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LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
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LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
1 800 000 travailleurs de plus sous contrainte
LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Ce rêve du capital, cette lubie de la Macronie conquérante, va se fracasser comme toutes ses semblables sur le mur – certes fragilisé par des atermoiements et fausses pistes qui sont notre lot électoraliste quotidien – des réalités systémiques.
Au-delà du cadeau fait aux actionnaires des labos en maintenant la propriété privée des brevets et en imposant simultanément une 3e dose, tous les salariés, bénévoles, prestataires, intérimaires, sous-traitants, à partir du lundi 30 août, travaillant dans les établissements où le pass sanitaire (en abrégé, PS, tout un symbole) est déjà demandé aux usagers y sont désormais obligatoirement soumis.
La mesure est ciblée, sélective.
Moins de droits pour les salariés, la panoplie coercitive à disposition du patronat et des autorités à son service se renforce d’une disposition qui ne pèse que sur le monde du travail. Ils sont 1 800 000 qui voient l’exercice de leur contrat de travail conditionné par une obligation de « pass sanitaire » qui ne s’applique pas à l’ensemble des citoyens.
La question n’est pas le vaccin, objet de toutes les vénérations ou de tous les ressentiments, mais l’usage idéologique qui est fait d’une situation sanitaire créée avant tout par une mondialisation économique capitaliste faisant sauter toutes les barrières y compris sanitaires pour faire que la vitesse de circulation du capital permette toujours plus intensément son accumulation et gonfle les profits.
C’est aussi en France les critères imposés par un système d’état pour assurer la réponse aux desiderata des plus nantis par la contrainte sur ceux qui ne le sont pas. Si aller au musée ou au stade est un choix, ceux qui y accueillent les visiteurs n’ont pas ce choix. En notant que simultanément le patronat fait feu de tout bois pour se désengager de sa responsabilité pour couvrir les risques professionnels.
Ne pas partir de cette réalité concrète permet à tous les charlatans de monter leur pièce montée idéologique où les choux sont farcis à la crème rance de résignation parfumée à l’extrait amer de fatalité.
Si ce « passe sanitaire » conditionne l’accès au lieu de culture et autres commerces voire services relève du choix et du bon vouloir de chacun ceux qui y exercent leur activité salarié pour répondre à ceux qui font ce choix de »vient une obligation suspensive de la rémunération et à terme une cause déclarée légitime de licenciement.
C’est de fait l’instauration d’un nouveau point d’inégalité de traitement entre les citoyens qui frappe exclusivement la part de ceux qui sont déjà sous la contrainte de ce que la loi énonce comme un lien de subordination.
Si la vaccination est de loin et dans la période la quasi-unique solution pour bloquer la propagation de la maladie et faite diminuer le nombre de décès cette façon de l’imposer à partir de critère de classe liés au statut social de ceux qui doivent s’y soumettre est un marqueur de la nature de cette société qui rajoute ainsi une raison de plus pour la subvertir pour supprimer ce rapport social d’exploitation qui se nomme le capitalisme.
Par Canaille Lerouge
LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Ce rêve du capital, cette lubie de la Macronie conquérante, va se fracasser comme toutes ses semblables sur le mur – certes fragilisé par des atermoiements et fausses pistes qui sont notre lot électoraliste quotidien – des réalités systémiques.
Au-delà du cadeau fait aux actionnaires des labos en maintenant la propriété privée des brevets et en imposant simultanément une 3e dose, tous les salariés, bénévoles, prestataires, intérimaires, sous-traitants, à partir du lundi 30 août, travaillant dans les établissements où le pass sanitaire (en abrégé, PS, tout un symbole) est déjà demandé aux usagers y sont désormais obligatoirement soumis.
La mesure est ciblée, sélective.
Moins de droits pour les salariés, la panoplie coercitive à disposition du patronat et des autorités à son service se renforce d’une disposition qui ne pèse que sur le monde du travail. Ils sont 1 800 000 qui voient l’exercice de leur contrat de travail conditionné par une obligation de « pass sanitaire » qui ne s’applique pas à l’ensemble des citoyens.
La question n’est pas le vaccin, objet de toutes les vénérations ou de tous les ressentiments, mais l’usage idéologique qui est fait d’une situation sanitaire créée avant tout par une mondialisation économique capitaliste faisant sauter toutes les barrières y compris sanitaires pour faire que la vitesse de circulation du capital permette toujours plus intensément son accumulation et gonfle les profits.
C’est aussi en France les critères imposés par un système d’état pour assurer la réponse aux desiderata des plus nantis par la contrainte sur ceux qui ne le sont pas. Si aller au musée ou au stade est un choix, ceux qui y accueillent les visiteurs n’ont pas ce choix. En notant que simultanément le patronat fait feu de tout bois pour se désengager de sa responsabilité pour couvrir les risques professionnels.
Ne pas partir de cette réalité concrète permet à tous les charlatans de monter leur pièce montée idéologique où les choux sont farcis à la crème rance de résignation parfumée à l’extrait amer de fatalité.
Si ce « passe sanitaire » conditionne l’accès au lieu de culture et autres commerces voire services relève du choix et du bon vouloir de chacun ceux qui y exercent leur activité salarié pour répondre à ceux qui font ce choix de »vient une obligation suspensive de la rémunération et à terme une cause déclarée légitime de licenciement.
C’est de fait l’instauration d’un nouveau point d’inégalité de traitement entre les citoyens qui frappe exclusivement la part de ceux qui sont déjà sous la contrainte de ce que la loi énonce comme un lien de subordination.
Si la vaccination est de loin et dans la période la quasi-unique solution pour bloquer la propagation de la maladie et faite diminuer le nombre de décès cette façon de l’imposer à partir de critère de classe liés au statut social de ceux qui doivent s’y soumettre est un marqueur de la nature de cette société qui rajoute ainsi une raison de plus pour la subvertir pour supprimer ce rapport social d’exploitation qui se nomme le capitalisme.
Par Canaille Lerouge
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Volog a écrit:1 800 000 travailleurs de plus sous contrainte
LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Ce rêve du capital, cette lubie de la Macronie conquérante, va se fracasser comme toutes ses semblables sur le mur – certes fragilisé par des atermoiements et fausses pistes qui sont notre lot électoraliste quotidien – des réalités systémiques.
Au-delà du cadeau fait aux actionnaires des labos en maintenant la propriété privée des brevets et en imposant simultanément une 3e dose, tous les salariés, bénévoles, prestataires, intérimaires, sous-traitants, à partir du lundi 30 août, travaillant dans les établissements où le pass sanitaire (en abrégé, PS, tout un symbole) est déjà demandé aux usagers y sont désormais obligatoirement soumis.
La mesure est ciblée, sélective.
Moins de droits pour les salariés, la panoplie coercitive à disposition du patronat et des autorités à son service se renforce d’une disposition qui ne pèse que sur le monde du travail. Ils sont 1 800 000 qui voient l’exercice de leur contrat de travail conditionné par une obligation de « pass sanitaire » qui ne s’applique pas à l’ensemble des citoyens.
La question n’est pas le vaccin, objet de toutes les vénérations ou de tous les ressentiments, mais l’usage idéologique qui est fait d’une situation sanitaire créée avant tout par une mondialisation économique capitaliste faisant sauter toutes les barrières y compris sanitaires pour faire que la vitesse de circulation du capital permette toujours plus intensément son accumulation et gonfle les profits.
C’est aussi en France les critères imposés par un système d’état pour assurer la réponse aux desiderata des plus nantis par la contrainte sur ceux qui ne le sont pas. Si aller au musée ou au stade est un choix, ceux qui y accueillent les visiteurs n’ont pas ce choix. En notant que simultanément le patronat fait feu de tout bois pour se désengager de sa responsabilité pour couvrir les risques professionnels.
Ne pas partir de cette réalité concrète permet à tous les charlatans de monter leur pièce montée idéologique où les choux sont farcis à la crème rance de résignation parfumée à l’extrait amer de fatalité.
Si ce « passe sanitaire » conditionne l’accès au lieu de culture et autres commerces voire services relève du choix et du bon vouloir de chacun ceux qui y exercent leur activité salarié pour répondre à ceux qui font ce choix de »vient une obligation suspensive de la rémunération et à terme une cause déclarée légitime de licenciement.
C’est de fait l’instauration d’un nouveau point d’inégalité de traitement entre les citoyens qui frappe exclusivement la part de ceux qui sont déjà sous la contrainte de ce que la loi énonce comme un lien de subordination.
Si la vaccination est de loin et dans la période la quasi-unique solution pour bloquer la propagation de la maladie et faite diminuer le nombre de décès cette façon de l’imposer à partir de critère de classe liés au statut social de ceux qui doivent s’y soumettre est un marqueur de la nature de cette société qui rajoute ainsi une raison de plus pour la subvertir pour supprimer ce rapport social d’exploitation qui se nomme le capitalisme.
Par Canaille Lerouge
Source: le canard révolutionnaire révolutopia:
https://amers-cap.com/2021/08/la-lutte-de-classe-peut-elle-se-guerir-par-injection.html
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11688
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Volog a écrit:1 800 000 travailleurs de plus sous contrainte
LA LUTTE DE CLASSE PEUT-ELLE SE GUÉRIR PAR INJECTION ?
Ce rêve du capital, cette lubie de la Macronie conquérante, va se fracasser comme toutes ses semblables sur le mur – certes fragilisé par des atermoiements et fausses pistes qui sont notre lot électoraliste quotidien – des réalités systémiques.
Au-delà du cadeau fait aux actionnaires des labos en maintenant la propriété privée des brevets et en imposant simultanément une 3e dose, tous les salariés, bénévoles, prestataires, intérimaires, sous-traitants, à partir du lundi 30 août, travaillant dans les établissements où le pass sanitaire (en abrégé, PS, tout un symbole) est déjà demandé aux usagers y sont désormais obligatoirement soumis.
La mesure est ciblée, sélective.
Moins de droits pour les salariés, la panoplie coercitive à disposition du patronat et des autorités à son service se renforce d’une disposition qui ne pèse que sur le monde du travail. Ils sont 1 800 000 qui voient l’exercice de leur contrat de travail conditionné par une obligation de « pass sanitaire » qui ne s’applique pas à l’ensemble des citoyens.
La question n’est pas le vaccin, objet de toutes les vénérations ou de tous les ressentiments, mais l’usage idéologique qui est fait d’une situation sanitaire créée avant tout par une mondialisation économique capitaliste faisant sauter toutes les barrières y compris sanitaires pour faire que la vitesse de circulation du capital permette toujours plus intensément son accumulation et gonfle les profits.
C’est aussi en France les critères imposés par un système d’état pour assurer la réponse aux desiderata des plus nantis par la contrainte sur ceux qui ne le sont pas. Si aller au musée ou au stade est un choix, ceux qui y accueillent les visiteurs n’ont pas ce choix. En notant que simultanément le patronat fait feu de tout bois pour se désengager de sa responsabilité pour couvrir les risques professionnels.
Ne pas partir de cette réalité concrète permet à tous les charlatans de monter leur pièce montée idéologique où les choux sont farcis à la crème rance de résignation parfumée à l’extrait amer de fatalité.
Si ce « passe sanitaire » conditionne l’accès au lieu de culture et autres commerces voire services relève du choix et du bon vouloir de chacun ceux qui y exercent leur activité salarié pour répondre à ceux qui font ce choix de »vient une obligation suspensive de la rémunération et à terme une cause déclarée légitime de licenciement.
C’est de fait l’instauration d’un nouveau point d’inégalité de traitement entre les citoyens qui frappe exclusivement la part de ceux qui sont déjà sous la contrainte de ce que la loi énonce comme un lien de subordination.
Si la vaccination est de loin et dans la période la quasi-unique solution pour bloquer la propagation de la maladie et faite diminuer le nombre de décès cette façon de l’imposer à partir de critère de classe liés au statut social de ceux qui doivent s’y soumettre est un marqueur de la nature de cette société qui rajoute ainsi une raison de plus pour la subvertir pour supprimer ce rapport social d’exploitation qui se nomme le capitalisme.
Par Canaille Lerouge
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
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