

Encore un qui s'est fait raptorisé.

Amusant commentaire!

"raptorisé" en éditant des nombreux messages et vidéo que très peu d'internautes répondent.
Le constat est visible.
"Les sans réponses" sont fascisantes, cela donne une ampleur au peu d’intérêt de certains internautes sur leur littérature.

En ce qui me concerne mes éditions de dessins d'actualité (sans texte) sur un autre forum, plus de 120 vues par jour par parution...

La pratique de l'Internet devient exclusivement visuelle.
(trop long à lire !)
Et non par "une dialectique de propagande " aussi pompeuse que ennuyeuse !

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