L'avocat de Cassandre Fristot demande la relaxe
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L'avocat de Cassandre Fristot demande la relaxe
19h30. L'avocat de Cassandre Fristot demande la relaxe. « Sur l’infraction : pour que l’incitation à la haine raciale soit constituée, il faut démontrer que toutes les personnes mises sur cette pancarte-là visent la communauté juive dans son ensemble. » « On ne peut pas dire que Mme Fristot vise une communauté désignée. Si elle a inscrit ces noms c’est uniquement pour leur lien avec la politique sanitaire ou le gouvernement actuel. L’élément constitutif de l’infraction fait défaut. »
« Pour toutes ces raisons Mme la présidente je vous demande la relaxe de Cassandre Fristot. Vous n’avez aucune exhortation de la part de Mme Fristot. »
Le procès :
https://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers-justice/2021/09/08/pancarte-antisemite-cassandre-fristot-devant-la-justice-pour-provocation-a-la-haine-raciale
« Pour toutes ces raisons Mme la présidente je vous demande la relaxe de Cassandre Fristot. Vous n’avez aucune exhortation de la part de Mme Fristot. »
Le procès :
https://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers-justice/2021/09/08/pancarte-antisemite-cassandre-fristot-devant-la-justice-pour-provocation-a-la-haine-raciale
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Re: L'avocat de Cassandre Fristot demande la relaxe
Le procès en sorcellerie de Cassandre Fristot
Si l'on doit juger de l’état actuel de la liberté d’expression en France, il est édifiant de se pencher sur le procès de Cassandre Fristot au tribunal judiciaire de Metz le 8 septembre. Rappelons que, pour avoir porté le 7 août, lors d’une manifestation anti-pass sanitaire, une pancarte jugée antisémite où étaient inscrits les patronymes, dont certains manifestement non-juifs, des principaux responsables et soutiens de la politique sanitaire en France et dans le monde, cette jeune enseignante de 33 ans a non seulement été suspendue de l’Education nationale par Jean-Michel Blanquer, avant une possible radiation, perquisitionnée, mise en garde à vue (laquelle a été prolongée) mais a donc également été jugée toutes affaires cessantes dans un pays où l’on recense pourtant chaque année des millions de crimes et de délits, dont beaucoup extrêmement violents. Ayant reçue des menaces (de qui ?), elle ne s’est pas présentée à son procès et a été défendue par son avocat, l’excellent et combatif Me Paul Yon. Alors que le casier judiciaire de la jeune femme est vierge, le ministère public a requis contre elle trois mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. C’est hallucinant ! Alors même que la pancarte qu’elle portait ne contenait aucune injure, aucun appel à la violence et se contentait de dénoncer les responsables de l’actuelle tyrannie sanitaire.
Les plaidoiries des parties civiles — qui étaient au nombre de quinze (qui dit mieux ?) dont l’Ordre des médecins, cela ne s’invente pas ! — étaient proprement ahurissantes et montrent à quel point nous vivons à l’ère d’une « insupportable police juive de la pensée » pour reprendre la lumineuse expression de feu Annie Kriegel dans Le Figaro en avril 1990. « S’est-elle trompée d’époque ? », s’est ainsi interrogée à propos de Cassandre Fristot l’avocate de l’Organisation juive européenne qui a osé déclarer : « Nous ne pouvons prendre le risque de la laisser gangréner l’esprit de nos enfants. Ici en France, il faudra une condamnation pénale pour qu’elle cesse d’exercer son métier. Vous êtes l’antichambre de la cour d’Assises. Il faut une peine sévère parce que nous sommes fatigués. » Autrement dit, par sa pancarte, Cassandre Fristot est responsable de l’assassinat de juifs parce que juifs. Il faut donc l’envoyer en prison et la radier définitivement de l’Education nationale, la ruiner, l’embastiller, lui retirer ses moyens de subsistance, déchirer son diplôme, détruire sa vie, lui retirer sa liberté.
C’est désormais le discours cynique, outrecuidant et détestable des organisations juives : dès qu’une personne tient des propos qui leur déplaît, elle est aussitôt accusée d’antisémitisme (est antisémite celui que le juif n’aime pas) et d’encourager les esprits faibles à commettre des assassinats contre des israélites. Voilà où nous sommes. Toute critique, même très argumentée et rationnelle, de l’entité sioniste, du lobby juif, toute réserve à l’égard de l’attitude et des revendications d’organisations judéo-sionistes, est systématiquement considérée comme criminogène. Ce comportement est insupportable car il interdit tout débat serein et libre sur toute une série de questions. Il crée de toutes pièces un climat de terreur, de délation et d’hystérie qui favorise l’autocensure, participe d’un insupportable terrorisme intellectuel, lui bien réel, et empêche tout frein à la domination implacable sur les lois, les consciences et les institutions du judaïsme politiquement organisé.
L’avocat de SOS-Racisme-La Maison des Potes a tenu le même langage que ses confrères. Il évoque d’abord le travail de l’association qu’il représente, laquelle intervient notamment en milieu scolaire. Comme d’ailleurs le MRAP et toutes les organisations du même acabit. L’avocat du MRAP en est fier : « Nous sommes aujourd’hui devant un tribunal, mais l’essentiel de notre activité se passe auprès des écoles, des enfants et des consciences. » Il faut en effet matraquer idéologiquement dès le plus jeune âge nos têtes blondes. « Quelle différence de culture, d’implication et de respect avec ce qu’instille Mme Fristot, professeur d’allemand ! On frémit si au-delà de l’apprentissage de l’allemand elle aborde l’histoire de l’Allemagne ! » ose l’avocat de SOS-Racisme, manifestement ravi de son effet. « Elle participe tous les jours de façon discrète à disséminer sa haine. A la question “Qui ?” que pose Madame Fristot, j’en réponds par une autre : “Pourquoi ?”, “Pourquoi tant de haine ”? » conclut-il avec grandiloquence. Pourtant, que l’on sache, ce sont ces organisations qui veulent ruiner, faire perdre son travail et envoyer en prison Cassandre Fristot. Au nom d’une prétendue lutte contre la haine, elles se permettent une haine torride, féroce, sans limite ni retenue, mais avec une parfaite bonne conscience et une arrogance non moins grande.
L’avocate de la Ligue des Droits de l’homme va encore plus loin : « Quand Cassandre Fristot dit lors de ses auditions que le monde est dirigée par une oligarchie politique et financière, c’est déjà une position antisémite. » Autrement dit, parler de fortune anonyme et vagabonde, comme le faisait feu Henry Coston, c’est déjà de l’antisémitisme. Ne serait-ce pas là un aveu ? N’est-ce pas reconnaître qu’une certaine ethnie est particulièrement puissante et influente dans la sphère politico-médiatico-financière ?
En tout cas, il est manifeste qu’on ne peut plus rien dire. Les puissants qui nous oppriment vont toujours plus loin dans le délire et la tyrannie. Ils étendent sans cesse le champ d’application de leur impitoyable censure. C’est d’ailleurs vrai aussi au niveau de la législation. En 1990, lorsque la loi Fabius-Gayssot a été adoptée, n’était condamnée que la contestation publique et explicite de l’existence d’un crime contre l’humanité reconnu comme tel par le tribunal militaire international de Nuremberg. Aujourd’hui la jurisprudence a évolué et s’est durcie. La cour de cassation d’abord, le conseil constitutionnel ensuite, de concert avec les juridictions internationales (car les forces de subversion sont un peu partout à l’œuvre), ont considéré que toute minoration d’un crime contre l’humanité, la simple expression d’un doute, d’une interrogation, l’emploi de guillemets ou du conditionnel, étaient constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité. C’est la même chose avec l’accusation d’antisémitisme qui agit comme un rayon paralysant, un gaz incapacitant qui permet de diaboliser et d’anéantir un contradicteur, un adversaire. On notera qu’il en va de même avec les accusations de racisme et d’homophobie. Toute volonté de restreindre, d’arrêter ou d’inverser le courant de l’immigration est assimilée au racisme et donc considérée comme un délit. Toute opposition aux revendications exorbitantes du lobby LGBT est assimilée à la haine de l’homosexuel et considérée comme criminogène. Et c’est ainsi, par cette police de la pensée, que l’on parvient de force à changer les lois et à bouleverser les mentalités, à détruire la famille, la nation, la morale naturelle, à apprendre aux enfants dès le plus jeune âge qu’ils peuvent choisir librement leur identité de genre, leur orientation sexuelle, et en changer à tout moment.
L’avocat du CRIF, Me David-Olivier Kaminski, a lui aussi appelé à une peine très sévère contre Cassandre Fristot et n’a pas non plus fait dans la nuance : « Ne soyez pas dupes derrière son casier judiciaire vierge. Aussi, je salue le parquet de Metz d’avoir saisi la brigade des crimes contre l’humanité. Le préjudice qu’elle a commis à notre société est colossal. Il l’est d’autant plus qu’elle est enseignante. Aujourd’hui, Madame la présidente, Messieurs du tribunal, la France vous regarde. Alors ne soyez pas naïfs, ne soyez pas dupes, sachez qui vous jugez. Rendez justice à la hauteur du mal profond qui a été commis. » Allez vite, le rétablissement de la peine capitale, rien que pour le plaisir de la voir appliquée à la jeune femme !
Me Kaminski se félicite d’un fait ahurissant : pour une simple pancarte sans aucun appel à la violence, le parquet de Metz a saisi la brigade spécialisée des crimes contre l’humanité, qui s’occupe entre autres du génocide au Rwanda. Il faut se pincer pour y croire. On fait une affaire d’Etat d’une simple pancarte portée dans une manifestation autorisée contre le pass sanitaire. Qui peut dire après cela que nous ne vivons pas sous une effrayante tyrannie communautaire qui étend chaque jour davantage ses affreux tentacules et se métastase peu à peu dans tout le corps social à force de harcèlements, de persécutions, de diabolisations ? Qui peut dire que notre pays ne s’assimile pas de plus en plus à un camp de concentration à ciel ouvert comme Gaza et la Cisjordanie avec les mêmes et leurs pantins et alliés à la manœuvre ? Face à cette tentative d’asservissement des âmes, de viol des consciences, de destruction des libertés, notre insurrection intellectuelle, morale et spirituelle est totale. Liberté pour Cassandre et pour tous les Français non reniés !
Rivarol
Jérôme Bourbon
Si l'on doit juger de l’état actuel de la liberté d’expression en France, il est édifiant de se pencher sur le procès de Cassandre Fristot au tribunal judiciaire de Metz le 8 septembre. Rappelons que, pour avoir porté le 7 août, lors d’une manifestation anti-pass sanitaire, une pancarte jugée antisémite où étaient inscrits les patronymes, dont certains manifestement non-juifs, des principaux responsables et soutiens de la politique sanitaire en France et dans le monde, cette jeune enseignante de 33 ans a non seulement été suspendue de l’Education nationale par Jean-Michel Blanquer, avant une possible radiation, perquisitionnée, mise en garde à vue (laquelle a été prolongée) mais a donc également été jugée toutes affaires cessantes dans un pays où l’on recense pourtant chaque année des millions de crimes et de délits, dont beaucoup extrêmement violents. Ayant reçue des menaces (de qui ?), elle ne s’est pas présentée à son procès et a été défendue par son avocat, l’excellent et combatif Me Paul Yon. Alors que le casier judiciaire de la jeune femme est vierge, le ministère public a requis contre elle trois mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. C’est hallucinant ! Alors même que la pancarte qu’elle portait ne contenait aucune injure, aucun appel à la violence et se contentait de dénoncer les responsables de l’actuelle tyrannie sanitaire.
Les plaidoiries des parties civiles — qui étaient au nombre de quinze (qui dit mieux ?) dont l’Ordre des médecins, cela ne s’invente pas ! — étaient proprement ahurissantes et montrent à quel point nous vivons à l’ère d’une « insupportable police juive de la pensée » pour reprendre la lumineuse expression de feu Annie Kriegel dans Le Figaro en avril 1990. « S’est-elle trompée d’époque ? », s’est ainsi interrogée à propos de Cassandre Fristot l’avocate de l’Organisation juive européenne qui a osé déclarer : « Nous ne pouvons prendre le risque de la laisser gangréner l’esprit de nos enfants. Ici en France, il faudra une condamnation pénale pour qu’elle cesse d’exercer son métier. Vous êtes l’antichambre de la cour d’Assises. Il faut une peine sévère parce que nous sommes fatigués. » Autrement dit, par sa pancarte, Cassandre Fristot est responsable de l’assassinat de juifs parce que juifs. Il faut donc l’envoyer en prison et la radier définitivement de l’Education nationale, la ruiner, l’embastiller, lui retirer ses moyens de subsistance, déchirer son diplôme, détruire sa vie, lui retirer sa liberté.
C’est désormais le discours cynique, outrecuidant et détestable des organisations juives : dès qu’une personne tient des propos qui leur déplaît, elle est aussitôt accusée d’antisémitisme (est antisémite celui que le juif n’aime pas) et d’encourager les esprits faibles à commettre des assassinats contre des israélites. Voilà où nous sommes. Toute critique, même très argumentée et rationnelle, de l’entité sioniste, du lobby juif, toute réserve à l’égard de l’attitude et des revendications d’organisations judéo-sionistes, est systématiquement considérée comme criminogène. Ce comportement est insupportable car il interdit tout débat serein et libre sur toute une série de questions. Il crée de toutes pièces un climat de terreur, de délation et d’hystérie qui favorise l’autocensure, participe d’un insupportable terrorisme intellectuel, lui bien réel, et empêche tout frein à la domination implacable sur les lois, les consciences et les institutions du judaïsme politiquement organisé.
L’avocat de SOS-Racisme-La Maison des Potes a tenu le même langage que ses confrères. Il évoque d’abord le travail de l’association qu’il représente, laquelle intervient notamment en milieu scolaire. Comme d’ailleurs le MRAP et toutes les organisations du même acabit. L’avocat du MRAP en est fier : « Nous sommes aujourd’hui devant un tribunal, mais l’essentiel de notre activité se passe auprès des écoles, des enfants et des consciences. » Il faut en effet matraquer idéologiquement dès le plus jeune âge nos têtes blondes. « Quelle différence de culture, d’implication et de respect avec ce qu’instille Mme Fristot, professeur d’allemand ! On frémit si au-delà de l’apprentissage de l’allemand elle aborde l’histoire de l’Allemagne ! » ose l’avocat de SOS-Racisme, manifestement ravi de son effet. « Elle participe tous les jours de façon discrète à disséminer sa haine. A la question “Qui ?” que pose Madame Fristot, j’en réponds par une autre : “Pourquoi ?”, “Pourquoi tant de haine ”? » conclut-il avec grandiloquence. Pourtant, que l’on sache, ce sont ces organisations qui veulent ruiner, faire perdre son travail et envoyer en prison Cassandre Fristot. Au nom d’une prétendue lutte contre la haine, elles se permettent une haine torride, féroce, sans limite ni retenue, mais avec une parfaite bonne conscience et une arrogance non moins grande.
L’avocate de la Ligue des Droits de l’homme va encore plus loin : « Quand Cassandre Fristot dit lors de ses auditions que le monde est dirigée par une oligarchie politique et financière, c’est déjà une position antisémite. » Autrement dit, parler de fortune anonyme et vagabonde, comme le faisait feu Henry Coston, c’est déjà de l’antisémitisme. Ne serait-ce pas là un aveu ? N’est-ce pas reconnaître qu’une certaine ethnie est particulièrement puissante et influente dans la sphère politico-médiatico-financière ?
En tout cas, il est manifeste qu’on ne peut plus rien dire. Les puissants qui nous oppriment vont toujours plus loin dans le délire et la tyrannie. Ils étendent sans cesse le champ d’application de leur impitoyable censure. C’est d’ailleurs vrai aussi au niveau de la législation. En 1990, lorsque la loi Fabius-Gayssot a été adoptée, n’était condamnée que la contestation publique et explicite de l’existence d’un crime contre l’humanité reconnu comme tel par le tribunal militaire international de Nuremberg. Aujourd’hui la jurisprudence a évolué et s’est durcie. La cour de cassation d’abord, le conseil constitutionnel ensuite, de concert avec les juridictions internationales (car les forces de subversion sont un peu partout à l’œuvre), ont considéré que toute minoration d’un crime contre l’humanité, la simple expression d’un doute, d’une interrogation, l’emploi de guillemets ou du conditionnel, étaient constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité. C’est la même chose avec l’accusation d’antisémitisme qui agit comme un rayon paralysant, un gaz incapacitant qui permet de diaboliser et d’anéantir un contradicteur, un adversaire. On notera qu’il en va de même avec les accusations de racisme et d’homophobie. Toute volonté de restreindre, d’arrêter ou d’inverser le courant de l’immigration est assimilée au racisme et donc considérée comme un délit. Toute opposition aux revendications exorbitantes du lobby LGBT est assimilée à la haine de l’homosexuel et considérée comme criminogène. Et c’est ainsi, par cette police de la pensée, que l’on parvient de force à changer les lois et à bouleverser les mentalités, à détruire la famille, la nation, la morale naturelle, à apprendre aux enfants dès le plus jeune âge qu’ils peuvent choisir librement leur identité de genre, leur orientation sexuelle, et en changer à tout moment.
L’avocat du CRIF, Me David-Olivier Kaminski, a lui aussi appelé à une peine très sévère contre Cassandre Fristot et n’a pas non plus fait dans la nuance : « Ne soyez pas dupes derrière son casier judiciaire vierge. Aussi, je salue le parquet de Metz d’avoir saisi la brigade des crimes contre l’humanité. Le préjudice qu’elle a commis à notre société est colossal. Il l’est d’autant plus qu’elle est enseignante. Aujourd’hui, Madame la présidente, Messieurs du tribunal, la France vous regarde. Alors ne soyez pas naïfs, ne soyez pas dupes, sachez qui vous jugez. Rendez justice à la hauteur du mal profond qui a été commis. » Allez vite, le rétablissement de la peine capitale, rien que pour le plaisir de la voir appliquée à la jeune femme !
Me Kaminski se félicite d’un fait ahurissant : pour une simple pancarte sans aucun appel à la violence, le parquet de Metz a saisi la brigade spécialisée des crimes contre l’humanité, qui s’occupe entre autres du génocide au Rwanda. Il faut se pincer pour y croire. On fait une affaire d’Etat d’une simple pancarte portée dans une manifestation autorisée contre le pass sanitaire. Qui peut dire après cela que nous ne vivons pas sous une effrayante tyrannie communautaire qui étend chaque jour davantage ses affreux tentacules et se métastase peu à peu dans tout le corps social à force de harcèlements, de persécutions, de diabolisations ? Qui peut dire que notre pays ne s’assimile pas de plus en plus à un camp de concentration à ciel ouvert comme Gaza et la Cisjordanie avec les mêmes et leurs pantins et alliés à la manœuvre ? Face à cette tentative d’asservissement des âmes, de viol des consciences, de destruction des libertés, notre insurrection intellectuelle, morale et spirituelle est totale. Liberté pour Cassandre et pour tous les Français non reniés !
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Jérôme Bourbon
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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