La politique des bas salaires
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Re: La politique des bas salaires
En deux mots: une partie non négligeable de français ne veulent pas travailler.omega95 a écrit:Arrêtons déjà de payer des gens à ne rien faire !!
Si tout travail mérite salaire, la réciproque DEVRAIT être vraie aussi, tout "salaire" devrait avoir une compensation en temps de travail ! Le RSA, les APL, etc... sont versés par la communauté et financé par les impôts, ceux qui le touchent devraient donc du temps de travail à la communauté !
Combien de chemin ne sont plus nettoyés parce que les municipalités n'ont pas ls moyens ? Combien de graffitis ne sont pas recouvert parce que les municipalités n'ont pas les moyens ? etc... Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Ok, je comprends.
D'autres souhaitent une guerre civile en France.
Cela va être dur pour faire cette fameuse guerre civile avec tous nos feignants.
Dernière édition par oscarire le Mar 2 Nov 2021 - 15:09, édité 1 fois
oscarire- Sage
- Messages : 5359
Date d'inscription : 16/10/2020
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Ryanne a écrit:De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
Arrêtez de troller les sujets.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:omega95 a écrit:Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Restez avec vos préjugés sans fondement ni raisonnement. Apparemment cela ne vous réussit pas effectivement de regarder Netflix. Vous n'avez toujours aucun arguments valables.
Voyons cela Ryanne :
Vous êtes inscrite depuis le 10/10/2021 avec 364 messages soit 15.83 messages par jour
Je suis inscrit de puis le 21/10/2017 avec 634 messages soit 0.43 messages par jour
Vous postez donc 36,8 fois plus de messages que moi par jour...
Vous faites quoi comme métier SVP ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7715
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
Racheter vous des arguments et on en reparle, heureusement que vous ne postez pas plus car vous n’avez souvent rien à dire. Votre dernier message en dit long. Vous me faîtes penser aux gens qui déversent leur haine et leur ignorance sur facebook.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Ryanne a écrit:Ryanne a écrit:De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
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Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
t'es chiant avec tes copier/collerRyanne a écrit:Ryanne a écrit:De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
remets nous des photos, au moi ça me fait rire et aussi un peu peur je l'avoue
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
ztylo a écrit:Troll +3Ryanne a écrit:Ryanne a écrit:De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Je constate que vous n'avez pas de réponse...Ryanne a écrit:Racheter vous des arguments et on en reparle, heureusement que vous ne postez pas plus car vous n’avez souvent rien à dire. Votre dernier message en dit long. Vous me faîtes penser aux gens qui déversent leur haine et leur ignorance sur facebook.
Pas d'arguments... Réponses à coté... Aurai-je touché une corde sensible ?
Et ne vous en déplaise, il me semble à moi, que le déversement de haine ne se fait pas dans le sens que vous voulez nous faire croire...
PS : Que viens faire Facebook la dedans ????? Pour mémoire, nous sommes dans un forum politique, vous y faites quoi déjà ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7715
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:Je constate que vous n'avez pas de réponse...
Pas d'arguments... Réponses à coté... Aurai-je touché une corde sensible ? Suspect
Et ne vous en déplaise, il me semble à moi, que le déversement de haine ne se fait pas dans le sens que vous voulez nous faire croire...
PS : Que viens faire Facebook la dedans ????? Pour mémoire, nous sommes dans un forum politique, vous y faites quoi déjà ? LA POLITIQUE DES BAS SALAIRES - Page 3 518364
Et oui,justement vous ne parlez pas de politique car vous semblez totalement dépassé par le sujet des bas salaires et n'y connaissait rien. Quand on a rien à dire on essaye de se raccrocher aux branches et surtout on ferme son clapet!
Lisez un peu plus d'article de journaux, vous apprendrez sans doute à mieux répondre sur un sujet plutôt que de dire n'importe quoi.
Dernière édition par Ryanne le Mar 2 Nov 2021 - 20:29, édité 1 fois
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Les lignes et les colonnes sont bien alignées... Félicitations !!
Vous croyez nous apprendre quoi ?
Que les serveurs sont mal payés ? Que les secrétaires sont sous-payés ? Que les vendeurs sont mal payés ?
Heureusement que vous avez des beaux tableaux... On n'était pas au courant...
Mais quand il s'agit de répondre aux questions du forum, y'a plus personne...
Par contre, bizarrement votre tableau oblitère complètement les petits patrons qui sont plus de 2 millions dans la pays et qui gagnent moins d'u SMIC pour survivre.... Rien non plus sur les Agriculteurs qui vivent avec moins de 800 € par mois et qui bossent 7 jours sur 7...
Votre tableau ne parle QUE des salariés, des gens qui sont aux 35h, qui ont 5 semaines de congés payés par an.... des RTT...
Qu'en est-il de ceux qui bossent 70h par semaine ? Qui n'ont ni vacances, ni RTT ?!!!
Le nombrilisme dont vous faites preuve est effarant, voilà à quoi il me fait penser votre tableau !!!
Et vous, vous faites quoi déjà ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7715
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
Vu que vous semblez un peu agressif je vais reprendre vos phrases une par une:
Personne n'a parlé de fortune, simplement d'avoir un salaire proportionnel à ce que l'on appel le travail fournit, ajoutez à cela ce que l'on appel la pénibilité du travail.
Ici vous voyez un problème de salaires? Et encore j'ai pris le SMIC
Pensez-vous que je sois nombriliste alors que je m'intéresse justement à ceux qui ne sont pas payés comme il le devrait?
FAUX! Juste être payé décemment.omega95 a écrit:Les gens sans qualification veulent être payés comme des qualifiés.
Encore FAUX! Pas besoin de dire pourquoi c'est évident.Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable
QUI serait prêt à payer une fortune pour une personne qui n'apporte aucun valeur ajoutée à l'entreprise
Personne n'a parlé de fortune, simplement d'avoir un salaire proportionnel à ce que l'on appel le travail fournit, ajoutez à cela ce que l'on appel la pénibilité du travail.
Malheureusement c'est encore FAUX...Ce n'est pas parce que les gens sont formés qu'ils sont bien payés!Vous voulez avoir un bon salaire au 21ème siècle : FORMEZ VOUS !!
Alors, 70 * 10,48 = 733,6 * 4 = 2934€ soit encore 2288.52 Net!Qu'en est-il de ceux qui bossent 70h par semaine ? Qui n'ont ni vacances, ni RTT ?!!!
Ici vous voyez un problème de salaires? Et encore j'ai pris le SMIC
Par contre, bizarrement votre tableau oblitère complètement les petits patrons qui sont plus de 2 millions dans la pays et qui gagnent moins d'u SMIC pour survivre.... Rien non plus sur les Agriculteurs qui vivent avec moins de 800 € par mois et qui bossent 7 jours sur 7...
Pensez-vous que je sois nombriliste alors que je m'intéresse justement à ceux qui ne sont pas payés comme il le devrait?
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Vu que vous semblez un peu agressif je vais reprendre vos phrases une par une:FAUX! Juste être payé décemment.omega95 a écrit:Les gens sans qualification veulent être payés comme des qualifiés.
Payé décemment c'est payé comme une personne qualifié donc
Ryanne a écrit:Encore FAUX! Pas besoin de dire pourquoi c'est évident.Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable
D'accord avec Ryanne, et d'avis même que certains métiers "qualifiés" surpayés disparaitront plus vite que certains métiers sans qualification qu'un Bot ne saurait exécuter.
Ryanne a écrit:
Personne n'a parlé de fortune, simplement d'avoir un salaire proportionnel à ce que l'on appel le travail fournit, ajoutez à cela ce que l'on appel la pénibilité du travail.
Oula ... le Pingre Omega va chopper une attaque !
Ryanne a écrit:
Malheureusement c'est encore FAUX...Ce n'est pas parce que les gens sont formés qu'ils sont bien payés!
Ca dépend, mais vrai ce n'est pas toujours lié en plus si vous devez payer votre formation vous perdez de l'argent.
Qu'en est-il de ceux qui bossent 70h par semaine ? Qui n'ont ni vacances, ni RTT ?!!!
Je pense que ce sont des gens qui aiment vraiment leur travail !
Francis XV- Sage
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Re: La politique des bas salaires
Bonjour Ztylo !"ztylo"
t'es chiant avec tes copier/coller
remets nous des photos, au moi ça me fait rire et aussi un peu peur je l'avoue
L'internaute Ryanne est l'incarnation de la feignantise !
le remplissage/ bourrage de copier-coller que les internautes ne lisent même pas.
Comment marquer son territoire sur un espace virtuel d'un forum?
oscarire- Sage
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:
Pensez-vous que je sois nombriliste alors que je m'intéresse justement à ceux qui ne sont pas payés comme il le devrait?
C'est au cas des autres que vous vous intéresser ?? ou tout simplement mettre le votre en lumière
Si j'étais en galère, déjà je m'occuperai de me sortir de la merde par des recherches d'emplois, des études, des formations, des heures sup, un boulot d'appoint , la liste est loin d'être exhaustive, c'est pas en chouinant dans son petit coin et critiquant que les choses évolueront positivement, vous me rappeler un membre qui justement ne s'en sortait pas car en fait il ne faisait rien pour en sortir
Patience car avec votre gourou le plein emploi et des salaires mirobolants avec sa politique de se refermer sur soi est en marche
ztylo- Sage
- Messages : 4298
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Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
C'est quoi être payé décemment ? Avoir la paie du gars qualifié ?Ryanne a écrit:Vu que vous semblez un peu agressif je vais reprendre vos phrases une par une:FAUX! Juste être payé décemment.omega95 a écrit:Les gens sans qualification veulent être payés comme des qualifiés.
VRAI ! et pas besoin de dire pourquoi, c'est évident !!!Ryanne a écrit:Encore FAUX! Pas besoin de dire pourquoi c'est évident.Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable
(Moi aussi je peux affirmer des choses péremptoirement sans preuve !)
Mais, moi, je suis ici pour argumenter, contrairement à vous alors voilà :
- Les caissières ont déjà commencé à disparaitre au profit des caisses automatiques
- Les métros s'automatisent (pas assez vite à mon gout!)
- Les agences bancaires disparaissent au profit des banques en ligne
- Même les boulangerie et les pizzeria ont des versions automatisées...
Et vous c'est quoi vos exemples pour votre FAUX péremptoire ? Car OUI, il FAUT dire POURQUOI !!!
Donc un balayeur ne devrait pratiquement pas être payé selon vous ?! Et un gardien de nuit qui dort durant tout son boulot, il devrait même payer pour bosser, non ?!Ryanne a écrit:QUI serait prêt à payer une fortune pour une personne qui n'apporte aucun valeur ajoutée à l'entreprise
Personne n'a parlé de fortune, simplement d'avoir un salaire proportionnel à ce que l'on appel le travail fournit, ajoutez à cela ce que l'on appel la pénibilité du travail.
BEN si c'est VRAI !! Même le gouvernement actuel offre des primes de formation, à votre avis c'est pour faire joli ?Ryanne a écrit:Malheureusement c'est encore FAUX...Ce n'est pas parce que les gens sont formés qu'ils sont bien payés!Vous voulez avoir un bon salaire au 21ème siècle : FORMEZ VOUS !!
Evidemment si vous vous formez en histoire de l'art, ne vous étonnez pas de vous retrouver au chômage...
Il faut évidemment se former dans les métiers demandés (mais il me semblait que c'était EVIDENT, non ?!)
Le fait qu'ils bossent 2 fois plus que les autres ne semble pas vous émouvoir outre mesure...Ryanne a écrit:Alors, 70 * 10,48 = 733,6 * 4 = 2934€ soit encore 2288.52 Net!Qu'en est-il de ceux qui bossent 70h par semaine ? Qui n'ont ni vacances, ni RTT ?!!!
Ici vous voyez un problème de salaires? Et encore j'ai pris le SMIC
Vous avez raison : faisons bosser les gens 96h par semaine !! Exploiteur !!
OUI, je confirme NOMBRILISTE, car vous OBLITEREZ volontairement une immense partie de la population qui bosse plus et gagne moins que les autres en ayant un niveau de pénibilité du travail et un stress au delà de ce que pratique l'immense majorité des salariés...Ryanne a écrit:Par contre, bizarrement votre tableau oblitère complètement les petits patrons qui sont plus de 2 millions dans la pays et qui gagnent moins d'u SMIC pour survivre.... Rien non plus sur les Agriculteurs qui vivent avec moins de 800 € par mois et qui bossent 7 jours sur 7...
Pensez-vous que je sois nombriliste alors que je m'intéresse justement à ceux qui ne sont pas payés comme il le devrait?
Mais vous êtes trop NOMBRILISTE pour le voir...
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:
C'est quoi être payé décemment ? Avoir la paie du gars qualifié ?
Vous n'avez tellement pas d'arguments que vous reprenez ceux FRANCIS XV, c'est à votre image.
FAUX! Juste être payé décemment. Si vous ne comprenez pas, on ne peux plus rien pour vous.omega95 a écrit:Les gens sans qualification veulent être payé comme des qualifiés.
Une liste non exhaustive de métiers non automatisables et il en existe encore beaucoup
omega95 a écrit:
Agent d'accueil.
Agent logistique.
Barman.
Croupier.
Employé dans la restauration collective.
Entrepreneur. tiens celui qui vous semble si cher!
Hôte de caisse.
Livreur.
C'est donc bien FAUX et non pas besoin de justifier c'est du bon sens, la machine ne sait pas faire certaines tâches humaines et c'est tant mieux pour l'emploi.
La robotisation c'est pour les exploiteurs qui veulent faire du profit mais vous ne semblez pas connaître tout ce monde visiblement.
revoyez les critères pour les primes et on en reparle plus tard.omega95 a écrit:Même le gouvernement actuel offre des primes de formation
omega95 a écrit:Le fait qu'ils bossent 2 fois plus que les autres ne semble pas vous émouvoir outre mesure...
Vous avez raison : faisons bosser les gens 96h par semaine !! Exploiteur !!
Réponse à nouveau à côté. On parle de BAS SALAIRES pas du nombre d'heures de travail. Vous essayez de vous raccrocher aux branches.
omega95 a écrit:OUI, je confirme NOMBRILISTE, car vous OBLITEREZ volontairement une immense partie de la population qui bosse plus et gagne moins que les autres en ayant un niveau de pénibilité du travail et un stress au delà de ce que pratique l'immense majorité des salariés...
Je n'oblitère personne, je vous ai juste donné un tableau pour vous donner des exemples de métiers à bas salaires. Continuez dans vos interprétations farfelues, vous êtes obtus sur ce sujet.
Penser à lire un peu plus de journaux car vous ne maîtrisez pas du tout le sujet
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
@Ryanne, je ne vais même pas essayer de vous répondre sur tous les points tellement vos réponses sont inexistantes et redondantes...
Par contre je vais m'amuser à répondre à votre liste de métiers non automatisable :
1. Tenez vous au courant des dernier automate d'accueil au Japon (si,si faites vos recherches...)
2. La logistique est déjà depuis longtemps automatisée, c'est même l'un des premier poste qui a été automatisé, demandez aux centres logistiques de la poste ou d'Amazon...
3. Sans déconner ? BARMAN !!
4. Cela fait longtemps que vous n'êtes pas allé dans un casino ? 90% de la surface est occupé par des machines !!
5. Les self service, vous n'avez JAMIS essayé ? Va donc chez Flunch !!
6. A là, en effet, pas facile à remplacer : Bravo 1 point ! Ceci dit, entrepreneur, ça n'est PAS un métier...
7. Les caisses automatiques existent maintenant depuis plusieurs années (vous faites vos courses où ?), il y a même une enseigne qui vous propose de vous laisser scanner vous même vos achats avec un scanner prêté, et les enseignes sont en train de tester les magasins sans caisse (vous sortez directement avec vos achats et vous êtes débité sur votre carte de manière automatique)
8. C'est en cours, peut être avez vous entendu parler des drones de livraison ? Ca vient....
Bref, TOUS les métiers de base sont automatisables...
Par contre je vais m'amuser à répondre à votre liste de métiers non automatisable :
Ryanne a écrit:
Une liste non exhaustive de métiers non automatisables et il en existe encore beaucoup
1. Agent d'accueil.
2. Agent logistique.
3. Barman.
4. Croupier.
5. Employé dans la restauration collective.
6. Entrepreneur. tiens celui qui vous semble si cher!
7. Hôte de caisse.
8. Livreur.
1. Tenez vous au courant des dernier automate d'accueil au Japon (si,si faites vos recherches...)
2. La logistique est déjà depuis longtemps automatisée, c'est même l'un des premier poste qui a été automatisé, demandez aux centres logistiques de la poste ou d'Amazon...
3. Sans déconner ? BARMAN !!
4. Cela fait longtemps que vous n'êtes pas allé dans un casino ? 90% de la surface est occupé par des machines !!
5. Les self service, vous n'avez JAMIS essayé ? Va donc chez Flunch !!
6. A là, en effet, pas facile à remplacer : Bravo 1 point ! Ceci dit, entrepreneur, ça n'est PAS un métier...
7. Les caisses automatiques existent maintenant depuis plusieurs années (vous faites vos courses où ?), il y a même une enseigne qui vous propose de vous laisser scanner vous même vos achats avec un scanner prêté, et les enseignes sont en train de tester les magasins sans caisse (vous sortez directement avec vos achats et vous êtes débité sur votre carte de manière automatique)
8. C'est en cours, peut être avez vous entendu parler des drones de livraison ? Ca vient....
Bref, TOUS les métiers de base sont automatisables...
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7715
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
oscarire a écrit:En deux mots: une partie non négligeable de français ne veulent pas travailler.omega95 a écrit:Arrêtons déjà de payer des gens à ne rien faire !!
Si tout travail mérite salaire, la réciproque DEVRAIT être vraie aussi, tout "salaire" devrait avoir une compensation en temps de travail ! Le RSA, les APL, etc... sont versés par la communauté et financé par les impôts, ceux qui le touchent devraient donc du temps de travail à la communauté !
Combien de chemin ne sont plus nettoyés parce que les municipalités n'ont pas ls moyens ? Combien de graffitis ne sont pas recouvert parce que les municipalités n'ont pas les moyens ? etc... Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Ok, je comprends.
D'autres souhaitent une guerre civile en France.
Cela va être dur pour faire cette fameuse guerre civile avec tous nos feignants.
Surtout que pour faire une guerre, il faut deux camps opposés.
QUI VA FAIRE LA GUERRE A QUI.
On sait qu'à l''extrême droite certains se sont armés sont en passant le permis de chasse, ou en prenant une licence de tir sportif, et aprés, ça les avance à quoi ?
En attendant, la seule préoccupations des français, est le pouvoir d'achat, mais ça, les droitos en tout genre n'en parlent pas, les candidats d'extrême droite non plus.
Invité- Invité
Re: La politique des bas salaires
Justement les classes moyennes depuis 10 ans ont vu leur pouvoir d’achat diminuer. Une étude montrait qu’après déductions des impôts, les gens avaient perdu du pouvoir d’achat. L'augmentation des assurances faisaient parti de cette diminution.
Oui je suis d’accord avec vous mais cela se passe au Japon. Vous semblez pour la robotisation, ce n’est pas justement nombriliste comme vision de la société?
Oui je suis d’accord avec vous mais cela se passe au Japon. Vous semblez pour la robotisation, ce n’est pas justement nombriliste comme vision de la société?
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Nos révolutionnaires sont incapables de répondre à cette interrogation."Stun'Eneb"
Surtout que pour faire une guerre, il faut deux camps opposés.
QUI VA FAIRE LA GUERRE A QUI.
Les médias, le fameux Zemmour focalise, cristalliseEn attendant, la seule préoccupations des français, est le pouvoir d'achat, mais ça, les droitos en tout genre n'en parlent pas, les candidats d'extrême droite non plus.
sur un seul sujet : l'immigration .
La campagne présidentielle 2022 s'annonce d'une rare médiocrité.
Et tout ça sur un fond de pandémie interminable du covid.
oscarire- Sage
- Messages : 5359
Date d'inscription : 16/10/2020
Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable...
Je pense que ceux qui parlent de métiers non qualifiés sont des gens qui n'ont jamais fait ces boulots.
En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Prenez un employé de drive de fast food, il faut être capable de prendre la commande d’un client via une oreillette tout en la saisissant dans un programme qui la transmet en cuisine, récupérer des sacs de nourriture pour les donner à d’autres clients, encaisser les paiements grâce à des terminaux électroniques, le tout dans un laps de temps très court, et toujours avec le sourire, malgré de longues journées éreintantes physiquement et psychiquement.
Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
Sagesse Libérale- Postulant
- Messages : 217
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La politique des bas salaires
il me semble que zemmour n'a rien d'un nationaliste , mais d'un souverainiste !oscarire a écrit:Nos révolutionnaires sont incapables de répondre à cette interrogation."Stun'Eneb"
Surtout que pour faire une guerre, il faut deux camps opposés.
QUI VA FAIRE LA GUERRE A QUI.Les médias, le fameux Zemmour focalise, cristalliseEn attendant, la seule préoccupations des français, est le pouvoir d'achat, mais ça, les droitos en tout genre n'en parlent pas, les candidats d'extrême droite non plus.
sur un seul sujet : l'immigration .
La campagne présidentielle 2022 s'annonce d'une rare médiocrité.
Et tout ça sur un fond de pandémie interminable du covid.
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: La politique des bas salaires
ça c'est la chienne de vie d'os qu'à rire !oscarire a écrit:Bonjour Ztylo !"ztylo"
t'es chiant avec tes copier/coller
remets nous des photos, au moi ça me fait rire et aussi un peu peur je l'avoue
L'internaute Ryanne est l'incarnation de la feignantise !
le remplissage/ bourrage de copier-coller que les internautes ne lisent même pas.
Comment marquer son territoire sur un espace virtuel d'un forum?
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: La politique des bas salaires
Sagesse Libérale a écrit:omega95 a écrit:
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable...
Je pense que ceux qui parlent de métiers non qualifiés sont des gens qui n'ont jamais fait ces boulots.
En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Prenez un employé de drive de fast food, il faut être capable de prendre la commande d’un client via une oreillette tout en la saisissant dans un programme qui la transmet en cuisine, récupérer des sacs de nourriture pour les donner à d’autres clients, encaisser les paiements grâce à des terminaux électroniques, le tout dans un laps de temps très court, et toujours avec le sourire, malgré de longues journées éreintantes physiquement et psychiquement.
Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
Selon le rapport de 2021 du projet V-Dem (pour Varieties of Democracy) conduit par une équipe de chercheurs hébergée à l’université de Göteborg, qui propose une distinction entre « démocraties libérales », « démocraties électorales », « autocraties électorales » et « autocraties fermées », seuls 14 % de la population mondiale, répartis dans une trentaine d’États, vivraient dans une démocratie authentiquement libérale.
La démocratie authentiquement libérale est dès le départ un leurre.
Vous faîtes comment sans manager pour faire tourner votre fast-food?
Cela supposerai que les écoles de management ne servent à rien?
sagesse libérale a écrit:En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Qualité relationnelle : Effectivement si vous ne voulez pas craquer dans ce genre de boulot,il vaut mieux s'accrocher psychologiquement à ses qualités relationnelles
J'ai trouvé ceci sur le fast-food :
liberation.fr a écrit:Enquête
McDo France, créateur d’emplois jetables depuis 1979
Si le géant du fast-food, qui vient de fêter les 40 ans de son implantation sur le sol français, recrute à tour de bras, le système de franchise et le fort taux de rotation compliquent toute tentative d’améliorer les conditions des salariés.
Les salariés du McDonald’s Saint-Barthélémy à Marseille, devenu durant l’été 2018 le fief de la contestation salariale, le 18 septembre. (Photo Yohanne Lamoulère. Tendance floue pour Libération)
par Amandine Cailhol et Gurvan Kristanadjaja, photo Yohanne Lamoulère. Tendance floue pour Libération
publié le 22 septembre 2019 à 20h41
Sur le site de recherche d'emploi Indeed, les avis divergent du tout au tout au sujet de McDonald's. C'est la «pire expérience de ma vie», écrit un ancien employé du géant américain qui vient de fêter ses 40 ans d'implantation en France, où il compte quelque 1 460 restaurants. Un autre, qui a aussi pris le large, s'épanche sur son «salaire misérable». Un troisième, toujours en poste, semble y trouver son compte, évoquant un «bon job étudiant» et «des employeurs très reconnaissants». «Une bonne école pour apprendre un vrai métier et se faire une carrière», abonde une directrice de restaurant. C'est aussi ce discours, mis en avant par la chaîne de fast-food, qui a fait son succès en France. Avec «80 % de directeurs ayant commencé comme équipiers», c'est-à-dire en bas de l'échelle, le mastodonte, qui affiche près de 6 milliards de chiffre d'affaires en France, vante les «possibilités d'évolution» de ses salariés.
«Taylorisation»
Des employés - des «talents», dans le jargon - qu'il embauche à la pelle, ce qui lui vaut régulièrement le titre de «plus grand recruteur de France». Plus de 70 000 personnes y travaillent pour McDo, dont beaucoup de jeunes (62 % des équipiers ont moins de 25 ans), principalement en études ou sans diplômes. Tous les ans, la multinationale signe en moyenne 40 000 contrats à travers le pays. Sans relâche, elle tente d'attirer de nouvelles recrues, en publiant des offres par dizaines, sur les réseaux sociaux ou via des entretiens minutés et plutôt informels (le «job dating»). En cette rentrée, elle fait aussi diffuser sur toutes les chaînes françaises un clip promotionnel pour vanter ses carrières destinées à tous, sous le mode «venez comme vous êtes». Il y a trois mois, McDo a même lancé sur Internet un site de recrutement sans CV, pour cibler «les millennials». «Débutants ou expérimentés», la «grande famille» leur tend les bras, offrant principalement des CDI (81 % des contrats).
L'entreprise recrute car elle crée des emplois : elle prévoit d'ouvrir 2 500 nouveaux CDI d'ici la fin 2019. Mais si la multinationale est autant à l'affût, c'est surtout parce qu'elle fait face à un taux de rotation important de ses effectifs, les équipiers restant en moyenne un peu moins d'un an, du fait de «la présence importante d'étudiants», selon le groupe. «Si McDonald's est l'un des plus gros recruteurs, c'est aussi l'une des entreprises dont on démissionne le plus», souligne Vincent Pasquier, professeur en gestion des ressources humaines à HEC Montréal. «Ça bouge tout le temps», confirme Gilles Bombard, secrétaire général de la CGT McDo Ile-de-France. Et d'ajouter : «Ce sont des emplois jetables. Ceux qui restent le plus longtemps ne le font pas par plaisir. Ils subissent.»
liberation.fr a écrit:Une situation qui semble s'être renforcée avec la robotisation des tâches. «Tout est déshumanisé. Il n'y a plus de réflexion, tout se fait sous le contrôle des écrans et des tickets de clients», constate Loïc Doran, délégué CGT et manager d'un franchisé à Elbeuf (Seine-Maritime). «Il y a des signaux qui s'allument partout si le temps de préparation des commandes est trop élevé. Ça génère du stress», abonde Gilles Bombard. Le groupe, lui, assure que la «qualité du cadre de travail est une priorité de l'enseigne», arguant que «près de 75 % des salariés recommanderaient à un ami ou un proche de venir travailler dans un restaurant».
le système de franchise, mis en place par la multinationale, annihile souvent tout espoir de coordination entre les salariés des différents McDo. «A cause de ce système, ils ne communiquent pas entre eux. Et la gestion du management est complètement déléguée au franchisé. Résultat, entre deux restaurants, les écarts de salaires peuvent dépasser 20 %», décrit Leïla Chaibi, députée européenne LFI à l'initiative d'une commission d'enquête citoyenne sur McDonald's. Et l'élue de conclure : «Sur tous les points, depuis que l'enseigne est en France, McDo se croit intouchable.»
Cela confirme bien nos propos .
C'est le monde du capitalisme.
A qui devons-nous ce système?
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
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