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Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
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Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
Qu'est-ce les fabriquants d'armes français ont pu se faire de blé avec se conflit t'as pas idée ... et puis même pas mal "à la conscience". Je suis sur que Frelon a déjà eu un orgasme en pensant aux petits nenfants Yéménites morts sous les canon "made in france"
https://www.franceinter.fr/info/revelations-voici-la-carte-des-armes-francaises-au-yemen-selon-un-rapport-confidentiel-defense
Chars Leclerc, obus flèche, Mirage 2000-9, radar Cobra, blindés Aravis, hélicoptères Cougar et Dauphin, frégates de classe Makkah, corvette lance-missiles de classe Baynunah ou canons Caesar : dans cette note, le renseignement militaire français établit une liste détaillée de l’armement fourni aux Saoudiens et aux Émiriens qui serait impliqué dans le conflit.
"À ma connaissance, les armes qui ont été vendues récemment ne sont pas utilisées contre les populations civiles", disait également la ministre le 30 octobre 2018 sur BFM TV. La DRM établit cependant une carte des zones à risques dans lesquels les civils yéménites sont susceptibles d’être touchés par les canons français. Or, 28 millions de Yéménites vivent toujours sous les bombardements. Depuis le début du conflit, plus de 8 300 civils ont été tués (dont 1 283 enfants), selon les chiffres publiés en mars 2019 par Yemen data project, une ONG qui collecte et recoupe les informations sur les frappes de la coalition.
Ce document confidentiel intitulé "Yémen - Situation sécuritaire" a été transmis au chef de l’État, Emmanuel Macron, à Matignon, mais aussi à la ministre des Armées, Florence Parly, et au ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, lors du conseil de défense restreint consacré à la guerre au Yémen, qui s’est tenu le 3 octobre 2018, à l’Élysée.
Il vient contredire la version des autorités françaises d’une situation "sous contrôle" et d’une utilisation uniquement "défensive" de l’armement français au Yémen.
Des civils à portée de canons français
Depuis le début de la guerre, une batterie de canons Caesar est déployée le long de la frontière saoudo-yéménite. Fabriqué à Roanne (Loire) par l’entreprise Nexter, détenue à 100 % par l’État français, le canon Caesar, monté sur un châssis de camion, peut tirer six obus par minute, dans un rayon de 42 kilomètres.
"À ma connaissance, ces canons [Caesar] ne sont pas déployés au Yémen mais occupent des positions défensives à la frontière sud de l’Arabie saoudite, face aux rebelles houthis qui cherchent à pénétrer sur le territoire saoudien, affirmait encore la ministre des Armées, Florence Parly, le 4 juillet 2018, devant la Commission de la Défense nationale et des forces armées. Dès lors, je pense qu’il n’y a rien à redire : c’est un État qui se protège et qui se défend." (Sacré déconneuse cette Florence Parly)
La réalité que décrit la note de la DRM est cependant différente.
La Direction du renseignement militaire y précise que ces canons Caesar déployés le long de la frontière avec le Yémen sont au nombre de "48", ajoutant qu’ils "appuient les troupes loyalistes, épaulées par les forces armées saoudienne, dans leur progression en territoire yéménite". Autrement dit : les tirs de canons français ouvrent la voie pour les blindés et les chars déployés au Yémen. Donc pas uniquement dans le cadre d’une action défensive.
S’appuyant sur une carte baptisée "Population sous la menace des bombes", le renseignement militaire français estime par ailleurs que "436 370 personnes" sont "potentiellement concernée par de possibles frappes d’artillerie." Y compris donc par les tirs de canons français.
https://www.franceinter.fr/info/revelations-voici-la-carte-des-armes-francaises-au-yemen-selon-un-rapport-confidentiel-defense
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
"C’est la priorité de la France que la situation humanitaire s’améliore et que l’aide humanitaire puisse passer", déclarait la ministre des Armées, Florence Parly, le 30 octobre 2018, sur BFM TV.
Pourtant, là encore si l’on en croit la note, deux navires de fabrication française "participe[nt] au blocus naval" de la coalition peut-on lire. Ce qui empêche l’aide humanitaire de nourrir et de soigner 20 millions de Yéménites. Selon le document, la frégate saoudienne de classe Makkah (Naval Group) et la corvette lance-missiles émiratie de classe Baynunah (Constructions mécaniques de Normandie, CMN), participent à ce blocus. La corvette Baynunah appuierait même "des opérations terrestres menées sur le littoral yéménite", précise le renseignement militaire. Autrement dit : des bombardements sur la côte.
Une troisième frégate al-Madinah de fabrication française a également participé à ce blocus, estime la DRM, avant d’être la cible d’une attaque des rebelles houthis, en janvier 2017.
Voilà les petits nenfants qui meurent de faim par milliers au Yemen peuvent remercier les chantiers navals Constructions mécaniques de Normandie ... Le père Noël va leur envoyer dans la gueule des Obus "Made in France"
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
Mec je lisais des rapports sur les performances des chars leclers au yémen depuis 2015 !
C'est d’ailleurs en lisant ces articles que j'ai appris l'existence du Kit Urbain pour ce genre d'engin.
Une bonne partie des chars que je comptais volé on été envoyé à l'arabie saoudite.
Il ne reste plus que des chars de la gendarmerie en très bon état mais il faudra creuser pour les voler, et en sachant qu'ils sont enterrés dans des champs de miens bon courage !
La France a aussi vendu des arabes aux gentils rebelles syriens modérés mangeurs de foie, qui ont payé le tout avec l'argent du Qatar !
Sans parler de l'embargo...
Bruno Guigue (le Pantin chinois dont je parlais) écrira :
La famine, arme des forts contre les faibles
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1017205/programme-alimentaire-mondial-onu-yemen-nigeria-soudan-sud
Si on voulait vraiment la preuve que la faim n'est pas un accident climatique ou je ne sais quelle fatalité qui pèserait sur des contrées abandonnées des dieux, il suffirait de regarder la carte des famines à venir. Dressée par l'économiste en chef du Programme alimentaire mondial, Arif Husain, cette carte est édifiante. Selon lui, 20 millions de personnes risquent de mourir de faim dans quatre pays au cours des six prochains mois : le Yémen, le Nigéria, le Sud-Soudan et la Somalie (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle...). Or la cause majeure de cette insécurité alimentaire est politique. Quand elle n'a pas directement provoqué le chaos générateur du non-développement ou la rupture des approvisionnements, l’intervention étrangère a jeté de l’huile sur le feu. La guerre civile et le terrorisme y ont ruiné les structures étatiques, banalisant une violence endémique et provoquant l'exode des populations.
Au Yémen, les bombardements saoudiens, depuis mars 2015, ont généré un désastre humanitaire sans précédent. L'ONU s'alarme de la situation, mais c'est une résolution du conseil de sécurité qui a autorisé l'intervention militaire étrangère ! La fermeture de l'aéroport de Sanaa et l'embargo infligé par la coalition internationale ont privé la population de médicaments. Les stocks de blé baissent à vue d'œil. Les banques étrangères refusent les transactions financières avec les établissements locaux. 14 millions de personnes, soit 80 % de la population, ont besoin d'aide alimentaire, dont 2 millions sont en état d'urgence. 400 000 enfants souffrent de malnutrition. Jugée coupable de soutenir le mouvement houthi, la population yéménite est condamnée à mort. En fournissant son arsenal à Riyad, les puissances occidentales participent à ce crime de masse.
Au Nigéria, la situation chaotique dans laquelle est plongé le nord-est du pays gangrène toute la région. Des millions de personnes, fuyant les violences du groupe Boko Haram, s'entassent dans des camps de réfugiés. Totalement dépendants de l'aide humanitaire, ces populations « survivent par 50 °C, dans des huttes au toit de tôle, avec un point d'eau, des cuisines communes et un repas par jour », explique Arif Husain. Alimenté par la propagande saoudienne, le terrorisme défie aujourd'hui cet Etat, le plus peuplé du continent, qui comptera 440 millions d'habitants en 2050. Depuis la calamiteuse destruction de la Libye par l'OTAN, l'Afrique sub-saharienne est devenue le terrain de chasse préféré des djihadistes. La famine qui s'annonce est la conséquence directe de cette déstabilisation.
Au Sud-Soudan, la proclamation de l'indépendance, en 2011, a débouché sur une guerre civile où deux camps rivaux se disputent le contrôle des richesses énergétiques. Cet Etat sécessionniste, fragmenté, enclavé, coupé du nord auquel l'opposa une interminable guerre civile, est le fruit de la stratégie américaine. Cette création artificielle visait à contrecarrer l'influence du Soudan, inscrit de longue date sur la liste des « rogue states ». Porté sur les fonts baptismaux par Washington, qui a armé la guérilla sécessionniste de John Garang pendant 20 ans, le Sud-Soudan est aujourd'hui un champ de ruines. Depuis décembre 2013, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont été tuées. 2,5 millions ont fui leurs foyers et près de 5 millions font face à une insécurité alimentaire « sans précédent », selon l'ONU. Pour les réclamations, prière de s’adresser aux néo-cons de Washington.
En Somalie, les aléas climatiques font peser la menace d'un nouveau désastre alimentaire. En 2011, la terrible famine consécutive à la sécheresse avait fait 260 000 morts. Cette vulnérabilité de l'agriculture vivrière reflète l'état de non-développement du pays, écartelé en une dizaine d'entités politiques rivales. Le règne sanglant des seigneurs de la guerre locaux, les interventions militaires étrangères (USA, Ethiopie, Kenya), l'influence croissante, sur fond de décomposition politique, de l'organisation islamiste radicale Al-Shabab, ont donné à ce pays l'indice de développement humain le plus faible de la planète. Depuis l'effondrement du régime marxiste de Syaad Barré en 1991, les structures étatiques se sont évanouies. L'économie est exsangue, le système éducatif délabré. La hausse des prix des denrées et la chute des revenus, aujourd'hui, font redouter le pire.
D'autres zones de tensions, hélas, suscitent l'inquiétude. Les conflits en cours en Syrie, en Irak, en Afghanistan, en Ukraine, en Libye, au Zimbabwe, bouleversent les conditions de vie et génèrent des flux migratoires. Certains pays, enfin, vivent dans une insécurité alimentaire chronique : la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, le Burundi, le Mali, le Niger. Ce n'est pas un hasard si la plupart de ces pays sont en proie à la guerre civile, au terrorisme et à l'intervention militaire étrangère. Le désordre qui y sévit est d’abord de nature politique et géopolitique. Loin d'être une fatalité, il résulte de causes endogènes et exogènes identifiables. La famine ne tombe pas sur les damnés de la terre comme frappe la foudre. C'est l'arme des puissants pour écraser les faibles.
C'est d’ailleurs en lisant ces articles que j'ai appris l'existence du Kit Urbain pour ce genre d'engin.
Une bonne partie des chars que je comptais volé on été envoyé à l'arabie saoudite.
Il ne reste plus que des chars de la gendarmerie en très bon état mais il faudra creuser pour les voler, et en sachant qu'ils sont enterrés dans des champs de miens bon courage !
La France a aussi vendu des arabes aux gentils rebelles syriens modérés mangeurs de foie, qui ont payé le tout avec l'argent du Qatar !
Sans parler de l'embargo...
Bruno Guigue (le Pantin chinois dont je parlais) écrira :
La famine, arme des forts contre les faibles
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1017205/programme-alimentaire-mondial-onu-yemen-nigeria-soudan-sud
Si on voulait vraiment la preuve que la faim n'est pas un accident climatique ou je ne sais quelle fatalité qui pèserait sur des contrées abandonnées des dieux, il suffirait de regarder la carte des famines à venir. Dressée par l'économiste en chef du Programme alimentaire mondial, Arif Husain, cette carte est édifiante. Selon lui, 20 millions de personnes risquent de mourir de faim dans quatre pays au cours des six prochains mois : le Yémen, le Nigéria, le Sud-Soudan et la Somalie (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle...). Or la cause majeure de cette insécurité alimentaire est politique. Quand elle n'a pas directement provoqué le chaos générateur du non-développement ou la rupture des approvisionnements, l’intervention étrangère a jeté de l’huile sur le feu. La guerre civile et le terrorisme y ont ruiné les structures étatiques, banalisant une violence endémique et provoquant l'exode des populations.
Au Yémen, les bombardements saoudiens, depuis mars 2015, ont généré un désastre humanitaire sans précédent. L'ONU s'alarme de la situation, mais c'est une résolution du conseil de sécurité qui a autorisé l'intervention militaire étrangère ! La fermeture de l'aéroport de Sanaa et l'embargo infligé par la coalition internationale ont privé la population de médicaments. Les stocks de blé baissent à vue d'œil. Les banques étrangères refusent les transactions financières avec les établissements locaux. 14 millions de personnes, soit 80 % de la population, ont besoin d'aide alimentaire, dont 2 millions sont en état d'urgence. 400 000 enfants souffrent de malnutrition. Jugée coupable de soutenir le mouvement houthi, la population yéménite est condamnée à mort. En fournissant son arsenal à Riyad, les puissances occidentales participent à ce crime de masse.
Au Nigéria, la situation chaotique dans laquelle est plongé le nord-est du pays gangrène toute la région. Des millions de personnes, fuyant les violences du groupe Boko Haram, s'entassent dans des camps de réfugiés. Totalement dépendants de l'aide humanitaire, ces populations « survivent par 50 °C, dans des huttes au toit de tôle, avec un point d'eau, des cuisines communes et un repas par jour », explique Arif Husain. Alimenté par la propagande saoudienne, le terrorisme défie aujourd'hui cet Etat, le plus peuplé du continent, qui comptera 440 millions d'habitants en 2050. Depuis la calamiteuse destruction de la Libye par l'OTAN, l'Afrique sub-saharienne est devenue le terrain de chasse préféré des djihadistes. La famine qui s'annonce est la conséquence directe de cette déstabilisation.
Au Sud-Soudan, la proclamation de l'indépendance, en 2011, a débouché sur une guerre civile où deux camps rivaux se disputent le contrôle des richesses énergétiques. Cet Etat sécessionniste, fragmenté, enclavé, coupé du nord auquel l'opposa une interminable guerre civile, est le fruit de la stratégie américaine. Cette création artificielle visait à contrecarrer l'influence du Soudan, inscrit de longue date sur la liste des « rogue states ». Porté sur les fonts baptismaux par Washington, qui a armé la guérilla sécessionniste de John Garang pendant 20 ans, le Sud-Soudan est aujourd'hui un champ de ruines. Depuis décembre 2013, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont été tuées. 2,5 millions ont fui leurs foyers et près de 5 millions font face à une insécurité alimentaire « sans précédent », selon l'ONU. Pour les réclamations, prière de s’adresser aux néo-cons de Washington.
En Somalie, les aléas climatiques font peser la menace d'un nouveau désastre alimentaire. En 2011, la terrible famine consécutive à la sécheresse avait fait 260 000 morts. Cette vulnérabilité de l'agriculture vivrière reflète l'état de non-développement du pays, écartelé en une dizaine d'entités politiques rivales. Le règne sanglant des seigneurs de la guerre locaux, les interventions militaires étrangères (USA, Ethiopie, Kenya), l'influence croissante, sur fond de décomposition politique, de l'organisation islamiste radicale Al-Shabab, ont donné à ce pays l'indice de développement humain le plus faible de la planète. Depuis l'effondrement du régime marxiste de Syaad Barré en 1991, les structures étatiques se sont évanouies. L'économie est exsangue, le système éducatif délabré. La hausse des prix des denrées et la chute des revenus, aujourd'hui, font redouter le pire.
D'autres zones de tensions, hélas, suscitent l'inquiétude. Les conflits en cours en Syrie, en Irak, en Afghanistan, en Ukraine, en Libye, au Zimbabwe, bouleversent les conditions de vie et génèrent des flux migratoires. Certains pays, enfin, vivent dans une insécurité alimentaire chronique : la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, le Burundi, le Mali, le Niger. Ce n'est pas un hasard si la plupart de ces pays sont en proie à la guerre civile, au terrorisme et à l'intervention militaire étrangère. Le désordre qui y sévit est d’abord de nature politique et géopolitique. Loin d'être une fatalité, il résulte de causes endogènes et exogènes identifiables. La famine ne tombe pas sur les damnés de la terre comme frappe la foudre. C'est l'arme des puissants pour écraser les faibles.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/bapteme-feu-char-leclerc-emirati-27355
Char leclerc utilisé par les émirat Arabe unis 2015...
Ma mémoire est un peu rouillé mais ça va, la date était bonne pas le lieu !
Quoi que ci c'était bien au Yémen le nom de cet image est :
uae_leclerc_main_battle_tanks_in_yemen_engaging_houthi_rebels_1.jpg
Et concernant l'embargo il arrive après une défaite militaire de l'arabie saoudite :
Ouioui c'est la bonne vidéo.
7:30
Char leclerc utilisé par les émirat Arabe unis 2015...
Ma mémoire est un peu rouillé mais ça va, la date était bonne pas le lieu !
Quoi que ci c'était bien au Yémen le nom de cet image est :
uae_leclerc_main_battle_tanks_in_yemen_engaging_houthi_rebels_1.jpg
Et concernant l'embargo il arrive après une défaite militaire de l'arabie saoudite :
Ouioui c'est la bonne vidéo.
7:30
Dernière édition par Plaristes le Ven 27 Nov - 12:11, édité 1 fois
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
Et tu sais pourquoi on vend des armes à toutes ces monarchies moisies et sanguinaires :
A cause du pétrole !
On a besoin de leur pétrole, et grâce au pétrole elles ont du pognon pour nous acheter des tombereaux d'armes.
Raison pour laquelle il faut être écologiste, et troquer le vélo pour la bagnole quand on peut, et consommer local !
A cause du pétrole !
On a besoin de leur pétrole, et grâce au pétrole elles ont du pognon pour nous acheter des tombereaux d'armes.
Raison pour laquelle il faut être écologiste, et troquer le vélo pour la bagnole quand on peut, et consommer local !
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
Pas toujours, pour Nasser c'était le canal de Suez !
Donc on ne l'a pas dégommé parce-qu'il avait du pétrole.
Le Vénézuela a aussi plus de pétrole que l’Arabie Saoudite & co...
Et les U.S.A leur vendent pas d'arme.
Donc il y a de la géopolitique dans l'air Francis15 Notamment autour d'un axe commercial Chinois.
Donc on ne l'a pas dégommé parce-qu'il avait du pétrole.
Le Vénézuela a aussi plus de pétrole que l’Arabie Saoudite & co...
Et les U.S.A leur vendent pas d'arme.
Donc il y a de la géopolitique dans l'air Francis15 Notamment autour d'un axe commercial Chinois.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Yémen Trump Ou Biden : Même merde !
Plaristes a écrit:Pas toujours, pour Nasser c'était le canal de Suez !
Donc on ne l'a pas dégommé parce-qu'il avait du pétrole.
Le canal de Suez c'est par où passent les pétroliers donc c'est pour du pétrole ...
En plus je ne vois pas trop le rapport entre les ventes d'armes aux état du Golfe et Nasser.
Plaristes a écrit:
Le Vénézuela a aussi plus de pétrole que l’Arabie Saoudite & co...
Non !
Il y a une très grosses différence c'est du pétrole de sables bitumineux, il est cher à extraire et polluant, une mauvaise affaire doublé d'une catastrophe écologique.
Le pétrole du Golfe est lui très facile à extraire et très peu couteux
Plaristes a écrit:
Et les U.S.A leur vendent pas d'arme.
Bah tu sais pourquoi je suppose, puiisque
1) Ils font peu de bénéfices vu que c'est un pétrole couteux
2) Quand le cours du pétrole était haut Chavez à préféré le dépenser en aides sociales qu'en armement (et c'est tout à son honneur)
Plaristes a écrit:
Donc il y a de la géopolitique dans l'air Francis15 Notamment autour d'un axe commercial Chinois.
Foutaise !
C'est uniquement question d'hydrocarbures, et de bons clients pour ces marchands d'armes qu'on ferait bien de recadrer !
Je te rappelle qu'a l'export l'un des principaux secteurs qui rapporte à la France c'est la fabrication d'armement, il n'y a vraiment pas de quoi en être fier surtout quand on sait à qui on les vend et contre qui c'est utilisé ...
Sans tout ce matos millitaire ces monarchies pétrolières s'écrouleront rapidement, du moins leur ambitions impérialistes seront réduites à néant ...
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
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