La politique des bas salaires
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La politique des bas salaires
La mesure et le ressenti
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Dernière édition par Ryanne le Mer 10 Nov 2021 - 18:11, édité 1 fois
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Sagesse Libérale aime ce message
Re: La politique des bas salaires
Et Sinon Zemmour prévoit d'augmenter les salaires ? au moins le SMIC ? De combien ?
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Plaristes Evariste aime ce message
Re: La politique des bas salaires
La mesure et le ressenti
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Content que vous ayez trouvé un autre spécimen à troller, mais faîtes gaffe à ne pas vous faire troller à votre tour !Monsieur Trololo a écrit:Et Sinon Zemmour prévoit d'augmenter les salaires ? au moins le SMIC ? De combien ?
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: La politique des bas salaires
Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
LA PREUVE AVEC LE CHÈQUE CARBURANT!! ON LAISSE LES GENS AVEC DES SALAIRES BAS.
ON AGITE LE DRAPEAU ROUGE AVEC UN OU DEUX SECTEURS PAYES MOINS POUR ENSUITE LES ACHETER AUX URNES, UN CLASSIQUE...
PENDANT CE TEMPS LA LES PRODUITS AUGMENTENT, LES GENS CONTRACTENT DES CRÉDITS, LES BANQUES ASSURANCES IMMOBILIERS S'en METTENT PLEIN LES FOUILLES SANS AVOIR UNE ONCE DE SOLIDARITÉ ENVERS LES PLUS MODESTES.
SEUL LES PRESTATIONS FAMILIALES, CAF, RSA MAIS CE SONT DES ANCIENS SYSTÈMES EN PLACE DEPUIS LONGTEMPS FONCTIONNENT BIEN, TOUT LE RESTE, C'EST POUR TOUJOURS TAXER UN PEU PLUS LES FRANÇAIS ET LES SAIGNER MÊME SUR LEURS RETRAITES.
AVEC L'ARRIVE PLUS TARDIVE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL, ET MÊME DU SOUS EMPLOI PARTOUT, LES REFORMES NE PROFITENT QU'A CEUX QUI ONT DES PLACEMENTS ET ON PU TRAVAILLER SANS INTERRUPTION ET ELLES CENTRALISENT TOUT CE SYSTEME POURRI JUSQU’À LA MOELLE..
DU TRAVAIL IL Y'EN A POUR TOUT LE MONDE MAIS TOUT LE MONDE NE VEUT PAS PARTAGER.
UN JEUNE DEVRA EN MOYENNE CHANGER D'ENTREPRISE AU MOINS 6 FOIS DANS SA VIE, UNE RÉGRESSION DE PLUS DANS CE MONDE CAPITALISTE QUI DÉVELOPPE LE TRAVAIL DES PAUVRES.
LA PREUVE AVEC LE CHÈQUE CARBURANT!! ON LAISSE LES GENS AVEC DES SALAIRES BAS.
ON AGITE LE DRAPEAU ROUGE AVEC UN OU DEUX SECTEURS PAYES MOINS POUR ENSUITE LES ACHETER AUX URNES, UN CLASSIQUE...
PENDANT CE TEMPS LA LES PRODUITS AUGMENTENT, LES GENS CONTRACTENT DES CRÉDITS, LES BANQUES ASSURANCES IMMOBILIERS S'en METTENT PLEIN LES FOUILLES SANS AVOIR UNE ONCE DE SOLIDARITÉ ENVERS LES PLUS MODESTES.
SEUL LES PRESTATIONS FAMILIALES, CAF, RSA MAIS CE SONT DES ANCIENS SYSTÈMES EN PLACE DEPUIS LONGTEMPS FONCTIONNENT BIEN, TOUT LE RESTE, C'EST POUR TOUJOURS TAXER UN PEU PLUS LES FRANÇAIS ET LES SAIGNER MÊME SUR LEURS RETRAITES.
AVEC L'ARRIVE PLUS TARDIVE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL, ET MÊME DU SOUS EMPLOI PARTOUT, LES REFORMES NE PROFITENT QU'A CEUX QUI ONT DES PLACEMENTS ET ON PU TRAVAILLER SANS INTERRUPTION ET ELLES CENTRALISENT TOUT CE SYSTEME POURRI JUSQU’À LA MOELLE..
DU TRAVAIL IL Y'EN A POUR TOUT LE MONDE MAIS TOUT LE MONDE NE VEUT PAS PARTAGER.
UN JEUNE DEVRA EN MOYENNE CHANGER D'ENTREPRISE AU MOINS 6 FOIS DANS SA VIE, UNE RÉGRESSION DE PLUS DANS CE MONDE CAPITALISTE QUI DÉVELOPPE LE TRAVAIL DES PAUVRES.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Les gens se plaignent de ne pas avoir assez d'argent, mais dans le même temps, on n'arrive pas à embaucher parce que le chômage est tellement confortable dans ce pays que les gens préfèrent rester chez eux... !
SORTEZ VOUS LES DOIGTS DU CUL !
Elon MUSK n'est pas devenu milliardaire en restant devant netflix !
Jeff Bezos n'est pas devenu milliardaire en vivant des subventions de la CAF !
Vous croyez qu'on va vous payer des milliers d'euro par mois alors que vous ne savez même pas faire vos lacets tout seuls ?!
Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger...
SORTEZ VOUS LES DOIGTS DU CUL !
Elon MUSK n'est pas devenu milliardaire en restant devant netflix !
Jeff Bezos n'est pas devenu milliardaire en vivant des subventions de la CAF !
Vous croyez qu'on va vous payer des milliers d'euro par mois alors que vous ne savez même pas faire vos lacets tout seuls ?!
Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger...
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7716
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Jean-Louis de Toqueville aime ce message
Re: La politique des bas salaires
Postulant a écrit:Les gens se plaignent de ne pas avoir assez d'argent, mais dans le même temps, on n'arrive pas à embaucher parce que le chômage est tellement confortable dans ce pays que les gens préfèrent rester chez eux... !
SORTEZ VOUS LES DOIGTS DU CUL !
Elon MUSK n'est pas devenu milliardaire en restant devant netflix !
Jeff Bezos n'est pas devenu milliardaire en vivant des subventions de la CAF !
Vous croyez qu'on va vous payer des milliers d'euro par mois alors que vous ne savez même pas faire vos lacets tout seuls ?! LA POLITIQUE DES BAS SALAIRES 518364
Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger... xptdr
LA VACHE LES REFERENCES NAZES ELON MUSK ! QU'ELLE HORREUR !
VOUS ETES A L'OUEST !! EFFECTIVEMENT VOUS NE COMPRENEZ RIEN AU FONCTIONNEMENT DE LA SOCIETE MUHAHAHAHA
ESPERONS QUE CES NAVETTES S'ECRASENT
PURE AVEC CE GENRE DE RAISONNEMENT PAS ETONNANT QUE BEAUCOUP SOIENT DANS LA MERDE
C DU MEME ACABIT D'AMAZON, UN MONDE BIEN POURRI
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
LA PREUVE AVEC LE CHÈQUE CARBURANT!! ON LAISSE LES GENS AVEC DES SALAIRES BAS.
ON AGITE LE DRAPEAU ROUGE AVEC UN OU DEUX SECTEURS PAYES MOINS POUR ENSUITE LES ACHETER AUX URNES, UN CLASSIQUE...
PENDANT CE TEMPS LA LES PRODUITS AUGMENTENT, LES GENS CONTRACTENT DES CRÉDITS, LES BANQUES ASSURANCES IMMOBILIERS S'en METTENT PLEIN LES FOUILLES SANS AVOIR UNE ONCE DE SOLIDARITÉ ENVERS LES PLUS MODESTES.
SEUL LES PRESTATIONS FAMILIALES, CAF, RSA MAIS CE SONT DES ANCIENS SYSTÈMES EN PLACE DEPUIS LONGTEMPS FONCTIONNENT BIEN, TOUT LE RESTE, C'EST POUR TOUJOURS TAXER UN PEU PLUS LES FRANÇAIS ET LES SAIGNER MÊME SUR LEURS RETRAITES.
AVEC L'ARRIVE PLUS TARDIVE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL, ET MÊME DU SOUS EMPLOI PARTOUT, LES REFORMES NE PROFITENT QU'A CEUX QUI ONT DES PLACEMENTS ET ON PU TRAVAILLER SANS INTERRUPTION ET ELLES CENTRALISENT TOUT CE SYSTEME POURRI JUSQU’À LA MOELLE..
DU TRAVAIL IL Y'EN A POUR TOUT LE MONDE MAIS TOUT LE MONDE NE VEUT PAS PARTAGER.
UN JEUNE DEVRA EN MOYENNE CHANGER D'ENTREPRISE AU MOINS 6 FOIS DANS SA VIE, UNE RÉGRESSION DE PLUS DANS CE MONDE CAPITALISTE QUI DÉVELOPPE LE TRAVAIL DES PAUVRES.
LA PREUVE AVEC LE CHÈQUE CARBURANT!! ON LAISSE LES GENS AVEC DES SALAIRES BAS.
ON AGITE LE DRAPEAU ROUGE AVEC UN OU DEUX SECTEURS PAYES MOINS POUR ENSUITE LES ACHETER AUX URNES, UN CLASSIQUE...
PENDANT CE TEMPS LA LES PRODUITS AUGMENTENT, LES GENS CONTRACTENT DES CRÉDITS, LES BANQUES ASSURANCES IMMOBILIERS S'en METTENT PLEIN LES FOUILLES SANS AVOIR UNE ONCE DE SOLIDARITÉ ENVERS LES PLUS MODESTES.
SEUL LES PRESTATIONS FAMILIALES, CAF, RSA MAIS CE SONT DES ANCIENS SYSTÈMES EN PLACE DEPUIS LONGTEMPS FONCTIONNENT BIEN, TOUT LE RESTE, C'EST POUR TOUJOURS TAXER UN PEU PLUS LES FRANÇAIS ET LES SAIGNER MÊME SUR LEURS RETRAITES.
AVEC L'ARRIVE PLUS TARDIVE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL, ET MÊME DU SOUS EMPLOI PARTOUT, LES REFORMES NE PROFITENT QU'A CEUX QUI ONT DES PLACEMENTS ET ON PU TRAVAILLER SANS INTERRUPTION ET ELLES CENTRALISENT TOUT CE SYSTEME POURRI JUSQU’À LA MOELLE..
DU TRAVAIL IL Y'EN A POUR TOUT LE MONDE MAIS TOUT LE MONDE NE VEUT PAS PARTAGER.
UN JEUNE DEVRA EN MOYENNE CHANGER D'ENTREPRISE AU MOINS 6 FOIS DANS SA VIE, UNE RÉGRESSION DE PLUS DANS CE MONDE CAPITALISTE QUI DÉVELOPPE LE TRAVAIL DES PAUVRES.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit: Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger..
Tu fais quoi dans la vraie vie ?
Invité- Invité
Re: La politique des bas salaires
Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit: Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger..
Tu fais quoi dans la vraie vie ?
Je me suis sorti les doigts du cul... et vous ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit: Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger..
Tu fais quoi dans la vraie vie ?
Je me suis sorti les doigts du cul... et vous ?
Je vois le genre, et con avec ça.
Invité- Invité
Re: La politique des bas salaires
actuellement plus bête que toi tu meurt !!!!Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit:Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit: Tout le monde ne peut pas avoir le QI de Nabilla, alors il va falloir vous bouger..
Tu fais quoi dans la vraie vie ?
Je me suis sorti les doigts du cul... et vous ?
Je vois le genre, et con avec ça.
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
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Localisation : saint Etienne
Re: La politique des bas salaires
Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit:
Je me suis sorti les doigts du cul... et vous ?
Je vois le genre, et con avec ça.
Je ne vous insulte pas.
Merci d'avoir la même prévenance à mon égard.
Si vous ne savez pas discuter autrement qu'en insultant vos contradicteurs, allez régler vos problèmes psy ailleurs...
Je ne répond pas à votre question car le but de ce forum n'est pas de donner des informations sur les membres, ce n'est pas un forum de rencontre.
Je peux toutefois vous dire que j'ai créé mon propre emploi depuis plusieurs dizaines d'années, et j'en vis très bien.
Je me suis sorti les doigts du cul, comme je vous l'ai écrit !
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Jean-Louis de Toqueville aime ce message
Re: La politique des bas salaires
a mesure et le ressenti
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Mais il en va des salaires et du niveau de vie comme de la température. Il y a la mesure et il y a le ressenti. Et de ce point de vue, la crise sociale des Gilets jaunes a été un nouveau signal d'alarme sur la paupérisation de toute une partie de la société.
En effet, selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), près de 18 % des Français interrogés se sentaient pauvres fin 2018, contre 13 % en moyenne les années passées. Et, toujours selon cette enquête publiée en septembre 2019, les personnes interrogées estiment qu'il faut 1 760 euros pour vivre. L'écart est donc de 71 % entre ce besoin et le seuil de pauvreté monétaire de 1073 euros par mois pour une personne seule.
On voit là que l'on est proche du salaire médian, mais encore loin du Smic net qui se situe autour de 1 200 euros. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que près d'un tiers des ouvriers se sentent pauvres et que compte tenu de la situation, 90 % d'entre eux estiment que les injustices sociales ne feront qu'augmenter.
1 760 euros pour vivre selon le baromètre annuel de la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees)
Quelle reconnaissance salariale ?
Il aura fallu la pandémie, mais aussi des mobilisations comme celle des salariées des Ehpad pour que le chef de l'État consente à évoquer la question de la reconnaissance salariale des derniers de cordée, mais premiers de corvée, soudain reconnus indispensables à la continuité sociale et économique du pays.
Une conversion tardive qui reste cependant encore au stade du discours. Les annonces du plan pauvreté de septembre 2018, tout comme les mesures lors de la crise des Gilets jaunes ou au printemps 2020 au début de la pandémie, ne prennent jamais à bras-le-corps la question de la revalorisation des bas salaires et du Smic.
Le gouvernement répond par des primes ou des aides financées ou compensées par l'argent public, mais dont la première caractéristique est de ne rien coûter aux entreprises qui bénéficient depuis des années d'exonérations de cotisations sociales très généreuses sur ces bas salaires. Au passage, ces exonérations qui siphonnent les ressources de la protection sociale sans véritablement préserver l'emploi sont autant de trappes à bas salaires puisqu'elles encouragent les entreprises à tasser les grilles pour cantonner les salaires au plus près des seuils d'exonération qui peuvent atteindre 1,6 fois le Smic.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
@Ryanne : Le pb, c'est que comme tous ces prédécesseurs, ce gouvernement, ne cherche pas à résoudre les pbs de fond, juste à mettre un pensement par ci par là...
Plutôt que de rémunérer les agriculteurs à leur juste valeur et payant leur production, on les dédommage avec des fonds européens financés par les impôts des gens qui ne paient pas la production des agriculteur à sa juste valeur et au lieu de baisser les impôts et d'augmenter les prix (pas bon pour le politique et le banquier, ils n'aiment pas l'inflation), on baisse encore les prix et on augment les impôts pour financer la baisse des prix...!!
Et ce cercle vicieux et vrai pour toutes les professions !!!
Surtout : AUCUN politique ne veut y mettre fin, car ils en vivent en se servant au passage !!
Si le consommateur payait plus cher sa viande ou ses légumes pour mieux rémunérer le paysan, le politique ne pourrait pas se servir au passage !!! Alors qu'en créant des usines à gaz qui passent par les taxes et impôts et leur portefeuille, là y'a bon pour eux !!
Une fois qu'on a compris ce système, toutes leurs décisions sont non seulement claires, mais prévisibles...
Plutôt que de rémunérer les agriculteurs à leur juste valeur et payant leur production, on les dédommage avec des fonds européens financés par les impôts des gens qui ne paient pas la production des agriculteur à sa juste valeur et au lieu de baisser les impôts et d'augmenter les prix (pas bon pour le politique et le banquier, ils n'aiment pas l'inflation), on baisse encore les prix et on augment les impôts pour financer la baisse des prix...!!
Et ce cercle vicieux et vrai pour toutes les professions !!!
Surtout : AUCUN politique ne veut y mettre fin, car ils en vivent en se servant au passage !!
Si le consommateur payait plus cher sa viande ou ses légumes pour mieux rémunérer le paysan, le politique ne pourrait pas se servir au passage !!! Alors qu'en créant des usines à gaz qui passent par les taxes et impôts et leur portefeuille, là y'a bon pour eux !!
Une fois qu'on a compris ce système, toutes leurs décisions sont non seulement claires, mais prévisibles...
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
Postulant a écrit:Et ce cercle vicieux et vrai pour toutes les professions !!!
Surtout : AUCUN politique ne veut y mettre fin, car ils en vivent en se servant au passage !!
Si le consommateur payant plus cher sa viande ou ses légumes pour mieux rémunérer le paysan, le politique ne pourrait pas se servir au passage !!! Alors qu'en créant des usines à gaz qui passent par les taxes et impôts et leur portefeuille, là y'a bon pour eux !!
Une fois qu'on a compris ce système, toutes leurs décisions sont non seulement claires, mais prévisibles...
Vous avez démasqué l'anguille sous la roche.
Se servir sans demander la permission, ce n'est pas démocratique. Les taxes, vous voyez, on en revient aux sanctions par le porte monnaie. Mais surtout généraliser des mesures sans cibler le problème. C'est à dire, ceux qui sont les émetteurs du problème comme les entreprises (taxe carbone etc..)ou les récepteurs : ceux qui reçoivent cette pollution par exemple.
Le coût des externalités souvent négatives ne sont pas pris en charge. Et vous ajoutez à cela, un peu de culpabilité envers les citoyens. Le passage à l'électrique d'un point de vue environnemental, c'est bien, MAIS, ce budget n'est pas possible pour une trop grande partie des français. Au niveau de la part de la pollution, cela représente pour les transports: 29 % des émissions de gaz à effet de serre de la France. C’est, de loin, le secteur le plus polluant, devant l’agriculture (17 %) et l’industrie manufacturière (11 %).
Alors privilégier les transports dits plus doux en baissant le prix de l'électrique c'est mieux.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
capital.fr a écrit:Selon la candidate à l’investiture de la droite pour les prochaines présidentielles de 2022, il faut “donner envie” aux travailleurs de “travailler plus” avec une meilleure rémunération. Or, selon l’économiste Henri Sterdyniak, une telle proposition nécessiterait soit de “baisser les prestations sociales (retraites, assurance maladie, allocation chômage…) soit de diminuer les salaires les plus élevés, les dividendes et le taux de marge des entreprises”. “Je ne suis pas sûr que ce soit la politique de Valérie Pécresse”, juge-t-il. D’autant que l’économiste rappelle que les prestations sociales représentent du “salaire différé” et qu’une augmentation de la CSG ou de l’impôt sur le revenu pèserait encore sur les salariés. “Il faut présenter un programme relativement cohérent”, assure-t-il.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
PERSONNE n'a ENVIE de travailler !!!
Pour OBLIGER les gens à retourner bosser, il faut déjà arrêter de les payer à rester chez eux !!
Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Pour OBLIGER les gens à retourner bosser, il faut déjà arrêter de les payer à rester chez eux !!
Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
dans ce cas , supression de la caisse chomage à tous ,et plus de cotisations chomage à payer(selon vous)!!!omega95 a écrit:PERSONNE n'a ENVIE de travailler !!!
Pour OBLIGER les gens à retourner bosser, il faut déjà arrêter de les payer à rester chez eux !!
Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Dernière édition par aPOTRE le Sam 30 Oct 2021 - 15:08, édité 1 fois
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La politique des bas salaires
Mais ce sont majoritairement les immigrés!!! C'est toujours le même problème qui revient sans cesse, le serpent qui se mange la queue! MiamPostulant a écrit:Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Mais non c'est personne n'a envie de travailler pour des clopinettes surtout! sauf ceux qui viennent de la misère totale d'ou la concurrence et la politique des bas salaires!!
Visiblement vous avez créer votre entreprise car vous avez préféré travailler pour vous?et c'est tout à votre honneur!
Cela traduit l'instabilité de l'emploi car une auto entreprise sur 2 fermera ses portes entre 6 mois et un an!
UN JEUNE DEVRA EN MOYENNE CHANGER D'ENTREPRISE AU MOINS 6 FOIS DANS SA VIE, UNE RÉGRESSION DE PLUS DANS CE MONDE CAPITALISTE QUI DÉVELOPPE LE TRAVAIL DES PAUVRES.
LA STARTUP NATION N'EXISTE QUE POUR LE MONDE DES HEC, DES RESEAUX FAVORISES DES LE CRÉDIT PAYE!!! LA REPRODUCTION DES INÉGALITÉS EST VOLONTAIRE ET LES MÉTROPOLES SONT UN CENTRE NÉVRALGIQUE DE TOUTE CES INÉGALITÉS
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
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Re: La politique des bas salaires
Et voilà, d'un extrême à l'autre !aPOTRE a écrit:dans ce cas , supression de la caisse chomage à tous ,et plus de cotisations chomage à payer(selon vous)!!!omega95 a écrit:PERSONNE n'a ENVIE de travailler !!!
Pour OBLIGER les gens à retourner bosser, il faut déjà arrêter de les payer à rester chez eux !!
Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Pas d'argumentation, pas de proposition, juste : "si t'es pas d'accord avec moi, alors t'es un nazi...!"
Je n'ai JAMAIS demandé à supprimer l'ASSURANCE CHOMAGE (Oui, c'est une ASSURANCE pas un DROIT !).
Une assurance à des limites, hors, bizarrement, l'assurance chômage bien que déficitaire, est toujours renflouée... par de la dette !!
Mais je suppose que l'endettement de vos enfants et de votre descendance pour le confort immédiat et l'achat de la paix sociale ne vous pose aucun problème... Qui c'est le nazi ?!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
l'assurance chomage reservé au chomeur ayant perdu l'emploi , non ???omega95 a écrit:Et voilà, d'un extrême à l'autre !aPOTRE a écrit:dans ce cas , supression de la caisse chomage à tous ,et plus de cotisations chomage à payer(selon vous)!!!omega95 a écrit:PERSONNE n'a ENVIE de travailler !!!
Pour OBLIGER les gens à retourner bosser, il faut déjà arrêter de les payer à rester chez eux !!
Quand les 6 millions de chômeur/rentiers français ne recevront plus leur rente, ils se bougeront le cul pour trouver du boulot, c'est aussi simple que ça !
Tout le reste n'est que du blabla !
Pas d'argumentation, pas de proposition, juste : "si t'es pas d'accord avec moi, alors t'es un nazi...!"
Je n'ai JAMAIS demandé à supprimer l'ASSURANCE CHOMAGE (Oui, c'est une ASSURANCE pas un DROIT !).
Une assurance à des limites, hors, bizarrement, l'assurance chômage bien que déficitaire, est toujours renflouée... par de la dette !!
Mais je suppose que l'endettement de vos enfants et de votre descendance pour le confort immédiat et l'achat de la paix sociale ne vous pose aucun problème... Qui c'est le nazi ?!
,ils sont où ces rentiers du chomage???
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La politique des bas salaires
Quand on est un professionnel du chômage en alternant les emplois et les périodes de chômage en fonction des droits acquis, on est un rentier du chômage ! Et il semble qu'il y en at beaucoup qui pratique cette rente puis que l'exécutif actuel veut revoir la copie de l'assurance chômage...aPOTRE a écrit:
l'assurance chomage reservé au chomeur ayant perdu l'emploi , non ???
,ils sont où ces rentiers du chomage???
Ouvrez un peu les yeux...
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit: qu'il y en ait beaucoup qui pratiquent
.
omega95, ferait mieux d'apprendre à écrire en français (de souche), plutôt que de se croire obligé de distribuer des leçons de morale
Invité- Invité
Re: La politique des bas salaires
Toutes catégories confondues, le nombre de privés d’emploi s’établit
à plus de 6 millions, en France.
Ces chiffres révèlent la forte augmentation de la précarité en France sur l’année écoulée.
Un rapport d’Oxfam démontre qu’un million de personnes serait passé sous le seuil de pauvreté en 2020, en France.
à plus de 6 millions, en France.
Ces chiffres révèlent la forte augmentation de la précarité en France sur l’année écoulée.
Un rapport d’Oxfam démontre qu’un million de personnes serait passé sous le seuil de pauvreté en 2020, en France.
Invité- Invité
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