Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
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Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Entretien avec Sofia Kabbej
Ce mercredi 14 juillet, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé les mesures inclues dans son nouveau Green Deal afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Ce plan ambitieux n’a pourtant pas fait l’unanimité à l’échelle de l’Europe. Ces nouvelles directives seront-elles suffisantes sur le plan environnemental ? Impacteront-elles les relations de l’Europe avec le reste du monde ? Le point avec Sofia Kabbej, chercheuse à l’IRIS spécialisée sur les questions de gouvernance de la sécurité climatique et de géo ingénierie.
Le « Fit for 55 » annoncé par la Commission européenne le 14 juillet dernier constitue une étape intermédiaire vers l’objectif encore plus ambitieux, et contraignant, de neutralité climatique à 2050 du Pacte vert européen. En s’engageant à réduire d’au moins 55 % ses émissions d’ici 2030, l’Union européenne (UE) gagne en crédibilité quant à sa capacité à atteindre son objectif de long terme. Par ailleurs, ce paquet législatif couvre un ensemble de thématiques (énergie, transport, déchets, bâtiment et agriculture notamment), en faisant un dossier qui touche à tous les domaines d’action de l’UE.
On compte ainsi une douzaine de mesures – certaines déjà évoquées dans le Pacte vert, qui visent à permettre aux États membres de réduire leurs émissions au cours des dix prochaines années ainsi que leur dépendance aux énergies fossiles, pour y mettre fin. Parmi celles-ci, on note la révision du système d’échange de quotas d’émissions de l’UE (SEQUE-UE), la mise en place d’un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières ou encore la révision de la directive sur les énergies renouvelables, dont la part devrait être portée à 40 % de la consommation énergétique de l’UE d’ici 2030.
On note également des initiatives spécifiquement dédiées aux secteurs de l’aviation et du transport maritime avec pour objectif d’une part de favoriser l’usage de biocarburants de synthèse et d’autre part de réduire les émissions et d’imposer aux transporteurs de déclarer les types de navires et les carburants utilisés. Enfin, le plan prévoit de réduire de 55 % les émissions des nouveaux véhicules d’ici à 2030 et de 100 % d’ici à 2035, interdisant de fait la production de nouvelles voitures à essence et diesel dès 2035.
Bien qu’ambitieuses et accueillies globalement de manière positive, certaines mesures suscitent des inquiétudes quant à leurs répercussions sociales sur les populations les plus précaires. Le plan législatif de l’UE pourrait demander des efforts considérables aux Européens « ordinaires » en ne prenant pas suffisamment en compte les inégalités de revenu au sein et entre pays ou encore l’augmentation des émissions des Européens les plus riches. Les dispositions prévues par « Fit for 55 » impacteront également de manière plus importante les États les plus dépendants des énergies fossiles, comme la Pologne.
Ce faisant, une question centrale demeurera celle des mesures sociales qui accompagneront les dispositions prévues par un plan législatif reposant majoritairement sur la tarification du carbone. À cet effet, le Climate Social Fund proposé répond en partie au défi avec une enveloppe de 72,2 millions d’euros entre 2025 et 2032. Pour certains, ce montant est insatisfaisant, tant la structure même du fond peut être remise en question dans la mesure où seule une partie sera dédiée à la compensation sociale. À noter que les États membres devront soumettre des plans climat sociaux aux côtés de leurs plans énergétiques et climatiques à 2024. Une question subsiste donc quant aux conséquences des capacités institutionnelles disparates au sein de l’Union.
Au-delà des conséquences sociales, l’objectif de réduction des émissions à -55 % d’ici 2030 est lui-même remis en question par certaines organisations de la société civile, dont le Climate Action Network (CAN) ou Oxfam, qui considèrent que l’Union devrait porter son objectif de réduction à 2030 à au moins -65 % pour s’aligner avec l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation de la température à +1,5°C.
Concernant la capacité à mettre en œuvre ce plan, il est important de noter que le processus législatif qui s’ouvre pour les deux prochaines années promet d’être compliqué. Tandis que certaines dispositions feront l’objet d’examen par le Conseil et le Parlement européen, les réformes fiscales seront soumises au vote à l’unanimité. Les deux prochaines années constituent donc un défi pour l’UE, qui devra démontrer sa capacité à coopérer en interne malgré des intérêts nationaux parfois divergents.
Au cours des derniers mois, de nombreux pays, dont le Royaume-Uni ou la Chine se sont également engagés à atteindre la neutralité climatique, à différentes échéances proches de la moitié du XXIe siècle. Ces engagements ont souvent été reçus positivement, sans grande attention donnée à leur crédibilité. Compte tenu de l’échec de la communauté internationale à réduire les émissions depuis l’adoption de l’Accord de Paris en 2015, atteindre une neutralité à 2050 nécessite une réduction drastique des émissions d’ici 2030.
À ce titre, les réductions d’émissions combinées prévues à 2030 sur la base des nouvelles feuilles de route soumises par les États dans le cadre de la COP26 sont largement insuffisantes pour rester sous le seuil des 1,5°C : 1 % de réduction à 2030, contre les 45 % nécessaires. C’est en cela que le « Fit for 55 » constitue un avantage pour l’UE dans la bataille pour le leadership sur la question climatique, et pourrait permettre d’encourager d’autres États à aligner leurs législations. En outre, avec ces mesures et les transformations sociétales qui les accompagnent, l’UE continuera de se positionner comme puissance normative en la matière.
Parmi les mesures proposées, certaines auront également un impact sur la relation de l’Union avec le reste du monde – au premier rang desquels le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières, qui pourrait être considéré par certains comme une mesure protectionniste. Pour l’instant, le mécanisme propose de couvrir les secteurs les plus émetteurs (aluminium, acier, ciment, etc.). Or, ces dispositions pourraient impacter de manière disproportionnée les pays exportateurs de ces matières, notamment africains (Mozambique, Ghana, Zambie par exemple).
Il conviendra donc de voir la manière dont les diplomates européens feront passer ces mesures auprès de leurs partenaires, par exemple à travers des exemptions à l’égard des pays les moins développés – mais aussi plus largement, auprès de l’Organisation mondiale du commerce.
Ce mercredi 14 juillet, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé les mesures inclues dans son nouveau Green Deal afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Ce plan ambitieux n’a pourtant pas fait l’unanimité à l’échelle de l’Europe. Ces nouvelles directives seront-elles suffisantes sur le plan environnemental ? Impacteront-elles les relations de l’Europe avec le reste du monde ? Le point avec Sofia Kabbej, chercheuse à l’IRIS spécialisée sur les questions de gouvernance de la sécurité climatique et de géo ingénierie.
Le « Fit for 55 » annoncé par la Commission européenne le 14 juillet dernier constitue une étape intermédiaire vers l’objectif encore plus ambitieux, et contraignant, de neutralité climatique à 2050 du Pacte vert européen. En s’engageant à réduire d’au moins 55 % ses émissions d’ici 2030, l’Union européenne (UE) gagne en crédibilité quant à sa capacité à atteindre son objectif de long terme. Par ailleurs, ce paquet législatif couvre un ensemble de thématiques (énergie, transport, déchets, bâtiment et agriculture notamment), en faisant un dossier qui touche à tous les domaines d’action de l’UE.
On compte ainsi une douzaine de mesures – certaines déjà évoquées dans le Pacte vert, qui visent à permettre aux États membres de réduire leurs émissions au cours des dix prochaines années ainsi que leur dépendance aux énergies fossiles, pour y mettre fin. Parmi celles-ci, on note la révision du système d’échange de quotas d’émissions de l’UE (SEQUE-UE), la mise en place d’un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières ou encore la révision de la directive sur les énergies renouvelables, dont la part devrait être portée à 40 % de la consommation énergétique de l’UE d’ici 2030.
On note également des initiatives spécifiquement dédiées aux secteurs de l’aviation et du transport maritime avec pour objectif d’une part de favoriser l’usage de biocarburants de synthèse et d’autre part de réduire les émissions et d’imposer aux transporteurs de déclarer les types de navires et les carburants utilisés. Enfin, le plan prévoit de réduire de 55 % les émissions des nouveaux véhicules d’ici à 2030 et de 100 % d’ici à 2035, interdisant de fait la production de nouvelles voitures à essence et diesel dès 2035.
Bien qu’ambitieuses et accueillies globalement de manière positive, certaines mesures suscitent des inquiétudes quant à leurs répercussions sociales sur les populations les plus précaires. Le plan législatif de l’UE pourrait demander des efforts considérables aux Européens « ordinaires » en ne prenant pas suffisamment en compte les inégalités de revenu au sein et entre pays ou encore l’augmentation des émissions des Européens les plus riches. Les dispositions prévues par « Fit for 55 » impacteront également de manière plus importante les États les plus dépendants des énergies fossiles, comme la Pologne.
Ce faisant, une question centrale demeurera celle des mesures sociales qui accompagneront les dispositions prévues par un plan législatif reposant majoritairement sur la tarification du carbone. À cet effet, le Climate Social Fund proposé répond en partie au défi avec une enveloppe de 72,2 millions d’euros entre 2025 et 2032. Pour certains, ce montant est insatisfaisant, tant la structure même du fond peut être remise en question dans la mesure où seule une partie sera dédiée à la compensation sociale. À noter que les États membres devront soumettre des plans climat sociaux aux côtés de leurs plans énergétiques et climatiques à 2024. Une question subsiste donc quant aux conséquences des capacités institutionnelles disparates au sein de l’Union.
Au-delà des conséquences sociales, l’objectif de réduction des émissions à -55 % d’ici 2030 est lui-même remis en question par certaines organisations de la société civile, dont le Climate Action Network (CAN) ou Oxfam, qui considèrent que l’Union devrait porter son objectif de réduction à 2030 à au moins -65 % pour s’aligner avec l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation de la température à +1,5°C.
Concernant la capacité à mettre en œuvre ce plan, il est important de noter que le processus législatif qui s’ouvre pour les deux prochaines années promet d’être compliqué. Tandis que certaines dispositions feront l’objet d’examen par le Conseil et le Parlement européen, les réformes fiscales seront soumises au vote à l’unanimité. Les deux prochaines années constituent donc un défi pour l’UE, qui devra démontrer sa capacité à coopérer en interne malgré des intérêts nationaux parfois divergents.
Au cours des derniers mois, de nombreux pays, dont le Royaume-Uni ou la Chine se sont également engagés à atteindre la neutralité climatique, à différentes échéances proches de la moitié du XXIe siècle. Ces engagements ont souvent été reçus positivement, sans grande attention donnée à leur crédibilité. Compte tenu de l’échec de la communauté internationale à réduire les émissions depuis l’adoption de l’Accord de Paris en 2015, atteindre une neutralité à 2050 nécessite une réduction drastique des émissions d’ici 2030.
À ce titre, les réductions d’émissions combinées prévues à 2030 sur la base des nouvelles feuilles de route soumises par les États dans le cadre de la COP26 sont largement insuffisantes pour rester sous le seuil des 1,5°C : 1 % de réduction à 2030, contre les 45 % nécessaires. C’est en cela que le « Fit for 55 » constitue un avantage pour l’UE dans la bataille pour le leadership sur la question climatique, et pourrait permettre d’encourager d’autres États à aligner leurs législations. En outre, avec ces mesures et les transformations sociétales qui les accompagnent, l’UE continuera de se positionner comme puissance normative en la matière.
Parmi les mesures proposées, certaines auront également un impact sur la relation de l’Union avec le reste du monde – au premier rang desquels le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières, qui pourrait être considéré par certains comme une mesure protectionniste. Pour l’instant, le mécanisme propose de couvrir les secteurs les plus émetteurs (aluminium, acier, ciment, etc.). Or, ces dispositions pourraient impacter de manière disproportionnée les pays exportateurs de ces matières, notamment africains (Mozambique, Ghana, Zambie par exemple).
Il conviendra donc de voir la manière dont les diplomates européens feront passer ces mesures auprès de leurs partenaires, par exemple à travers des exemptions à l’égard des pays les moins développés – mais aussi plus largement, auprès de l’Organisation mondiale du commerce.
FAB42- Chef
- Messages : 1762
Date d'inscription : 17/08/2013
Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Le Green new deal c'est du développement (capitaliste) durable.
https://tendanceclaire.org/utils/pdf.php?id=861
Tout est dans ce lien !
https://tendanceclaire.org/utils/pdf.php?id=861
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Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
La neutralité carbone est utopique et probablement inutile (ce n'est probablement pas le CO2 la source du réchauffement).
Mais si c'est effectivement le CO2 la source, on est déjà foutus et il faut impérativement trouver des moyens pour refroidir la planète.
Et comme, dans la cas où le réchauffement ne serait pas du au CO2, il faudrait aussi utiliser ces moyens, et bien c'est ce qu'on devrait faire plutôt que courrir après des idées farfelues. Non, rouler à vélo au lieu de prendre la voiture n'aura aucun impact climatique et même minime, il pourrait être en fait inverse (la voiture roulant à l'essence est super-efficace par rapport à sa consommation).
Pour info, un piéton, sur le même parcours, émet autant de CO2 au cours de sa marche, pour aller faire ses courses dans une ville, qu'un voiture moderne, hybride non rechargeable (donc 100% essence). Mais les services rendus ne sont pas du même ordre.
Quand on vous dit ça (facile à calculer), pensez à Hidalgo et à votre maire qui veut vous interdire de rouler en voiture.
Mais si c'est effectivement le CO2 la source, on est déjà foutus et il faut impérativement trouver des moyens pour refroidir la planète.
Et comme, dans la cas où le réchauffement ne serait pas du au CO2, il faudrait aussi utiliser ces moyens, et bien c'est ce qu'on devrait faire plutôt que courrir après des idées farfelues. Non, rouler à vélo au lieu de prendre la voiture n'aura aucun impact climatique et même minime, il pourrait être en fait inverse (la voiture roulant à l'essence est super-efficace par rapport à sa consommation).
Pour info, un piéton, sur le même parcours, émet autant de CO2 au cours de sa marche, pour aller faire ses courses dans une ville, qu'un voiture moderne, hybride non rechargeable (donc 100% essence). Mais les services rendus ne sont pas du même ordre.
Quand on vous dit ça (facile à calculer), pensez à Hidalgo et à votre maire qui veut vous interdire de rouler en voiture.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Qui te dis qu'on en risque pas le refroidissement climatique?
C'était la théorie originale du mec à la base.
Le mec qui nous a pondu le réchauffement climatique il parlait de ça avant.
C'était la théorie originale du mec à la base.
Le mec qui nous a pondu le réchauffement climatique il parlait de ça avant.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
On va voir pour le cycle 25.
Mais un réchauffement peut venir de diverses sources.
On commence à avoir une idée dessus mais le méthane est une bien plus efficace gaz à effet de serre que le Co2, très médiocre en fait.
Et le méthane ne sort pas que du dessous de la queue des vaches. Les tréfonds de la Terre génère de nombreuses sources de méthane avec une grande variabilité d'émissions qu'on n'a jamais réussi à comprendre et prévoir. Ces gaz sortiraient du manteau ou serait fabriqué au niveau de la croute, on ne sait pas bien, donc des sources abiotiques en plus des sources issues de processus biologiques.
Les écolos arrivent à mettre en doute le pétrole abiotique, mais sont incapables d'en faire autant avec le méthane. Moi je pense que les deux sources sont principalement abiotiques.
Autre hypothèse au niveau du méthane : un réchauffement d'origine non résolue amène le permafrost à libérer du méthane qui accélère le réchauffement.
N'importe comment on sait que des telles périodes chaudes ont existé, tout comme des périodes très froides. Il est fortement probable que le soleil a pris sa part de responsabilité à chaque fois.
On n'a actuellement pas de référence capable de trouver une période solaire aussi active qu'au cours de ces 50 et même 100 dernières années, crescendo, avec un pic autour de l'an 2000, durant notre histoire et préhistoire proche.
Mais un réchauffement peut venir de diverses sources.
On commence à avoir une idée dessus mais le méthane est une bien plus efficace gaz à effet de serre que le Co2, très médiocre en fait.
Et le méthane ne sort pas que du dessous de la queue des vaches. Les tréfonds de la Terre génère de nombreuses sources de méthane avec une grande variabilité d'émissions qu'on n'a jamais réussi à comprendre et prévoir. Ces gaz sortiraient du manteau ou serait fabriqué au niveau de la croute, on ne sait pas bien, donc des sources abiotiques en plus des sources issues de processus biologiques.
Les écolos arrivent à mettre en doute le pétrole abiotique, mais sont incapables d'en faire autant avec le méthane. Moi je pense que les deux sources sont principalement abiotiques.
Autre hypothèse au niveau du méthane : un réchauffement d'origine non résolue amène le permafrost à libérer du méthane qui accélère le réchauffement.
N'importe comment on sait que des telles périodes chaudes ont existé, tout comme des périodes très froides. Il est fortement probable que le soleil a pris sa part de responsabilité à chaque fois.
On n'a actuellement pas de référence capable de trouver une période solaire aussi active qu'au cours de ces 50 et même 100 dernières années, crescendo, avec un pic autour de l'an 2000, durant notre histoire et préhistoire proche.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Autre détail au sujet de l'écologie décarboniste : l'affaire des construction en bois avec l'encouragement au stockage carbone pour vos futures maisons cabanes, est une fumisterie inventée par les pays gros vendeurs de bois, le Canada, la Suède, pour commencer. Les calculs qu'ils nous mettent en avant le stockage carbone en bâtissant en bois (et que vous retrouvez recopiés à l'Ademe qui va vous gaver de cette intox) est basé sur un bidonnage de chiffres, des oublis incroyables, et un jargon imbitable destiné à vous enfumer.
Il faut savoir que la plupart des forêts, en commençant pas celles de conifères, sont négative en carbone pour ce qui relève de l'atmosphère. Elles tirent leur carbone du sol. Le calcaire par exemple c'est du carbonate de calcium par exemple. Certains arbres en fabriquent indirectement et d'autres en consomment. Il y a des cycles dans les forêts et chaque forêt d'un type se nourrit du rterrain favorable qu'elle trouve et siparait pour être remplacée par le type de forêt qui tire parti du nouveau terrain préparé par la précédente et ainsi de suite. Dans ces cycles il peut y avoir de la prairie ou d'autres végétations. On ne maîtrise pas encore bien ces cycles et surtout leur impact carbone... alors la forêt la moins intéressante au niveau carbone, d'épineux, accélérée à coups d'engrais, est probablement ce qu'il y a de pire niveau lutte contre le Co2. En sachant de plus que ces arbres n'ont pas la tenue d'un chêne, et donc finiront au bout de quelques dizaines d'années au rebut, à pourrir en émettant du méthane, ou en feu de bois, il y a fort à parier que sur un siècle, le bilan de ces construction bois soit totalement négatif.
L'avenir non carboné dans la construction c'est le béton bas carbone ou décarboné ou bien les matériaux minéraux extraits et transformés, fabriqués et transportés à l'aide d'énergie électrique. Le bois devrait en être proscrit, hormis pour le mobilier de valeur qu'on gardera des siècles.
Il faut savoir que la plupart des forêts, en commençant pas celles de conifères, sont négative en carbone pour ce qui relève de l'atmosphère. Elles tirent leur carbone du sol. Le calcaire par exemple c'est du carbonate de calcium par exemple. Certains arbres en fabriquent indirectement et d'autres en consomment. Il y a des cycles dans les forêts et chaque forêt d'un type se nourrit du rterrain favorable qu'elle trouve et siparait pour être remplacée par le type de forêt qui tire parti du nouveau terrain préparé par la précédente et ainsi de suite. Dans ces cycles il peut y avoir de la prairie ou d'autres végétations. On ne maîtrise pas encore bien ces cycles et surtout leur impact carbone... alors la forêt la moins intéressante au niveau carbone, d'épineux, accélérée à coups d'engrais, est probablement ce qu'il y a de pire niveau lutte contre le Co2. En sachant de plus que ces arbres n'ont pas la tenue d'un chêne, et donc finiront au bout de quelques dizaines d'années au rebut, à pourrir en émettant du méthane, ou en feu de bois, il y a fort à parier que sur un siècle, le bilan de ces construction bois soit totalement négatif.
L'avenir non carboné dans la construction c'est le béton bas carbone ou décarboné ou bien les matériaux minéraux extraits et transformés, fabriqués et transportés à l'aide d'énergie électrique. Le bois devrait en être proscrit, hormis pour le mobilier de valeur qu'on gardera des siècles.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Jeannot Lapin a écrit:ce n'est probablement pas le CO2 la source du réchauffement
Sauf que si, en tout cas les scientifiques ne voient pas ce que ça pourrait être d'autre, car ce n'est ni le soleil ni un changement d'orbite ....
Jeannot Lapin a écrit:
Mais si c'est effectivement le CO2 la source, on est déjà foutus et il faut impérativement trouver des moyens pour refroidir la planète.
Bin il semble que si on arrête les conneries ça devrait suffire ...
Jeannot Lapin a écrit:
Et comme, dans la cas où le réchauffement ne serait pas du au CO2, il faudrait aussi utiliser ces moyens, et bien c'est ce qu'on devrait faire plutôt que courrir après des idées farfelues. Non, rouler à vélo au lieu de prendre la voiture n'aura aucun impact climatique et même minime, il pourrait être en fait inverse (la voiture roulant à l'essence est super-efficace par rapport à sa consommation)..
En tout cas il faut réduire. C'est pas en important des marchandises par avion de l'autre bout de la terre qu'on va y arranger ...
Jeannot Lapin a écrit:
Pour info, un piéton, sur le même parcours, émet autant de CO2 au cours de sa marche, pour aller faire ses courses dans une ville, qu'un voiture moderne, hybride non rechargeable (donc 100% essence). Mais les services rendus ne sont pas du même ordre.
Ah mais l'idée ce n'est pas d'aller chercher ses tomates en Espagne à pied, l'idée c'est de les produire sur place pour ne pas avoir à les importer ... (et s'en passer si on ne le peut pas)
...
Sinon vous racontez quand même beaucoup n'importe quoi, le béton niveau émission de CO2 c'est une cata, et je suis désolé les arbres même les conifères tirent leur carbonne de l'air par photosynthèse même si pas que, enfin le bois utilisé en construction stocke le carbone en lui, même si biensûr on a du couper un arbre pour ça (il suffit d'en replanter) ...
Sinon c'est les mangroves qui stockent le plus de CO2 ...
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Soyons précis :Francis XV a écrit:Jeannot Lapin a écrit:ce n'est probablement pas le CO2 la source du réchauffement
Sauf que si, en tout cas les scientifiques ne voient pas ce que ça pourrait être d'autre, car ce n'est ni le soleil ni un changement d'orbite ....
Forcément, et c'est pour justifier l'existence de ces organismes et associations. Quand aux conneries, c'est l'existence humaine qui en est la cause. Avec 10 milliards de Cro-Magnons on en serait au même point. Or le retour à l'âge de pierre, c'est ce que préconisent les écolos.Jeannot Lapin a écrit:
Mais si c'est effectivement le CO2 la source, on est déjà foutus et il faut impérativement trouver des moyens pour refroidir la planète.
Bin il semble que si on arrête les conneries ça devrait suffire ...
Non, la solution c'est PRODUIRE !!!Jeannot Lapin a écrit:
Et comme, dans la cas où le réchauffement ne serait pas du au CO2, il faudrait aussi utiliser ces moyens, et bien c'est ce qu'on devrait faire plutôt que courrir après des idées farfelues. Non, rouler à vélo au lieu de prendre la voiture n'aura aucun impact climatique et même minime, il pourrait être en fait inverse (la voiture roulant à l'essence est super-efficace par rapport à sa consommation)..
En tout cas il faut réduire. C'est pas en important des marchandises par avion de l'autre bout de la terre qu'on va y arranger ...
Produire de l'énergie nucléaire à foison pour faire baisser le prix de l'énergie et qu'on puisse par exemple produire des panneaux réfléchissants qui recouvrirait une bonne partie du Sahara et d'autres déserts dans le monde, notamment dans les parties brunes. En fait, si on le faisait on réduirait drastiquement la température au point qu'il ne faudrait pas aller trop loin.
Il faut un peu réfléchir. je parle d'aller faire ses courses en voiture ou à pied. Je parle pas commerce international. D'ailleurs transporter des tomates vertes (le temps qu'elles murissent sans pour autant avoir du gout - comme on les mange actuellement), pendant une semaine avec des transports peu coûteux et peu émissifs ne compte pour rien. Ce qui compte c'est l'effort de les cueillir, de les charger, de les mettre sur les étals et d'aller faire les courses pour les acheter. Mais en fait, c'est un truc qui est comptabilisé nulle part, à part pour raconter qu'il faut arrêter d'aller faire ses courses avec son 4x4x à 500m de chez soi (les politiciens s'était emparés de ce détail comme exemple). Et bien justement, il se pourrait qu'on émette moins de CO2 en ce faisant !Jeannot Lapin a écrit:
Pour info, un piéton, sur le même parcours, émet autant de CO2 au cours de sa marche, pour aller faire ses courses dans une ville, qu'un voiture moderne, hybride non rechargeable (donc 100% essence). Mais les services rendus ne sont pas du même ordre.
Ah mais l'idée ce n'est pas d'aller chercher ses tomates en Espagne à pied, l'idée c'est de les produire sur place pour ne pas avoir à les importer ... (et s'en passer si on ne le peut pas)
...
Idée simpliste. Le carbone contenu dans le bois est en partie extrait du sol, où il était déjà stocké... et le travail du bois et son transport sont actuellement et pour longtemps totalement hors de proportion au niveau des émissions par rapport au soi-disant stockage. j'ajouterai, que ce qu'on ne dit pas, c'est que certaines forêts destinées à la production de bois, reçoivent des engrais et ces engrais sont en grande partie à base d'hydrocarbures justement pour apporter du carbone...
Sinon vous racontez quand même beaucoup n'importe quoi, le béton niveau émission de CO2 c'est une cata, et je suis désolé les arbres même les conifères tirent leur carbonne de l'air par photosynthèse même si pas que, enfin le bois utilisé en construction stocke le carbone en lui, même si biensûr on a du couper un arbre pour ça (il suffit d'en replanter) ...
Sinon c'est les mangroves qui stockent le plus de CO2 ...
Avec cette affaire de stockage carbone en construisant en bois, on marche complètement sur la tête. Quand on lit les argumentaires chiffrés de l'industrie du bois (Québecoise par exemple), c'est une délire d'oublis et de formulations mensongères, pour arriver en fin de compte un peu mieux que le béton, mais traditionnel, celui super-émetteur de CO2, alors qu'on sait faire du béton bas carbone qui n'a plus rien avoir...
Et ces bêtise reprises par Macron et mises en applications dans la foulée par les réglementations de sa ministre de l'écologie.
Il n'y jamais de contre expertise à ces affirmations, mais des mises en demeure pour ceux qui en demandent et se posent des questions...
Bref, je me demande quand de vrais scientifiques vont se fâcher et prendre les choses en main. Il est probable que le manque de science avec laquelle a été traité cette pandémie va faire basculer les crédules qui vont commencer à demander des explications et ne plus avaler toutes les âneries écolo dont on les gave quotidiennement.
Tiens un truc de propagande bien visible : la température. A Paris, j'ai chez mes parents depuis toujours un thermomètre posté à côté de la fenêtre sur la jardin intérieur. Et bien la température officielle à Paris, dans les années 70 était toujours inférieure d'environ 2 degrés à la température du jardin. Aujourd'hui c'est l'inverse. Comment se fait-ce ? Car les comparaisons se font sans vergogne avec cette époque là pour évoquer un réchauffement substantiel.
Et idem pour le calcul des particules à Paris : on sait très bien que ce décompte n'a rien avoir avec les émissions des voitures et l'arrêt de la circulation dans ces cas n'a strictement aucun impact sur la vraie cause : une vent qui nous vient des zones industrielles allemandes et belges (qui se sont gardés une industrie, eux) et les particules issues des épandages agricoles.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Fab42 a écrit:On compte ainsi une douzaine de mesures – le Pacte vert, réduire leurs émissions au cours des dix prochaines années ainsi que leur dépendance aux énergies fossiles, pour y mettre fin.
PROFITS et RIEN D'AUTRE
Fab42 a écrit:
Parmi celles-ci, on note la révision du système d’échange de quotas d’émissions de l’UE (SEQUE-UE), la mise en place d’un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières ou encore la révision de la directive sur les énergies renouvelables, dont la part devrait être portée à 40 % de la consommation énergétique de l’UE d’ici 2030.
Ceux qui achetaient jadis des quotas carbones sont les mêmes qui pourront continuer de polluer sans être inquiéter. Aucun investissement n'est envisagé dans les énergies renouvelables car elles ne sont pas assez rentables et surtout ne permettent pas de répondre aux besoins énergétiques actuels, contrairement au nucléaire.
Fab42 a écrit:
On note également des initiatives spécifiquement dédiées aux secteurs de l’aviation et du transport maritime avec pour objectif d’une part de favoriser l’usage de biocarburants de synthèse et d’autre part de réduire les émissions et d’imposer aux transporteurs de déclarer les types de navires et les carburants utilisés. Enfin, le plan prévoit de réduire de 55 % les émissions des nouveaux véhicules d’ici à 2030 et de 100 % d’ici à 2035, interdisant de fait la production de nouvelles voitures à essence et diesel dès 2035.
Quand je lis le mot favoriser, je rigole encore, c'est du vent, l'objectif est uniquement de faire payer encore les consommateurs alors que se sont les entreprises qui polluent le plus.
La seule chose positive, c'est de ne plus donner d'argent aux détenteurs du pétrole.
Et ce ne sont pas des diplomates, ce sont des lobbys pourris
nik0- Postulant
- Messages : 473
Date d'inscription : 13/06/2021
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Jeannot Lapin a écrit:
Soyons précis :lescertains scientifiques.
Comme qui ?
Je vous renvoie au travaux de Jean Lilisten, astronome spécialiste européen du soleil et des éruptions solaires directeur de l'IPAG, qui a étudié la question de long en large :
Le Soleil se comporte donc comme une étoile plutôt placide et ne montre aucune tendance à la hausse susceptible d’expliquer le réchauffement actuel. Au contraire, depuis une dizaine d’années, le Soleil a plutôt tendance à perdre un peu de son éclat alors que le réchauffement climatique va en s’accélérant.
https://www.echosciences-centre-valdeloire.fr/communautes/fete-de-la-science/articles/l-activite-solaire-influence-t-elle-le-rechauffement-climatique
Jeannot Lapin a écrit:
Et ceux qui sont pas dac ont intérêt à la fermer parce que sinon on leur retire leur médaille ou on les met à la retraite anticipée...
FOUTAISE !
Jeannot Lapin a écrit:Avec 10 milliards de Cro-Magnons on en serait au même point. Or le retour à l'âge de pierre, c'est ce que préconisent les écolos.
C'est sûr que si c'est comme ça que vous le prenez il n'y aucune solution au problème, ne reste plus qu'a se le prendre dans la gueule ...
Jeannot Lapin a écrit:
Non, la solution c'est PRODUIRE !!!
Jeannot Lapin a écrit:
Produire de l'énergie nucléaire à foison pour faire baisser le prix de l'énergie et qu'on puisse par exemple produire des panneaux réfléchissants qui recouvrirait une bonne partie du Sahara et d'autres déserts dans le monde, notamment dans les parties brunes. En fait, si on le faisait on réduirait drastiquement la température au point qu'il ne faudrait pas aller trop loin.
Si tout le monde ce met à vouloir produire du nucléaire, outre la prolifération et la possibilité d'armes de destruction massive entre les mains de régimes peut recommandable (Iran, Turquie ...). On va rapidement avoir un problème de manque de ressource. Donc sans être "contre" le nucléaire, il faut dans tout les cas consommer moins et surtout gaspiller moins ...
Jeannot Lapin a écrit:
Il faut un peu réfléchir. je parle d'aller faire ses courses en voiture ou à pied. Je parle pas commerce international.
D'ailleurs transporter des tomates vertes (le temps qu'elles murissent sans pour autant avoir du gout - comme on les mange actuellement), pendant une semaine avec des transports peu coûteux et peu émissifs ne compte pour rien.
Ce qui compte c'est l'effort de les cueillir, de les charger, de les mettre sur les étals et d'aller faire les courses pour les acheter.
Vous racontez vraiment n'importe quoi ! Une tomate qui fait 2000 bornes ça demande moins d'énergie que d'aller la cueillir dans un jardin à 2km qu'il dit l'autre ... Nan mais vous vous rendez compte de l'énormité des conneries que vous pouvez raconter ?
Le commerce international est justement une des principales sources d'emission de CO2. Il faut qu'il cesse ou n'utilise que des moyens de transports décarbonnés (Voiliers, Cargos a propulsion nucléaire ...)
Jeannot Lapin a écrit:
Idée simpliste.
C'est vous qu'êtes simpliste et même simplet
Mais Portenawak ! A se demander si vous avez été à l'école un jour ... La Photosynsthèse ça ne vous dit rien ?Jeannot Lapin a écrit:
Le carbone contenu dans le bois est en partie extrait du sol, où il était déjà stocké
Jeannot Lapin a écrit:
... et le travail du bois et son transport sont actuellement et pour longtemps totalement hors de proportion au niveau des émissions par rapport au soi-disant stockage.
Si vous parlez du commerce international peut-être, mais en local ce n'est pas le cas, et surtout si on compare à la production de ciment qui est extrêment énergivore.
Jeannot Lapin a écrit:
j'ajouterai, que ce qu'on ne dit pas, c'est que certaines forêts destinées à la production de bois, reçoivent des engrais et ces engrais sont en grande partie à base d'hydrocarbures justement pour apporter du carbone...
Decidement retournez à l'école ou instruisez vous sur Wikipedia, l'engrais ce n'est pas du carbone qu'il apporte au végétaux, c'est du phospore de l'azote de la potasse ça oui ... qu'il demande du carbonne pour sa fabrication ou son transport OK
Et bien alors il ne faut pas en mettre des engrais ! Jje n'ai jamais prétendu qu'on devait planter juste pour l'exploitation économique, le but c'est aussi d'avoir des forêts durables.
Jeannot Lapin a écrit:
alors qu'on sait faire du béton bas carbone qui n'a plus rien avoir...
Sans déconner ? Mettez moi le lien, parceque si ça existe vraiment du béton sans carbonne je vais en acheter ...
Ca n'existe pas !!!!!!
Jeannot Lapin a écrit:
Bref, je me demande quand de vrais scientifiques vont se fâcher et prendre les choses en main.
Les vrai scientifiques Maternelle +5 comme Jeannot Lapin ?
Jeannot Lapin a écrit:
Tiens un truc de propagande bien visible : la température. A Paris, j'ai chez mes parents depuis toujours un thermomètre posté à côté de la fenêtre sur la jardin intérieur. Et bien la température officielle à Paris, dans les années 70 était toujours inférieure d'environ 2 degrés à la température du jardin. Aujourd'hui c'est l'inverse. Comment se fait-ce ? Car les comparaisons se font sans vergogne avec cette époque là pour évoquer un réchauffement substantiel.
Il me semble avoir évoqué plus haut que la France métropolitaine était peu touché par le rechauffement climatique (si ce n'est en termes d'innondations). Par contre d'autres pays Morflent en ce moment même voir mega-incendie aux USA, Canada, Australie ...
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Le Green Deal européen : une voie ambitieuse vers la neutralité carbone ?
Contre les méga-incendies, ces pays n'ont qu'à ne plus écouter les écolos et recommencer à débroussailler.Francis XV a écrit:Il me semble avoir évoqué plus haut que la France métropolitaine était peu touché par le rechauffement climatique (si ce n'est en termes d'inondations). Par contre d'autres pays Morflent en ce moment même voir mega-incendie aux USA, Canada, Australie ...
Jeannot Lapin- Sage
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Date d'inscription : 31/07/2021
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