« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau »

[Vladimir de Volog]

« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ».

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Gabriel Boric est issu d’une famille de classe moyenne. Né en 1986 à Punta Arenas, au sud de la Patagonie, il est une figure des mouvements étudiants des années 2010 qui exigeaient une éducation gratuite. Avec ses manches retroussées et ses tatouages assumés, il avait lancé lors de sa victoire aux primaires de gauche face au communiste Daniel Jadue, que « si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ». Il promet d’en finir avec le système néolibéral implanté sous Pinochet et de « remettre l’État au cœur des politiques publiques pour garantir des conditions de vie dignes ». Il veut une éducation gratuite, un système public de santé, ou encore des pensions de retraite dignes. Il promet également « justice et réparation » pour les violations des droits humains pendant la dictature et pendant la révolte sociale qui a fait 34 morts et plus de 400 blessés à l’œil. Même si l’enjeu écologique a été relativement absent des débats présidentiels, Gabriel Boric veut « garantir le droit humain à l’eau » dans un des seuls pays au monde qui a privatisé ses eaux ou encore « nationaliser le lithium » qui est aux mains de deux entreprises privées.

Il remporte l’élection présidentielle à l’issue d’un entre-deux-tours polarisé. Son compétiteur, Juan Antonio Kast, nostalgique de l’ère Pinochet, a reconnu sa défaite par tweet en « félicitant [la] grande victoire » de Gabriel Boric. Malgré le soutien du gouvernement du milliardaire Sebastian Piñera, l’avocat de 55 ans qui voulait supprimer le ministère de la Femme n’a pas su convaincre. Le dernier débat télévisé, lundi 13 décembre, a probablement été décisif : le candidat d’extrême-droite a perdu des points lorsque Gabriel Boric, qu’il accusait d’être consommateur de drogues, a présenté en direct des résultats négatifs certifiés.

[Vladimir de Volog]

De nombreuses personnes qui jusque-là s’abstenaient ont voté dimanche et fait pencher la balance.

Le jeune trentenaire succède au milliardaire Sebastian Piñera dont la popularité est au plus bas à la fin de ce deuxième mandat (2010-2014 / 2018-2022).

Le nouveau président incarne une nouvelle ère politique chilienne et une nouvelle génération qui crée la rupture avec les politiques menées depuis le retour à la démocratie en 1990.

Il a affirmé que « les femmes seront protagonistes du nouveau gouvernement » et il a assuré qu’il protégerait « le processus constituant pour offrir au Chili une nouvelle Constitution qui rassemble, et ne divise pas comme l’était celle imposée, à feu et à sang, par un référendum frauduleux en 1980 » pendant la dictature de Pinochet.

[Plaristes Evariste]

Faut voir......

Pour le moment le régime actuel c'est une continuation de al dictature de pinochet qui ne dit pas son nom.

[Vladimir de Volog]

faut voir quoi  ?




Election présidentielle au Chili : victoire historique du candidat de gauche, Gabriel Boric
A la tête d’une vaste alliance allant du Parti communiste au centre gauche, l’ancien député et leader étudiant de 35 ans a remporté l’élection présidentielle avec 56 % des voix contre le candidat d’extrême droite, José Antonio Kast.

[Plaristes Evariste]

Ça va être un mélange du communisme Caviar que l'ont peut voir en espagne, et du vénézuela à maduro.


Tous les vieux schnocks de l'époque de pinochet vont rester.

Donc en plus d'avoir la veille sociale démocratie Chilienne qui trompe le peuple en faisant peau neuve, ils vont avoir les batons dans les roues de partout.

C'est comme Perdro Castillo quoi.
On peut voir que les nouveaux pions de la domination U.S dans le coin ce sont les trotskards, et non plus les fachos ou évangélistes à la bolsonaro.


Alors ça va commencé gentillement avec Le pérou puis le Chili.
Puis ça va être vachement plus violent vachement pus gauchiste au fur et mesure que le temps passe, le premier vrai cafouillage sera en argentine.

[Invité]

Ça va être un mélange du communisme Caviar que l'ont peut voir en espagne, et du vénézuela à maduro.


Tous les vieux schnocks de l'époque de pinochet vont rester.

Donc en plus d'avoir la veille sociale démocratie Chilienne qui trompe le peuple en faisant peau neuve, ils vont avoir les batons dans les roues de partout.

C'est comme Perdro Castillo quoi.
On peut voir que les nouveaux pions de la domination U.S dans le coin ce sont les trotskards, et non plus les fachos ou évangélistes à la bolsonaro.


Alors ça va commencé gentillement avec Le pérou puis le Chili.
Puis ça va être vachement plus violent vachement pus gauchiste au fur et mesure que le temps passe, le premier vrai cafouillage sera en argentine.

Plariste ne soutient que l'extrême droite qu'il absout de tout

[Francis XV]

Bon j'ai pas trop suivi les dernières élections, mais d'après ce que j'ai compris le problème c'est qu'il faudrait réformer la constitution de Pinochet pour espérer changer quoi que ce soit dans ce pays et qu'apparement il faut les 2/3 du congrès ce qui est quasiment impossible à obtenir.

Alors il est vrai que ces derniers mois le  Chili à connu des mouvements sociaux d'une ampleur sans précédent mais est-ce que ça va suffir ?

[Plaristes Evariste]

VVVVoooooooooooiiillllllààà
Et ils ont pas la majorité et l'auront Jamais......

Et ils ont pas le pédigré pour organiser des grèves et mouvement sociaux nécessaire pour prendre en otage les membres ud congrès.

Parce-qu'avec des stratégie à la podemos & co.. on Fini par récolter de Taubira et autre détritus qui vont avoir un impacte sur le reste.

Donc vont se contenter de faire ouinouin c'était pas notre faute ! C'est l'opposition qui fait barrage.

[Jean-Louis de Toqueville]

[quote="Volog"]« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ».

Parce que tu crois que le Chili va virer communiste ??? Ils ne sont pas si cons que ça les chiliens et ils ont eu sous leurs yeux la vision des expériences mortifères de régimes sanguinaires communistes de pays voisins et d'Amérique du Sud.

Il n'y a aucun doute que le nouveau leader et le pays feront le choix libéral, certes à la sauce sud-américaine, mais jamais ils n'opteront pour l'enfer communiste, cette immonde saloperie à jamais interdite sur cette planète.


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[Francis XV]

[quote="Jeanlouis12"]

« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ».

Parce que tu crois que le Chili va virer communiste ??? Ils ne sont pas si cons que ça les chiliens et ils ont eu sous leurs yeux la vision des expériences mortifères de régimes sanguinaires communistes de pays voisins et d'Amérique du Sud.

Il n'y a aucun doute que le nouveau leader et le pays feront le choix libéral, certes à la sauce sud-américaine, mais jamais ils n'opteront pour l'enfer communiste, cette immonde saloperie à jamais interdite sur cette planète.

Je ne sais pas pour quoi il vont opter mais en tout cas il n'en peuvent plus de l'ultra-libéralisme.

[Vladimir de Volog]

« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ».

Parce que tu crois que le Chili va virer communiste ??? Ils ne sont pas si cons que ça les chiliens et ils ont eu sous leurs yeux la vision des expériences mortifères de régimes sanguinaires communistes de pays voisins et d'Amérique du Sud.

Il n'y a aucun doute que le nouveau leader et le pays feront le choix libéral, certes à la sauce sud-américaine, mais jamais ils n'opteront pour l'enfer communiste, cette immonde saloperie à jamais interdite sur cette planète.

Je ne sais pas pour quoi il vont opter mais en tout cas il  n'en peuvent plus de l'ultra-libéralisme.

Je crois qu'ils ne sont pas les seuls.

[Plaristes Evariste]

Ils vont comme le reste de l'amérique Latine opter pour des option troskaro-keynéisiennes.

Il y aura un libéralisme sociétal fou à la Goerges Soros qui permettra à certains lobby pharmaceutique d'extorquer les parents.
Ils vont ouvrir la société sur le plan des mœurs pour préparer la reconquête et la remontée du néo-libéralisme.

[Jean-Louis de Toqueville]

« Si le Chili est le berceau du néolibéralisme, il sera aussi son tombeau ».

Parce que tu crois que le Chili va virer communiste ??? Ils ne sont pas si cons que ça les chiliens et ils ont eu sous leurs yeux la vision des expériences mortifères de régimes sanguinaires communistes de pays voisins et d'Amérique du Sud.

Il n'y a aucun doute que le nouveau leader et le pays feront le choix libéral, certes à la sauce sud-américaine, mais jamais ils n'opteront pour l'enfer communiste, cette immonde saloperie à jamais interdite sur cette planète.

Je ne sais pas pour quoi il vont opter mais en tout cas il  n'en peuvent plus de l'ultra-libéralisme.

Entre l'ultra-libéralisme et le communisme, il y a un espace pour une économie de marché libérale, régulée par l'État, à l'image de ce qui se pratique dans tous les pays du monde.

C'est le curseur de la régulation que les dirigeants chiliens devront bien régler pour faire progresser à la fois la compétitivité relative de leur faible économie et les avancées sociales.


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[Antonio Gramsci]

En restant sur le même continent, il faut espérer le retour de Fernando Lugo aux élections générales du Paraguay en avril 2023-soit un an après les présidentielles françaises. https://www.jean-jaures.org/publication/portrait-du-paraguay/

[Antonio Gramsci]

Le maillon faible de l impérialisme est l Amérique latine de plus, un retour de Fernando Lugo au pouvoir à Asuncion conduirait le Paraguay à lâcher Taïwan au profit de la République populaire de Chine.

[Vladimir de Volog]

En restant sur le même continent, il faut espérer le retour de Fernando Lugo aux élections générales du Paraguay en avril 2023-soit un an après les présidentielles françaises. https://www.jean-jaures.org/publication/portrait-du-paraguay/

[Antonio Gramsci]

Par contre, on peut toujours rêver du retour de Jean Bertrand Aristide à Haïti, vu le chaos et l anarchie qui y règnent, rappelons quand même que ce sont les États-Unis, la France et le Canada qui l ont viré en 2003 ou 2004 car il s opposait aux diktats impérialistes.

[Antonio Gramsci]

La social traître qui vient de prendre ses fonctions au Honduras n à pas évincé l hegemonisme américain et n à pas rompu avec Taïwan-seuls 14 pays dans le monde reconnaissent encore Taipei.

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