Vénézuéla, Bolivie... Par leurs interventions impérialistes "les États-Unis provoquent des souffrances inimaginables..."

[Vladimir de Volog]

Le sénateur républicain de Virginie Richard Black a déclaré :

′′ Les opérations de changement de régime entreprises par les États-Unis contre le Venezuela et d’autres pays du continent américain doivent cesser, car elles provoquent des souffrances inimaginables à de nombreuses personnes. Elles doivent être abrogées ".

′′ Les États-Unis ont satanisé la monnaie vénézuélienne, la rendant inutilisable et ensuite nous disons : ′′ Regardez quel mauvais gouvernement est-ce, leur monnaie ne vaut rien ′′ et ce n’est pas eux qui l’ont rendue inutilisable, mais nous avons fait en sorte qu’elle ne vaille rien ".

′′ Ensuite, nous avons mis en place un blocage, en fait, à leurs exportations pétrolières... et puis nous disons : ′′ Mais regardez, ils ne peuvent pas nourrir leur population...

Ils ne peuvent pas nourrir leur population parce que nous avons coupé toute leur source de revenus ".

′′ Nous (États-Unis) devons simplement laisser le Venezuela tranquille. Laissez-les être. Laissez-les s’occuper de leur gouvernement. Je pense que ce serait mieux pour le monde entier... Ce n’est pas mon gouvernement, et ce n’est pas moi, ou un Américain, qui devrait déterminer comment les Vénézuéliens vont s’occuper de leurs affaires intérieures ", a noté Black.

′′ Ah mais alors nous y retournons, et nous nous impliquons en Bolivie et sélectionnons un candidat choisi par nous ; il aurait été bien mieux que les Boliviens décident eux-mêmes, leur situation ", a déclaré Black.

′′ Le problème avec toute cette déstabilisation, où les gouvernements sont renversés, les uns après les autres, c’est qu’ils aggravent les migrations et les problèmes de cartels de la drogue et que cette déstabilisation en Amérique latine crée les conditions d’une migration énorme et incontrôlée vers les États-Unis, à travers leur frontière sud ", a-t-il signalé.

′′ Je pense que si nous arrêtions de microgestionner la région et laissons leur population tester la forme de gouvernement qu’ils veulent, nous serions beaucoup mieux ".

′′ Je pense que l’Amérique latine serait beaucoup plus prospère et beaucoup plus stable, et ainsi supprimerait de nombreuses pressions sur les États-Unis ", a conclu le sénateur Black.

[Jeannot Lapin]

La naïveté n'a pas de limites chez certains américains.
Ils débarquent dans un pays, essayent de le civiliser. une partie de la population les suit, puis il se barrent, laissant la partie civilisée de la population se faire trucider par les barbares. Et après, il nous disent : il faut accueillir les millions de réfugiés.

Le truc est assez simple à cerner : est-ce que c'est rentable d'être présent et faire en sorte que les choses aillent bien ? Contre laisser les choses se dégrader et devenir un merdier qui s'exporte... et pour l'Afghanistan c'était rentable.
Ce qui s'applique pour l'Afghanistan s'applique ailleurs.
Alors on critique la Françafrique, mais si on n'est pas présent, on voit naître des mouvements extrémistes qui propagent le terrorisme qui prennent le pouvoir, ou bien ce sont les chinois et leur régime sinistre qui vient s'exporter et agissent contre nous...
Pour les USA même topo, mais il faut avouer que s'ils savent faire pour l'Amérique Latine ou l'Europe, ils sont nuls sur le Moyen-Orient et le monde arabo-musulman.
Un bel exemple c'est l'Iran. Ils ont voulu chasser le Shah qui mangeait pas assez dans leur main, ils ont été servis.

[Plaristes Evariste]

En Afghanistan ils ont un peu civilisé, et encore les genders studdies...



En Colombie et autre il n'ont pas civilisé, ils ont apporté la barbarie !
Comme au vietnam d'ailleurs

[Vladimir de Volog]

En Afghanistan ils ont un peu civilisé, et encore les genders studdies...



En Colombie et autre il n'ont pas civilisé, ils ont apporté la barbarie !
Comme au vietnam d'ailleurs

Le problème avec toute cette déstabilisation, où les gouvernements sont renversés, les uns après les autres, c’est qu’ils aggravent les migrations et les problèmes de cartels de la drogue et que cette déstabilisation en Amérique latine crée les conditions d’une migration énorme et incontrôlée vers les États-Unis, à travers leur frontière sud

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